Je pense que le monde est animé par trois grand pôles : l'éducation, l'économie et l'écologie.
L'écologie
L'écologie arrive d'une manière assez extra-ordinaire sur le devant de la scène depuis 20 ans, d'ailleurs, longtemps, je n'ai pas compris pourquoi elle occupait une place si paradoxale : on nous prédit la fin du monde tous les ans et aucun mouvement de grande envergure apparaît.
Elle touche toutes les couches sociales, c'est une cause universellement partagée, elle conduit à la ritualisation de pratiques insignifiantes comme le tri des déchets qui ne sert à rien. Elle donne lieu à une police des moeurs et la violence des écolo est institutionnalisée. Elle permet la diabolisation facile et donc constitue un levier politique. La raison de l'importance de l'écologie est sans doute qu'elle est l'application pratique de la nouvelle religion universelle qui n'avait pas de rites et de prophètes.
L'économie
Là, l'autre point de réflexion est l'incroyable équilibre de l'économie. Presque personne n'a une thune et tout le monde a besoin d'argent. On a progressivement un mouvement de jeunes qui veulent travailler moins pour profiter de la vie. Cela ne contrarie pas vraiment l'intérêt de l'élite, car le but de fond, c'est d'éviter une économie parallèle permettant de renverser le pouvoir. La précarité conduit à se reposer sur les pouvoirs publics et les offres déjà disponibles. L'argent permet de créer de nouveaux domaines séparés.
Tout repose sur un équilibre, la société a été faite par les élites et ils préserver la situation d'équilibre qui leur permet de s'enrichir toujours plus et d'en faire profiter à leur cercle social. Au fond, si l'on avait une multitude de personnes aisées avec des réserves, elles finiraient par créer zones résidentielles protégées pour pouvoir éduquer leurs enfants dans des cadres sains, avec une alimentation de qualité, loin de la corruption morale, de la violence. Là, ils sont contraints de subir les conséquences des banlieues, vu qu'ils servent de tampon entre les puissants et les cités.
Et les banlieues servent à produire une paupérisation de la population, contrainte de rester soumise à cause du poids social et sociétal.
L'éducation
Ce sujet est assez traité, je n'ai pas besoin de m'étendre, Di Vizio en parle très bien
L'écologie
L'écologie arrive d'une manière assez extra-ordinaire sur le devant de la scène depuis 20 ans, d'ailleurs, longtemps, je n'ai pas compris pourquoi elle occupait une place si paradoxale : on nous prédit la fin du monde tous les ans et aucun mouvement de grande envergure apparaît.
Elle touche toutes les couches sociales, c'est une cause universellement partagée, elle conduit à la ritualisation de pratiques insignifiantes comme le tri des déchets qui ne sert à rien. Elle donne lieu à une police des moeurs et la violence des écolo est institutionnalisée. Elle permet la diabolisation facile et donc constitue un levier politique. La raison de l'importance de l'écologie est sans doute qu'elle est l'application pratique de la nouvelle religion universelle qui n'avait pas de rites et de prophètes.
L'économie
Là, l'autre point de réflexion est l'incroyable équilibre de l'économie. Presque personne n'a une thune et tout le monde a besoin d'argent. On a progressivement un mouvement de jeunes qui veulent travailler moins pour profiter de la vie. Cela ne contrarie pas vraiment l'intérêt de l'élite, car le but de fond, c'est d'éviter une économie parallèle permettant de renverser le pouvoir. La précarité conduit à se reposer sur les pouvoirs publics et les offres déjà disponibles. L'argent permet de créer de nouveaux domaines séparés.
Tout repose sur un équilibre, la société a été faite par les élites et ils préserver la situation d'équilibre qui leur permet de s'enrichir toujours plus et d'en faire profiter à leur cercle social. Au fond, si l'on avait une multitude de personnes aisées avec des réserves, elles finiraient par créer zones résidentielles protégées pour pouvoir éduquer leurs enfants dans des cadres sains, avec une alimentation de qualité, loin de la corruption morale, de la violence. Là, ils sont contraints de subir les conséquences des banlieues, vu qu'ils servent de tampon entre les puissants et les cités.
Et les banlieues servent à produire une paupérisation de la population, contrainte de rester soumise à cause du poids social et sociétal.
L'éducation
Ce sujet est assez traité, je n'ai pas besoin de m'étendre, Di Vizio en parle très bien
Je pense que le monde est animé par trois grand pôles : l'éducation, l'économie et l'écologie.
L'écologie
L'écologie arrive d'une manière assez extra-ordinaire sur le devant de la scène depuis 20 ans, d'ailleurs, longtemps, je n'ai pas compris pourquoi elle occupait une place si paradoxale : on nous prédit la fin du monde tous les ans et aucun mouvement de grande envergure apparaît.
