Ce sujet a été résolu
Jérôme est usé. Usé jusqu’à l’os. Chaque matin, il enfile son bleu de travail, serre ses chaussures de sécurité et prend la route dans le silence. Son métier, c’est du manuel, du dur, du physique. Les mains lui brûlent, le dos lui tire, et quand il finit la journée, après onze heures d’effort du lundi au samedi, il ne lui reste même plus la force de tenir debout.
Tout ça pour 1 800 € nets par mois. Les heures supp, son patron répète toujours qu’elles sont « incluses », qu’il « s’arrange » — mais au fond, Jérôme sait très bien : elles ne seront jamais payées.
Un jour, il a osé demander une augmentation. Pas grand-chose, juste de quoi respirer un peu mieux. Le patron a souri, presque amusé : « Je peux t’augmenter de 40 centimes de l’heure si tu veux. »
Quarante centimes. Même pas de quoi se payer un café par jour.
Jérôme se sent pris au piège. Chaque mois, il y a le crédit à payer. Pas le luxe, pas les voyages, juste le toit sur sa tête. Et quand son pote lui dit :
— « Pourquoi tu recommences pas des études ? Tu mérites mieux que ça… »
Il soupire.
— « Parce qu’il faut que je paie mon crédit. Et puis… faut bien cotiser pour la retraite, non ? »
Il rit jaune en disant « retraite », parce que lui-même n’y croit pas vraiment. Mais que peut-il faire d’autre ? Il serre les dents, avance, recommence, et s’éteint un peu plus chaque soir.
Jérôme n’est pas paresseux, il n’est pas bête, il n’est pas sans rêve. C’est juste qu’il se retrouve enfermé, broyé dans une machine plus grande que lui. Une machine qui prend ses forces, son temps, et qui ne lui laisse rien d’autre qu’un goût amer d’injustice.
Tout ça pour 1 800 € nets par mois. Les heures supp, son patron répète toujours qu’elles sont « incluses », qu’il « s’arrange » — mais au fond, Jérôme sait très bien : elles ne seront jamais payées.
Un jour, il a osé demander une augmentation. Pas grand-chose, juste de quoi respirer un peu mieux. Le patron a souri, presque amusé : « Je peux t’augmenter de 40 centimes de l’heure si tu veux. »
Quarante centimes. Même pas de quoi se payer un café par jour.
Jérôme se sent pris au piège. Chaque mois, il y a le crédit à payer. Pas le luxe, pas les voyages, juste le toit sur sa tête. Et quand son pote lui dit :
— « Pourquoi tu recommences pas des études ? Tu mérites mieux que ça… »
Il soupire.
— « Parce qu’il faut que je paie mon crédit. Et puis… faut bien cotiser pour la retraite, non ? »
Il rit jaune en disant « retraite », parce que lui-même n’y croit pas vraiment. Mais que peut-il faire d’autre ? Il serre les dents, avance, recommence, et s’éteint un peu plus chaque soir.
Jérôme n’est pas paresseux, il n’est pas bête, il n’est pas sans rêve. C’est juste qu’il se retrouve enfermé, broyé dans une machine plus grande que lui. Une machine qui prend ses forces, son temps, et qui ne lui laisse rien d’autre qu’un goût amer d’injustice.
il y a 11 heures
" il n’est pas bête ", " Jérôme se sent pris au piège. Chaque mois, il y a le crédit à payer. "
il y a 11 heures
lefou
11h
Jérôme est usé. Usé jusqu’à l’os. Chaque matin, il enfile son bleu de travail, serre ses chaussures de sécurité et prend la route dans le silence. Son métier, c’est du manuel, du dur, du physique. Les mains lui brûlent, le dos lui tire, et quand il finit la journée, après onze heures d’effort du lundi au samedi, il ne lui reste même plus la force de tenir debout.
Tout ça pour 1 800 € nets par mois. Les heures supp, son patron répète toujours qu’elles sont « incluses », qu’il « s’arrange » — mais au fond, Jérôme sait très bien : elles ne seront jamais payées.
Un jour, il a osé demander une augmentation. Pas grand-chose, juste de quoi respirer un peu mieux. Le patron a souri, presque amusé : « Je peux t’augmenter de 40 centimes de l’heure si tu veux. »
Quarante centimes. Même pas de quoi se payer un café par jour.
Jérôme se sent pris au piège. Chaque mois, il y a le crédit à payer. Pas le luxe, pas les voyages, juste le toit sur sa tête. Et quand son pote lui dit :
— « Pourquoi tu recommences pas des études ? Tu mérites mieux que ça… »
Il soupire.
