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Année 2057 : Les Ombres de l'Égalité Absolue


Je m'appelle John Smith, un homme blanc, hétérosexuel, cisgenre et chrétien pratiquant. J'ai 52 ans, et je vis – ou plutôt, je survis – dans ce qu'on appelait autrefois les États-Unis d'Amérique. Aujourd'hui, c'est la Fédération Égalitaire Unie, un vaste empire où la "justice sociale" a muté en une machine impitoyable. Je suis né en 2005, à une époque où on pouvait encore débattre sans craindre pour sa vie. Mais depuis que la gauche libertaire, alliée au mouvement LGBT+ woke, a pris le pouvoir en 2032 après une série de crises – pandémies, émeutes climatiques, et une polarisation médiatique extrême –, tout a basculé. Ils promettaient la liberté pour tous, mais c'était un mensonge. Leur radicalisation a transformé la société en une dictature où l'identité est une arme, et où des gens comme moi sont les ennemis désignés.

Chaque matin, je me réveille dans mon "logement inclusif" assigné : un cube de béton de 20 mètres carrés dans une tour anonyme de la Zone Urbaine 47, anciennement Chicago. Pas de famille – ma femme m'a quitté en 2041 quand le régime a imposé les "thérapies de rééducation sexuelle" obligatoires pour tous les couples hétérosexuels, sous prétexte de déconstruire les "normes patriarcales oppressives". Elle a été convaincue que notre mariage était une forme de violence structurelle. Nos deux enfants ont été placés en "foyers collectifs" pour être élevés par l'État, afin d'éviter toute "transmission de privilèges blancs hétéronormatifs". Je ne les ai pas vus depuis des années ; on m'a dit qu'ils étaient maintenant "non-binaires" et qu'ils me haïssaient pour mon "héritage toxique".

Le travail ? Je suis ouvrier dans une usine de recyclage "éco-inclusif", où on trie les déchets électroniques sous surveillance constante. Mon quota quotidien est fixé par l'Algorithme d'Équité, un IA qui ajuste les charges en fonction de ton "score d'oppression". En tant qu'homme blanc hétéro cis chrétien, mon score est au plus bas : je dois produire 150% de plus que mes collègues "marginalisés" pour compenser mes "privilèges historiques". Si je rate, c'est la "rééducation" – des camps où on te force à assister à des sessions de "confession publique" sur tes "péchés coloniaux". J'ai un ami qui y est allé pour avoir dit "Dieu vous bénisse" à un collègue ; il en est revenu brisé, murmurant des mantras sur la "fluidité de genre" comme un zombie.

La religion ? Interdite pour les "groupes dominants". Les églises ont été converties en "centres de célébration queer" ou en musées de la "honte blanche". Ma Bible est cachée sous le plancher, et je prie en silence, les nuits où les drones de surveillance ne bourdonnent pas trop près. Si on te surprend avec un crucifix, c'est accusé de "suprémacisme chrétien", puni par l'effacement social : ton compte citoyen est gelé, plus d'accès à la nourriture rationnée ou aux transports. L'islam et d'autres religions "minoritaires" sont tolérés, tant qu'elles s'alignent sur l'idéologie woke – mais le christianisme évangélique ? C'est vu comme l'incarnation du mal patriarcal.

La vie quotidienne est un champ de mines. Les rues sont patrouillées par les Brigades d'Inclusion, des milices composées majoritairement de militants trans et non-binaires armés de tasers et de caméras corporelles. Ils vérifient tes pronoms à chaque coin de rue ; une erreur, et c'est une amende qui te prive de ton allocation mensuelle. Les médias ? Contrôlés par l'État, diffusant en boucle des propagandes sur la "grande transition" : comment la "diversité radicale" a sauvé le monde du "fascisme hétéroblanc". Les livres classiques – Shakespeare, la Bible, même Orwell – sont bannis comme "textes haineux". À la place, on a des manuels obligatoires sur la "théorie queer avancée" et l'"antiracisme intersectionnel".

Sexuellement, c'est l'enfer. Les relations hétérosexuelles sont taxées comme "privilégiées" ; pour sortir avec une femme, tu dois obtenir un "permis d'équité" prouvant que tu as complété des cours sur le "consentement fluide" et la "déconstruction masculine". Beaucoup d'hommes comme moi sont forcés à des "expériences bisexuelles obligatoires" pour "élargir leurs horizons" – refus, et c'est la prison pour "phobie interne". Les naissances ? Contrôlées par l'État via des banques de sperme "diversifiées" ; les couples hétéros blancs sont limités à un enfant, stérilisé ensuite, pour "réduire l'empreinte carbone blanche".

