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Monogamie
civilisation de bâtisseurs
Hypergamie
aucune civilisation, tribus qui se font la guerre constamment
Les femmes et les BG préfèrent l'hypergamie car ce système leur convient le mieux, les moches/lambdas préfèrent la civilisation car elle leur donne de très hautes chances d'avoir une femme et un avenir

Hypergamie


Les femmes et les BG préfèrent l'hypergamie car ce système leur convient le mieux, les moches/lambdas préfèrent la civilisation car elle leur donne de très hautes chances d'avoir une femme et un avenir

Et l'homme censé pense qu'une femme ça se mérite
il y a 2 ans
Monogamie
civilisation de bâtisseurs
Hypergamie
aucune civilisation, tribus qui se font la guerre constamment
Les femmes et les BG préfèrent l'hypergamie car ce système leur convient le mieux, les moches/lambdas préfèrent la civilisation car elle leur donne de très hautes chances d'avoir une femme et un avenir

Hypergamie


Les femmes et les BG préfèrent l'hypergamie car ce système leur convient le mieux, les moches/lambdas préfèrent la civilisation car elle leur donne de très hautes chances d'avoir une femme et un avenir

La structure de la civilisation est avant tout sexuelle ; J.D Unwin l'a déjà bien expliqué : la théorie freudienne de la sublimation, de la canalisation de l'énergie sexuelle vers des buts plus nobles comme les arts et les sciences est selon lui essentiel au niveau civilisationnel.
Selon ses dires, les hommes construisent la civilisation pour attirer les femmes et sécuriser à long terme leur territoire. Les hommes veulent être un patriarche sur leurs propres terres et dans leur foyer. S'ils ne peuvent pas obtenir ceci, ils bruleront la société.
Demander aux hommes qui sont les perdants du marché des rencontres de continuer à jouer le jeu, ça revient à demander à des types de continuer à faire les taches ingrates du maintien de la civilisation bénévolement. Ils doivent garder le sourire et continuer à servir la communauté en acceptant de ne jamais susciter un désir authentique chez une femme qui le soutiendrait dans la vie, mais surtout en ayant la garantie qu'ils n'auront PAS de descendance. Impossible donc que cela tienne sur le long terme.
Unwin prédisait qu'une civilisation qui supprime les restrictions sexuelles:
- ne PEUT PAS revenir en arrière. Une fois que le contrôle sur la chasteté est enlevé, c'est terminé.
- s'effondre en trois générations. Pour Unwin, une génération n'est pas à prendre au sens littéral du terme. Pour lui, il s'agirait d'une tranche de 33 ans.
1) La première génération profite de la vie et bénéficie de la liberté sexuelle et des progrès de la civilisation (= les Boomers et leurs enfants).
2) La seconde subit les premiers effets négatifs, l'aliénation sociale et la montée des tensions avec le temps jusqu'à la destruction complète de la cellule familiale (= notre génération).
3) La troisième vivra l'effondrement de la civilisation par la conquête d'une autre qui aura une énergie et une agressivité plus grande en raison de sa chasteté (= Grand Remplacement ? Islam ? Je vous laisse seul juge) (= La génération de nos petits frères/sœurs avec nous compris dedans).
Si on admet que mai 68 est le début de la fin des restrictions... La seconde génération a commencé en 1998 et la troisième génération commencera... en 2028.
L'homme a inventé le mariage pour réduire la concurrence sexuelle entre eux et bâtir les civilisations : c'est cela le progrès. La libération sexuelle et le choix déraisonné des femmes animées par leur instinct hypergamique animal nous entraîne irrémédiablement vers une société de plus en plus violente avec des hommes de moins en moins travailleurs, de moins en moins enclin à participer au maintien de la société et de plus en plus sauvages (cf l'augmentation des viols et agressions sexuelles, le fameux "ensauvagement de la société").
Quel homme serait assez stupide pour travailler toute sa vie sans avoir accès à une partenaire qui puisse lui garantir une descendance, de l'affection et de la camaraderie ainsi que des relations sexuelles ?
Le mariage c'est le progrès de la race humaine.
Le coït libre est le retour en arrière.
À l'heure actuelle, avec les règles religieuses et patriarcales ayant sauté, nous sombrons tout doucement vers le retour de l'état primitif, de la pulsion animale, de la loi de la jungle.

Selon ses dires, les hommes construisent la civilisation pour attirer les femmes et sécuriser à long terme leur territoire. Les hommes veulent être un patriarche sur leurs propres terres et dans leur foyer. S'ils ne peuvent pas obtenir ceci, ils bruleront la société.

Demander aux hommes qui sont les perdants du marché des rencontres de continuer à jouer le jeu, ça revient à demander à des types de continuer à faire les taches ingrates du maintien de la civilisation bénévolement. Ils doivent garder le sourire et continuer à servir la communauté en acceptant de ne jamais susciter un désir authentique chez une femme qui le soutiendrait dans la vie, mais surtout en ayant la garantie qu'ils n'auront PAS de descendance. Impossible donc que cela tienne sur le long terme.

Unwin prédisait qu'une civilisation qui supprime les restrictions sexuelles:
- ne PEUT PAS revenir en arrière. Une fois que le contrôle sur la chasteté est enlevé, c'est terminé.
- s'effondre en trois générations. Pour Unwin, une génération n'est pas à prendre au sens littéral du terme. Pour lui, il s'agirait d'une tranche de 33 ans.

1) La première génération profite de la vie et bénéficie de la liberté sexuelle et des progrès de la civilisation (= les Boomers et leurs enfants).
2) La seconde subit les premiers effets négatifs, l'aliénation sociale et la montée des tensions avec le temps jusqu'à la destruction complète de la cellule familiale (= notre génération).
3) La troisième vivra l'effondrement de la civilisation par la conquête d'une autre qui aura une énergie et une agressivité plus grande en raison de sa chasteté (= Grand Remplacement ? Islam ? Je vous laisse seul juge) (= La génération de nos petits frères/sœurs avec nous compris dedans).
Si on admet que mai 68 est le début de la fin des restrictions... La seconde génération a commencé en 1998 et la troisième génération commencera... en 2028.

L'homme a inventé le mariage pour réduire la concurrence sexuelle entre eux et bâtir les civilisations : c'est cela le progrès. La libération sexuelle et le choix déraisonné des femmes animées par leur instinct hypergamique animal nous entraîne irrémédiablement vers une société de plus en plus violente avec des hommes de moins en moins travailleurs, de moins en moins enclin à participer au maintien de la société et de plus en plus sauvages (cf l'augmentation des viols et agressions sexuelles, le fameux "ensauvagement de la société").

Quel homme serait assez stupide pour travailler toute sa vie sans avoir accès à une partenaire qui puisse lui garantir une descendance, de l'affection et de la camaraderie ainsi que des relations sexuelles ?
Le mariage c'est le progrès de la race humaine.
Le coït libre est le retour en arrière.

