On en TALK de ce COUP DE MASSUE olfactif ?
Récemment on a remplacé la Portugaise qui faisait les carreaux et les sols de mon hall d'entrée par un Nègre débile tout droit échappé de sa forêt humide du bassin du Congo. Un. putain. de. cauchemar.
Déjà le type est complètement CON
Mais genre vraiment
Je sors faire des courses et je tombe sur lui en train de nettoyer un carreau de 30×30 cm, tout doucement, l’air totalement hagard, le regard vide, comme si son cerveau avait pris des vacances. On aurait dit qu’il faisait le test du miroir sur le carreau (qu’il rate magistralement, évidemment). 30 minutes plus tard, je reviens, et miracle : toujours sur le même carreau, toujours perdu dans sa contemplation existentielle
Maintenant venons-en au cœur du SUJET : l'odeur.
Je vais tenter de vous mettre en situation : l'ascenseur descend doucement les étages. Arrivé au RDC, la porte automatique s'ouvre sur le hall d'entrée. Il fait chaud. Très chaud (évidemment y'a pas de clim dans ce pays) :
Immédiatement, un RELENT DE FANGE vous transperce le nez. Une fragrance musquée, humide, acide, TROPICALE, s'accroche à vos narines comme un mauvais souvenir colonial du siècle passé.
A la manière des alpinistes s'aventurant au-delà de la zone de la mort dans l'Himalaya, chacun de vos pas est une SOUFFRANCE.
Vous n'avez que 10 mètres à traverser mais cette odeur de MERDE HUMIDE ayant macéré dans des CARCASSES vous coupe le souffle.
L'atmosphère n'a plus la même densité : ce FUMET EPAIS qui colle aux murs et aux vêtements transforme l'air en purée ACIDE.
Vous suffoquez.
Vos yeux piquent.
Chaque semi-inspiration est un rappel que le monde recèle de zones que le nez occidental n’aurait jamais dû explorer.
Chaque pas vous rapprochant de la porte qui sépare le dehors de cette CHAMBRE A GAZ maléfique que vous appeliez hier encore votre hall d'entrée vous rapproche également de la source fétide d'où émane ce RELENT DU CHAOS : la bête est au sol, en train de frotter les carreaux.
Dans son environnement immédiat l'air lui-même se met à VOMIR.
A chaque geste des milliards de molécules s'échappent de lui. Et chacune de ces molécules conspue l'humain que vous êtes.
Vous poussez la porte. Un vent chaud et collant de JUNGLE HOSTILE s'engouffre vers l'extérieur, imposant une ultime épreuve à vos cellules olfactives et aux pores de votre peau délicate.
Vous vacillez, mais vous tenez bon.
Malheureusement, le petit ensemble en lin que vous portez, marqué à jamais par l'épreuve, vous dote pour la semaine d'une fragrance de Sahel aux notes rances d'épices pourries et d'excréments de zébu.
Ai-je besoin de faire mention du délicieux Air de Bretagne de L'Artisan Parfumeur que vous veniez d'appliquer il y a 5 minutes à peine ? Ces senteurs salines et océanes des côtes bretonnes ont renoncé face à cette PUANTEUR POISSEUSE que vous venez d'affronter, et qui sera pour la journée votre seconde peau.
Vous êtes un Français. En France. Et en 2 (deux) minutes l'Afrique entière a vomit ses entrailles sur vous.
Peut-être même qu'une partie de votre ADN est maintenant congoïde.
Heureux d'avoir survécu, une pensée toute simple manque pourtant de provoquer un malaise vagal, vous forçant à vous écrouler sur un banc : « je vais bien devoir finir par rentrer. »
Histoire vraie. Vécue avant-hier
Je suis ressorti la nuit et ça sentait encore. J'ai bien peur que les murs soient contaminés pour toujours
Récemment on a remplacé la Portugaise qui faisait les carreaux et les sols de mon hall d'entrée par un Nègre débile tout droit échappé de sa forêt humide du bassin du Congo. Un. putain. de. cauchemar.
Déjà le type est complètement CON
Mais genre vraiment
Je sors faire des courses et je tombe sur lui en train de nettoyer un carreau de 30×30 cm, tout doucement, l’air totalement hagard, le regard vide, comme si son cerveau avait pris des vacances. On aurait dit qu’il faisait le test du miroir sur le carreau (qu’il rate magistralement, évidemment). 30 minutes plus tard, je reviens, et miracle : toujours sur le même carreau, toujours perdu dans sa contemplation existentielle
Maintenant venons-en au cœur du SUJET : l'odeur.
