Ce sujet a été résolu
Fort heureusement, ce n'était pas le vrai communisme.
Alors nos ingénieurs politiques de bistro pourront continuer de nous conter les mérites du vrai communisme
Alors nos ingénieurs politiques de bistro pourront continuer de nous conter les mérites du vrai communisme
il y a 18 heures
Ct pa lé vré communisme
Le vrai communisme c'est quand j'ai raison, autant dire que ce n'est pas pour demain
Le vrai communisme c'est quand j'ai raison, autant dire que ce n'est pas pour demain
il y a 18 heures
Le communisme c'est nul l'anarchisme c'est beaucoup mieux
Nonobstant félicitations aux népalais c'est pas le peuple français qui feraient ça
Nonobstant félicitations aux népalais c'est pas le peuple français qui feraient ça
il y a 18 heures
Y'aurait pas un coco ici pour nous expliquer ce qui a merdé au Népal ?
Ou dans tous les autres pays ayant jamais été communistes d'ailleurs
Ou dans tous les autres pays ayant jamais été communistes d'ailleurs
il y a 18 heures
Ammortel
18h
Y'aurait pas un coco ici pour nous expliquer ce qui a merdé au Népal ?
Ou dans tous les autres pays ayant jamais été communistes d'ailleurs
Ou dans tous les autres pays ayant jamais été communistes d'ailleurs
« La bourgeoisie est en train de perdre l'adversaire qui la soutenait objectivement en unifiant illusoirement toute négation de l'ordre existant. Une telle division du travail spectaculaire voit sa fin quand le rôle pseudo-révolutionnaire se divise à son tour. L'élément spectaculaire de la dissolution du mouvement ouvrier va être lui-même dissous. »
Guy Debord, La Société du Spectacle, 1967.
Guy Debord, La Société du Spectacle, 1967.
il y a 18 heures
« La bourgeoisie est en train de perdre l'adversaire qui la soutenait objectivement en unifiant illusoirement toute négation de l'ordre existant. Une telle division du travail spectaculaire voit sa fin quand le rôle pseudo-révolutionnaire se divise à son tour. L'élément spectaculaire de la dissolution du mouvement ouvrier va être lui-même dissous. »
Guy Debord, La Société du Spectacle, 1967.
Guy Debord, La Société du Spectacle, 1967.
Tu peux traduire stp
il y a 18 heures
Tu peux traduire stp
Il annonce en 1967 la chute des pays du spectacle concentré (=Bureaucratiques, Capitalisme d'état etc) et la victoire du spectacle diffus (Capitalisme comme aux USA etc)
Tous les pays du capitalisme d'état (que ce soit la Corée du Nord ou les pays sous Charia) vont tomber
La Chine est déjà tombée avec la révolution de 1978
Tous les pays du capitalisme d'état (que ce soit la Corée du Nord ou les pays sous Charia) vont tomber
La Chine est déjà tombée avec la révolution de 1978
il y a 18 heures
Desert
18h
Le communisme c'est nul l'anarchisme c'est beaucoup mieux
Nonobstant félicitations aux népalais c'est pas le peuple français qui feraient ça
Nonobstant félicitations aux népalais c'est pas le peuple français qui feraient ça
Techniquement le Népal a buté tout les membres de son gouvernement c'est une anarchie mtn
Peut-être l'avènement du premier pays anarcho-royaliste bientôt
Peut-être l'avènement du premier pays anarcho-royaliste bientôt
il y a 18 heures
Il annonce en 1967 la chute des pays du spectacle concentré (=Bureaucratiques, Capitalisme d'état etc) et la victoire du spectacle diffus (Capitalisme comme aux USA etc)
Tous les pays du capitalisme d'état (que ce soit la Corée du Nord ou les pays sous Charia) vont tomber
La Chine est déjà tombée avec la révolution de 1978
Tous les pays du capitalisme d'état (que ce soit la Corée du Nord ou les pays sous Charia) vont tomber
La Chine est déjà tombée avec la révolution de 1978
La Chine à l'air de se porter plutôt pas mal depuis 1978
il y a 18 heures
La Chine à l'air de se porter plutôt pas mal depuis 1978
Thése 64
Le spectaculaire concentré appartient essentiellement au capitalisme bureaucratique, encore qu’il puisse être importé comme technique du pouvoir étatique sur des économies mixtes plus arriérées, ou dans certains moments de crise du capitalisme avancé. La propriété bureaucratique en effet est elle-même concentrée en ce sens que le bureaucrate individuel n’a de rapports avec la possession de l’économie globale que par l’intermédiaire de la communauté bureaucratique, qu’en tant que membre de cette communauté. En outre la production des marchandises, moins développée, se présente aussi sous une forme concentrée : la marchandise que la bureaucratie détient, c’est le travail social total, et ce qu’elle revend à la société, c’est sa survie en bloc. La dictature de l’économie bureaucratique ne peut laisser aux masses exploitées aucune marge notable de choix, puisqu’elle a dû tout choisir par elle-même, et que tout autre choix extérieur, qu’il concerne l’alimentation ou la musique, est donc déjà le choix de sa destruction complète. Elle doit s’accompagner d’une violence permanente. L’image imposée du bien, dans son spectacle, recueille la totalité de ce qui existe officiellement, et se concentre normalement sur un seul homme, qui est le garant de sa cohésion totalitaire. À cette vedette absolue, chacun doit s’identifier magiquement, ou disparaître. Car il s’agit du maître de sa non-consommation, et de l’image héroïque d’un sens acceptable pour l’exploitation absolue qu’est en fait l’accumulation primitive accélérée par la terreur. Si chaque Chinois doit apprendre Mao, et ainsi être Mao, c’est qu’il n’a rien d’autre à être. Là où domine le spectaculaire concentré domine aussi la police.
