Vous vous approchez de la fenêtre et vous.... [...]
Sentez cette odeur de jale basse mêlée à ce persil frisé si doux
Apercevez des hordes de nègres dehors
Vous vous approchez de la fenêtre et vous hurlez... comme ça, d’un coup, ça part... Vous leur tombez dessus... la dame maghrébine et sa marmaille... braillant dans leur sabir... vous leur crachez tout... que c’est pas un souk ici... que c’est pas la casbah... que vos oreilles elles saignent... qu’on est en France bordel !... Vous en perdez votre latin... et eux ils continuent... l’bazar, les cris... les gosses qui courent... vous en pouvez plus...
Je ne possède strictement rien. Sauf mon âme. 
Vous vous approchez de la fenêtre et vous hurlez... comme ça, d’un coup, ça part... Vous leur tombez dessus... la dame maghrébine et sa marmaille... braillant dans leur sabir... vous leur crachez tout... que c’est pas un souk ici... que c’est pas la casbah... que vos oreilles elles saignent... qu’on est en France bordel !... Vous en perdez votre latin... et eux ils continuent... l’bazar, les cris... les gosses qui courent... vous en pouvez plus...
Vous en avez plein le cul des jeunes décidément. Ce doit être votre peau.
Vous en avez plein le cul des jeunes décidément. Ce doit être votre peau.
Et vous vous réveillez de votre rêve humide dans votre chambre puante. Onche était encore ouvert sur votre ordi resté en veille, ainsi que votre cerveau. Il est temps de se déconnecter
Je ne suis pas @PazChrist
