Ce sujet a été résolu
Dans les sociétés primitives, l’accès des hommes à la reproduction suivait presque toujours une loi de concentration : un petit nombre de mâles dominants par la force, le statut ou la richesse accédaient à la majorité des femmes fécondes, tandis que les autres restaient en marge
Les études montrent que la majorité des femelles avaient accès à la reproduction dans les sociétés primitives et uniquement un tout petit groupe d’homme qui avait le statut de mâle reproducteur, schéma qu’on retrouve chez beaucoup de mammifères
La civilisation, en s’organisant autour de la morale, du mariage et de la religion, avait peu à peu brisé cette logique brutale
Elle avait permis à presque tous les hommes de fonder un foyer et d’avoir une descendance, créant ainsi stabilité et continuité sociale
La révolution moderne, en libérant les individus de ces cadres, a involontairement réactivé ce vieux schéma naturel
Résultat : la même loi statistique réapparaît environ 20 % des hommes concentrent la majorité de l’attention féminine, tandis qu’une large part de la population masculine devient invisible
Mais contrairement aux sociétés primitives, où cette sélection assurait la reproduction des plus forts, la société postmoderne ne convertit plus cette hiérarchie en fécondité.
Les plus sollicités multiplient les relations éphémères, les autres renoncent, et la natalité s’effondre
C’est un paradoxe inédit : la loi biologique primitive ressurgit, mais dans un monde où la sexualité ne sert plus à la survie de l’espèce
En croyant s’émanciper de la nature, la civilisation a désactivé ses propres garde-fous culturels, permettant au vieux déterminisme de revenir sous une forme froide et numérique
Ce que la morale et la religion avaient corrigé au profit de la cohésion, la technologie l’a restauré au profit du désordre
Ainsi, notre époque reproduit les lois des tribus animales compétition, inégalités extrêmes d’accès, sélection implicite
mais sans la finalité organique qui les rendait acceptables : la perpétuation de la vie
C’est peut-être là le signe le plus frappant du déséquilibre de la modernité : elle a recréé la nature, mais sans la fécondité de la nature
Les études montrent que la majorité des femelles avaient accès à la reproduction dans les sociétés primitives et uniquement un tout petit groupe d’homme qui avait le statut de mâle reproducteur, schéma qu’on retrouve chez beaucoup de mammifères
La civilisation, en s’organisant autour de la morale, du mariage et de la religion, avait peu à peu brisé cette logique brutale
Elle avait permis à presque tous les hommes de fonder un foyer et d’avoir une descendance, créant ainsi stabilité et continuité sociale
La révolution moderne, en libérant les individus de ces cadres, a involontairement réactivé ce vieux schéma naturel
Résultat : la même loi statistique réapparaît environ 20 % des hommes concentrent la majorité de l’attention féminine, tandis qu’une large part de la population masculine devient invisible
Mais contrairement aux sociétés primitives, où cette sélection assurait la reproduction des plus forts, la société postmoderne ne convertit plus cette hiérarchie en fécondité.