Elle touche toutes les couches sociales, c'est une cause universellement partagée, elle conduit à la ritualisation de pratiques insignifiantes comme le tri des déchets qui ne sert à rien. Elle donne lieu à une police des moeurs et la violence des écolo est institutionnalisée. Elle permet la diabolisation facile et donc constitue un levier politique. La raison de l'importance de l'écologie est sans doute qu'elle est l'application pratique de la nouvelle religion universelle qui n'avait pas de rites et de prophètes.
L'économie
Là, l'autre point de réflexion est l'incroyable équilibre de l'économie. Presque personne n'a une thune et tout le monde a besoin d'argent. On a progressivement un mouvement de jeunes qui veulent travailler moins pour profiter de la vie. Cela ne contrarie pas vraiment l'intérêt de l'élite, car le but de fond, c'est d'éviter une économie parallèle permettant de renverser le pouvoir. La précarité conduit à se reposer sur les pouvoirs publics et les offres déjà disponibles. L'argent permet de créer de nouveaux domaines séparés.
Tout repose sur un équilibre, la société a été faite par les élites et ils préserver la situation d'équilibre qui leur permet de s'enrichir toujours plus et d'en faire profiter à leur cercle social. Au fond, si l'on avait une multitude de personnes aisées avec des réserves, elles finiraient par créer zones résidentielles protégées pour pouvoir éduquer leurs enfants dans des cadres sains, avec une alimentation de qualité, loin de la corruption morale, de la violence. Là, ils sont contraints de subir les conséquences des banlieues, vu qu'ils servent de tampon entre les puissants et les cités.
Et les banlieues servent à produire une paupérisation de la population, contrainte de rester soumise à cause du poids social et sociétal.
L'éducation
Ce sujet est assez traité, je n'ai pas besoin de m'étendre, Di Vizio en parle très bien
L'écologie
L'écologie arrive d'une manière assez extra-ordinaire sur le devant de la scène depuis 20 ans, d'ailleurs, longtemps, je n'ai pas compris pourquoi elle occupait une place si paradoxale : on nous prédit la fin du monde tous les ans et aucun mouvement de grande envergure apparaît.
Elle touche toutes les couches sociales, c'est une cause universellement partagée, elle conduit à la ritualisation de pratiques insignifiantes comme le tri des déchets qui ne sert à rien. Elle donne lieu à une police des moeurs et la violence des écolo est institutionnalisée. Elle permet la diabolisation facile et donc constitue un levier politique. La raison de l'importance de l'écologie est sans doute qu'elle est l'application pratique de la nouvelle religion universelle qui n'avait pas de rites et de prophètes.
L'économie
Là, l'autre point de réflexion est l'incroyable équilibre de l'économie. Presque personne n'a une thune et tout le monde a besoin d'argent. On a progressivement un mouvement de jeunes qui veulent travailler moins pour profiter de la vie. Cela ne contrarie pas vraiment l'intérêt de l'élite, car le but de fond, c'est d'éviter une économie parallèle permettant de renverser le pouvoir. La précarité conduit à se reposer sur les pouvoirs publics et les offres déjà disponibles. L'argent permet de créer de nouveaux domaines séparés.
Tout repose sur un équilibre, la société a été faite par les élites et ils préserver la situation d'équilibre qui leur permet de s'enrichir toujours plus et d'en faire profiter à leur cercle social. Au fond, si l'on avait une multitude de personnes aisées avec des réserves, elles finiraient par créer zones résidentielles protégées pour pouvoir éduquer leurs enfants dans des cadres sains, avec une alimentation de qualité, loin de la corruption morale, de la violence. Là, ils sont contraints de subir les conséquences des banlieues, vu qu'ils servent de tampon entre les puissants et les cités.
Et les banlieues servent à produire une paupérisation de la population, contrainte de rester soumise à cause du poids social et sociétal.
L'éducation
Ce sujet est assez traité, je n'ai pas besoin de m'étendre, Di Vizio en parle très bien
Par economie parallèlles, tu parles dans le milieux criminel ? Ou bien d'economie parallèlles non criminelles ? Cela m'interesse.
Par economie parallèlles, tu parles dans le milieux criminel ? Ou bien d'economie parallèlles non criminelles ? Cela m'interesse.
Non criminelles, je pense que les outils de répression des mafias sont connus, mais je pense que les économies parallèles non criminelles sont avortées par notre système actuel
Non criminelles, je pense que les outils de répression des mafias sont connus, mais je pense que les économies parallèles non criminelles sont avortées par notre système actuel
Auraient tu des idées d'economies parallèlles non criminelles, s'il te plait ?
Je pense que le monde est animé par trois grand pôles : l'éducation, l'économie et l'écologie.
L'écologie
L'écologie arrive d'une manière assez extra-ordinaire sur le devant de la scène depuis 20 ans, d'ailleurs, longtemps, je n'ai pas compris pourquoi elle occupait une place si paradoxale : on nous prédit la fin du monde tous les ans et aucun mouvement de grande envergure apparaît.
