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Les parasites : alliés méconnus de la santé
On nous a toujours appris que les parasites étaient des ennemis, des envahisseurs à combattre avec des vermifuges, des médicaments, des désinfections constantes. Pourtant, cette vision manichéenne est loin de la réalité. Dans la nature, rien n’existe sans raison. Les bactéries, les virus, les champignons et même les parasites ont une fonction précise : celle d’aider à maintenir un équilibre dans l’organisme et de participer au grand processus de nettoyage et de régénération.
Un parasite ne s’installe pas au hasard dans un corps. Il prolifère uniquement dans un terrain qui lui est favorable. Et ce terrain n’est pas celui d’un individu vibrant de vitalité, mais celui d’un corps surchargé de déchets, de toxines accumulées et de tissus dégénérés. Le parasite se nourrit de ce qui est en excès, de ce qui stagne et encombre. Autrement dit : il mange ce que vous devriez éliminer. Là où l’organisme est trop intoxiqué ou trop affaibli pour faire le ménage, le parasite prend le relais.
On le voit dans la nature : chaque espèce a ses charognards. Dans l’écosystème intérieur qu’est notre corps, les parasites jouent ce rôle de charognard microscopique. Ils digèrent, ils découpent, ils recyclent. En luttant contre eux, nous luttons contre notre propre système de nettoyage.
De nombreuses observations montrent que certaines infestations parasitaires réduisent l’incidence de maladies auto-immunes ou d’allergies. Pourquoi ? Parce que ces organismes rétablissent une activité immunitaire normale, obligent le corps à réajuster son terrain, et empêchent les défenses de se retourner contre des tissus sains. C’est une régulation naturelle, bien plus fine que toutes les molécules de synthèse.
Il faut comprendre que les parasites ne détruisent pas un organisme sain. Ils vivent en équilibre tant qu’il y a matière à nettoyer. Lorsqu’ils n’ont plus de déchets à consommer, leur cycle s’achève et ils disparaissent d’eux-mêmes, comme toute population qui n’a plus de ressources. Leur présence n’est donc pas une malédiction mais un signe : le signe qu’il y a un excès de toxines à éliminer.
C’est pourquoi les peuples traditionnels, vivant encore au contact de la nature et consommant des aliments crus et non transformés, ne craignaient pas les parasites. Ils savaient que l’équilibre global du corps passait par une coopération avec ces organismes invisibles. Les Occidentaux, eux, intoxiqués par des décennies de produits chimiques, de cuissons excessives, de polluants et de stress, ont fait des parasites leurs boucs émissaires, comme si leur simple existence expliquait tous leurs maux. En réalité, ce n’est pas le parasite qui rend malade, c’est le terrain malade qui appelle le parasite.
Ainsi, vouloir “tuer tous les parasites” par des traitements agressifs revient à casser un outil de nettoyage précieux, au prix d’un affaiblissement supplémentaire de l’organisme. Ce qu’il faut, ce n’est pas éradiquer la vie microscopique mais la comprendre et la respecter. En renforçant son corps par une alimentation vivante – viandes crues, graisses crues, lait cru, œufs crus – et en réduisant sa charge toxique, on permet aux parasites de faire leur travail sans danger et de disparaître naturellement une fois la mission accomplie.
Les parasites, loin d’être nos ennemis, sont les éboueurs de notre organisme. Ils participent à la déconstruction pour permettre la reconstruction. Les craindre, c’est ignorer l’intelligence de la nature. Les accepter, c’est reconnaître que la santé n’est pas un état figé mais un processus dynamique de nettoyage et de régénération, où chaque acteur, même le plus petit, a sa place.
On nous a toujours appris que les parasites étaient des ennemis, des envahisseurs à combattre avec des vermifuges, des médicaments, des désinfections constantes. Pourtant, cette vision manichéenne est loin de la réalité. Dans la nature, rien n’existe sans raison. Les bactéries, les virus, les champignons et même les parasites ont une fonction précise : celle d’aider à maintenir un équilibre dans l’organisme et de participer au grand processus de nettoyage et de régénération.