Les plus sollicités multiplient les relations éphémères, les autres renoncent, et la natalité s’effondre
C’est un paradoxe inédit : la loi biologique primitive ressurgit, mais dans un monde où la sexualité ne sert plus à la survie de l’espèce
En croyant s’émanciper de la nature, la civilisation a désactivé ses propres garde-fous culturels, permettant au vieux déterminisme de revenir sous une forme froide et numérique
Ce que la morale et la religion avaient corrigé au profit de la cohésion, la technologie l’a restauré au profit du désordre
Ainsi, notre époque reproduit les lois des tribus animales compétition, inégalités extrêmes d’accès, sélection implicite
mais sans la finalité organique qui les rendait acceptables : la perpétuation de la vie
C’est peut-être là le signe le plus frappant du déséquilibre de la modernité : elle a recréé la nature, mais sans la fécondité de la nature
il y a 6 heures
Aucune société qui fonctionnait sur ce schéma primitif n’est devenu une grande civilisation alors si en plus ce modèle ne génère pas de natalité, c’est juste l’effondrement civilisationnel
Toutes les grandes civilisation ont en commun d’avoir des systèmes familiaux solides non polygames
Tout ce qui est en dehors de ça est primitif et peu évolué
On peut donc déjà de façon préventif retirer le statut de grande civilisation à l’occident
Toutes les grandes civilisation ont en commun d’avoir des systèmes familiaux solides non polygames
Tout ce qui est en dehors de ça est primitif et peu évolué
On peut donc déjà de façon préventif retirer le statut de grande civilisation à l’occident
il y a 6 heures
Albinus
6h
Dans les sociétés primitives, l’accès des hommes à la reproduction suivait presque toujours une loi de concentration : un petit nombre de mâles dominants par la force, le statut ou la richesse accédaient à la majorité des femmes fécondes, tandis que les autres restaient en marge
Les études montrent que la majorité des femelles avaient accès à la reproduction dans les sociétés primitives et uniquement un tout petit groupe d’homme qui avait le statut de mâle reproducteur, schéma qu’on retrouve chez beaucoup de mammifères
La civilisation, en s’organisant autour de la morale, du mariage et de la religion, avait peu à peu brisé cette logique brutale
Elle avait permis à presque tous les hommes de fonder un foyer et d’avoir une descendance, créant ainsi stabilité et continuité sociale
La révolution moderne, en libérant les individus de ces cadres, a involontairement réactivé ce vieux schéma naturel
Résultat : la même loi statistique réapparaît environ 20 % des hommes concentrent la majorité de l’attention féminine, tandis qu’une large part de la population masculine devient invisible
Mais contrairement aux sociétés primitives, où cette sélection assurait la reproduction des plus forts, la société postmoderne ne convertit plus cette hiérarchie en fécondité.
Les plus sollicités multiplient les relations éphémères, les autres renoncent, et la natalité s’effondre
C’est un paradoxe inédit : la loi biologique primitive ressurgit, mais dans un monde où la sexualité ne sert plus à la survie de l’espèce
En croyant s’émanciper de la nature, la civilisation a désactivé ses propres garde-fous culturels, permettant au vieux déterminisme de revenir sous une forme froide et numérique
Ce que la morale et la religion avaient corrigé au profit de la cohésion, la technologie l’a restauré au profit du désordre
Ainsi, notre époque reproduit les lois des tribus animales compétition, inégalités extrêmes d’accès, sélection implicite
mais sans la finalité organique qui les rendait acceptables : la perpétuation de la vie
C’est peut-être là le signe le plus frappant du déséquilibre de la modernité : elle a recréé la nature, mais sans la fécondité de la nature
Les études montrent que la majorité des femelles avaient accès à la reproduction dans les sociétés primitives et uniquement un tout petit groupe d’homme qui avait le statut de mâle reproducteur, schéma qu’on retrouve chez beaucoup de mammifères
La civilisation, en s’organisant autour de la morale, du mariage et de la religion, avait peu à peu brisé cette logique brutale
Elle avait permis à presque tous les hommes de fonder un foyer et d’avoir une descendance, créant ainsi stabilité et continuité sociale
La révolution moderne, en libérant les individus de ces cadres, a involontairement réactivé ce vieux schéma naturel
Résultat : la même loi statistique réapparaît environ 20 % des hommes concentrent la majorité de l’attention féminine, tandis qu’une large part de la population masculine devient invisible
Mais contrairement aux sociétés primitives, où cette sélection assurait la reproduction des plus forts, la société postmoderne ne convertit plus cette hiérarchie en fécondité.
Les plus sollicités multiplient les relations éphémères, les autres renoncent, et la natalité s’effondre
C’est un paradoxe inédit : la loi biologique primitive ressurgit, mais dans un monde où la sexualité ne sert plus à la survie de l’espèce
En croyant s’émanciper de la nature, la civilisation a désactivé ses propres garde-fous culturels, permettant au vieux déterminisme de revenir sous une forme froide et numérique
Ce que la morale et la religion avaient corrigé au profit de la cohésion, la technologie l’a restauré au profit du désordre
Ainsi, notre époque reproduit les lois des tribus animales compétition, inégalités extrêmes d’accès, sélection implicite
mais sans la finalité organique qui les rendait acceptables : la perpétuation de la vie
C’est peut-être là le signe le plus frappant du déséquilibre de la modernité : elle a recréé la nature, mais sans la fécondité de la nature
retire un bon nombre de privilèges aux femmes + plus de droits aux hommes et tu verras que les femmes hésiteront à 100 fois avant de ce casé avec un homme lambda (5/10) smicard pour corrigé une bonne partie du problème. Sachant qu'elle n'auras plus la même facilité de le dépouillé avec un divorce.