À l'heure actuelle, avec les règles religieuses et patriarcales ayant sauté, nous sombrons tout doucement vers le retour de l'état primitif, de la pulsion animale, de la loi de la jungle.

il y a 2 ans
La structure de la civilisation est avant tout sexuelle ; J.D Unwin l'a déjà bien expliqué : la théorie freudienne de la sublimation, de la canalisation de l'énergie sexuelle vers des buts plus nobles comme les arts et les sciences est selon lui essentiel au niveau civilisationnel.
Selon ses dires, les hommes construisent la civilisation pour attirer les femmes et sécuriser à long terme leur territoire. Les hommes veulent être un patriarche sur leurs propres terres et dans leur foyer. S'ils ne peuvent pas obtenir ceci, ils bruleront la société.
Demander aux hommes qui sont les perdants du marché des rencontres de continuer à jouer le jeu, ça revient à demander à des types de continuer à faire les taches ingrates du maintien de la civilisation bénévolement. Ils doivent garder le sourire et continuer à servir la communauté en acceptant de ne jamais susciter un désir authentique chez une femme qui le soutiendrait dans la vie, mais surtout en ayant la garantie qu'ils n'auront PAS de descendance. Impossible donc que cela tienne sur le long terme.
Unwin prédisait qu'une civilisation qui supprime les restrictions sexuelles:
- ne PEUT PAS revenir en arrière. Une fois que le contrôle sur la chasteté est enlevé, c'est terminé.
- s'effondre en trois générations. Pour Unwin, une génération n'est pas à prendre au sens littéral du terme. Pour lui, il s'agirait d'une tranche de 33 ans.
1) La première génération profite de la vie et bénéficie de la liberté sexuelle et des progrès de la civilisation (= les Boomers et leurs enfants).
2) La seconde subit les premiers effets négatifs, l'aliénation sociale et la montée des tensions avec le temps jusqu'à la destruction complète de la cellule familiale (= notre génération).
3) La troisième vivra l'effondrement de la civilisation par la conquête d'une autre qui aura une énergie et une agressivité plus grande en raison de sa chasteté (= Grand Remplacement ? Islam ? Je vous laisse seul juge) (= La génération de nos petits frères/sœurs avec nous compris dedans).
Si on admet que mai 68 est le début de la fin des restrictions... La seconde génération a commencé en 1998 et la troisième génération commencera... en 2028.
L'homme a inventé le mariage pour réduire la concurrence sexuelle entre eux et bâtir les civilisations : c'est cela le progrès. La libération sexuelle et le choix déraisonné des femmes animées par leur instinct hypergamique animal nous entraîne irrémédiablement vers une société de plus en plus violente avec des hommes de moins en moins travailleurs, de moins en moins enclin à participer au maintien de la société et de plus en plus sauvages (cf l'augmentation des viols et agressions sexuelles, le fameux "ensauvagement de la société").
Quel homme serait assez stupide pour travailler toute sa vie sans avoir accès à une partenaire qui puisse lui garantir une descendance, de l'affection et de la camaraderie ainsi que des relations sexuelles ?
Le mariage c'est le progrès de la race humaine.
Le coït libre est le retour en arrière.
À l'heure actuelle, avec les règles religieuses et patriarcales ayant sauté, nous sombrons tout doucement vers le retour de l'état primitif, de la pulsion animale, de la loi de la jungle.

Selon ses dires, les hommes construisent la civilisation pour attirer les femmes et sécuriser à long terme leur territoire. Les hommes veulent être un patriarche sur leurs propres terres et dans leur foyer. S'ils ne peuvent pas obtenir ceci, ils bruleront la société.

Demander aux hommes qui sont les perdants du marché des rencontres de continuer à jouer le jeu, ça revient à demander à des types de continuer à faire les taches ingrates du maintien de la civilisation bénévolement. Ils doivent garder le sourire et continuer à servir la communauté en acceptant de ne jamais susciter un désir authentique chez une femme qui le soutiendrait dans la vie, mais surtout en ayant la garantie qu'ils n'auront PAS de descendance. Impossible donc que cela tienne sur le long terme.

Unwin prédisait qu'une civilisation qui supprime les restrictions sexuelles:
- ne PEUT PAS revenir en arrière. Une fois que le contrôle sur la chasteté est enlevé, c'est terminé.
- s'effondre en trois générations. Pour Unwin, une génération n'est pas à prendre au sens littéral du terme. Pour lui, il s'agirait d'une tranche de 33 ans.

1) La première génération profite de la vie et bénéficie de la liberté sexuelle et des progrès de la civilisation (= les Boomers et leurs enfants).
2) La seconde subit les premiers effets négatifs, l'aliénation sociale et la montée des tensions avec le temps jusqu'à la destruction complète de la cellule familiale (= notre génération).
3) La troisième vivra l'effondrement de la civilisation par la conquête d'une autre qui aura une énergie et une agressivité plus grande en raison de sa chasteté (= Grand Remplacement ? Islam ? Je vous laisse seul juge) (= La génération de nos petits frères/sœurs avec nous compris dedans).
Si on admet que mai 68 est le début de la fin des restrictions... La seconde génération a commencé en 1998 et la troisième génération commencera... en 2028.

L'homme a inventé le mariage pour réduire la concurrence sexuelle entre eux et bâtir les civilisations : c'est cela le progrès. La libération sexuelle et le choix déraisonné des femmes animées par leur instinct hypergamique animal nous entraîne irrémédiablement vers une société de plus en plus violente avec des hommes de moins en moins travailleurs, de moins en moins enclin à participer au maintien de la société et de plus en plus sauvages (cf l'augmentation des viols et agressions sexuelles, le fameux "ensauvagement de la société").

Quel homme serait assez stupide pour travailler toute sa vie sans avoir accès à une partenaire qui puisse lui garantir une descendance, de l'affection et de la camaraderie ainsi que des relations sexuelles ?
Le mariage c'est le progrès de la race humaine.
Le coït libre est le retour en arrière.

À l'heure actuelle, avec les règles religieuses et patriarcales ayant sauté, nous sombrons tout doucement vers le retour de l'état primitif, de la pulsion animale, de la loi de la jungle.

il y a 2 ans
La structure de la civilisation est avant tout sexuelle ; J.D Unwin l'a déjà bien expliqué : la théorie freudienne de la sublimation, de la canalisation de l'énergie sexuelle vers des buts plus nobles comme les arts et les sciences est selon lui essentiel au niveau civilisationnel.
Selon ses dires, les hommes construisent la civilisation pour attirer les femmes et sécuriser à long terme leur territoire. Les hommes veulent être un patriarche sur leurs propres terres et dans leur foyer. S'ils ne peuvent pas obtenir ceci, ils bruleront la société.
Demander aux hommes qui sont les perdants du marché des rencontres de continuer à jouer le jeu, ça revient à demander à des types de continuer à faire les taches ingrates du maintien de la civilisation bénévolement. Ils doivent garder le sourire et continuer à servir la communauté en acceptant de ne jamais susciter un désir authentique chez une femme qui le soutiendrait dans la vie, mais surtout en ayant la garantie qu'ils n'auront PAS de descendance. Impossible donc que cela tienne sur le long terme.
Unwin prédisait qu'une civilisation qui supprime les restrictions sexuelles:
- ne PEUT PAS revenir en arrière. Une fois que le contrôle sur la chasteté est enlevé, c'est terminé.
- s'effondre en trois générations. Pour Unwin, une génération n'est pas à prendre au sens littéral du terme. Pour lui, il s'agirait d'une tranche de 33 ans.
1) La première génération profite de la vie et bénéficie de la liberté sexuelle et des progrès de la civilisation (= les Boomers et leurs enfants).
2) La seconde subit les premiers effets négatifs, l'aliénation sociale et la montée des tensions avec le temps jusqu'à la destruction complète de la cellule familiale (= notre génération).
3) La troisième vivra l'effondrement de la civilisation par la conquête d'une autre qui aura une énergie et une agressivité plus grande en raison de sa chasteté (= Grand Remplacement ? Islam ? Je vous laisse seul juge) (= La génération de nos petits frères/sœurs avec nous compris dedans).
Si on admet que mai 68 est le début de la fin des restrictions... La seconde génération a commencé en 1998 et la troisième génération commencera... en 2028.
L'homme a inventé le mariage pour réduire la concurrence sexuelle entre eux et bâtir les civilisations : c'est cela le progrès. La libération sexuelle et le choix déraisonné des femmes animées par leur instinct hypergamique animal nous entraîne irrémédiablement vers une société de plus en plus violente avec des hommes de moins en moins travailleurs, de moins en moins enclin à participer au maintien de la société et de plus en plus sauvages (cf l'augmentation des viols et agressions sexuelles, le fameux "ensauvagement de la société").
Quel homme serait assez stupide pour travailler toute sa vie sans avoir accès à une partenaire qui puisse lui garantir une descendance, de l'affection et de la camaraderie ainsi que des relations sexuelles ?
Le mariage c'est le progrès de la race humaine.
Le coït libre est le retour en arrière.
À l'heure actuelle, avec les règles religieuses et patriarcales ayant sauté, nous sombrons tout doucement vers le retour de l'état primitif, de la pulsion animale, de la loi de la jungle.

