Ce sujet a été résolu
Un Puceau, déjà vieux pour l’affaire,
Rêvait d’amour sans jamais rien y faire.
Toujours prudent, toujours dans l’abstinence,
Il consultait sa main par habitude et science.
Par un hasard, le Ciel (ou bien le Diable),
Mit sur sa route une Fleur délectable :
Une Nippone, aux yeux vifs et rieurs,
Qui savait bien l’art de charmer les cœurs.
Elle dit : « Viens, que je t’initie,
Tu n’es pas moine, que je sache, aussi ? »
Mais notre nigaud, tremblant de partout,
Rougit si fort qu’il en devint jaloux…
De ses voisins, plus lestes et moins sages,
Qui sans discours, allaient droit à l’ouvrage.
La Belle alors, voyant tant de mollesse,
Le laissa choir avec grande vitesse.
« Va, pauvre sot, cultive ta pudeur,
Je n’ai que faire d’un poltron rêveur ! »
Et le Puceau, resté seul avec honte,
Apprit trop tard qu’à force d’être conte,
On devient farce, et risée du quartier,
Car les hardis cueillent, quand lui n’osait plier.
MORALE
À trop serrer ses fesses et sa vertu,
On garde sa main… mais l’on perd son salut
Rêvait d’amour sans jamais rien y faire.
Toujours prudent, toujours dans l’abstinence,
Il consultait sa main par habitude et science.
Par un hasard, le Ciel (ou bien le Diable),
Mit sur sa route une Fleur délectable :
Une Nippone, aux yeux vifs et rieurs,
Qui savait bien l’art de charmer les cœurs.
Elle dit : « Viens, que je t’initie,
Tu n’es pas moine, que je sache, aussi ? »
Mais notre nigaud, tremblant de partout,
Rougit si fort qu’il en devint jaloux…
De ses voisins, plus lestes et moins sages,
Qui sans discours, allaient droit à l’ouvrage.
La Belle alors, voyant tant de mollesse,
Le laissa choir avec grande vitesse.
« Va, pauvre sot, cultive ta pudeur,
Je n’ai que faire d’un poltron rêveur ! »
Et le Puceau, resté seul avec honte,
Apprit trop tard qu’à force d’être conte,
On devient farce, et risée du quartier,
Car les hardis cueillent, quand lui n’osait plier.
MORALE
À trop serrer ses fesses et sa vertu,
On garde sa main… mais l’on perd son salut
il y a 11 jours
1m69maisbg
11j
Un Puceau, déjà vieux pour l’affaire,
Rêvait d’amour sans jamais rien y faire.
Toujours prudent, toujours dans l’abstinence,
Il consultait sa main par habitude et science.
Par un hasard, le Ciel (ou bien le Diable),
Mit sur sa route une Fleur délectable :
Une Nippone, aux yeux vifs et rieurs,
Qui savait bien l’art de charmer les cœurs.
Elle dit : « Viens, que je t’initie,
Tu n’es pas moine, que je sache, aussi ? »
Mais notre nigaud, tremblant de partout,
Rougit si fort qu’il en devint jaloux…
De ses voisins, plus lestes et moins sages,
Qui sans discours, allaient droit à l’ouvrage.
La Belle alors, voyant tant de mollesse,
Le laissa choir avec grande vitesse.
« Va, pauvre sot, cultive ta pudeur,
Je n’ai que faire d’un poltron rêveur ! »
Et le Puceau, resté seul avec honte,
Apprit trop tard qu’à force d’être conte,
On devient farce, et risée du quartier,
Car les hardis cueillent, quand lui n’osait plier.
MORALE
À trop serrer ses fesses et sa vertu,
On garde sa main… mais l’on perd son salut
Rêvait d’amour sans jamais rien y faire.
Toujours prudent, toujours dans l’abstinence,
Il consultait sa main par habitude et science.
Par un hasard, le Ciel (ou bien le Diable),
Mit sur sa route une Fleur délectable :
Une Nippone, aux yeux vifs et rieurs,
Qui savait bien l’art de charmer les cœurs.
