En gros quand je me masturbe et que le moment de l'éjaculation arrive, mon cerveau pense automatiquement sans que je le veuille à d'autres choses que de l'érotique, ducoup ça gâche le plaisir
Ex-musulman 🇹🇷
Ouai pareil quand j ejacule je pense à bouffer un truc
Monkey see Monkey do
Ouai pareil quand j ejacule je pense à bouffer un truc
Moi je pense à des personnes que je n'aime pas
C'est chiant
surtout que c'est un moment court donc le cerveau est facilement perturbé
C'est chiant
Ex-musulman 🇹🇷
Moi quand je regarde de l'anal j'ai systématiquement des pets qui me viennent. Je suis obligé d'arrêter ma branlette temporairement pour péter puis je reprend
Ouai pareil quand j ejacule je pense à bouffer un truc
Bah oui bouffer une bonne chatte
En gros quand je me masturbe et que le moment de l'éjaculation arrive, mon cerveau pense automatiquement sans que je le veuille à d'autres choses que de l'érotique, ducoup ça gâche le plaisir
Pense a ta collègue de bureau, la bonnasse. Imagine toi seul a seul en salle de réunion avec elle :
Vous êtes seuls.
Les stores filtrent la lumière, laissant des bandes dorées couper la table.
Tu es assis en face d’elle, un dossier ouvert, mais tes yeux n’y restent jamais longtemps.
Natacha pose son stylo et te fixe.
— Tu me regardes souvent, non ?
Tu restes immobile.
Tes doigts se crispent sur le bord de la table.
— Au bureau, j’veux dire.
J’ai l’impression que tu me mates.
Tout le temps.
Sa main effleure sa poitrine, comme si c’était un geste anodin.
Sous le coton fin de sa robe, ses seins bougent lentement, lourds.
— Surtout là…
Elle baisse les yeux vers sa poitrine, puis revient sur toi.
— Tu crois que je le vois pas ?
Que ça te brûle pas, quand t’essaies de pas fixer ?
Elle croise les bras sous ses seins, les remonte, les serre.
Tu sens ta respiration devenir plus courte.
— Dis-le.
Que tu regardes.
Que tu mates.
Tu souffles, bas :
— Oui… je te regarde.
Un léger sourire lui passe sur les lèvres.
Elle se penche vers toi, et le décolleté s’ouvre plus encore.
— Alors… si tu mates… tu vas me montrer.
Pas demain.
Maintenant.
Elle te tient dans son regard, sans ciller.
— Lèves -toi.
Baisse ton pantalon.
Montre-moi ta queue.
Vous êtes seuls.
Les stores filtrent la lumière, laissant des bandes dorées couper la table.
Tu es assis en face d’elle, un dossier ouvert, mais tes yeux n’y restent jamais longtemps.
Natacha pose son stylo et te fixe.
— Tu me regardes souvent, non ?
Tu restes immobile.
Tes doigts se crispent sur le bord de la table.
— Au bureau, j’veux dire.
J’ai l’impression que tu me mates.
Tout le temps.
Sa main effleure sa poitrine, comme si c’était un geste anodin.
Sous le coton fin de sa robe, ses seins bougent lentement, lourds.
— Surtout là…
Elle baisse les yeux vers sa poitrine, puis revient sur toi.
— Tu crois que je le vois pas ?
Que ça te brûle pas, quand t’essaies de pas fixer ?
Elle croise les bras sous ses seins, les remonte, les serre.
Tu sens ta respiration devenir plus courte.
— Dis-le.
Que tu regardes.
Que tu mates.
Tu souffles, bas :
— Oui… je te regarde.
Un léger sourire lui passe sur les lèvres.
Elle se penche vers toi, et le décolleté s’ouvre plus encore.
— Alors… si tu mates… tu vas me montrer.
Pas demain.
Maintenant.
Elle te tient dans son regard, sans ciller.
— Lèves -toi.
Baisse ton pantalon.
Montre-moi ta queue.
J'ai bandé
Ex-musulman 🇹🇷
Moi quand je regarde de l'anal j'ai systématiquement des pets qui me viennent. Je suis obligé d'arrêter ma branlette temporairement pour péter puis je reprend
Dans ton subconscient tu t'imagines à la place de l'actrice entrain de ce prendre le chibre dans le ass, ton rectum se relâche en fonction de la scène
Travail, Famille, Patrie. 