— « Parce qu’il faut que je paie mon crédit. Et puis… faut bien cotiser pour la retraite, non ? »
Il rit jaune en disant « retraite », parce que lui-même n’y croit pas vraiment. Mais que peut-il faire d’autre ? Il serre les dents, avance, recommence, et s’éteint un peu plus chaque soir.
Jérôme n’est pas paresseux, il n’est pas bête, il n’est pas sans rêve. C’est juste qu’il se retrouve enfermé, broyé dans une machine plus grande que lui. Une machine qui prend ses forces, son temps, et qui ne lui laisse rien d’autre qu’un goût amer d’injustice.
Tout ça pour 1 800 € nets par mois. Les heures supp, son patron répète toujours qu’elles sont « incluses », qu’il « s’arrange » — mais au fond, Jérôme sait très bien : elles ne seront jamais payées.
Un jour, il a osé demander une augmentation. Pas grand-chose, juste de quoi respirer un peu mieux. Le patron a souri, presque amusé : « Je peux t’augmenter de 40 centimes de l’heure si tu veux. »
Quarante centimes. Même pas de quoi se payer un café par jour.
Jérôme se sent pris au piège. Chaque mois, il y a le crédit à payer. Pas le luxe, pas les voyages, juste le toit sur sa tête. Et quand son pote lui dit :
— « Pourquoi tu recommences pas des études ? Tu mérites mieux que ça… »
Il soupire.
— « Parce qu’il faut que je paie mon crédit. Et puis… faut bien cotiser pour la retraite, non ? »
Il rit jaune en disant « retraite », parce que lui-même n’y croit pas vraiment. Mais que peut-il faire d’autre ? Il serre les dents, avance, recommence, et s’éteint un peu plus chaque soir.
Jérôme n’est pas paresseux, il n’est pas bête, il n’est pas sans rêve. C’est juste qu’il se retrouve enfermé, broyé dans une machine plus grande que lui. Une machine qui prend ses forces, son temps, et qui ne lui laisse rien d’autre qu’un goût amer d’injustice.
1800 euros c'est déjà largement mieux payer que 40% de la population française hin
En tout cas Jérôme c'est clairement un camarade communiste qui s'ignore
En tout cas Jérôme c'est clairement un camarade communiste qui s'ignore
J'aime les chips saveur moutarde et le sexe sous amphétamine.
il y a 9 heures
mais cassez vous d'afronce vendez tout et ciao
https://www.youtube.com/watch?v=O5UIBAzDx08
il y a 9 heures
1800 euros c'est déjà largement mieux payer que 40% de la population française hin
En tout cas Jérôme c'est clairement un camarade communiste qui s'ignore
En tout cas Jérôme c'est clairement un camarade communiste qui s'ignore
toi ta geule fils de pute de gauchiasse
https://www.youtube.com/watch?v=O5UIBAzDx08
il y a 9 heures
toi ta geule fils de pute de gauchiasse
T'as voulu dire : "CHAD ALPHA DE GAUCHE"
J'aime les chips saveur moutarde et le sexe sous amphétamine.
il y a 9 heures
T'as voulu dire : "CHAD ALPHA DE GAUCHE"
jamais vu un alfa de gauche vous finissez tous a la rue avec une 8.6 en espérant trouver une adresse pour parasiter les aides socials grosse merde
je vais bosser trou du cul ce que ta jamais fait
je vais bosser trou du cul ce que ta jamais fait

https://www.youtube.com/watch?v=O5UIBAzDx08
il y a 9 heures
lefou
11h
Jérôme est usé. Usé jusqu’à l’os. Chaque matin, il enfile son bleu de travail, serre ses chaussures de sécurité et prend la route dans le silence. Son métier, c’est du manuel, du dur, du physique. Les mains lui brûlent, le dos lui tire, et quand il finit la journée, après onze heures d’effort du lundi au samedi, il ne lui reste même plus la force de tenir debout.
Tout ça pour 1 800 € nets par mois. Les heures supp, son patron répète toujours qu’elles sont « incluses », qu’il « s’arrange » — mais au fond, Jérôme sait très bien : elles ne seront jamais payées.
Un jour, il a osé demander une augmentation. Pas grand-chose, juste de quoi respirer un peu mieux. Le patron a souri, presque amusé : « Je peux t’augmenter de 40 centimes de l’heure si tu veux. »
Quarante centimes. Même pas de quoi se payer un café par jour.