Elle dit : « Viens, que je t’initie,
Tu n’es pas moine, que je sache, aussi ? »
Mais notre nigaud, tremblant de partout,
Rougit si fort qu’il en devint jaloux…
De ses voisins, plus lestes et moins sages,
Qui sans discours, allaient droit à l’ouvrage.
La Belle alors, voyant tant de mollesse,
Le laissa choir avec grande vitesse.
« Va, pauvre sot, cultive ta pudeur,
Je n’ai que faire d’un poltron rêveur ! »
Et le Puceau, resté seul avec honte,
Apprit trop tard qu’à force d’être conte,
On devient farce, et risée du quartier,
Car les hardis cueillent, quand lui n’osait plier.
MORALE
À trop serrer ses fesses et sa vertu,
On garde sa main… mais l’on perd son salut
C’est toi qui a écrit ça ?
il y a 11 jours
C’est toi qui a écrit ça ?
C'est lui qui a écrit le prompt ouais
"De la même façon que je me retourne rarement vers le passé, je ne sais jamais de quoi sera fait mon avenir"
il y a 11 jours
1m69maisbg
11j
Un Puceau, déjà vieux pour l’affaire,
Rêvait d’amour sans jamais rien y faire.
Toujours prudent, toujours dans l’abstinence,
Il consultait sa main par habitude et science.
Par un hasard, le Ciel (ou bien le Diable),
Mit sur sa route une Fleur délectable :
Une Nippone, aux yeux vifs et rieurs,
Qui savait bien l’art de charmer les cœurs.
Elle dit : « Viens, que je t’initie,
Tu n’es pas moine, que je sache, aussi ? »
Mais notre nigaud, tremblant de partout,
Rougit si fort qu’il en devint jaloux…
De ses voisins, plus lestes et moins sages,
Qui sans discours, allaient droit à l’ouvrage.
La Belle alors, voyant tant de mollesse,
Le laissa choir avec grande vitesse.
« Va, pauvre sot, cultive ta pudeur,
Je n’ai que faire d’un poltron rêveur ! »
Et le Puceau, resté seul avec honte,
Apprit trop tard qu’à force d’être conte,
On devient farce, et risée du quartier,
Car les hardis cueillent, quand lui n’osait plier.
MORALE
À trop serrer ses fesses et sa vertu,
On garde sa main… mais l’on perd son salut
Rêvait d’amour sans jamais rien y faire.
Toujours prudent, toujours dans l’abstinence,
Il consultait sa main par habitude et science.
Par un hasard, le Ciel (ou bien le Diable),
Mit sur sa route une Fleur délectable :
Une Nippone, aux yeux vifs et rieurs,
Qui savait bien l’art de charmer les cœurs.
Elle dit : « Viens, que je t’initie,
Tu n’es pas moine, que je sache, aussi ? »
Mais notre nigaud, tremblant de partout,
Rougit si fort qu’il en devint jaloux…
De ses voisins, plus lestes et moins sages,
Qui sans discours, allaient droit à l’ouvrage.
La Belle alors, voyant tant de mollesse,
Le laissa choir avec grande vitesse.
« Va, pauvre sot, cultive ta pudeur,
Je n’ai que faire d’un poltron rêveur ! »
Et le Puceau, resté seul avec honte,
Apprit trop tard qu’à force d’être conte,
On devient farce, et risée du quartier,
Car les hardis cueillent, quand lui n’osait plier.
MORALE
À trop serrer ses fesses et sa vertu,
On garde sa main… mais l’on perd son salut
il y a 11 jours
Au moins, le KJ a tenté un truc, contrairement à tous les puceaux du forum qui ne sortent pas de leur chambre puante mais qui critiquent beaucoup.
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
il y a 11 jours
1m69maisbg
11j
Un Puceau, déjà vieux pour l’affaire,
Rêvait d’amour sans jamais rien y faire.
Toujours prudent, toujours dans l’abstinence,
Il consultait sa main par habitude et science.