il y a 6 heures
Albinus
6h
Dans les sociétés primitives, l’accès des hommes à la reproduction suivait presque toujours une loi de concentration : un petit nombre de mâles dominants par la force, le statut ou la richesse accédaient à la majorité des femmes fécondes, tandis que les autres restaient en marge
Les études montrent que la majorité des femelles avaient accès à la reproduction dans les sociétés primitives et uniquement un tout petit groupe d’homme qui avait le statut de mâle reproducteur, schéma qu’on retrouve chez beaucoup de mammifères
La civilisation, en s’organisant autour de la morale, du mariage et de la religion, avait peu à peu brisé cette logique brutale
Elle avait permis à presque tous les hommes de fonder un foyer et d’avoir une descendance, créant ainsi stabilité et continuité sociale
La révolution moderne, en libérant les individus de ces cadres, a involontairement réactivé ce vieux schéma naturel
Résultat : la même loi statistique réapparaît environ 20 % des hommes concentrent la majorité de l’attention féminine, tandis qu’une large part de la population masculine devient invisible
Mais contrairement aux sociétés primitives, où cette sélection assurait la reproduction des plus forts, la société postmoderne ne convertit plus cette hiérarchie en fécondité.
Les plus sollicités multiplient les relations éphémères, les autres renoncent, et la natalité s’effondre
C’est un paradoxe inédit : la loi biologique primitive ressurgit, mais dans un monde où la sexualité ne sert plus à la survie de l’espèce
En croyant s’émanciper de la nature, la civilisation a désactivé ses propres garde-fous culturels, permettant au vieux déterminisme de revenir sous une forme froide et numérique
Ce que la morale et la religion avaient corrigé au profit de la cohésion, la technologie l’a restauré au profit du désordre
Ainsi, notre époque reproduit les lois des tribus animales compétition, inégalités extrêmes d’accès, sélection implicite
mais sans la finalité organique qui les rendait acceptables : la perpétuation de la vie
C’est peut-être là le signe le plus frappant du déséquilibre de la modernité : elle a recréé la nature, mais sans la fécondité de la nature
Les études montrent que la majorité des femelles avaient accès à la reproduction dans les sociétés primitives et uniquement un tout petit groupe d’homme qui avait le statut de mâle reproducteur, schéma qu’on retrouve chez beaucoup de mammifères
La civilisation, en s’organisant autour de la morale, du mariage et de la religion, avait peu à peu brisé cette logique brutale
Elle avait permis à presque tous les hommes de fonder un foyer et d’avoir une descendance, créant ainsi stabilité et continuité sociale
La révolution moderne, en libérant les individus de ces cadres, a involontairement réactivé ce vieux schéma naturel
Résultat : la même loi statistique réapparaît environ 20 % des hommes concentrent la majorité de l’attention féminine, tandis qu’une large part de la population masculine devient invisible
Mais contrairement aux sociétés primitives, où cette sélection assurait la reproduction des plus forts, la société postmoderne ne convertit plus cette hiérarchie en fécondité.
Les plus sollicités multiplient les relations éphémères, les autres renoncent, et la natalité s’effondre
C’est un paradoxe inédit : la loi biologique primitive ressurgit, mais dans un monde où la sexualité ne sert plus à la survie de l’espèce
En croyant s’émanciper de la nature, la civilisation a désactivé ses propres garde-fous culturels, permettant au vieux déterminisme de revenir sous une forme froide et numérique
Ce que la morale et la religion avaient corrigé au profit de la cohésion, la technologie l’a restauré au profit du désordre
Ainsi, notre époque reproduit les lois des tribus animales compétition, inégalités extrêmes d’accès, sélection implicite
mais sans la finalité organique qui les rendait acceptables : la perpétuation de la vie
C’est peut-être là le signe le plus frappant du déséquilibre de la modernité : elle a recréé la nature, mais sans la fécondité de la nature
c est un pareto artificiel ajd
il y a 6 heures
retire un bon nombre de privilèges aux femmes + plus de droits aux hommes et tu verras que les femmes hésiteront à 100 fois avant de ce casé avec un homme lambda (5/10) smicard pour corrigé une bonne partie du problème. Sachant qu'elle n'auras plus la même facilité de le dépouillé avec un divorce.
