
Hormis sa propre personne.
Avant, je réagissais en fonction du bon vouloir de la société. Une fois accomplie, j'attendais une sorte de reconnaissance sociale de la part des autres.
Ensuite, j'attendais cette même reconnaissance, mais cette fois-ci en étant moi-même. Résultat toujours laborieux.
Maintenant, et après un long deuil franchi, je n'attends plus rien d'autrui, préférant prioriser mon bien-être personnel, au profit d'un autre, donc accentuer mon individualisme.
Cette libération intérieure m'a aidé à vivre pour moi. Quel cheat code, mine de rien, car chaque décision prise dépend de multiples facteurs, y compris social. Par exemple, un choix social qui pourrait impacter une famille entière (par conformités sociales, culture, égocentrisme ou ignorance), comme un mode de vie marginal, une transition de genre, ou que sais-je encore. Je n'ai rien à devoir envers quiconque, absolument rien. Je vis pour moi, pour atteindre mon rêve, mes objectifs personnels. C'est tout ce qui m'importe, en ce bas monde.