Jérôme se sent pris au piège. Chaque mois, il y a le crédit à payer. Pas le luxe, pas les voyages, juste le toit sur sa tête. Et quand son pote lui dit :
— « Pourquoi tu recommences pas des études ? Tu mérites mieux que ça… »
Il soupire.
— « Parce qu’il faut que je paie mon crédit. Et puis… faut bien cotiser pour la retraite, non ? »
Il rit jaune en disant « retraite », parce que lui-même n’y croit pas vraiment. Mais que peut-il faire d’autre ? Il serre les dents, avance, recommence, et s’éteint un peu plus chaque soir.
Jérôme n’est pas paresseux, il n’est pas bête, il n’est pas sans rêve. C’est juste qu’il se retrouve enfermé, broyé dans une machine plus grande que lui. Une machine qui prend ses forces, son temps, et qui ne lui laisse rien d’autre qu’un goût amer d’injustice.
Tout ça pour 1 800 € nets par mois. Les heures supp, son patron répète toujours qu’elles sont « incluses », qu’il « s’arrange » — mais au fond, Jérôme sait très bien : elles ne seront jamais payées.
Un jour, il a osé demander une augmentation. Pas grand-chose, juste de quoi respirer un peu mieux. Le patron a souri, presque amusé : « Je peux t’augmenter de 40 centimes de l’heure si tu veux. »
Quarante centimes. Même pas de quoi se payer un café par jour.
Jérôme se sent pris au piège. Chaque mois, il y a le crédit à payer. Pas le luxe, pas les voyages, juste le toit sur sa tête. Et quand son pote lui dit :
— « Pourquoi tu recommences pas des études ? Tu mérites mieux que ça… »
Il soupire.
— « Parce qu’il faut que je paie mon crédit. Et puis… faut bien cotiser pour la retraite, non ? »
Il rit jaune en disant « retraite », parce que lui-même n’y croit pas vraiment. Mais que peut-il faire d’autre ? Il serre les dents, avance, recommence, et s’éteint un peu plus chaque soir.
Jérôme n’est pas paresseux, il n’est pas bête, il n’est pas sans rêve. C’est juste qu’il se retrouve enfermé, broyé dans une machine plus grande que lui. Une machine qui prend ses forces, son temps, et qui ne lui laisse rien d’autre qu’un goût amer d’injustice.
Largement fantasmé.
La plupart des ouvriers vivent mieux que les salariés du tertiaire:
1) Les usines sont implantées en dehors des grandes villes, donc immobilier et cadre de vie moins cher.
2) De par leur métier les ouvriers développent des compétences qui leurs sont très utiles dans leur vie perso (retaper leur baraque , des petits travaux au black, de l'entraide contre services) + moyen de récupérer facilement des matériaux+ outils de leur travail pour chez eux
3) des horaires qui permettent d'avoir pas mal de temps libre
4) moyen de gratter facilement des primes, heures de nuit, astreinte, etc...
5) hormis quelques métiers du bâtiment (maçon, couvreur, ...) la plupart des métiers ne sont pas vraiment dangereux pour la santé, une bonne condition physique et une bonne hygiène de vie suffit pour être épargné
La plupart des ouvriers vivent mieux que les salariés du tertiaire:
1) Les usines sont implantées en dehors des grandes villes, donc immobilier et cadre de vie moins cher.
2) De par leur métier les ouvriers développent des compétences qui leurs sont très utiles dans leur vie perso (retaper leur baraque , des petits travaux au black, de l'entraide contre services) + moyen de récupérer facilement des matériaux+ outils de leur travail pour chez eux
3) des horaires qui permettent d'avoir pas mal de temps libre
4) moyen de gratter facilement des primes, heures de nuit, astreinte, etc...
5) hormis quelques métiers du bâtiment (maçon, couvreur, ...) la plupart des métiers ne sont pas vraiment dangereux pour la santé, une bonne condition physique et une bonne hygiène de vie suffit pour être épargné
Nachts steht Hunger starr in unserm Traum, Tags die Schüsse knallen her vom Waldessaum.
il y a 9 heures
jamais vu un alfa de gauche vous finissez tous a la rue avec une 8.6 en espérant trouver une adresse pour parasiter les aides socials grosse merde
je vais bosser trou du cul ce que ta jamais fait
je vais bosser trou du cul ce que ta jamais fait

Pour rappel : je suis actuellement au travail
J'aime les chips saveur moutarde et le sexe sous amphétamine.
il y a 9 heures