Thèse 65
Le spectaculaire diffus accompagne l’abondance des marchandises, le développement non perturbé du capitalisme moderne. Ici chaque marchandise prise à part est justifiée au nom de la grandeur de la production de la totalité des objets, dont le spectacle est un catalogue apologétique. Des affirmations inconciliables se poussent sur la scène du spectacle unifié de l’économie abondante ; de même que différentes marchandises-vedettes soutiennent simultanément leurs projets contradictoires d’aménagement de la société, où le spectacle des automobiles veut une circulation parfaite qui détruit les vieilles cités, tandis que le spectacle de la ville elle-même a besoin des quartiers-musées. Donc la satisfaction, déjà problématique, qui est réputée appartenir à la consommation de l’ensemble est immédiatement falsifiée en ceci que le consommateur réel ne peut directement toucher qu’une succession de fragments de ce bonheur marchand, fragments d’où chaque fois la qualité prêtée à l’ensemble est évidemment absente.
En 1978, avec la révolution chinoise, c'est l'ouverture au spectacle diffus, quand je dis que la Chine est tombée en 1978 c'est le spectacle concentré chinois qui est tombé, pas le pays
En 1988, les Commentaires sur la société du spectacle ont nettement établi que la précédente « division mondiale des tâches spectaculaires », entre les règnes rivaux du « spectaculaire concentré » et du « spectaculaire diffus », avait désormais pris fin au profit de leur fusion dans la forme commune du « spectaculaire intégré ».
Le spectaculaire concentré appartient essentiellement au capitalisme bureaucratique, encore qu’il puisse être importé comme technique du pouvoir étatique sur des économies mixtes plus arriérées, ou dans certains moments de crise du capitalisme avancé. La propriété bureaucratique en effet est elle-même concentrée en ce sens que le bureaucrate individuel n’a de rapports avec la possession de l’économie globale que par l’intermédiaire de la communauté bureaucratique, qu’en tant que membre de cette communauté. En outre la production des marchandises, moins développée, se présente aussi sous une forme concentrée : la marchandise que la bureaucratie détient, c’est le travail social total, et ce qu’elle revend à la société, c’est sa survie en bloc. La dictature de l’économie bureaucratique ne peut laisser aux masses exploitées aucune marge notable de choix, puisqu’elle a dû tout choisir par elle-même, et que tout autre choix extérieur, qu’il concerne l’alimentation ou la musique, est donc déjà le choix de sa destruction complète. Elle doit s’accompagner d’une violence permanente. L’image imposée du bien, dans son spectacle, recueille la totalité de ce qui existe officiellement, et se concentre normalement sur un seul homme, qui est le garant de sa cohésion totalitaire. À cette vedette absolue, chacun doit s’identifier magiquement, ou disparaître. Car il s’agit du maître de sa non-consommation, et de l’image héroïque d’un sens acceptable pour l’exploitation absolue qu’est en fait l’accumulation primitive accélérée par la terreur. Si chaque Chinois doit apprendre Mao, et ainsi être Mao, c’est qu’il n’a rien d’autre à être. Là où domine le spectaculaire concentré domine aussi la police.
Thèse 65
Le spectaculaire diffus accompagne l’abondance des marchandises, le développement non perturbé du capitalisme moderne. Ici chaque marchandise prise à part est justifiée au nom de la grandeur de la production de la totalité des objets, dont le spectacle est un catalogue apologétique. Des affirmations inconciliables se poussent sur la scène du spectacle unifié de l’économie abondante ; de même que différentes marchandises-vedettes soutiennent simultanément leurs projets contradictoires d’aménagement de la société, où le spectacle des automobiles veut une circulation parfaite qui détruit les vieilles cités, tandis que le spectacle de la ville elle-même a besoin des quartiers-musées. Donc la satisfaction, déjà problématique, qui est réputée appartenir à la consommation de l’ensemble est immédiatement falsifiée en ceci que le consommateur réel ne peut directement toucher qu’une succession de fragments de ce bonheur marchand, fragments d’où chaque fois la qualité prêtée à l’ensemble est évidemment absente.
