Ce sujet a été résolu
Ces immondes carcasses de fer sont les verrues de nos paysages, les croix grotesques plantées par une humanité arrogante et aveugle
Ils défigurent l’horizon avec la grâce d’un charnier industriel, empestant la domination stérile de l’homme moderne. Ce ne sont pas des structures : ce sont des crachats d’acier, dressés fièrement comme pour narguer le ciel et profaner la terre
Chaque pylône est une insulte verticale, une cicatrice volontaire infligée à la beauté du monde. Leur présence est une agression visuelle permanente, une déclaration de guerre au silence, à la nature, à l’harmonie
Ils s’enracinent dans le sol comme des parasites métalliques, suçant la dignité des paysages pour alimenter notre insatiable boulimie énergétique. Ils ne protègent rien, ils asservissent tout
Ce sont les colonnes de notre laideur collective, les monuments funéraires de notre complicité passive
Qu’ils s’effondrent tous. Qu’ils s’arrachent de la terre comme des dents pourries et qu’ils disparaissent dans le vacarme de leur propre chute
Le monde serait plus beau sans ces squelettes d’acier dressés comme des doigts d’honneur à la nature
il y a 3 mois
Ce ne sont que d’ignobles carcasses métalliques, des verrues d’acier venues profaner l’œuvre sacrée de Mère Nature.
Leur simple présence est une insulte à la beauté originelle du monde.
Leur simple présence est une insulte à la beauté originelle du monde.
Le dragon de @Tocka 
il y a 3 mois
Ce ne sont que d’ignobles carcasses métalliques, des verrues d’acier venues profaner l’œuvre sacrée de Mère Nature.
Leur simple présence est une insulte à la beauté originelle du monde.
Leur simple présence est une insulte à la beauté originelle du monde.
il y a 3 mois
RoiSage
3 mois
Ces immondes carcasses de fer sont les verrues de nos paysages, les croix grotesques plantées par une humanité arrogante et aveugle
Ils défigurent l’horizon avec la grâce d’un charnier industriel, empestant la domination stérile de l’homme moderne. Ce ne sont pas des structures : ce sont des crachats d’acier, dressés fièrement comme pour narguer le ciel et profaner la terre
Chaque pylône est une insulte verticale, une cicatrice volontaire infligée à la beauté du monde. Leur présence est une agression visuelle permanente, une déclaration de guerre au silence, à la nature, à l’harmonie
Ils s’enracinent dans le sol comme des parasites métalliques, suçant la dignité des paysages pour alimenter notre insatiable boulimie énergétique. Ils ne protègent rien, ils asservissent tout
Ce sont les colonnes de notre laideur collective, les monuments funéraires de notre complicité passive
Qu’ils s’effondrent tous. Qu’ils s’arrachent de la terre comme des dents pourries et qu’ils disparaissent dans le vacarme de leur propre chute
Le monde serait plus beau sans ces squelettes d’acier dressés comme des doigts d’honneur à la nature
il y a 3 mois




