C’est du bricolage
Les unions ne sont pas fragiles simplement à cause de ça
On a tellement dépouiller notre base civilisationnelle qu’on ne comprend même plus la recette qui nous a amené à ce stade de développement
Les unions ne sont pas fragiles simplement à cause de ça
On a tellement dépouiller notre base civilisationnelle qu’on ne comprend même plus la recette qui nous a amené à ce stade de développement
il y a 6 heures
Oui il y a un individualisme exacerbé, un refus du compromis de plus en plus fort chez les individus, qui aggrave les effets de l’émancipation des femmes par le travail
il y a 6 heures
Jurmorok
6h
Oui il y a un individualisme exacerbé, un refus du compromis de plus en plus fort chez les individus, qui aggrave les effets de l’émancipation des femmes par le travail
Vu que l’enfant n’est plus jugé comme obligatoire, les femelles humaines n’ont pas d’intérêt à faire le moindre compromis
Si on suit la véritable logique, celle vers laquelle on a l’air de revenir, elles devraient se faire féconder par le mâle reproducteur du top et élever seule l’enfant
Si on suit la véritable logique, celle vers laquelle on a l’air de revenir, elles devraient se faire féconder par le mâle reproducteur du top et élever seule l’enfant
il y a 6 heures
Vu que l’enfant n’est plus jugé comme obligatoire, les femelles humaines n’ont pas d’intérêt à faire le moindre compromis
Si on suit la véritable logique, celle vers laquelle on a l’air de revenir, elles devraient se faire féconder par le mâle reproducteur du top et élever seule l’enfant
Si on suit la véritable logique, celle vers laquelle on a l’air de revenir, elles devraient se faire féconder par le mâle reproducteur du top et élever seule l’enfant
Oui en vrai ce serait l’idéal, que les alphas les engrossent à tour de bras sans se soucier des enfants pour relancer la natalité et faire rentrer les femmes dans le rang par la force des choses.
il y a 6 heures
Albinus
6h
Dans les sociétés primitives, l’accès des hommes à la reproduction suivait presque toujours une loi de concentration : un petit nombre de mâles dominants par la force, le statut ou la richesse accédaient à la majorité des femmes fécondes, tandis que les autres restaient en marge
Les études montrent que la majorité des femelles avaient accès à la reproduction dans les sociétés primitives et uniquement un tout petit groupe d’homme qui avait le statut de mâle reproducteur, schéma qu’on retrouve chez beaucoup de mammifères
La civilisation, en s’organisant autour de la morale, du mariage et de la religion, avait peu à peu brisé cette logique brutale
Elle avait permis à presque tous les hommes de fonder un foyer et d’avoir une descendance, créant ainsi stabilité et continuité sociale
La révolution moderne, en libérant les individus de ces cadres, a involontairement réactivé ce vieux schéma naturel
Résultat : la même loi statistique réapparaît environ 20 % des hommes concentrent la majorité de l’attention féminine, tandis qu’une large part de la population masculine devient invisible
Mais contrairement aux sociétés primitives, où cette sélection assurait la reproduction des plus forts, la société postmoderne ne convertit plus cette hiérarchie en fécondité.