Selon ses dires, les hommes construisent la civilisation pour attirer les femmes et sécuriser à long terme leur territoire. Les hommes veulent être un patriarche sur leurs propres terres et dans leur foyer. S'ils ne peuvent pas obtenir ceci, ils bruleront la société.

Demander aux hommes qui sont les perdants du marché des rencontres de continuer à jouer le jeu, ça revient à demander à des types de continuer à faire les taches ingrates du maintien de la civilisation bénévolement. Ils doivent garder le sourire et continuer à servir la communauté en acceptant de ne jamais susciter un désir authentique chez une femme qui le soutiendrait dans la vie, mais surtout en ayant la garantie qu'ils n'auront PAS de descendance. Impossible donc que cela tienne sur le long terme.

Unwin prédisait qu'une civilisation qui supprime les restrictions sexuelles:
- ne PEUT PAS revenir en arrière. Une fois que le contrôle sur la chasteté est enlevé, c'est terminé.
- s'effondre en trois générations. Pour Unwin, une génération n'est pas à prendre au sens littéral du terme. Pour lui, il s'agirait d'une tranche de 33 ans.

1) La première génération profite de la vie et bénéficie de la liberté sexuelle et des progrès de la civilisation (= les Boomers et leurs enfants).
2) La seconde subit les premiers effets négatifs, l'aliénation sociale et la montée des tensions avec le temps jusqu'à la destruction complète de la cellule familiale (= notre génération).
3) La troisième vivra l'effondrement de la civilisation par la conquête d'une autre qui aura une énergie et une agressivité plus grande en raison de sa chasteté (= Grand Remplacement ? Islam ? Je vous laisse seul juge) (= La génération de nos petits frères/sœurs avec nous compris dedans).
Si on admet que mai 68 est le début de la fin des restrictions... La seconde génération a commencé en 1998 et la troisième génération commencera... en 2028.

L'homme a inventé le mariage pour réduire la concurrence sexuelle entre eux et bâtir les civilisations : c'est cela le progrès. La libération sexuelle et le choix déraisonné des femmes animées par leur instinct hypergamique animal nous entraîne irrémédiablement vers une société de plus en plus violente avec des hommes de moins en moins travailleurs, de moins en moins enclin à participer au maintien de la société et de plus en plus sauvages (cf l'augmentation des viols et agressions sexuelles, le fameux "ensauvagement de la société").

Quel homme serait assez stupide pour travailler toute sa vie sans avoir accès à une partenaire qui puisse lui garantir une descendance, de l'affection et de la camaraderie ainsi que des relations sexuelles ?
Le mariage c'est le progrès de la race humaine.
Le coït libre est le retour en arrière.

À l'heure actuelle, avec les règles religieuses et patriarcales ayant sauté, nous sombrons tout doucement vers le retour de l'état primitif, de la pulsion animale, de la loi de la jungle.

Une véritable redpill, cela s'applique complètement à la société actuelle
La fin des temps approche
il y a 2 ans
La structure de la civilisation est avant tout sexuelle ; J.D Unwin l'a déjà bien expliqué : la théorie freudienne de la sublimation, de la canalisation de l'énergie sexuelle vers des buts plus nobles comme les arts et les sciences est selon lui essentiel au niveau civilisationnel.
Selon ses dires, les hommes construisent la civilisation pour attirer les femmes et sécuriser à long terme leur territoire. Les hommes veulent être un patriarche sur leurs propres terres et dans leur foyer. S'ils ne peuvent pas obtenir ceci, ils bruleront la société.
Demander aux hommes qui sont les perdants du marché des rencontres de continuer à jouer le jeu, ça revient à demander à des types de continuer à faire les taches ingrates du maintien de la civilisation bénévolement. Ils doivent garder le sourire et continuer à servir la communauté en acceptant de ne jamais susciter un désir authentique chez une femme qui le soutiendrait dans la vie, mais surtout en ayant la garantie qu'ils n'auront PAS de descendance. Impossible donc que cela tienne sur le long terme.
Unwin prédisait qu'une civilisation qui supprime les restrictions sexuelles:
- ne PEUT PAS revenir en arrière. Une fois que le contrôle sur la chasteté est enlevé, c'est terminé.
- s'effondre en trois générations. Pour Unwin, une génération n'est pas à prendre au sens littéral du terme. Pour lui, il s'agirait d'une tranche de 33 ans.
1) La première génération profite de la vie et bénéficie de la liberté sexuelle et des progrès de la civilisation (= les Boomers et leurs enfants).
2) La seconde subit les premiers effets négatifs, l'aliénation sociale et la montée des tensions avec le temps jusqu'à la destruction complète de la cellule familiale (= notre génération).
3) La troisième vivra l'effondrement de la civilisation par la conquête d'une autre qui aura une énergie et une agressivité plus grande en raison de sa chasteté (= Grand Remplacement ? Islam ? Je vous laisse seul juge) (= La génération de nos petits frères/sœurs avec nous compris dedans).
Si on admet que mai 68 est le début de la fin des restrictions... La seconde génération a commencé en 1998 et la troisième génération commencera... en 2028.
L'homme a inventé le mariage pour réduire la concurrence sexuelle entre eux et bâtir les civilisations : c'est cela le progrès. La libération sexuelle et le choix déraisonné des femmes animées par leur instinct hypergamique animal nous entraîne irrémédiablement vers une société de plus en plus violente avec des hommes de moins en moins travailleurs, de moins en moins enclin à participer au maintien de la société et de plus en plus sauvages (cf l'augmentation des viols et agressions sexuelles, le fameux "ensauvagement de la société").
Quel homme serait assez stupide pour travailler toute sa vie sans avoir accès à une partenaire qui puisse lui garantir une descendance, de l'affection et de la camaraderie ainsi que des relations sexuelles ?
Le mariage c'est le progrès de la race humaine.
Le coït libre est le retour en arrière.
À l'heure actuelle, avec les règles religieuses et patriarcales ayant sauté, nous sombrons tout doucement vers le retour de l'état primitif, de la pulsion animale, de la loi de la jungle.

Selon ses dires, les hommes construisent la civilisation pour attirer les femmes et sécuriser à long terme leur territoire. Les hommes veulent être un patriarche sur leurs propres terres et dans leur foyer. S'ils ne peuvent pas obtenir ceci, ils bruleront la société.

Demander aux hommes qui sont les perdants du marché des rencontres de continuer à jouer le jeu, ça revient à demander à des types de continuer à faire les taches ingrates du maintien de la civilisation bénévolement. Ils doivent garder le sourire et continuer à servir la communauté en acceptant de ne jamais susciter un désir authentique chez une femme qui le soutiendrait dans la vie, mais surtout en ayant la garantie qu'ils n'auront PAS de descendance. Impossible donc que cela tienne sur le long terme.

Unwin prédisait qu'une civilisation qui supprime les restrictions sexuelles:
- ne PEUT PAS revenir en arrière. Une fois que le contrôle sur la chasteté est enlevé, c'est terminé.
- s'effondre en trois générations. Pour Unwin, une génération n'est pas à prendre au sens littéral du terme. Pour lui, il s'agirait d'une tranche de 33 ans.

1) La première génération profite de la vie et bénéficie de la liberté sexuelle et des progrès de la civilisation (= les Boomers et leurs enfants).
2) La seconde subit les premiers effets négatifs, l'aliénation sociale et la montée des tensions avec le temps jusqu'à la destruction complète de la cellule familiale (= notre génération).
3) La troisième vivra l'effondrement de la civilisation par la conquête d'une autre qui aura une énergie et une agressivité plus grande en raison de sa chasteté (= Grand Remplacement ? Islam ? Je vous laisse seul juge) (= La génération de nos petits frères/sœurs avec nous compris dedans).
Si on admet que mai 68 est le début de la fin des restrictions... La seconde génération a commencé en 1998 et la troisième génération commencera... en 2028.