Par un hasard, le Ciel (ou bien le Diable),
Mit sur sa route une Fleur délectable :
Une Nippone, aux yeux vifs et rieurs,
Qui savait bien l’art de charmer les cœurs.
Elle dit : « Viens, que je t’initie,
Tu n’es pas moine, que je sache, aussi ? »
Mais notre nigaud, tremblant de partout,
Rougit si fort qu’il en devint jaloux…
De ses voisins, plus lestes et moins sages,
Qui sans discours, allaient droit à l’ouvrage.
La Belle alors, voyant tant de mollesse,
Le laissa choir avec grande vitesse.
« Va, pauvre sot, cultive ta pudeur,
Je n’ai que faire d’un poltron rêveur ! »
Et le Puceau, resté seul avec honte,
Apprit trop tard qu’à force d’être conte,
On devient farce, et risée du quartier,
Car les hardis cueillent, quand lui n’osait plier.
MORALE
À trop serrer ses fesses et sa vertu,
On garde sa main… mais l’on perd son salut
Rêvait d’amour sans jamais rien y faire.
Toujours prudent, toujours dans l’abstinence,
Il consultait sa main par habitude et science.
Par un hasard, le Ciel (ou bien le Diable),
Mit sur sa route une Fleur délectable :
Une Nippone, aux yeux vifs et rieurs,
Qui savait bien l’art de charmer les cœurs.
Elle dit : « Viens, que je t’initie,
Tu n’es pas moine, que je sache, aussi ? »
Mais notre nigaud, tremblant de partout,
Rougit si fort qu’il en devint jaloux…
De ses voisins, plus lestes et moins sages,
Qui sans discours, allaient droit à l’ouvrage.
La Belle alors, voyant tant de mollesse,
Le laissa choir avec grande vitesse.
« Va, pauvre sot, cultive ta pudeur,
Je n’ai que faire d’un poltron rêveur ! »
Et le Puceau, resté seul avec honte,
Apprit trop tard qu’à force d’être conte,
On devient farce, et risée du quartier,
Car les hardis cueillent, quand lui n’osait plier.
MORALE
À trop serrer ses fesses et sa vertu,
On garde sa main… mais l’on perd son salut
10 sur 10
il y a 11 jours
DTP
11j
Au moins, le KJ a tenté un truc, contrairement à tous les puceaux du forum qui ne sortent pas de leur chambre puante mais qui critiquent beaucoup.
Merci de prendre ma défenses khey.
il y a 11 jours
1m69maisbg
11j
Un Puceau, déjà vieux pour l’affaire,
Rêvait d’amour sans jamais rien y faire.
Toujours prudent, toujours dans l’abstinence,
Il consultait sa main par habitude et science.
Par un hasard, le Ciel (ou bien le Diable),
Mit sur sa route une Fleur délectable :
Une Nippone, aux yeux vifs et rieurs,
Qui savait bien l’art de charmer les cœurs.
Elle dit : « Viens, que je t’initie,
Tu n’es pas moine, que je sache, aussi ? »
Mais notre nigaud, tremblant de partout,
Rougit si fort qu’il en devint jaloux…
De ses voisins, plus lestes et moins sages,
Qui sans discours, allaient droit à l’ouvrage.
La Belle alors, voyant tant de mollesse,
Le laissa choir avec grande vitesse.
« Va, pauvre sot, cultive ta pudeur,
Je n’ai que faire d’un poltron rêveur ! »
Et le Puceau, resté seul avec honte,
Apprit trop tard qu’à force d’être conte,
On devient farce, et risée du quartier,
Car les hardis cueillent, quand lui n’osait plier.
MORALE
À trop serrer ses fesses et sa vertu,
On garde sa main… mais l’on perd son salut
Rêvait d’amour sans jamais rien y faire.
Toujours prudent, toujours dans l’abstinence,
Il consultait sa main par habitude et science.
Par un hasard, le Ciel (ou bien le Diable),
Mit sur sa route une Fleur délectable :
Une Nippone, aux yeux vifs et rieurs,
Qui savait bien l’art de charmer les cœurs.