Les plus sollicités multiplient les relations éphémères, les autres renoncent, et la natalité s’effondre
C’est un paradoxe inédit : la loi biologique primitive ressurgit, mais dans un monde où la sexualité ne sert plus à la survie de l’espèce
En croyant s’émanciper de la nature, la civilisation a désactivé ses propres garde-fous culturels, permettant au vieux déterminisme de revenir sous une forme froide et numérique
Ce que la morale et la religion avaient corrigé au profit de la cohésion, la technologie l’a restauré au profit du désordre
Ainsi, notre époque reproduit les lois des tribus animales compétition, inégalités extrêmes d’accès, sélection implicite
mais sans la finalité organique qui les rendait acceptables : la perpétuation de la vie
C’est peut-être là le signe le plus frappant du déséquilibre de la modernité : elle a recréé la nature, mais sans la fécondité de la nature
Les études montrent que la majorité des femelles avaient accès à la reproduction dans les sociétés primitives et uniquement un tout petit groupe d’homme qui avait le statut de mâle reproducteur, schéma qu’on retrouve chez beaucoup de mammifères
La civilisation, en s’organisant autour de la morale, du mariage et de la religion, avait peu à peu brisé cette logique brutale
Elle avait permis à presque tous les hommes de fonder un foyer et d’avoir une descendance, créant ainsi stabilité et continuité sociale
La révolution moderne, en libérant les individus de ces cadres, a involontairement réactivé ce vieux schéma naturel
Résultat : la même loi statistique réapparaît environ 20 % des hommes concentrent la majorité de l’attention féminine, tandis qu’une large part de la population masculine devient invisible
Mais contrairement aux sociétés primitives, où cette sélection assurait la reproduction des plus forts, la société postmoderne ne convertit plus cette hiérarchie en fécondité.
Les plus sollicités multiplient les relations éphémères, les autres renoncent, et la natalité s’effondre
C’est un paradoxe inédit : la loi biologique primitive ressurgit, mais dans un monde où la sexualité ne sert plus à la survie de l’espèce
En croyant s’émanciper de la nature, la civilisation a désactivé ses propres garde-fous culturels, permettant au vieux déterminisme de revenir sous une forme froide et numérique
Ce que la morale et la religion avaient corrigé au profit de la cohésion, la technologie l’a restauré au profit du désordre
Ainsi, notre époque reproduit les lois des tribus animales compétition, inégalités extrêmes d’accès, sélection implicite
mais sans la finalité organique qui les rendait acceptables : la perpétuation de la vie
C’est peut-être là le signe le plus frappant du déséquilibre de la modernité : elle a recréé la nature, mais sans la fécondité de la nature
Et la source de l’existence de cette « loi » dans les sociétés préhistoriques, elle est en option ?
il y a 6 heures
Et la source de l’existence de cette « loi » dans les sociétés préhistoriques, elle est en option ?
On le sait depuis des décennies
Notamment avec l’étude des lineage Y qui était très faible avec peu de diversité des lignées masculines
https://pmc.ncbi.nlm.nih.[...]8/?utm_source=chatgpt.com
L’étude de la contribution descendantielle femelle vs mâle
https://www.theguardian.c[...]ol?utm_source=chatgpt.com
Beaucoup plus de femmes que d’hommes ont contribué au pool génétique ancestral
Reproductive skew également
Étude de Dubuc et al. (2014)
Modèles démographiques / génétiques : effective population size biaisée
Mais rien de surprenant pour un primate comme l’homme
Notamment avec l’étude des lineage Y qui était très faible avec peu de diversité des lignées masculines
L’étude de la contribution descendantielle femelle vs mâle
Beaucoup plus de femmes que d’hommes ont contribué au pool génétique ancestral
Reproductive skew également
Étude de Dubuc et al. (2014)
Modèles démographiques / génétiques : effective population size biaisée
Mais rien de surprenant pour un primate comme l’homme
il y a 6 heures
Oui en vrai ce serait l’idéal, que les alphas les engrossent à tour de bras sans se soucier des enfants pour relancer la natalité et faire rentrer les femmes dans le rang par la force des choses.
