Ce sujet a été résolu
Retire les apl, caf, pension alimentaire,.et tu supprimes 80 % des divorces
il y a 11 heures
Albinus
13h
Dans les sociétés primitives, l’accès des hommes à la reproduction suivait presque toujours une loi de concentration : un petit nombre de mâles dominants par la force, le statut ou la richesse accédaient à la majorité des femmes fécondes, tandis que les autres restaient en marge
Les études montrent que la majorité des femelles avaient accès à la reproduction dans les sociétés primitives et uniquement un tout petit groupe d’homme qui avait le statut de mâle reproducteur, schéma qu’on retrouve chez beaucoup de mammifères
La civilisation, en s’organisant autour de la morale, du mariage et de la religion, avait peu à peu brisé cette logique brutale
Elle avait permis à presque tous les hommes de fonder un foyer et d’avoir une descendance, créant ainsi stabilité et continuité sociale
La révolution moderne, en libérant les individus de ces cadres, a involontairement réactivé ce vieux schéma naturel
Résultat : la même loi statistique réapparaît environ 20 % des hommes concentrent la majorité de l’attention féminine, tandis qu’une large part de la population masculine devient invisible
Mais contrairement aux sociétés primitives, où cette sélection assurait la reproduction des plus forts, la société postmoderne ne convertit plus cette hiérarchie en fécondité.
Les plus sollicités multiplient les relations éphémères, les autres renoncent, et la natalité s’effondre
C’est un paradoxe inédit : la loi biologique primitive ressurgit, mais dans un monde où la sexualité ne sert plus à la survie de l’espèce
En croyant s’émanciper de la nature, la civilisation a désactivé ses propres garde-fous culturels, permettant au vieux déterminisme de revenir sous une forme froide et numérique
Ce que la morale et la religion avaient corrigé au profit de la cohésion, la technologie l’a restauré au profit du désordre
Ainsi, notre époque reproduit les lois des tribus animales compétition, inégalités extrêmes d’accès, sélection implicite
mais sans la finalité organique qui les rendait acceptables : la perpétuation de la vie
C’est peut-être là le signe le plus frappant du déséquilibre de la modernité : elle a recréé la nature, mais sans la fécondité de la nature
Les études montrent que la majorité des femelles avaient accès à la reproduction dans les sociétés primitives et uniquement un tout petit groupe d’homme qui avait le statut de mâle reproducteur, schéma qu’on retrouve chez beaucoup de mammifères
La civilisation, en s’organisant autour de la morale, du mariage et de la religion, avait peu à peu brisé cette logique brutale
Elle avait permis à presque tous les hommes de fonder un foyer et d’avoir une descendance, créant ainsi stabilité et continuité sociale
La révolution moderne, en libérant les individus de ces cadres, a involontairement réactivé ce vieux schéma naturel
Résultat : la même loi statistique réapparaît environ 20 % des hommes concentrent la majorité de l’attention féminine, tandis qu’une large part de la population masculine devient invisible
Mais contrairement aux sociétés primitives, où cette sélection assurait la reproduction des plus forts, la société postmoderne ne convertit plus cette hiérarchie en fécondité.
Les plus sollicités multiplient les relations éphémères, les autres renoncent, et la natalité s’effondre
C’est un paradoxe inédit : la loi biologique primitive ressurgit, mais dans un monde où la sexualité ne sert plus à la survie de l’espèce
En croyant s’émanciper de la nature, la civilisation a désactivé ses propres garde-fous culturels, permettant au vieux déterminisme de revenir sous une forme froide et numérique
Ce que la morale et la religion avaient corrigé au profit de la cohésion, la technologie l’a restauré au profit du désordre
Ainsi, notre époque reproduit les lois des tribus animales compétition, inégalités extrêmes d’accès, sélection implicite
mais sans la finalité organique qui les rendait acceptables : la perpétuation de la vie
C’est peut-être là le signe le plus frappant du déséquilibre de la modernité : elle a recréé la nature, mais sans la fécondité de la nature
La monogamie entraîne du dysgenisme car elle permet aux hommes défaillants de transmettre leurs gènes
il y a 11 heures