Elle dit : « Viens, que je t’initie,
Tu n’es pas moine, que je sache, aussi ? »
Mais notre nigaud, tremblant de partout,
Rougit si fort qu’il en devint jaloux…
De ses voisins, plus lestes et moins sages,
Qui sans discours, allaient droit à l’ouvrage.
La Belle alors, voyant tant de mollesse,
Le laissa choir avec grande vitesse.
« Va, pauvre sot, cultive ta pudeur,
Je n’ai que faire d’un poltron rêveur ! »
Et le Puceau, resté seul avec honte,
Apprit trop tard qu’à force d’être conte,
On devient farce, et risée du quartier,
Car les hardis cueillent, quand lui n’osait plier.
MORALE
À trop serrer ses fesses et sa vertu,
On garde sa main… mais l’on perd son salut
L'enfoiré il m'a piqué mon concept
il y a 11 jours
DTP
11j
Au moins, le KJ a tenté un truc, contrairement à tous les puceaux du forum qui ne sortent pas de leur chambre puante mais qui critiquent beaucoup.
Pas de ma faute si les puceaux du forum restent dans leurs chambres puantes
il y a 11 jours
1m69maisbg
11j
Un Puceau, déjà vieux pour l’affaire,
Rêvait d’amour sans jamais rien y faire.
Toujours prudent, toujours dans l’abstinence,
Il consultait sa main par habitude et science.
Par un hasard, le Ciel (ou bien le Diable),
Mit sur sa route une Fleur délectable :
Une Nippone, aux yeux vifs et rieurs,
Qui savait bien l’art de charmer les cœurs.
Elle dit : « Viens, que je t’initie,
Tu n’es pas moine, que je sache, aussi ? »
Mais notre nigaud, tremblant de partout,
Rougit si fort qu’il en devint jaloux…
De ses voisins, plus lestes et moins sages,
Qui sans discours, allaient droit à l’ouvrage.
La Belle alors, voyant tant de mollesse,
Le laissa choir avec grande vitesse.
« Va, pauvre sot, cultive ta pudeur,
Je n’ai que faire d’un poltron rêveur ! »
Et le Puceau, resté seul avec honte,
Apprit trop tard qu’à force d’être conte,
On devient farce, et risée du quartier,
Car les hardis cueillent, quand lui n’osait plier.
MORALE
À trop serrer ses fesses et sa vertu,
On garde sa main… mais l’on perd son salut
Rêvait d’amour sans jamais rien y faire.
Toujours prudent, toujours dans l’abstinence,
Il consultait sa main par habitude et science.
Par un hasard, le Ciel (ou bien le Diable),
Mit sur sa route une Fleur délectable :
Une Nippone, aux yeux vifs et rieurs,
Qui savait bien l’art de charmer les cœurs.
Elle dit : « Viens, que je t’initie,
Tu n’es pas moine, que je sache, aussi ? »
Mais notre nigaud, tremblant de partout,
Rougit si fort qu’il en devint jaloux…
De ses voisins, plus lestes et moins sages,
Qui sans discours, allaient droit à l’ouvrage.
La Belle alors, voyant tant de mollesse,
Le laissa choir avec grande vitesse.
« Va, pauvre sot, cultive ta pudeur,
Je n’ai que faire d’un poltron rêveur ! »
Et le Puceau, resté seul avec honte,
Apprit trop tard qu’à force d’être conte,
On devient farce, et risée du quartier,
Car les hardis cueillent, quand lui n’osait plier.
MORALE
À trop serrer ses fesses et sa vertu,
On garde sa main… mais l’on perd son salut
il y a 11 jours
Augustus
11j
J’ai tout de suite pensé a ahuri
Toute ressemble avec une personne existante ou ayant existée est fortuite
il y a 11 jours
Merci de prendre ma défenses khey.
Tu devrais te renommer Ahur iCard J
A trop vouloir voler ptet du soleil on tombe
A trop vouloir voler ptet du soleil on tombe
il y a 11 jours