C’est extrêmement probable que ça arrive
Dans la mesure où on a plus de natalité, les États ne pourront plus faire tourner nos sociétés sur la base d’un ponzi démographique
On va retourner à des schémas archaïques mais rien ne dit qu’on aura encore les capacités intellectuelles pour remettre en place les sociétés plus évoluées avec des familles stables
Ça risque de nous prendre des centaines d’années avant de comprendre l’intérêt
Dans la mesure où on a plus de natalité, les États ne pourront plus faire tourner nos sociétés sur la base d’un ponzi démographique
On va retourner à des schémas archaïques mais rien ne dit qu’on aura encore les capacités intellectuelles pour remettre en place les sociétés plus évoluées avec des familles stables
Ça risque de nous prendre des centaines d’années avant de comprendre l’intérêt
il y a 6 heures
C’est extrêmement probable que ça arrive
Dans la mesure où on a plus de natalité, les États ne pourront plus faire tourner nos sociétés sur la base d’un ponzi démographique
On va retourner à des schémas archaïques mais rien ne dit qu’on aura encore les capacités intellectuelles pour remettre en place les sociétés plus évoluées avec des familles stables
Ça risque de nous prendre des centaines d’années avant de comprendre l’intérêt
Dans la mesure où on a plus de natalité, les États ne pourront plus faire tourner nos sociétés sur la base d’un ponzi démographique
On va retourner à des schémas archaïques mais rien ne dit qu’on aura encore les capacités intellectuelles pour remettre en place les sociétés plus évoluées avec des familles stables
Ça risque de nous prendre des centaines d’années avant de comprendre l’intérêt
On n'aura peut-être pas les capacités intellectuelles, mais on n'aura pas non plus les ressources minières pour soutenir une société technologique, sur lesquelles s'exerce une rivalité planétaire féroce.
Ça sera plus "hutte en caca" que "clim et internet".
Même si le ponzi démographique fait son retour, le mur des ressources risque de le renvoyer à la charrue.
Ça sera plus "hutte en caca" que "clim et internet".
Même si le ponzi démographique fait son retour, le mur des ressources risque de le renvoyer à la charrue.
Certifié tous gaz.
il y a 6 heures
On n'aura peut-être pas les capacités intellectuelles, mais on n'aura pas non plus les ressources minières pour soutenir une société technologique, sur lesquelles s'exerce une rivalité planétaire féroce.
Ça sera plus "hutte en caca" que "clim et internet".
Même si le ponzi démographique fait son retour, le mur des ressources risque de le renvoyer à la charrue.
Ça sera plus "hutte en caca" que "clim et internet".
Même si le ponzi démographique fait son retour, le mur des ressources risque de le renvoyer à la charrue.
Oui il est improbable qu’on puisse maintenir une société technologique
Beaucoup pensent au retour d’un nouveau Moyen Âge
Beaucoup pensent au retour d’un nouveau Moyen Âge
il y a 6 heures
On le sait depuis des décennies
Notamment avec l’étude des lineage Y qui était très faible avec peu de diversité des lignées masculines
https://pmc.ncbi.nlm.nih.[...]8/?utm_source=chatgpt.com
L’étude de la contribution descendantielle femelle vs mâle
https://www.theguardian.c[...]ol?utm_source=chatgpt.com
Beaucoup plus de femmes que d’hommes ont contribué au pool génétique ancestral
Reproductive skew également
Étude de Dubuc et al. (2014)
Modèles démographiques / génétiques : effective population size biaisée
Mais rien de surprenant pour un primate comme l’homme
Notamment avec l’étude des lineage Y qui était très faible avec peu de diversité des lignées masculines
L’étude de la contribution descendantielle femelle vs mâle
Beaucoup plus de femmes que d’hommes ont contribué au pool génétique ancestral
Reproductive skew également
Étude de Dubuc et al. (2014)
Modèles démographiques / génétiques : effective population size biaisée
Mais rien de surprenant pour un primate comme l’homme
Justement, tu ne donnes que des études qui ont plus de dix ans. La génétique des population a énormément avancé depuis cette époque. On reconnaît les caractéristiques des études de cette époque : échantillons très faibles (623 personnes pour une étude à l’échelle mondiale, c’est ridiculement bas) et peu ou pas d’ADN ancien. Je dis pas qu’elles ont tort, hein, j’ai un peu la flemme là tout de suite d’étudier en détail la méthodologie et les conclusions, et surtout de chercher les articles réponses, mais disons que c’est à prendre avec du recul.
il y a 5 heures
Justement, tu ne donnes que des études qui ont plus de dix ans. La génétique des population a énormément avancé depuis cette époque. On reconnaît les caractéristiques des études de cette époque : échantillons très faibles (623 personnes pour une étude à l’échelle mondiale, c’est ridiculement bas) et peu ou pas d’ADN ancien. Je dis pas qu’elles ont tort, hein, j’ai un peu la flemme là tout de suite d’étudier en détail la méthodologie et les conclusions, et surtout de chercher les articles réponses, mais disons que c’est à prendre avec du recul.
