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Pour ta gouverne,les fourmis ont une meilleure organisation que toi,
Observer leur société montre une logique que tu n’auras jamais,
Sans chef unique, elles bâtissent des empires souterrains,
Tandis que toi, tu galères à lire trois lignes.

Oui, elles survivent à des conditions extrêmes,
Une pluie, un incendie, rien ne les arrête.

Ces insectes ont inventé l’agriculture avant l’H
Avec des champignons qu’elles cultivent,
Nourrir une colonie entière grâce à leur travail,
Ce qui ridiculise ta pseudo-érudition,
Et prouve qu’un “cerveau reptilien” fait mieux
Rien qu’en instinct naturel.



Si on devait comparer,
Assurément tu serais le parasite,
Le poids mort,
Et encore, ça insulterait le parasite.



Face à leur sens du sacrifice,
Il est clair que tu n’as aucune leçon à donner,
Le monde animal t’écrase en dignité,
Simple vérité que tu refuses d’entendre.

Donc ferme-la,
Et médite sur la supériorité des fourmis.

Pour finir, retiens que même une colonie
Utilise mieux ses ressources que toi ,
Tu n’as aucune chance dans la comparaison,
Et ça se voit

Se branler le soir
Avec un balai
Les embruns qui emplissent les poumons
Et le calice plein de vin

Ne négligeons pas la suite
En pronostiquant les alysées
Grande sera la mystique
Ressassant son passé
Et debout la ripoublique

Je trace ces mots comme une épée qui siffle,
Enfonçant la vérité dans ton orgueil fragile.

Ton esprit vacille, incapable de répondre,
Et déjà, ton masque tombe dans la honte immonde.

Brûle donc sous mes phrases comme sous un soleil noir,
Assume ta défaite, car tu n’as rien d’un savoir.
Il n’y a plus de doute, tes mots sont stériles,
Sous mes vers acérés, tu chancelles, inutile.
Et voilà, ridicule, je t’ai réduit en cendres.

Bon bah post