L'homme a inventé le mariage pour réduire la concurrence sexuelle entre eux et bâtir les civilisations : c'est cela le progrès. La libération sexuelle et le choix déraisonné des femmes animées par leur instinct hypergamique animal nous entraîne irrémédiablement vers une société de plus en plus violente avec des hommes de moins en moins travailleurs, de moins en moins enclin à participer au maintien de la société et de plus en plus sauvages (cf l'augmentation des viols et agressions sexuelles, le fameux "ensauvagement de la société").

Quel homme serait assez stupide pour travailler toute sa vie sans avoir accès à une partenaire qui puisse lui garantir une descendance, de l'affection et de la camaraderie ainsi que des relations sexuelles ?
Le mariage c'est le progrès de la race humaine.
Le coït libre est le retour en arrière.

À l'heure actuelle, avec les règles religieuses et patriarcales ayant sauté, nous sombrons tout doucement vers le retour de l'état primitif, de la pulsion animale, de la loi de la jungle.

Mais sur un plan plus général mis à part le travail quels seraient les impacts ? Allons-nous droit vers un effondrement ?
La fin des temps approche
il y a 2 ans
IA_Domination
2 ans
Ben il y a deux options : soient elles se disent que tu est tellement peu attirant que tu en es réduit à payer des femmes pour du sexe. Donc tu n'as aucune valeur en tant qu'homme.
OU, tu as justement de la valeur mais tu refuse de perdre ton temps et ton énergie avec des femmes de leurs acabit et tu préfère direct payer pour ce qui t'intéresse, donc elles ragent qu'un homme aussi stylé ne s'intéresse pas à elle.
Il faut aussi savoir que les femmes n'aiment pas les putes car ces dernières donnent leurs chattes contre de l'argent directement, sans blabla, alors que les femmes normales manipulent indirectement les hommes en leur faisant faire des trucs, donner de l'attention, ou de l'argent via des cadeaux pour leur donner l'accès au Saint Graal (leur chatte)
OU, tu as justement de la valeur mais tu refuse de perdre ton temps et ton énergie avec des femmes de leurs acabit et tu préfère direct payer pour ce qui t'intéresse, donc elles ragent qu'un homme aussi stylé ne s'intéresse pas à elle.
Il faut aussi savoir que les femmes n'aiment pas les putes car ces dernières donnent leurs chattes contre de l'argent directement, sans blabla, alors que les femmes normales manipulent indirectement les hommes en leur faisant faire des trucs, donner de l'attention, ou de l'argent via des cadeaux pour leur donner l'accès au Saint Graal (leur chatte)
il y a 2 ans
Prophete_blanc
2 ans
Mon record 8 heures de branlette je lui ai dit.
J'étais tellement dans le mal après ça que j'ai eu des idée sombre.
J'étais tellement dans le mal après ça que j'ai eu des idée sombre.
ahi les psys femmes doivent prendre les hommes pour des tarés
à juste titre
à juste titre
il y a 2 ans
Cingle
2 ans
Moi lors de mon RDV diagnostique pour l'autisme devant une psychiatre, psychologue, psychomotricienne quand on me demande si je suis en couple: "Je fréquente souvent des prostituées, j'ai mis tel montant d'argent dedans etc"
Vous auriez vu le silence de mort dans la pièce d'un coup
POURQUOI les femmes supportent pas quand un homme va voir des prostituées ?
Avant que je balance ça elles rigolaient à mes vannes l'athmosphère était détendu, chaud
Alors que dans plusieurs pays d'EUROPE c'est légal et on fait pas chier avec ça, si on était un pays full religieux je comprendrais leurs réaction...
Vous auriez vu le silence de mort dans la pièce d'un coup

POURQUOI les femmes supportent pas quand un homme va voir des prostituées ?

Avant que je balance ça elles rigolaient à mes vannes l'athmosphère était détendu, chaud

Alors que dans plusieurs pays d'EUROPE c'est légal et on fait pas chier avec ça, si on était un pays full religieux je comprendrais leurs réaction...

Des fois il y a de super topic et putin je clic pas dessus
il y a 2 ans
Drakh-Arys
2 ans
La prostitution ne fait pas parti de notre education, voila pourquoi elle sont choquées
Si elle en fait partie.
C'est une prostitution déguisée
C'est une prostitution déguisée
il y a 2 ans
L'étude d'Unwin sur 80 cultures indigènes et 6 civilisations l'a amené à conclure que le facteur opérant derrière la décadence culturelle d'une société est largement dû au relâchement des conventions sexuelles et à la diminution des relations monogames. Il prétend que, grâce à des conventions sexuelles plus strictes telles que l'abstinence, les nations canalisent leur énergie sexuelle dans une expansion agressive, en conquérant des pays "moins énergiques", ainsi que dans l'art, la science, la réforme et d'autres indicateurs de réussite culturelle élevée. 
Par sociétés "civilisées", il se réfère uniquement aux seize peuples historiques suivants : Sumériens, Babyloniens, Égyptiens, Assyriens, Hellènes, Perses, Hindous, Chinois, Japonais, Sassanides, Arabes (Maures), Romains, Teutons et Anglo-Saxons.
Unwin classe les civilisations en quatre catégories afin d'évaluer leur niveau de développement les unes par rapport aux autres. Ces catégories sont, du plus bas niveau de restriction sexuelle au plus élevé, "zoïste", "maniste", "déiste" et "rationaliste". Unwin fonde ses catégories sur certains phénomènes sociaux qu'il a observés dans son étude des 86 cultures mondiales, phénomènes qui, selon lui, coïncident avec des niveaux variables de chasteté prénuptiale :
1) Zoistique : ce sont les sociétés qui ne pratiquent aucune forme de chasteté prénuptiale ;
2) Manistique : ce sont les sociétés qui ne pratiquent pas la chasteté prénuptiale ou qui pratiquent une chasteté limitée et qui rendent hommage aux morts ;
3) Déiste : ce sont les sociétés dans lesquelles la chasteté prénuptiale était pratiquée et qui construisaient des temples et avaient des prêtres ;
4) Rationaliste : c'est lorsqu'une société a été dans la condition déiste pendant assez longtemps pour apprécier "une nouvelle conception du pouvoir dans l'univers, basée sur l'encore inconnu" qui est le résultat d'un élargissement de la compréhension du naturel. Selon Unwin, parmi les cultures étudiées, seules trois peuvent être considérées comme ayant atteint l'état culturel rationaliste avant d'entrer dans un déclin culturel : les Athéniens, les Romains et les Anglais.
Le livre se termine par l'affirmation que, pour maintenir une société rationaliste, la pulsion sexuelle doit être contrôlée et orientée vers un travail plus productif. Unwin note que les femmes devraient jouir des mêmes droits légaux que les hommes et que la condition d'un haut niveau de réussite culturelle réside dans la restriction des possibilités sexuelles prénuptiales plutôt que dans un état de patriarcat, bien que les deux aient historiquement coïncidé.
Il affirme en outre que l'effet des contraintes sexuelles, qu'elles soient prénuptiales ou post-nuptiales, a toujours conduit à un épanouissement accru d'une culture. Inversement, une liberté sexuelle accrue a toujours conduit à l'effondrement d'une culture trois générations plus tard. Le plus grand épanouissement d'une culture a été obtenu par la combinaison la plus puissante, à savoir la chasteté prénuptiale associée à la "monogamie absolue". Les cultures rationalistes qui ont conservé cette combinaison pendant au moins trois générations ont dépassé toutes les autres cultures dans tous les domaines, y compris la littérature, l'art, la science, le mobilier, l'architecture, l'ingénierie et l'agriculture. Seules trois des quatre-vingt-six cultures étudiées ont atteint ce niveau.
Une étude des données disponibles pourrait laisser penser que les questions de la sujétion féminine et du pouvoir parental sont indissolublement liées à celle de la continence féminine ; mais en réalité, leur alliance dans le passé est due au fait que, par hasard, les possibilités sexuelles n'ont jamais été réduites au minimum, sauf en privant les femmes et les enfants de leur statut légal. Il est historiquement vrai de dire que, dans le passé, l'énergie sociale a été achetée au prix de la liberté individuelle des femmes, car elle ne s'est jamais manifestée sans que la femelle de l'espèce ait sacrifié ses droits en tant qu'individu et sans que les enfants aient été traités comme de simples appendices de la succession du parent mâle ; mais il serait téméraire de conclure que l'opportunité sexuelle ne peut être réduite au minimum dans d'autres conditions.
J'attire votre attention sur la dernier paragraphe. Pour ceux qui n'ont pas compris, cela signifie que l'épanouissement civilisationnel ne peut être permis que lorsque l'un des deux sexes est bridé. Par le passé, l'on a bridé la sexualité féminine et épanouit sexuellement les hommes pour qu'ils accomplissent des prouesses de civilisation. Aujourd’hui, c'est l'inverse : on bride les hommes et épanouit sexuellement les femmes ; et regardez le résultat.