Il y a des études plus récentes
“Reproductive inequality in humans and other mammals” (2023)
“Evidence for Significant Skew and Low Heritability in Male Mating Success” (2024)
“Natural Selection Reduced Diversity on Human Y Chromosomes”
“Patrilineal segmentary systems provide a peaceful explanation for Y chromosome bottleneck” (2024)
“Cultural hitchhiking and competition between patrilineal kin groups”
Bref effectivement t’as la flemme donc inutile de chercher à contester des choses qui sont établies depuis des décennies et où il y a des consensus
“Reproductive inequality in humans and other mammals” (2023)
“Evidence for Significant Skew and Low Heritability in Male Mating Success” (2024)
“Natural Selection Reduced Diversity on Human Y Chromosomes”
“Patrilineal segmentary systems provide a peaceful explanation for Y chromosome bottleneck” (2024)
“Cultural hitchhiking and competition between patrilineal kin groups”
Bref effectivement t’as la flemme donc inutile de chercher à contester des choses qui sont établies depuis des décennies et où il y a des consensus
il y a 5 heures
Albinus
6h
Dans les sociétés primitives, l’accès des hommes à la reproduction suivait presque toujours une loi de concentration : un petit nombre de mâles dominants par la force, le statut ou la richesse accédaient à la majorité des femmes fécondes, tandis que les autres restaient en marge
Les études montrent que la majorité des femelles avaient accès à la reproduction dans les sociétés primitives et uniquement un tout petit groupe d’homme qui avait le statut de mâle reproducteur, schéma qu’on retrouve chez beaucoup de mammifères
La civilisation, en s’organisant autour de la morale, du mariage et de la religion, avait peu à peu brisé cette logique brutale
Elle avait permis à presque tous les hommes de fonder un foyer et d’avoir une descendance, créant ainsi stabilité et continuité sociale
La révolution moderne, en libérant les individus de ces cadres, a involontairement réactivé ce vieux schéma naturel
Résultat : la même loi statistique réapparaît environ 20 % des hommes concentrent la majorité de l’attention féminine, tandis qu’une large part de la population masculine devient invisible
Mais contrairement aux sociétés primitives, où cette sélection assurait la reproduction des plus forts, la société postmoderne ne convertit plus cette hiérarchie en fécondité.
Les plus sollicités multiplient les relations éphémères, les autres renoncent, et la natalité s’effondre
C’est un paradoxe inédit : la loi biologique primitive ressurgit, mais dans un monde où la sexualité ne sert plus à la survie de l’espèce
En croyant s’émanciper de la nature, la civilisation a désactivé ses propres garde-fous culturels, permettant au vieux déterminisme de revenir sous une forme froide et numérique
Ce que la morale et la religion avaient corrigé au profit de la cohésion, la technologie l’a restauré au profit du désordre
Ainsi, notre époque reproduit les lois des tribus animales compétition, inégalités extrêmes d’accès, sélection implicite
mais sans la finalité organique qui les rendait acceptables : la perpétuation de la vie
C’est peut-être là le signe le plus frappant du déséquilibre de la modernité : elle a recréé la nature, mais sans la fécondité de la nature
Les études montrent que la majorité des femelles avaient accès à la reproduction dans les sociétés primitives et uniquement un tout petit groupe d’homme qui avait le statut de mâle reproducteur, schéma qu’on retrouve chez beaucoup de mammifères
La civilisation, en s’organisant autour de la morale, du mariage et de la religion, avait peu à peu brisé cette logique brutale
Elle avait permis à presque tous les hommes de fonder un foyer et d’avoir une descendance, créant ainsi stabilité et continuité sociale
La révolution moderne, en libérant les individus de ces cadres, a involontairement réactivé ce vieux schéma naturel
Résultat : la même loi statistique réapparaît environ 20 % des hommes concentrent la majorité de l’attention féminine, tandis qu’une large part de la population masculine devient invisible
Mais contrairement aux sociétés primitives, où cette sélection assurait la reproduction des plus forts, la société postmoderne ne convertit plus cette hiérarchie en fécondité.