En 1978, avec la révolution chinoise, c'est l'ouverture au spectacle diffus, quand je dis que la Chine est tombée en 1978 c'est le spectacle concentré chinois qui est tombé, pas le pays

En 1988, les Commentaires sur la société du spectacle ont nettement établi que la précédente « division mondiale des tâches spectaculaires », entre les règnes rivaux du « spectaculaire concentré » et du « spectaculaire diffus », avait désormais pris fin au profit de leur fusion dans la forme commune du « spectaculaire intégré ».
il y a 17 heures
On aimerait bien le voir le vrai communisme à force ! C'est peut être ça =>
Je vois des gens qui sont trans. 

il y a 17 heures
Thése 64
Le spectaculaire concentré appartient essentiellement au capitalisme bureaucratique, encore qu’il puisse être importé comme technique du pouvoir étatique sur des économies mixtes plus arriérées, ou dans certains moments de crise du capitalisme avancé. La propriété bureaucratique en effet est elle-même concentrée en ce sens que le bureaucrate individuel n’a de rapports avec la possession de l’économie globale que par l’intermédiaire de la communauté bureaucratique, qu’en tant que membre de cette communauté. En outre la production des marchandises, moins développée, se présente aussi sous une forme concentrée : la marchandise que la bureaucratie détient, c’est le travail social total, et ce qu’elle revend à la société, c’est sa survie en bloc. La dictature de l’économie bureaucratique ne peut laisser aux masses exploitées aucune marge notable de choix, puisqu’elle a dû tout choisir par elle-même, et que tout autre choix extérieur, qu’il concerne l’alimentation ou la musique, est donc déjà le choix de sa destruction complète. Elle doit s’accompagner d’une violence permanente. L’image imposée du bien, dans son spectacle, recueille la totalité de ce qui existe officiellement, et se concentre normalement sur un seul homme, qui est le garant de sa cohésion totalitaire. À cette vedette absolue, chacun doit s’identifier magiquement, ou disparaître. Car il s’agit du maître de sa non-consommation, et de l’image héroïque d’un sens acceptable pour l’exploitation absolue qu’est en fait l’accumulation primitive accélérée par la terreur. Si chaque Chinois doit apprendre Mao, et ainsi être Mao, c’est qu’il n’a rien d’autre à être. Là où domine le spectaculaire concentré domine aussi la police.
Thèse 65
Le spectaculaire diffus accompagne l’abondance des marchandises, le développement non perturbé du capitalisme moderne. Ici chaque marchandise prise à part est justifiée au nom de la grandeur de la production de la totalité des objets, dont le spectacle est un catalogue apologétique. Des affirmations inconciliables se poussent sur la scène du spectacle unifié de l’économie abondante ; de même que différentes marchandises-vedettes soutiennent simultanément leurs projets contradictoires d’aménagement de la société, où le spectacle des automobiles veut une circulation parfaite qui détruit les vieilles cités, tandis que le spectacle de la ville elle-même a besoin des quartiers-musées. Donc la satisfaction, déjà problématique, qui est réputée appartenir à la consommation de l’ensemble est immédiatement falsifiée en ceci que le consommateur réel ne peut directement toucher qu’une succession de fragments de ce bonheur marchand, fragments d’où chaque fois la qualité prêtée à l’ensemble est évidemment absente.
En 1978, avec la révolution chinoise, c'est l'ouverture au spectacle diffus, quand je dis que la Chine est tombée en 1978 c'est le spectacle concentré chinois qui est tombé, pas le pays
En 1988, les Commentaires sur la société du spectacle ont nettement établi que la précédente « division mondiale des tâches spectaculaires », entre les règnes rivaux du « spectaculaire concentré » et du « spectaculaire diffus », avait désormais pris fin au profit de leur fusion dans la forme commune du « spectaculaire intégré ».
