Quelques passages de l'article de blog d'Andrew Torba, le CEO :
Notre anniversaire tombe chaque année le 15 août. Des siècles plus tôt, cette même date marquait le départ de la Première Croisade en 1096 — un parallèle que je ne considère plus comme une simple coïncidence. Lorsque j’ai ouvert mon ordinateur portable dans ce café de province en 2016, je n’avais aucune illusion : il ne s’agissait pas de créer une plateforme sociale, mais de lancer une campagne pour sauver l’un des piliers de la civilisation occidentale — la liberté d’expression, ouverte et sans entraves — menacée par une coalition bien décidée à l’éteindre.
De Tallahassee à Sacramento, les capitoles d’État ont commencé à adopter des lois contre le prétendu « discours de haine antisémite », dont l’effet réel est de criminaliser une parole pourtant protégée, dès lors qu’elle critique Israël ou les Juifs en tant que collectif. Je revois encore le gouverneur DeSantis s’envoler pour Israël afin d’y promulguer une de ces lois. Mais que fait le gouverneur d’un État américain, à l’étranger, en train de signer une législation qui réduit ses propres citoyens au silence ? Lui, comme tant d’autres, est acheté corps et âme par des intérêts étrangers.
En 2016, nous sommes partis avec cette conviction impopulaire : les mots appartiennent à ceux qui les prononcent. Aujourd’hui, les fronts se sont multipliés, les adversaires se sont enrichis, et pourtant la mission n’a jamais été aussi limpide. Alors nous aiguisons nos claviers et prions dans le même souffle, prêts à entamer une nouvelle campagne de neuf ans sur le front numérique. La croisade continue — non pour la conquête, mais pour la conscience. Et nous sommes fiers d’avoir chacun d’entre vous, debout, épaule contre épaule, dans nos rangs.
https://news.gab.com/2025[...]or-free-speech-continues/
Pour rappel Andrew Torba est l'un des seuls à avoir soutenu Trump quand les démocrates ont essayé de lui faire porter la responsabilité de l'attaque du Capitole.
Notre anniversaire tombe chaque année le 15 août. Des siècles plus tôt, cette même date marquait le départ de la Première Croisade en 1096 — un parallèle que je ne considère plus comme une simple coïncidence. Lorsque j’ai ouvert mon ordinateur portable dans ce café de province en 2016, je n’avais aucune illusion : il ne s’agissait pas de créer une plateforme sociale, mais de lancer une campagne pour sauver l’un des piliers de la civilisation occidentale — la liberté d’expression, ouverte et sans entraves — menacée par une coalition bien décidée à l’éteindre.
De Tallahassee à Sacramento, les capitoles d’État ont commencé à adopter des lois contre le prétendu « discours de haine antisémite », dont l’effet réel est de criminaliser une parole pourtant protégée, dès lors qu’elle critique Israël ou les Juifs en tant que collectif. Je revois encore le gouverneur DeSantis s’envoler pour Israël afin d’y promulguer une de ces lois. Mais que fait le gouverneur d’un État américain, à l’étranger, en train de signer une législation qui réduit ses propres citoyens au silence ? Lui, comme tant d’autres, est acheté corps et âme par des intérêts étrangers.
En 2016, nous sommes partis avec cette conviction impopulaire : les mots appartiennent à ceux qui les prononcent. Aujourd’hui, les fronts se sont multipliés, les adversaires se sont enrichis, et pourtant la mission n’a jamais été aussi limpide. Alors nous aiguisons nos claviers et prions dans le même souffle, prêts à entamer une nouvelle campagne de neuf ans sur le front numérique. La croisade continue — non pour la conquête, mais pour la conscience. Et nous sommes fiers d’avoir chacun d’entre vous, debout, épaule contre épaule, dans nos rangs.
Pour rappel Andrew Torba est l'un des seuls à avoir soutenu Trump quand les démocrates ont essayé de lui faire porter la responsabilité de l'attaque du Capitole.
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