Je vais tenter de vous mettre en situation : l'ascenseur descend doucement les étages. Arrivé au RDC, la porte automatique s'ouvre sur le hall d'entrée. Il fait chaud. Très chaud (évidemment y'a pas de clim dans ce pays) :
Immédiatement, un RELENT DE FANGE vous transperce le nez. Une fragrance musquée, humide, acide, TROPICALE, s'accroche à vos narines comme un mauvais souvenir colonial du siècle passé.
A la manière des alpinistes s'aventurant au-delà de la zone de la mort dans l'Himalaya, chacun de vos pas est une SOUFFRANCE.
Vous n'avez que 10 mètres à traverser mais cette odeur de MERDE HUMIDE ayant macéré dans des CARCASSES vous coupe le souffle.
L'atmosphère n'a plus la même densité : ce FUMET EPAIS qui colle aux murs et aux vêtements transforme l'air en purée ACIDE.
Vous suffoquez.
Vos yeux piquent.
Chaque semi-inspiration est un rappel que le monde recèle de zones que le nez occidental n’aurait jamais dû explorer.
Chaque pas vous rapprochant de la porte qui sépare le dehors de cette CHAMBRE A GAZ maléfique que vous appeliez hier encore votre hall d'entrée vous rapproche également de la source fétide d'où émane ce RELENT DU CHAOS : la bête est au sol, en train de frotter les carreaux.
Dans son environnement immédiat l'air lui-même se met à VOMIR.
A chaque geste des milliards de molécules s'échappent de lui. Et chacune de ces molécules conspue l'humain que vous êtes.
Vous poussez la porte. Un vent chaud et collant de JUNGLE HOSTILE s'engouffre vers l'extérieur, imposant une ultime épreuve à vos cellules olfactives et aux pores de votre peau délicate.
Vous vacillez, mais vous tenez bon.
Malheureusement, le petit ensemble en lin que vous portez, marqué à jamais par l'épreuve, vous dote pour la semaine d'une fragrance de Sahel aux notes rances d'épices pourries et d'excréments de zébu.
Ai-je besoin de faire mention du délicieux Air de Bretagne de L'Artisan Parfumeur que vous veniez d'appliquer il y a 5 minutes à peine ? Ces senteurs salines et océanes des côtes bretonnes ont renoncé face à cette PUANTEUR POISSEUSE que vous venez d'affronter, et qui sera pour la journée votre seconde peau.
Vous êtes un Français. En France. Et en 2 (deux) minutes l'Afrique entière a vomit ses entrailles sur vous.
Peut-être même qu'une partie de votre ADN est maintenant congoïde.
Heureux d'avoir survécu, une pensée toute simple manque pourtant de provoquer un malaise vagal, vous forçant à vous écrouler sur un banc : « je vais bien devoir finir par rentrer. »
Histoire vraie. Vécue avant-hier
Je suis ressorti la nuit et ça sentait encore. J'ai bien peur que les murs soient contaminés pour toujours
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
Qu'a-t-on fait pour mériter un tel supplice ?
plou
pli
ploum
Suce le
écoote mon ptit pute
Consultant en mewing et fiscalité crypto
Qu'a-t-on fait pour mériter un tel supplice ?
Le bruit et l'odeur. Ils cherchent un rédacteur sur DP, tu devrais envoyer ta candidature.
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
Ca vient de mon hall d'entrée
Ca vient de mon hall d'entrée
Le bruit et l'odeur. Ils cherchent un rédacteur sur DP, tu devrais envoyer ta candidature.
Le niveau du B est beaucoup trop élevé, pas sûr d'être à la hauteur
Mdr
CA PUE DU CUL 
Le niveau du B est beaucoup trop élevé, pas sûr d'être à la hauteur
On ne sait jamais, demande... C'est payé au black en plus.
https://cnews.boats/a-propos-de-differents-trucs/
https://cnews.boats Juif qui parle, bouche qui ment.
Tu ne peux rien y faire et est obligé de subir les milliards de molécule encore en suspension qui ce sont immiscées jusqu’à ton appartement. Aère tout de suite si tu ne veux pas que ton ADN en soit corrompu
Bordel on serait sur JVC tu serais déjà devant madame la juge
Tuto pour vivre longtemps et en bonne santé (physique et mentale) : https://onche.org/topic/832673/