Par sociétés "civilisées", il se réfère uniquement aux seize peuples historiques suivants : Sumériens, Babyloniens, Égyptiens, Assyriens, Hellènes, Perses, Hindous, Chinois, Japonais, Sassanides, Arabes (Maures), Romains, Teutons et Anglo-Saxons.

Unwin classe les civilisations en quatre catégories afin d'évaluer leur niveau de développement les unes par rapport aux autres. Ces catégories sont, du plus bas niveau de restriction sexuelle au plus élevé, "zoïste", "maniste", "déiste" et "rationaliste". Unwin fonde ses catégories sur certains phénomènes sociaux qu'il a observés dans son étude des 86 cultures mondiales, phénomènes qui, selon lui, coïncident avec des niveaux variables de chasteté prénuptiale :
1) Zoistique : ce sont les sociétés qui ne pratiquent aucune forme de chasteté prénuptiale ;
2) Manistique : ce sont les sociétés qui ne pratiquent pas la chasteté prénuptiale ou qui pratiquent une chasteté limitée et qui rendent hommage aux morts ;
3) Déiste : ce sont les sociétés dans lesquelles la chasteté prénuptiale était pratiquée et qui construisaient des temples et avaient des prêtres ;
4) Rationaliste : c'est lorsqu'une société a été dans la condition déiste pendant assez longtemps pour apprécier "une nouvelle conception du pouvoir dans l'univers, basée sur l'encore inconnu" qui est le résultat d'un élargissement de la compréhension du naturel. Selon Unwin, parmi les cultures étudiées, seules trois peuvent être considérées comme ayant atteint l'état culturel rationaliste avant d'entrer dans un déclin culturel : les Athéniens, les Romains et les Anglais.

Le livre se termine par l'affirmation que, pour maintenir une société rationaliste, la pulsion sexuelle doit être contrôlée et orientée vers un travail plus productif. Unwin note que les femmes devraient jouir des mêmes droits légaux que les hommes et que la condition d'un haut niveau de réussite culturelle réside dans la restriction des possibilités sexuelles prénuptiales plutôt que dans un état de patriarcat, bien que les deux aient historiquement coïncidé.

Il affirme en outre que l'effet des contraintes sexuelles, qu'elles soient prénuptiales ou post-nuptiales, a toujours conduit à un épanouissement accru d'une culture. Inversement, une liberté sexuelle accrue a toujours conduit à l'effondrement d'une culture trois générations plus tard. Le plus grand épanouissement d'une culture a été obtenu par la combinaison la plus puissante, à savoir la chasteté prénuptiale associée à la "monogamie absolue". Les cultures rationalistes qui ont conservé cette combinaison pendant au moins trois générations ont dépassé toutes les autres cultures dans tous les domaines, y compris la littérature, l'art, la science, le mobilier, l'architecture, l'ingénierie et l'agriculture. Seules trois des quatre-vingt-six cultures étudiées ont atteint ce niveau.

Une étude des données disponibles pourrait laisser penser que les questions de la sujétion féminine et du pouvoir parental sont indissolublement liées à celle de la continence féminine ; mais en réalité, leur alliance dans le passé est due au fait que, par hasard, les possibilités sexuelles n'ont jamais été réduites au minimum, sauf en privant les femmes et les enfants de leur statut légal. Il est historiquement vrai de dire que, dans le passé, l'énergie sociale a été achetée au prix de la liberté individuelle des femmes, car elle ne s'est jamais manifestée sans que la femelle de l'espèce ait sacrifié ses droits en tant qu'individu et sans que les enfants aient été traités comme de simples appendices de la succession du parent mâle ; mais il serait téméraire de conclure que l'opportunité sexuelle ne peut être réduite au minimum dans d'autres conditions.