Elle touche toutes les couches sociales, c'est une cause universellement partagée, elle conduit à la ritualisation de pratiques insignifiantes comme le tri des déchets qui ne sert à rien. Elle donne lieu à une police des moeurs et la violence des écolo est institutionnalisée. Elle permet la diabolisation facile et donc constitue un levier politique. La raison de l'importance de l'écologie est sans doute qu'elle est l'application pratique de la nouvelle religion universelle qui n'avait pas de rites et de prophètes.
L'économie
Là, l'autre point de réflexion est l'incroyable équilibre de l'économie. Presque personne n'a une thune et tout le monde a besoin d'argent. On a progressivement un mouvement de jeunes qui veulent travailler moins pour profiter de la vie. Cela ne contrarie pas vraiment l'intérêt de l'élite, car le but de fond, c'est d'éviter une économie parallèle permettant de renverser le pouvoir. La précarité conduit à se reposer sur les pouvoirs publics et les offres déjà disponibles. L'argent permet de créer de nouveaux domaines séparés.
Tout repose sur un équilibre, la société a été faite par les élites et ils préserver la situation d'équilibre qui leur permet de s'enrichir toujours plus et d'en faire profiter à leur cercle social. Au fond, si l'on avait une multitude de personnes aisées avec des réserves, elles finiraient par créer zones résidentielles protégées pour pouvoir éduquer leurs enfants dans des cadres sains, avec une alimentation de qualité, loin de la corruption morale, de la violence. Là, ils sont contraints de subir les conséquences des banlieues, vu qu'ils servent de tampon entre les puissants et les cités.
Et les banlieues servent à produire une paupérisation de la population, contrainte de rester soumise à cause du poids social et sociétal.
L'éducation
Ce sujet est assez traité, je n'ai pas besoin de m'étendre, Di Vizio en parle très bien
L'écologie
L'écologie arrive d'une manière assez extra-ordinaire sur le devant de la scène depuis 20 ans, d'ailleurs, longtemps, je n'ai pas compris pourquoi elle occupait une place si paradoxale : on nous prédit la fin du monde tous les ans et aucun mouvement de grande envergure apparaît.
Elle touche toutes les couches sociales, c'est une cause universellement partagée, elle conduit à la ritualisation de pratiques insignifiantes comme le tri des déchets qui ne sert à rien. Elle donne lieu à une police des moeurs et la violence des écolo est institutionnalisée. Elle permet la diabolisation facile et donc constitue un levier politique. La raison de l'importance de l'écologie est sans doute qu'elle est l'application pratique de la nouvelle religion universelle qui n'avait pas de rites et de prophètes.
L'économie
Là, l'autre point de réflexion est l'incroyable équilibre de l'économie. Presque personne n'a une thune et tout le monde a besoin d'argent. On a progressivement un mouvement de jeunes qui veulent travailler moins pour profiter de la vie. Cela ne contrarie pas vraiment l'intérêt de l'élite, car le but de fond, c'est d'éviter une économie parallèle permettant de renverser le pouvoir. La précarité conduit à se reposer sur les pouvoirs publics et les offres déjà disponibles. L'argent permet de créer de nouveaux domaines séparés.
Tout repose sur un équilibre, la société a été faite par les élites et ils préserver la situation d'équilibre qui leur permet de s'enrichir toujours plus et d'en faire profiter à leur cercle social. Au fond, si l'on avait une multitude de personnes aisées avec des réserves, elles finiraient par créer zones résidentielles protégées pour pouvoir éduquer leurs enfants dans des cadres sains, avec une alimentation de qualité, loin de la corruption morale, de la violence. Là, ils sont contraints de subir les conséquences des banlieues, vu qu'ils servent de tampon entre les puissants et les cités.
Et les banlieues servent à produire une paupérisation de la population, contrainte de rester soumise à cause du poids social et sociétal.
L'éducation
Ce sujet est assez traité, je n'ai pas besoin de m'étendre, Di Vizio en parle très bien
Bof
La chouette de Minerve s'envole et puis t'encule
En fait, il s'agit plutôt de créer une puissance financière pour avoir des structures de proximité sans influence de l'Etat, notamment dans le domaine éducatif, dans le domaine sécuritaire (je pense qu'il faut pouvoir payer une sécurité actuellement), il faut pouvoir créer des isolats culturels pour pouvoir préserver une identité, il faut pouvoir renforcer les structures religieuses, etc. Tout ça repose sur une économie forte
En fait, il s'agit plutôt de créer une puissance financière pour avoir des structures de proximité sans influence de l'Etat, notamment dans le domaine éducatif, dans le domaine sécuritaire (je pense qu'il faut pouvoir payer une sécurité actuellement), il faut pouvoir créer des isolats culturels pour pouvoir préserver une identité, il faut pouvoir renforcer les structures religieuses, etc. Tout ça repose sur une économie forte
Donc, une economie parallèle forte ?
Je ne me prononce même pas à ce sujet, quand bien même il existe, les cops n'atteignent jamais les objectifs fixés
Tout ça, c'est du bullshit, une religion nouvelle
Tout ça, c'est du bullshit, une religion nouvelle
Donc, une economie parallèle forte ?
Oui