Politiquement, il n'y a plus d'opposition. Les élections sont des farces : seuls les candidats "woke certifiés" sont autorisés, et le vote est pondéré par ton score d'oppression. Les résistants – comme les groupes clandestins de chrétiens conservateurs – sont traqués comme des terroristes. J'en connais qui ont été exécutés publiquement pour "discours haineux", diffusés en live sur les réseaux d'État. L'économie ? Un socialisme radical où les entreprises sont collectivisées, mais dirigées par des comités LGBT+ qui priorisent les "identités marginalisées". Résultat : pénuries constantes, inflation galopante, et une élite woke qui vit dans des enclaves luxueuses, exemptée des règles qu'elle impose.

Je rêve parfois de l'ancien monde, où un homme pouvait être fier de sa foi, de sa famille, de son travail sans être vu comme un oppresseur. Mais ici, je suis un relicat, un fantôme dans une machine qui broie tout ce qui n'est pas "fluide" et "inclusif". Si cette dictature continue, des gens comme moi disparaîtront – effacés, rééduqués, ou pire. C'est ça, la victoire de la gauche libertaire woke radicalisée : une égalité qui nivelle par le bas, où la liberté n'existe que pour ceux qui se conforment à leur vision tordue du progrès.
il y a 2 jours
En rétrospective, 2027 a été le début de la fin pour l'Europe que je connaissais. À l'époque, j'avais 22 ans, fraîchement diplômé en ingénierie, et j'avais déménagé en France pour un stage chez une entreprise tech à Paris. J'étais là pour l'opportunité, pas pour la politique, mais impossible d'ignorer le chaos qui montait. J'étais un Américain blanc, hétéro, cis et chrétien, élevé dans une famille conservatrice du Midwest, et la France me semblait déjà un terrain miné avec ses débats sur l'immigration et l'identité. Mais ce qui s'est passé cette année-là m'a ouvert les yeux sur ce qui allait infecter le monde entier.

Tout a commencé avec les élections présidentielles françaises en avril 2027. Emmanuel Macron, après deux mandats, ne pouvait pas se représenter en vertu de la Constitution, et son camp avait propulsé Gabriel Attal comme candidat principal, vu comme un jeune réformateur centriste. Mais Jean-Luc Mélenchon et son parti, La France Insoumise, ont surfé sur une vague de mécontentement : inflation galopante après la guerre en Ukraine, crises énergétiques, et des émeutes urbaines qui faisaient passer 2023 pour une promenade de santé. Les médias mainstream, déjà biaisés à gauche, pompaient sans relâche l'idée que Mélenchon était le sauveur des "opprimés" – migrants, minorités sexuelles, écologistes radicaux. Son alliance avec les Verts et les restes du PS a formé une coalition "progressiste" qui a balayé Attal au second tour. J'étais dans un café près de la Seine quand les résultats sont tombés : Mélenchon élu président, avec un programme qui promettait la "justice sociale totale". Taxer les riches à 90%, ouverture des frontières, quotas obligatoires pour les LGBT+ dans les entreprises, et une "déconstruction" de l'histoire française vue comme coloniale et patriarcale.

Au début, ça semblait gérable. J'allais au boulot, évitais les manifs, et priais discrètement dans ma petite chambre d'hôtel. Mais la décadence s'est accélérée plus vite que je ne l'imaginais. Dès l'automne 2027, les réformes ont frappé dur. Les écoles imposaient des cours obligatoires sur la "théorie du genre" dès la maternelle – des gamins de 5 ans apprenaient que le sexe biologique était un "construct social oppressif". Mon entreprise a dû virer 20% de ses employés blancs masculins pour respecter les quotas de diversité ; j'ai survécu parce que j'étais étranger, mais on m'a forcé à assister à des ateliers où on nous accusait d'être des "privilégiés toxiques". Les églises catholiques, déjà en déclin, ont vu leurs subventions coupées si elles ne "s'alignaient" pas sur l'agenda woke : mariages gays obligatoires, sermons sur l'écoféminisme queer. J'ai vu un prêtre se faire arrêter pour avoir prêché contre l'avortement tardif – qualifié de "discours haineux".

2028 a été l'année de la bascule. Les émeutes ont repris, mais cette fois orchestrées : des groupes militants LGBT+ et antifa, financés par l'État, bloquaient les rues pour exiger plus. La police, réformée pour être "inclusive", n'intervenait plus contre les "marginalisés". Paris est devenue une zone de non-droit : tags partout clamant "Mort au patriarcat blanc", attaques contre les statues de figures historiques comme Napoléon, rebaptisées "symboles de suprémacisme". L'économie s'effondrait – nationalisations forcées, entreprises fuyant vers l'Est, chômage à 25%. Moi, je bossais 60 heures par semaine pour un salaire gelé, taxé à mort pour financer des "programmes de réparation" pour les descendants de colonisés. Ma copine française de l'époque, une fille sympa et hétéro comme moi, a commencé à douter : ses amies la poussaient à "explorer sa fluidité", et bientôt, elle m'a quitté pour une "relation polyamoureuse non-binaire". C'était le début de la pression sociale : être hétéro cis était vu comme rétrograde, presque criminel.