J'attire votre attention sur la dernier paragraphe. Pour ceux qui n'ont pas compris, cela signifie que l'épanouissement civilisationnel ne peut être permis que lorsque l'un des deux sexes est bridé. Par le passé, l'on a bridé la sexualité féminine et épanouit sexuellement les hommes pour qu'ils accomplissent des prouesses de civilisation. Aujourd’hui, c'est l'inverse : on bride les hommes et épanouit sexuellement les femmes ; et regardez le résultat.
il y a 2 ans
Mais sur un plan plus général mis à part le travail quels seraient les impacts ? Allons-nous droit vers un effondrement ?
il y a 2 ans
Unwin observe une sorte de cycle en étudiant l'évolution des lois à différentes époques. Lorsqu'une société applique des restrictions sexuelles fortes, cela va mener à une période d'expansion ou de grands développements... Mais la société finit par libéraliser ses lois et une période de décadence et/ou la conquête par une société plus dynamique s'effectue.
De plus, il remarque que l'application des restrictions sexuelles se fait toujours au détriment des droits des femmes, qui vont jusqu'à avoir un statut de possession du mari pour des sociétés monogames strictes et très patriarcales. Ce genre de restriction très dures ne peuvent tenir sur le long terme et les sociétés se libéralisent forcément, donnant plus de droit aux femmes.
Il observe cela d'abord avec les Sumériens, qui vont construire leur civilisation avec des restrictions sexuelles fortes et un patriarcat énervé ; ils vont effectuer une grande phase d'expansion en Mésopotamie, puis une stagnation lorsqu'ils vont se libéraliser avant d'être conquis par les Babyloniens qui auront à ce moment des restrictions plus fortes, avant d'eux mêmes se libéraliser jusqu'à devenir synonyme de décadence pour les grecs puis de disparaître petit à petit.
Même constat chez les Romains, où tout d'abord les patriciens, l'élite, appliquera des restrictions sexuelles fortes, plus tard copiées par la plèbe ; le dynamisme générale de la société va entraîner les grandes conquêtes républicaines et la domination de Rome sur la Méditerranée. Quand l'Empire va se libéraliser petit à petit, les familles nobles de Rome ne produiront plus de grands hommes, et c'est des colonies romaines encore fidèles aux traditions que viendront beaucoup de grands empereurs. On observera un sursaut avec le christianisme quand Constantin 1er reprend le contrôle sur tout l'Empire, mais ce ne sera pas assez pour empêcher la chute.
L'age d'or du fameux Al-Andalus se fait lorsque les musulmans se marient aux chrétiennes très monogames de ces régions. Unwin note qu'une civilisation polygame avec restriction nuptiale reste bloqué au niveau Deistic sauf si ses élites appliquent une stricte monogamie. C'est ce qui passe selon lui à cette époque. Sinon une société polygame stricte permet le maintien des traditions mais amène à une stagnation, seule la monogamie stricte permet un grand développement pour une société, car elle permet à un maximum d'hommes d'avoir accès à la descendance, et donc de s'impliquer activement pour le maintien de sa société, car une société en crise serait une menace directe pour la sécurité de sa progéniture.
En Angleterre, les Saxons, d'abord très strictes lorsqu'il faut repousser les invasions vikings, vont finir par libéraliser énormément leurs lois, donnant beaucoup de droits aux femmes atteignant presque une société égalitaire vers l'an 1000. Ils seront alors conquis et dominés par les très catholiques Normands à partir de 1066 et leur noblesse sera grand remplacée.
Les révolutions protestantes, qu'on pourrait qualifier d'extrémisme chrétien, vont produire des populations avec en moyenne plus de restrictions sexuelles que les autres, cela va donner l'Empire Anglais, puis dans la continuité les États-Unis qui seront bâtis sur les fameux WASP (White Anglo-Saxon Protestant) avec leur fameux puritanisme. Globalement les pays protestants réussiront mieux que leurs voisins catholiques. C'est aussi d'eux que vient le stéréotype du mâle blanc patriarcal honnis par tous les SJW.
Pas besoin de vous expliquer que toutes ces restrictions ont toujours une fin néanmoins je suppose que vous l'avez remarqué.
Tout ça forme une grille de lecture de l'Histoire à travers l’application des restrictions sexuelles au sein des peuples, évidemment elle n'est pas parfaite et est partielle, mais je la trouve intéressante. Il n'est pas nécessaire que la société entière souffre de la même restriction. Tant que l'opportunité sexuelle d'une couche sociale est maintenue au minimum, la société déploiera une énergie productive. Si l'élite est moins restrictive que le peuple, celui-ci rentrera en collision avec elle pour le pouvoir via sa propre énergie productive. Pour un exemple qui n'est pas présent dans le livre, je pense que le fait que la noblesse du XVIIIe était grandement décadente par rapport au peuple est un grand facteur dans la Révolution de 1789. Pour éviter ce genre de problème, il faudrait que le peuple soit aussi décadent que les élites mais je m'égare.
Conclusion :
Personnellement la lecture de « Sex & Culture » a été un choc, toutes les religions et cultures mettent en avant une sorte de restriction sexuelle, mais au delà de la foi religieuse et de la volonté d'assurer la filiation pourquoi donc ? Et bien c'est simple, se laisser aller ferait de nous des larves au niveau civilisationnel et des futures victimes des sociétés qui maintiennent plus de restrictions sexuelles et vont donc produire plus d'énergie. Les sociétés se font donc naturellement sélectionner sur leur absence de restrictions sexuelles.
Je pense que tout ça est finalement assez logique : les hommes sont les moteurs de la société, tout ce qui a été inventé, exploré, conquit, découvert est le fait des hommes ; et pouvoir fonder une famille va permettre de rattacher l'homme à sa société, le faire la défendre et produire pour elle. S'il a accès à plusieurs femmes, il ne pourra pas utiliser son temps raisonnablement ; mais à l'inverse s'il n'en a aucune, il ne sentira aucune attache pour la société, voir cherchera à la détruire. Finalement la monogamie stricte permet d'utiliser à fond le potentiel d'une population donnée. Si je devais le dire crument, une fois qu'un homme a une femme et qu'il ne peut pas en avoir une autre, il ne lui reste qu'à conquérir le monde.
Unwin a remarqué néanmoins que cela se faisait toujours au détriment des droits des femmes, et que naturellement une société allait se libéraliser et qu'il était très dur de revenir en arrière une fois cette libéralisation enclenchée.
Contrairement à ce que ce pavé peut vous faire penser, Unwin était un féministe en faveur de l'égalité homme-femme. Il a théorisé que la société la plus puissante et qui démontrerait le plus d'énergie serait celle qui arriverait à maintenir une monogamie stricte tout en maintenant une égalité homme-femme, permettant selon lui de faire durer bien plus longtemps cette période d'expansion pour une société. En tout cas ce qui est sur après avoir lu Unwin, c'est que n'avoir aucune règle sur l'opportunité sexuelle dans une société n'amène jamais une phase de prospérité. Et cela me fait évidemment me poser des questions par rapport à notre société actuelle ultra libre sexuellement.

De plus, il remarque que l'application des restrictions sexuelles se fait toujours au détriment des droits des femmes, qui vont jusqu'à avoir un statut de possession du mari pour des sociétés monogames strictes et très patriarcales. Ce genre de restriction très dures ne peuvent tenir sur le long terme et les sociétés se libéralisent forcément, donnant plus de droit aux femmes.
Il observe cela d'abord avec les Sumériens, qui vont construire leur civilisation avec des restrictions sexuelles fortes et un patriarcat énervé ; ils vont effectuer une grande phase d'expansion en Mésopotamie, puis une stagnation lorsqu'ils vont se libéraliser avant d'être conquis par les Babyloniens qui auront à ce moment des restrictions plus fortes, avant d'eux mêmes se libéraliser jusqu'à devenir synonyme de décadence pour les grecs puis de disparaître petit à petit.

Même constat chez les Romains, où tout d'abord les patriciens, l'élite, appliquera des restrictions sexuelles fortes, plus tard copiées par la plèbe ; le dynamisme générale de la société va entraîner les grandes conquêtes républicaines et la domination de Rome sur la Méditerranée. Quand l'Empire va se libéraliser petit à petit, les familles nobles de Rome ne produiront plus de grands hommes, et c'est des colonies romaines encore fidèles aux traditions que viendront beaucoup de grands empereurs. On observera un sursaut avec le christianisme quand Constantin 1er reprend le contrôle sur tout l'Empire, mais ce ne sera pas assez pour empêcher la chute.

L'age d'or du fameux Al-Andalus se fait lorsque les musulmans se marient aux chrétiennes très monogames de ces régions. Unwin note qu'une civilisation polygame avec restriction nuptiale reste bloqué au niveau Deistic sauf si ses élites appliquent une stricte monogamie. C'est ce qui passe selon lui à cette époque. Sinon une société polygame stricte permet le maintien des traditions mais amène à une stagnation, seule la monogamie stricte permet un grand développement pour une société, car elle permet à un maximum d'hommes d'avoir accès à la descendance, et donc de s'impliquer activement pour le maintien de sa société, car une société en crise serait une menace directe pour la sécurité de sa progéniture.

En Angleterre, les Saxons, d'abord très strictes lorsqu'il faut repousser les invasions vikings, vont finir par libéraliser énormément leurs lois, donnant beaucoup de droits aux femmes atteignant presque une société égalitaire vers l'an 1000. Ils seront alors conquis et dominés par les très catholiques Normands à partir de 1066 et leur noblesse sera grand remplacée.

Les révolutions protestantes, qu'on pourrait qualifier d'extrémisme chrétien, vont produire des populations avec en moyenne plus de restrictions sexuelles que les autres, cela va donner l'Empire Anglais, puis dans la continuité les États-Unis qui seront bâtis sur les fameux WASP (White Anglo-Saxon Protestant) avec leur fameux puritanisme. Globalement les pays protestants réussiront mieux que leurs voisins catholiques. C'est aussi d'eux que vient le stéréotype du mâle blanc patriarcal honnis par tous les SJW.

Pas besoin de vous expliquer que toutes ces restrictions ont toujours une fin néanmoins je suppose que vous l'avez remarqué.

Tout ça forme une grille de lecture de l'Histoire à travers l’application des restrictions sexuelles au sein des peuples, évidemment elle n'est pas parfaite et est partielle, mais je la trouve intéressante. Il n'est pas nécessaire que la société entière souffre de la même restriction. Tant que l'opportunité sexuelle d'une couche sociale est maintenue au minimum, la société déploiera une énergie productive. Si l'élite est moins restrictive que le peuple, celui-ci rentrera en collision avec elle pour le pouvoir via sa propre énergie productive. Pour un exemple qui n'est pas présent dans le livre, je pense que le fait que la noblesse du XVIIIe était grandement décadente par rapport au peuple est un grand facteur dans la Révolution de 1789. Pour éviter ce genre de problème, il faudrait que le peuple soit aussi décadent que les élites mais je m'égare.