Un parasite ne s’installe pas au hasard dans un corps. Il prolifère uniquement dans un terrain qui lui est favorable. Et ce terrain n’est pas celui d’un individu vibrant de vitalité, mais celui d’un corps surchargé de déchets, de toxines accumulées et de tissus dégénérés. Le parasite se nourrit de ce qui est en excès, de ce qui stagne et encombre. Autrement dit : il mange ce que vous devriez éliminer. Là où l’organisme est trop intoxiqué ou trop affaibli pour faire le ménage, le parasite prend le relais.
On le voit dans la nature : chaque espèce a ses charognards. Dans l’écosystème intérieur qu’est notre corps, les parasites jouent ce rôle de charognard microscopique. Ils digèrent, ils découpent, ils recyclent. En luttant contre eux, nous luttons contre notre propre système de nettoyage.
De nombreuses observations montrent que certaines infestations parasitaires réduisent l’incidence de maladies auto-immunes ou d’allergies. Pourquoi ? Parce que ces organismes rétablissent une activité immunitaire normale, obligent le corps à réajuster son terrain, et empêchent les défenses de se retourner contre des tissus sains. C’est une régulation naturelle, bien plus fine que toutes les molécules de synthèse.
Il faut comprendre que les parasites ne détruisent pas un organisme sain. Ils vivent en équilibre tant qu’il y a matière à nettoyer. Lorsqu’ils n’ont plus de déchets à consommer, leur cycle s’achève et ils disparaissent d’eux-mêmes, comme toute population qui n’a plus de ressources. Leur présence n’est donc pas une malédiction mais un signe : le signe qu’il y a un excès de toxines à éliminer.
C’est pourquoi les peuples traditionnels, vivant encore au contact de la nature et consommant des aliments crus et non transformés, ne craignaient pas les parasites. Ils savaient que l’équilibre global du corps passait par une coopération avec ces organismes invisibles. Les Occidentaux, eux, intoxiqués par des décennies de produits chimiques, de cuissons excessives, de polluants et de stress, ont fait des parasites leurs boucs émissaires, comme si leur simple existence expliquait tous leurs maux. En réalité, ce n’est pas le parasite qui rend malade, c’est le terrain malade qui appelle le parasite.
Ainsi, vouloir “tuer tous les parasites” par des traitements agressifs revient à casser un outil de nettoyage précieux, au prix d’un affaiblissement supplémentaire de l’organisme. Ce qu’il faut, ce n’est pas éradiquer la vie microscopique mais la comprendre et la respecter. En renforçant son corps par une alimentation vivante – viandes crues, graisses crues, lait cru, œufs crus – et en réduisant sa charge toxique, on permet aux parasites de faire leur travail sans danger et de disparaître naturellement une fois la mission accomplie.
Les parasites, loin d’être nos ennemis, sont les éboueurs de notre organisme. Ils participent à la déconstruction pour permettre la reconstruction. Les craindre, c’est ignorer l’intelligence de la nature. Les accepter, c’est reconnaître que la santé n’est pas un état figé mais un processus dynamique de nettoyage et de régénération, où chaque acteur, même le plus petit, a sa place.
il y a 11 heures
Tu peux faire un topic sur les bienfaits des intoxications alimentaires à cause des viandes avariées stp?

il y a 11 heures
15Mars2023
11h
Tu peux faire un topic sur les bienfaits des intoxications alimentaires à cause des viandes avariées stp?
ça fait mal au bide quand la viande est pas de qualité mais sinon pas eux probleme pour l'instant avec de la viande qualité irréprochable. Pour l'instant je peux pas prononcer j'en ai pas consommer beaucoup c'est uniquement pour les gens bien habituer au crue une personne normal ne doit pas faire ça
il y a 11 heures
L'op a un parasite dans la tete qui le controle
Il essaye de nous convaincre qu'il est pas dangereux pour nous infecter et nous controler aussi
Ils sont peut etre déjà au gouvernement
Il essaye de nous convaincre qu'il est pas dangereux pour nous infecter et nous controler aussi
Ils sont peut etre déjà au gouvernement
il y a 11 heures
QulbutoKhey
11h
T'as mangé quoi aujourd'hui ?
beurre et oeufs après je vais manger du lait cru fermenter et peut etre de la viande
il y a 11 heures
beurre et oeufs après je vais manger du lait cru fermenter et peut etre de la viande
Avec des gélules multi vitamine tu étais à deux pas de l'immortalité
il y a 9 heures