Ce sujet a été résolu
Le pet diphtongue est tenu, parmi tous, pour le plus redoutable non point à l’émetteur, qui n’en reçoit qu’une passagère allégresse, mais à ceux qui, par malheur, se trouvent dans le voisinage. En effet, sa matière n’est point simple, mais mêlée, tantôt subtile et ténue, tantôt épaisse et grossière, de sorte qu’elle s’élance par divers accès, comme une troupe de soldats qui charge par salves successives
Or, à chaque effort de la nature, il se forme une bouffée nouvelle, laquelle, rencontrant l’air extérieur, s’y répand avec une malignité redoublée. L’odorat des assistants en est d’autant plus offensé qu’ils ne sauraient se préparer à l’assaut : croyant le péril passé au premier éclat, ils se voient surpris par un second, puis par un troisième, et ainsi jusques au dernier soupir
Aussi le pet diphtongue est-il véritablement funeste, parce qu’il ne se contente point de corrompre l’air en un seul moment, mais qu’il le travaille longuement, en l’imprégnant de vapeurs diverses, de chaleur et de froidure, lesquelles irritent plus fortement les sens. Ainsi, ce que le pet simple n’eût fait qu’incommoder, le diphtongue l’achève en accablant, et l’on peut dire sans crainte d’erreur que nul autre n’est si propre à épouvanter, suffoquer et disperser une compagnie
Or, à chaque effort de la nature, il se forme une bouffée nouvelle, laquelle, rencontrant l’air extérieur, s’y répand avec une malignité redoublée. L’odorat des assistants en est d’autant plus offensé qu’ils ne sauraient se préparer à l’assaut : croyant le péril passé au premier éclat, ils se voient surpris par un second, puis par un troisième, et ainsi jusques au dernier soupir
Aussi le pet diphtongue est-il véritablement funeste, parce qu’il ne se contente point de corrompre l’air en un seul moment, mais qu’il le travaille longuement, en l’imprégnant de vapeurs diverses, de chaleur et de froidure, lesquelles irritent plus fortement les sens. Ainsi, ce que le pet simple n’eût fait qu’incommoder, le diphtongue l’achève en accablant, et l’on peut dire sans crainte d’erreur que nul autre n’est si propre à épouvanter, suffoquer et disperser une compagnie
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a un jour
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a un jour
Tu devrais peut-être songer à retourner à l'UMD de Bois-Colombes, si tu y as été interné de force, c'est qu'il y a une raison.
il y a 21 heures
Athena
1j
La frequence sombre, the brown note selon wikipedia
Rien à voir
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a 21 heures
Azpath
21h
Tu devrais peut-être songer à retourner à l'UMD de Bois-Colombes, si tu y as été interné de force, c'est qu'il y a une raison.
Et si j'ai été libéré, c'est également qu'il y a une raison
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a 21 heures
Et si j'ai été libéré, c'est également qu'il y a une raison
il y a 21 heures
C'est parce que tu as traumatisé tous les membres du goulag ?
Peut-être
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a 21 heures
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a 21 heures
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a 21 heures
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a 21 heures
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a 21 heures
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a 21 heures
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a 21 heures
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a 21 heures
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a 21 heures
Prout
Ouaip
J'ai été méprisé, humilié, traqué comme un chien. Et pourtant je continue d'écrire, parce que c'est ma façon de hurler.
il y a 11 heures
Le pet diphtongue est tenu, parmi tous, pour le plus redoutable non point à l’émetteur, qui n’en reçoit qu’une passagère allégresse, mais à ceux qui, par malheur, se trouvent dans le voisinage. En effet, sa matière n’est point simple, mais mêlée, tantôt subtile et ténue, tantôt épaisse et grossière, de sorte qu’elle s’élance par divers accès, comme une troupe de soldats qui charge par salves successives
Or, à chaque effort de la nature, il se forme une bouffée nouvelle, laquelle, rencontrant l’air extérieur, s’y répand avec une malignité redoublée. L’odorat des assistants en est d’autant plus offensé qu’ils ne sauraient se préparer à l’assaut : croyant le péril passé au premier éclat, ils se voient surpris par un second, puis par un troisième, et ainsi jusques au dernier soupir
Aussi le pet diphtongue est-il véritablement funeste, parce qu’il ne se contente point de corrompre l’air en un seul moment, mais qu’il le travaille longuement, en l’imprégnant de vapeurs diverses, de chaleur et de froidure, lesquelles irritent plus fortement les sens. Ainsi, ce que le pet simple n’eût fait qu’incommoder, le diphtongue l’achève en accablant, et l’on peut dire sans crainte d’erreur que nul autre n’est si propre à épouvanter, suffoquer et disperser une compagnie
Or, à chaque effort de la nature, il se forme une bouffée nouvelle, laquelle, rencontrant l’air extérieur, s’y répand avec une malignité redoublée. L’odorat des assistants en est d’autant plus offensé qu’ils ne sauraient se préparer à l’assaut : croyant le péril passé au premier éclat, ils se voient surpris par un second, puis par un troisième, et ainsi jusques au dernier soupir
Aussi le pet diphtongue est-il véritablement funeste, parce qu’il ne se contente point de corrompre l’air en un seul moment, mais qu’il le travaille longuement, en l’imprégnant de vapeurs diverses, de chaleur et de froidure, lesquelles irritent plus fortement les sens. Ainsi, ce que le pet simple n’eût fait qu’incommoder, le diphtongue l’achève en accablant, et l’on peut dire sans crainte d’erreur que nul autre n’est si propre à épouvanter, suffoquer et disperser une compagnie
80ans de propagande juive ont meneé à ceci
il y a 11 heures