Les plus sollicités multiplient les relations éphémères, les autres renoncent, et la natalité s’effondre
C’est un paradoxe inédit : la loi biologique primitive ressurgit, mais dans un monde où la sexualité ne sert plus à la survie de l’espèce
En croyant s’émanciper de la nature, la civilisation a désactivé ses propres garde-fous culturels, permettant au vieux déterminisme de revenir sous une forme froide et numérique
Ce que la morale et la religion avaient corrigé au profit de la cohésion, la technologie l’a restauré au profit du désordre
Ainsi, notre époque reproduit les lois des tribus animales compétition, inégalités extrêmes d’accès, sélection implicite
mais sans la finalité organique qui les rendait acceptables : la perpétuation de la vie
C’est peut-être là le signe le plus frappant du déséquilibre de la modernité : elle a recréé la nature, mais sans la fécondité de la nature
Donc ce que tu veux dire, que ce soit aujourd'hui, y a 80 ans ou 2000 ans, les femmes ont toujours été des PUTAINS DE GROSSES PUTES car c'est génétique
il y a 5 heures
retire un bon nombre de privilèges aux femmes + plus de droits aux hommes et tu verras que les femmes hésiteront à 100 fois avant de ce casé avec un homme lambda (5/10) smicard pour corrigé une bonne partie du problème. Sachant qu'elle n'auras plus la même facilité de le dépouillé avec un divorce.
Retire les apl, caf, pension alimentaire,.et tu supprimes 80 % des divorces
il y a 5 heures
Donc ce que tu veux dire, que ce soit aujourd'hui, y a 80 ans ou 2000 ans, les femmes ont toujours été des PUTAINS DE GROSSES PUTES car c'est génétique
Oui sauf quand on les tenait avec un cadre moral et religieux
C’est ce qui a fait éclore notre civilisation
En dehors de ces périodes on fonctionnait comme des êtres primitifs
Un petit groupe d’hommes fécondait les femelles
Les femelles élevaient les enfants en groupe
Personne ne savait qui était le père de l’enfant le plus souvent car pas d’intérêt de déterminer une filiation
C’est ce qui a fait éclore notre civilisation
En dehors de ces périodes on fonctionnait comme des êtres primitifs
Un petit groupe d’hommes fécondait les femelles
Les femelles élevaient les enfants en groupe
Personne ne savait qui était le père de l’enfant le plus souvent car pas d’intérêt de déterminer une filiation
il y a 5 heures
Il y a des études plus récentes
“Reproductive inequality in humans and other mammals” (2023)
“Evidence for Significant Skew and Low Heritability in Male Mating Success” (2024)
“Natural Selection Reduced Diversity on Human Y Chromosomes”
“Patrilineal segmentary systems provide a peaceful explanation for Y chromosome bottleneck” (2024)
“Cultural hitchhiking and competition between patrilineal kin groups”
Bref effectivement t’as la flemme donc inutile de chercher à contester des choses qui sont établies depuis des décennies et où il y a des consensus
“Reproductive inequality in humans and other mammals” (2023)
“Evidence for Significant Skew and Low Heritability in Male Mating Success” (2024)
“Natural Selection Reduced Diversity on Human Y Chromosomes”
“Patrilineal segmentary systems provide a peaceful explanation for Y chromosome bottleneck” (2024)
“Cultural hitchhiking and competition between patrilineal kin groups”
Bref effectivement t’as la flemme donc inutile de chercher à contester des choses qui sont établies depuis des décennies et où il y a des consensus
Eh ben, voilà, quand tu te décides à te sortir les doigts… Je regarderai ça à l’occasion, mais bordel, je devrais pas avoir à insister autant pour avoir des sources dignes de ce nom à une affirmation qui se veut scientifique…
il y a 5 heures