Le spectaculaire concentré appartient essentiellement au capitalisme bureaucratique, encore qu’il puisse être importé comme technique du pouvoir étatique sur des économies mixtes plus arriérées, ou dans certains moments de crise du capitalisme avancé. La propriété bureaucratique en effet est elle-même concentrée en ce sens que le bureaucrate individuel n’a de rapports avec la possession de l’économie globale que par l’intermédiaire de la communauté bureaucratique, qu’en tant que membre de cette communauté. En outre la production des marchandises, moins développée, se présente aussi sous une forme concentrée : la marchandise que la bureaucratie détient, c’est le travail social total, et ce qu’elle revend à la société, c’est sa survie en bloc. La dictature de l’économie bureaucratique ne peut laisser aux masses exploitées aucune marge notable de choix, puisqu’elle a dû tout choisir par elle-même, et que tout autre choix extérieur, qu’il concerne l’alimentation ou la musique, est donc déjà le choix de sa destruction complète. Elle doit s’accompagner d’une violence permanente. L’image imposée du bien, dans son spectacle, recueille la totalité de ce qui existe officiellement, et se concentre normalement sur un seul homme, qui est le garant de sa cohésion totalitaire. À cette vedette absolue, chacun doit s’identifier magiquement, ou disparaître. Car il s’agit du maître de sa non-consommation, et de l’image héroïque d’un sens acceptable pour l’exploitation absolue qu’est en fait l’accumulation primitive accélérée par la terreur. Si chaque Chinois doit apprendre Mao, et ainsi être Mao, c’est qu’il n’a rien d’autre à être. Là où domine le spectaculaire concentré domine aussi la police.
Thèse 65
Le spectaculaire diffus accompagne l’abondance des marchandises, le développement non perturbé du capitalisme moderne. Ici chaque marchandise prise à part est justifiée au nom de la grandeur de la production de la totalité des objets, dont le spectacle est un catalogue apologétique. Des affirmations inconciliables se poussent sur la scène du spectacle unifié de l’économie abondante ; de même que différentes marchandises-vedettes soutiennent simultanément leurs projets contradictoires d’aménagement de la société, où le spectacle des automobiles veut une circulation parfaite qui détruit les vieilles cités, tandis que le spectacle de la ville elle-même a besoin des quartiers-musées. Donc la satisfaction, déjà problématique, qui est réputée appartenir à la consommation de l’ensemble est immédiatement falsifiée en ceci que le consommateur réel ne peut directement toucher qu’une succession de fragments de ce bonheur marchand, fragments d’où chaque fois la qualité prêtée à l’ensemble est évidemment absente.
En 1978, avec la révolution chinoise, c'est l'ouverture au spectacle diffus, quand je dis que la Chine est tombée en 1978 c'est le spectacle concentré chinois qui est tombé, pas le pays

En 1988, les Commentaires sur la société du spectacle ont nettement établi que la précédente « division mondiale des tâches spectaculaires », entre les règnes rivaux du « spectaculaire concentré » et du « spectaculaire diffus », avait désormais pris fin au profit de leur fusion dans la forme commune du « spectaculaire intégré ».
Ok et du coup c'est quoi l'avenir de notre société
il y a 17 heures
Ok et du coup c'est quoi l'avenir de notre société
Ça c'est pas chez Guy Debord, c'est chez Jean Baudrillard
https://odysee.com/@Yukon[...]e-la-pens%C3%A9e--1995-:4
il y a 17 heures
Ça c'est pas chez Guy Debord, c'est chez Jean Baudrillard
https://odysee.com/@Yukon[...]e-la-pens%C3%A9e--1995-:4
Résumax
il y a 17 heures
Résumax
En gros l'avenir de notre société c'est la disparition complète du monde réel
Tu as des devoirs kheyou, tiens il y a cette excellente vidéo d'une heure qui résume son livre phare Simulacres et Simulation
Tu as des devoirs kheyou, tiens il y a cette excellente vidéo d'une heure qui résume son livre phare Simulacres et Simulation
il y a 17 heures
En gros l'avenir de notre société c'est la disparition complète du monde réel
Tu as des devoirs kheyou, tiens il y a cette excellente vidéo d'une heure qui résume son livre phare Simulacres et Simulation
Tu as des devoirs kheyou, tiens il y a cette excellente vidéo d'une heure qui résume son livre phare Simulacres et Simulation
En gros le film Matrix quoi, on vit dans un monde virtuel
il y a 17 heures
En gros le film Matrix quoi, on vit dans un monde virtuel
Sauf qu'il ecrit ça dans les années 70, on est encore très loin de la popularisation d'internet
Matrix s'inspire de Jean Baudrillard, il est même cité dans le film après il y a des différences je crois entre ce que Matrix dit et ce que Jean Baudrillard dit, j'ai pas vu le film mais j'ai vu des interview de Baudrillard ou il critique un peu le film
Matrix s'inspire de Jean Baudrillard, il est même cité dans le film après il y a des différences je crois entre ce que Matrix dit et ce que Jean Baudrillard dit, j'ai pas vu le film mais j'ai vu des interview de Baudrillard ou il critique un peu le film
il y a 17 heures