La décadence extrême est arrivée en 2029. Famine énergétique après des blackouts imposés pour "sauver la planète", mais en réalité pour punir les "consommateurs privilégiés". Les migrants, arrivés par millions sans contrôle, formaient des enclaves où la loi française ne s'appliquait plus. Mélenchon a radicalisé son discours : dissolution de l'armée "impérialiste", alliance avec des régimes islamistes radicaux sous couvert d'"antiracisme". Les chrétiens comme moi étaient ciblés – croix interdites dans les espaces publics, Bible classée comme "littérature extrémiste". J'ai vu des amis se faire tabasser pour avoir porté une médaille de saint Christophe. C'est là que j'ai craqué. En mars 2030, après une manif où des militants woke ont brûlé une cathédrale en criant "Libérez-nous du Dieu patriarcal", j'ai vendu tout ce que j'avais et fui vers les États-Unis. Donald Trump était au pouvoir pour son second mandat non consécutif, élu en 2024 sur une plateforme anti-woke, et l'Amérique semblait un havre de bon sens jusqu'à la fin de son mandat en janvier 2029.

Mais mon soulagement a été de courte durée. L'ère Trump s'est terminée en 2029, car il ne pouvait pas se représenter pour un troisième mandat en vertu du 22e amendement. Les républicains avaient choisi JD Vance, son ancien vice-président, comme candidat pour l'élection de 2028. Mais les démocrates, radicalisés par des années d'opposition, ont propulsé une coalition woke au pouvoir : une présidente non-binaire, alliée à des figures comme AOC et des militants trans, qui a écrasé Vance. Ils ont mis les bouchées quadruples – pas doubles, quadruples. Inspirés par ce qui se passait en Europe, ils ont accéléré : lois fédérales imposant des quotas raciaux et de genre partout, censure massive sur les réseaux pour tout "discours non-inclusif", et une réécriture de l'histoire américaine comme un "génocide perpétuel". Les universités, déjà bastions woke, sont devenues des camps d'endoctrinement obligatoires. Moi, de retour au pays, j'ai trouvé un job dans le Midwest, mais les signes étaient là : églises fermées pour "sécurité publique", médias étatiques poussant l'agenda LGBT+ comme religion d'État.

De 2030 à 2032, alors que je reconstruisais ma vie, la machine s'emballait. Les "thérapies de conversion" inversées – forçant les hétéros à questionner leur orientation. Les frontières ouvertes, inondant les villes de migrants qui votaient en bloc pour plus de wokisme. Et en 2032, l'élection qui a tout scellé : la Fédération Égalitaire Unie naissait des cendres de la Constitution, avec des purges contre les "réactionnaires" comme moi. C'était le pont entre la décadence française et l'enfer américain que je vis maintenant en 2057. Si j'avais su, j'aurais peut-être fui plus loin – mais où ? Le monde entier tombait comme des dominos.
il y a 2 jours
Trop long
il y a 2 jours
Trop long
tu aurais preferé une video tiktok sur un fond minecraft animé avec une voix ia et sous-titre de golmon ?
:chat_depite:
il y a 2 jours
il y a 2 jours
Plutôt réaliste
C'est encore plus percutant en changeant les mots woke et LGBT par hébraïque et juif
J'ai mon shitpostpass, shit post pass
il y a 2 jours
Je vois 0 différence avec aujourd'hui
:Booba_le_debile:
il y a 2 jours
:G__:
:P__:
:A__:
:L__:
:U__:
Je te ferais nettoyer mes bottes avec ta langue avant de t'écraser les couilles avec
:Ashley_queen:
il y a 2 jours
L'islam est les racailles n'existe pas tellement dans ton récit de l'apocalypse..
Il est mauvais grok
Français pur porc !
il y a 2 jours
Vu l'actu c'est un peu loupê, les wokes n'ont été qu'un foulard rouge des oligarques pour mettre en place une autre censure totalitaire
:sooogsx2:
il y a 2 jours
C'est marrant mais on sent que c'est un récit inspiré de la trame midwit
:kermit_lait:
il y a 2 jours
Palu
:QuoicouBITE:
Queer DZ et Patriote - team KJ mignon spé chat
il y a 2 jours
tu aurais preferé une video tiktok sur un fond minecraft animé avec une voix ia et sous-titre de golmon ?
:chat_depite:
Non juste un résumé
:chat_zoom:
"Si tu perds, alors tu perds. Là, on s'en fout. Si tu sais perdre avec un moral de gagneur, ça, c'est pas une défaite.."
il y a 2 jours
Post + sympa
:cafe:
il y a 2 jours