Conclusion :
Personnellement la lecture de « Sex & Culture » a été un choc, toutes les religions et cultures mettent en avant une sorte de restriction sexuelle, mais au delà de la foi religieuse et de la volonté d'assurer la filiation pourquoi donc ? Et bien c'est simple, se laisser aller ferait de nous des larves au niveau civilisationnel et des futures victimes des sociétés qui maintiennent plus de restrictions sexuelles et vont donc produire plus d'énergie. Les sociétés se font donc naturellement sélectionner sur leur absence de restrictions sexuelles.
Je pense que tout ça est finalement assez logique : les hommes sont les moteurs de la société, tout ce qui a été inventé, exploré, conquit, découvert est le fait des hommes ; et pouvoir fonder une famille va permettre de rattacher l'homme à sa société, le faire la défendre et produire pour elle. S'il a accès à plusieurs femmes, il ne pourra pas utiliser son temps raisonnablement ; mais à l'inverse s'il n'en a aucune, il ne sentira aucune attache pour la société, voir cherchera à la détruire. Finalement la monogamie stricte permet d'utiliser à fond le potentiel d'une population donnée. Si je devais le dire crument, une fois qu'un homme a une femme et qu'il ne peut pas en avoir une autre, il ne lui reste qu'à conquérir le monde.

Unwin a remarqué néanmoins que cela se faisait toujours au détriment des droits des femmes, et que naturellement une société allait se libéraliser et qu'il était très dur de revenir en arrière une fois cette libéralisation enclenchée.
Contrairement à ce que ce pavé peut vous faire penser, Unwin était un féministe en faveur de l'égalité homme-femme. Il a théorisé que la société la plus puissante et qui démontrerait le plus d'énergie serait celle qui arriverait à maintenir une monogamie stricte tout en maintenant une égalité homme-femme, permettant selon lui de faire durer bien plus longtemps cette période d'expansion pour une société. En tout cas ce qui est sur après avoir lu Unwin, c'est que n'avoir aucune règle sur l'opportunité sexuelle dans une société n'amène jamais une phase de prospérité. Et cela me fait évidemment me poser des questions par rapport à notre société actuelle ultra libre sexuellement.

il y a 2 ans
D'accord et d'après Unwin on ne peut plus faire marche arrière, faut-il s'expat ?
La fin des temps approche
il y a 2 ans
tu te demandes sérieusement pourquoi il préfère baiser des humaines que des chattes en silicone ?
c'est donc ça ton empathie ? elle va juste dans un sens ?
il t'es impossible de ressentir la souffrance d'un homme qui ne connaît pas, ne fait pas l'amour ?
c'est pas très valeureux mais je comprends à 100% ceux qui ont franchit le pas
c'est peut-être préférable aux déviances pornographiques
et moins grave que les agressions sexuelles
si je n'étais pas aussi coincé je le ferai aussi certainement vu ma pucellerie tardive
apparemment on a le même âge, mais toi tu n'es certainement pas vierge
c'est donc ça ton empathie ? elle va juste dans un sens ?
il t'es impossible de ressentir la souffrance d'un homme qui ne connaît pas, ne fait pas l'amour ?
c'est pas très valeureux mais je comprends à 100% ceux qui ont franchit le pas
c'est peut-être préférable aux déviances pornographiques
et moins grave que les agressions sexuelles
si je n'étais pas aussi coincé je le ferai aussi certainement vu ma pucellerie tardive
apparemment on a le même âge, mais toi tu n'es certainement pas vierge
il y a 2 ans
Le_Batiment_S
2 ans
Unwin observe une sorte de cycle en étudiant l'évolution des lois à différentes époques. Lorsqu'une société applique des restrictions sexuelles fortes, cela va mener à une période d'expansion ou de grands développements... Mais la société finit par libéraliser ses lois et une période de décadence et/ou la conquête par une société plus dynamique s'effectue.
De plus, il remarque que l'application des restrictions sexuelles se fait toujours au détriment des droits des femmes, qui vont jusqu'à avoir un statut de possession du mari pour des sociétés monogames strictes et très patriarcales. Ce genre de restriction très dures ne peuvent tenir sur le long terme et les sociétés se libéralisent forcément, donnant plus de droit aux femmes.
Il observe cela d'abord avec les Sumériens, qui vont construire leur civilisation avec des restrictions sexuelles fortes et un patriarcat énervé ; ils vont effectuer une grande phase d'expansion en Mésopotamie, puis une stagnation lorsqu'ils vont se libéraliser avant d'être conquis par les Babyloniens qui auront à ce moment des restrictions plus fortes, avant d'eux mêmes se libéraliser jusqu'à devenir synonyme de décadence pour les grecs puis de disparaître petit à petit.
Même constat chez les Romains, où tout d'abord les patriciens, l'élite, appliquera des restrictions sexuelles fortes, plus tard copiées par la plèbe ; le dynamisme générale de la société va entraîner les grandes conquêtes républicaines et la domination de Rome sur la Méditerranée. Quand l'Empire va se libéraliser petit à petit, les familles nobles de Rome ne produiront plus de grands hommes, et c'est des colonies romaines encore fidèles aux traditions que viendront beaucoup de grands empereurs. On observera un sursaut avec le christianisme quand Constantin 1er reprend le contrôle sur tout l'Empire, mais ce ne sera pas assez pour empêcher la chute.
L'age d'or du fameux Al-Andalus se fait lorsque les musulmans se marient aux chrétiennes très monogames de ces régions. Unwin note qu'une civilisation polygame avec restriction nuptiale reste bloqué au niveau Deistic sauf si ses élites appliquent une stricte monogamie. C'est ce qui passe selon lui à cette époque. Sinon une société polygame stricte permet le maintien des traditions mais amène à une stagnation, seule la monogamie stricte permet un grand développement pour une société, car elle permet à un maximum d'hommes d'avoir accès à la descendance, et donc de s'impliquer activement pour le maintien de sa société, car une société en crise serait une menace directe pour la sécurité de sa progéniture.
En Angleterre, les Saxons, d'abord très strictes lorsqu'il faut repousser les invasions vikings, vont finir par libéraliser énormément leurs lois, donnant beaucoup de droits aux femmes atteignant presque une société égalitaire vers l'an 1000. Ils seront alors conquis et dominés par les très catholiques Normands à partir de 1066 et leur noblesse sera grand remplacée.
Les révolutions protestantes, qu'on pourrait qualifier d'extrémisme chrétien, vont produire des populations avec en moyenne plus de restrictions sexuelles que les autres, cela va donner l'Empire Anglais, puis dans la continuité les États-Unis qui seront bâtis sur les fameux WASP (White Anglo-Saxon Protestant) avec leur fameux puritanisme. Globalement les pays protestants réussiront mieux que leurs voisins catholiques. C'est aussi d'eux que vient le stéréotype du mâle blanc patriarcal honnis par tous les SJW.
Pas besoin de vous expliquer que toutes ces restrictions ont toujours une fin néanmoins je suppose que vous l'avez remarqué.
Tout ça forme une grille de lecture de l'Histoire à travers l’application des restrictions sexuelles au sein des peuples, évidemment elle n'est pas parfaite et est partielle, mais je la trouve intéressante. Il n'est pas nécessaire que la société entière souffre de la même restriction. Tant que l'opportunité sexuelle d'une couche sociale est maintenue au minimum, la société déploiera une énergie productive. Si l'élite est moins restrictive que le peuple, celui-ci rentrera en collision avec elle pour le pouvoir via sa propre énergie productive. Pour un exemple qui n'est pas présent dans le livre, je pense que le fait que la noblesse du XVIIIe était grandement décadente par rapport au peuple est un grand facteur dans la Révolution de 1789. Pour éviter ce genre de problème, il faudrait que le peuple soit aussi décadent que les élites mais je m'égare.
Conclusion :
Personnellement la lecture de « Sex & Culture » a été un choc, toutes les religions et cultures mettent en avant une sorte de restriction sexuelle, mais au delà de la foi religieuse et de la volonté d'assurer la filiation pourquoi donc ? Et bien c'est simple, se laisser aller ferait de nous des larves au niveau civilisationnel et des futures victimes des sociétés qui maintiennent plus de restrictions sexuelles et vont donc produire plus d'énergie. Les sociétés se font donc naturellement sélectionner sur leur absence de restrictions sexuelles.
Je pense que tout ça est finalement assez logique : les hommes sont les moteurs de la société, tout ce qui a été inventé, exploré, conquit, découvert est le fait des hommes ; et pouvoir fonder une famille va permettre de rattacher l'homme à sa société, le faire la défendre et produire pour elle. S'il a accès à plusieurs femmes, il ne pourra pas utiliser son temps raisonnablement ; mais à l'inverse s'il n'en a aucune, il ne sentira aucune attache pour la société, voir cherchera à la détruire. Finalement la monogamie stricte permet d'utiliser à fond le potentiel d'une population donnée. Si je devais le dire crument, une fois qu'un homme a une femme et qu'il ne peut pas en avoir une autre, il ne lui reste qu'à conquérir le monde.
Unwin a remarqué néanmoins que cela se faisait toujours au détriment des droits des femmes, et que naturellement une société allait se libéraliser et qu'il était très dur de revenir en arrière une fois cette libéralisation enclenchée.
Contrairement à ce que ce pavé peut vous faire penser, Unwin était un féministe en faveur de l'égalité homme-femme. Il a théorisé que la société la plus puissante et qui démontrerait le plus d'énergie serait celle qui arriverait à maintenir une monogamie stricte tout en maintenant une égalité homme-femme, permettant selon lui de faire durer bien plus longtemps cette période d'expansion pour une société. En tout cas ce qui est sur après avoir lu Unwin, c'est que n'avoir aucune règle sur l'opportunité sexuelle dans une société n'amène jamais une phase de prospérité. Et cela me fait évidemment me poser des questions par rapport à notre société actuelle ultra libre sexuellement.

