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Ce rapport synthétise les observations recueillies auprès de deux interlocutrices concernant le GlopGlop, une pratique culturelle issue de la tradition orale africaine, décrite ici dans ses principales variantes.

:macronc:


Le GlopGlop de la faute :

Le GlopGlop de la faute, considéré comme le pendant du Remerciement, est réalisé à la discrétion de l’artisante, avant ou après une faute commise. En cas de faute grave, le receveur peut exiger une répétition quotidienne de ce rituel pendant une période maximale de quelques jours, sous réserve de validation par les membres de la famille du plaignant (désignés comme « membres XY »).

Exemple rapporté : Selon l’interlocutrice n°1, sa cousine, ayant endommagé le véhicule de son cousin, fut invitée par sa mère à fournir le GlopGlop quotidiennement pendant une semaine. Cette dernière s’est conformée à la demande.

Un second cas, relaté par l’interlocutrice n°2, concerne sa tante qui, dans sa jeunesse, tenta de commettre un vol chez une figure notable d'un village. Après les punitions par les occupantes de la maisonnée, celles-ci exigèrent qu’elle réalise le GlopGlop pour le maître de maison et son fils aîné le même soir. Cette expiation fut acceptée.

:Chatlimite:


Le GlopGlop nuptial.

Le GlopGlop nuptial intervient lorsqu’une prétendante souhaite témoigner de sa volonté d'engagement envers un potentiel partenaire. Il lui est alors recommandé d’offrir fréquemment le GlopGlop et d’en « absorber la résultante », un privilège distinct des autres formes de GlopGlop. Cette pratique vise a démontrer la compatibilité et la dévotion de celle qui cherche à acquérir ce nouveau statut.

:Csc1:


Le GlopGlop de courtoisie.

Selon l’interlocutrice n°1, dans certaines régions intérieures d’où une partie de sa famille fut originaire, le GlopGlop de courtoisie était une pratique ancienne mais toujours d'usage. Tout invité d’âge respectable peut en faire la demande à son hôte. En échange d’une compensation financière ou d’un arrangement amical, l'acte est généralement fournis selon un ordre de priorité par : La deuxième épouse, première fille de la deuxième épouse, fille de la première épouse, première épouse, et faute de présence autre, le fils.

:singemalade:


Conclusion

Les récits collectés, bien que potentiellement sujets à de légères approximations, confirment l’existence du GlopGlop comme une pratique culturelle aux multiples facettes, ancrée dans des contextes sociaux et familiaux variés. Ces témoignages mettent en lumière son rôle dans la régulation des interactions sociales, des expiations et des engagements au sein de la communauté.

:atome_prions:
il y a 23 jours
Ce sujet est inspiré d'histoires réelle racontez par deux étudiantes que j'ai eu le plaisir d'apprendre à connaître il y a quelques années. Celles-ci était hilare en train de se raconter les pires histoire de cul de leurs familles respectives avant que je ne les fasse répéter.

:moustachu:


Sur la dizaine d'africains sub-sahariens à qui j'ai fait confirmé : La moitié ont admis l'existence d'une variation du premier, 4 le deuxième et seulement un m'a confirmé avoir entendu parler du troisième. Après quelques recherches rapides quelques coutumes du genre existe bien en Afrique...

Le Glop Glop c'est le nom que l'interlocutrice n°1 a donné au bon gros sucage de Bite. Son qui chez les femmes dans sa famille signifiait "Sœur il faut que tu ailles sucer."

:Renoise:
il y a 23 jours
Up.
il y a 22 jours