De plus, il remarque que l'application des restrictions sexuelles se fait toujours au détriment des droits des femmes, qui vont jusqu'à avoir un statut de possession du mari pour des sociétés monogames strictes et très patriarcales. Ce genre de restriction très dures ne peuvent tenir sur le long terme et les sociétés se libéralisent forcément, donnant plus de droit aux femmes.
Il observe cela d'abord avec les Sumériens, qui vont construire leur civilisation avec des restrictions sexuelles fortes et un patriarcat énervé ; ils vont effectuer une grande phase d'expansion en Mésopotamie, puis une stagnation lorsqu'ils vont se libéraliser avant d'être conquis par les Babyloniens qui auront à ce moment des restrictions plus fortes, avant d'eux mêmes se libéraliser jusqu'à devenir synonyme de décadence pour les grecs puis de disparaître petit à petit.

Même constat chez les Romains, où tout d'abord les patriciens, l'élite, appliquera des restrictions sexuelles fortes, plus tard copiées par la plèbe ; le dynamisme générale de la société va entraîner les grandes conquêtes républicaines et la domination de Rome sur la Méditerranée. Quand l'Empire va se libéraliser petit à petit, les familles nobles de Rome ne produiront plus de grands hommes, et c'est des colonies romaines encore fidèles aux traditions que viendront beaucoup de grands empereurs. On observera un sursaut avec le christianisme quand Constantin 1er reprend le contrôle sur tout l'Empire, mais ce ne sera pas assez pour empêcher la chute.

L'age d'or du fameux Al-Andalus se fait lorsque les musulmans se marient aux chrétiennes très monogames de ces régions. Unwin note qu'une civilisation polygame avec restriction nuptiale reste bloqué au niveau Deistic sauf si ses élites appliquent une stricte monogamie. C'est ce qui passe selon lui à cette époque. Sinon une société polygame stricte permet le maintien des traditions mais amène à une stagnation, seule la monogamie stricte permet un grand développement pour une société, car elle permet à un maximum d'hommes d'avoir accès à la descendance, et donc de s'impliquer activement pour le maintien de sa société, car une société en crise serait une menace directe pour la sécurité de sa progéniture.

En Angleterre, les Saxons, d'abord très strictes lorsqu'il faut repousser les invasions vikings, vont finir par libéraliser énormément leurs lois, donnant beaucoup de droits aux femmes atteignant presque une société égalitaire vers l'an 1000. Ils seront alors conquis et dominés par les très catholiques Normands à partir de 1066 et leur noblesse sera grand remplacée.

Les révolutions protestantes, qu'on pourrait qualifier d'extrémisme chrétien, vont produire des populations avec en moyenne plus de restrictions sexuelles que les autres, cela va donner l'Empire Anglais, puis dans la continuité les États-Unis qui seront bâtis sur les fameux WASP (White Anglo-Saxon Protestant) avec leur fameux puritanisme. Globalement les pays protestants réussiront mieux que leurs voisins catholiques. C'est aussi d'eux que vient le stéréotype du mâle blanc patriarcal honnis par tous les SJW.

Pas besoin de vous expliquer que toutes ces restrictions ont toujours une fin néanmoins je suppose que vous l'avez remarqué.

Tout ça forme une grille de lecture de l'Histoire à travers l’application des restrictions sexuelles au sein des peuples, évidemment elle n'est pas parfaite et est partielle, mais je la trouve intéressante. Il n'est pas nécessaire que la société entière souffre de la même restriction. Tant que l'opportunité sexuelle d'une couche sociale est maintenue au minimum, la société déploiera une énergie productive. Si l'élite est moins restrictive que le peuple, celui-ci rentrera en collision avec elle pour le pouvoir via sa propre énergie productive. Pour un exemple qui n'est pas présent dans le livre, je pense que le fait que la noblesse du XVIIIe était grandement décadente par rapport au peuple est un grand facteur dans la Révolution de 1789. Pour éviter ce genre de problème, il faudrait que le peuple soit aussi décadent que les élites mais je m'égare.

Conclusion :
Personnellement la lecture de « Sex & Culture » a été un choc, toutes les religions et cultures mettent en avant une sorte de restriction sexuelle, mais au delà de la foi religieuse et de la volonté d'assurer la filiation pourquoi donc ? Et bien c'est simple, se laisser aller ferait de nous des larves au niveau civilisationnel et des futures victimes des sociétés qui maintiennent plus de restrictions sexuelles et vont donc produire plus d'énergie. Les sociétés se font donc naturellement sélectionner sur leur absence de restrictions sexuelles.
Je pense que tout ça est finalement assez logique : les hommes sont les moteurs de la société, tout ce qui a été inventé, exploré, conquit, découvert est le fait des hommes ; et pouvoir fonder une famille va permettre de rattacher l'homme à sa société, le faire la défendre et produire pour elle. S'il a accès à plusieurs femmes, il ne pourra pas utiliser son temps raisonnablement ; mais à l'inverse s'il n'en a aucune, il ne sentira aucune attache pour la société, voir cherchera à la détruire. Finalement la monogamie stricte permet d'utiliser à fond le potentiel d'une population donnée. Si je devais le dire crument, une fois qu'un homme a une femme et qu'il ne peut pas en avoir une autre, il ne lui reste qu'à conquérir le monde.

Unwin a remarqué néanmoins que cela se faisait toujours au détriment des droits des femmes, et que naturellement une société allait se libéraliser et qu'il était très dur de revenir en arrière une fois cette libéralisation enclenchée.
Contrairement à ce que ce pavé peut vous faire penser, Unwin était un féministe en faveur de l'égalité homme-femme. Il a théorisé que la société la plus puissante et qui démontrerait le plus d'énergie serait celle qui arriverait à maintenir une monogamie stricte tout en maintenant une égalité homme-femme, permettant selon lui de faire durer bien plus longtemps cette période d'expansion pour une société. En tout cas ce qui est sur après avoir lu Unwin, c'est que n'avoir aucune règle sur l'opportunité sexuelle dans une société n'amène jamais une phase de prospérité. Et cela me fait évidemment me poser des questions par rapport à notre société actuelle ultra libre sexuellement.

Merci khey pour ce pavé très enrichissant
La fin des temps approche
il y a 2 ans