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L’Histoire de Simon, l’Homme de la Forêt
Simon ne se lavait jamais, vingt-cinq ans, c' était un homme frêle, au visage anguleux et disgracieux, marqué par une peau blafarde et des yeux fuyants. Sa maigreur extrême, presque squelettique, semblait refléter une vie de privations, non pas de nourriture, mais d’affection et de confiance. Puceau, il portait cette condition comme une malédiction, un secret honteux qu’il dissimulait sous des couches de mépris pour le monde. Il vivait dans une petite ville bordée d’une forêt dense, un refuge où il se rendait presque quotidiennement pour échapper à la société qu’il abhorrait.
Dans la forêt, Simon trouvait un semblant de paix. Les arbres, silencieux, ne le jugeaient pas. Les sentiers sinueux, tapissés de feuilles mortes, lui offraient une solitude qu’il chérissait. Mais cette quiétude était fragile, car la forêt n’était pas déserte. Des promeneurs occasionnels, des joggeurs, des familles, venaient perturber son sanctuaire. Chaque rencontre était une épreuve. Lorsqu’un passant, par politesse, lançait un « Bonjour ! », Simon sentait son estomac se nouer. Répondre lui coûtait un effort surhumain. Il marmonnait un « ’jour » à peine audible, les mâchoires crispées, avant de s’éloigner précipitamment, le cœur battant.
Ce qu’il détestait par-dessus tout, c’était croiser certains types de personnes. Les « gros boomers », comme il les appelait, ces hommes et femmes d’âge mûr, souvent bedonnants, avec leurs sacs à dos et leurs bâtons de marche, l’irritaient profondément. Il les voyait comme des intrus, des envahisseurs de son espace. Les Noirs et les Arabes, qu’il croisait parfois, déclenchaient en lui une méfiance instinctive, nourrie par des préjugés qu’il n’avait jamais pris la peine de questionner. Mais son aversion la plus viscérale était réservée aux jeunes filles. Leur présence le paralysait. Leur rire, leurs cheveux soignés, leurs vêtements colorés, tout en elles semblait le narguer, lui rappeler sa solitude, son inexpérience, son rejet. Il les haïssait pour ce qu’elles représentaient : un monde auquel il n’appartenait pas.
Au fil des mois, la forêt, autrefois son refuge, devint le théâtre de sa descente dans l’obscurité. Simon, rongé par ses frustrations, commença à changer. Les « Bonjour » qu’il recevait n’étaient plus seulement une gêne, mais une provocation. Il se mit à ignorer les salutations, fixant le sol avec défi. Puis, un jour, quelque chose se brisa. Une jeune femme, d’une vingtaine d’années, croisa son chemin. Elle marchait seule, un sourire léger aux lèvres, et lui lança un « Bonjour » amical. Simon, submergé par une rage soudaine, murmura entre ses dents : « Pute. » Le mot, à peine audible, lui procura une étrange satisfaction, comme s’il avait repris un peu de contrôle sur ce monde qui le rejetait.
Ce premier incident marqua un tournant. Insulter les femmes devint une habitude, un rituel malsain. À chaque jeune fille croisée, il laissait échapper ce mot, « pute », parfois à voix basse, parfois plus fort, savourant le frisson de sa propre audace. Les promeneuses, souvent surprises ou indifférentes, ne réagissaient pas toujours. Certaines, choquées, accéléraient le pas, mais Simon s’en moquait. Il se sentait puissant, comme si ses insultes pouvaient exorciser sa douleur, sa solitude, son sentiment d’infériorité.
Pourtant, cette spirale ne lui apportait aucun répit. Chaque insulte creusait un peu plus le gouffre de sa solitude. La forêt, jadis son sanctuaire, devenait le miroir de sa propre noirceur. Il marchait des heures, parfois jusqu’à l’épuisement, espérant peut-être se perdre, disparaître dans les bois. Mais il revenait toujours, incapable de couper les ponts avec ce lieu qui, malgré tout, restait son seul refuge.
Un jour d’automne, alors que les feuilles dorées tapissaient le sol, Simon croisa une jeune femme différente. Elle marchait lentement, un carnet à la main, esquissant des dessins des arbres. Lorsqu’elle le vit, elle lui adressa un sourire timide et un « Bonjour » doux. Simon, fidèle à son rituel, murmura son insulte. Mais cette fois, elle s’arrêta. « Pardon, qu’est-ce que vous avez dit ? » demanda-t-elle, non pas avec colère, mais avec une curiosité sincère. Simon, pris de court, sentit son visage s’empourprer. Pour la première fois, il n’eut pas de réponse. Il tourna les talons et s’enfuit, trébuchant sur les racines, le cœur battant à tout rompre.
Ce soir-là, seul dans sa chambre, Simon ne trouva pas le sommeil. Le regard de cette femme, dénué de jugement, le hantait. Pour la première fois, il se demanda pourquoi il agissait ainsi. Était-ce vraiment les autres qu’il haïssait, ou lui-même ? La forêt, témoin de ses errances, ne lui offrait plus de réponses. Simon, l’homme brisé, continuait de marcher, mais une fissure s’était ouverte dans son armure. Peut-être, un jour, oserait-il la franchir.
Simon ne se lavait jamais, vingt-cinq ans, c' était un homme frêle, au visage anguleux et disgracieux, marqué par une peau blafarde et des yeux fuyants. Sa maigreur extrême, presque squelettique, semblait refléter une vie de privations, non pas de nourriture, mais d’affection et de confiance. Puceau, il portait cette condition comme une malédiction, un secret honteux qu’il dissimulait sous des couches de mépris pour le monde. Il vivait dans une petite ville bordée d’une forêt dense, un refuge où il se rendait presque quotidiennement pour échapper à la société qu’il abhorrait.
Dans la forêt, Simon trouvait un semblant de paix. Les arbres, silencieux, ne le jugeaient pas. Les sentiers sinueux, tapissés de feuilles mortes, lui offraient une solitude qu’il chérissait. Mais cette quiétude était fragile, car la forêt n’était pas déserte. Des promeneurs occasionnels, des joggeurs, des familles, venaient perturber son sanctuaire. Chaque rencontre était une épreuve. Lorsqu’un passant, par politesse, lançait un « Bonjour ! », Simon sentait son estomac se nouer. Répondre lui coûtait un effort surhumain. Il marmonnait un « ’jour » à peine audible, les mâchoires crispées, avant de s’éloigner précipitamment, le cœur battant.
Ce qu’il détestait par-dessus tout, c’était croiser certains types de personnes. Les « gros boomers », comme il les appelait, ces hommes et femmes d’âge mûr, souvent bedonnants, avec leurs sacs à dos et leurs bâtons de marche, l’irritaient profondément. Il les voyait comme des intrus, des envahisseurs de son espace. Les Noirs et les Arabes, qu’il croisait parfois, déclenchaient en lui une méfiance instinctive, nourrie par des préjugés qu’il n’avait jamais pris la peine de questionner. Mais son aversion la plus viscérale était réservée aux jeunes filles. Leur présence le paralysait. Leur rire, leurs cheveux soignés, leurs vêtements colorés, tout en elles semblait le narguer, lui rappeler sa solitude, son inexpérience, son rejet. Il les haïssait pour ce qu’elles représentaient : un monde auquel il n’appartenait pas.
Au fil des mois, la forêt, autrefois son refuge, devint le théâtre de sa descente dans l’obscurité. Simon, rongé par ses frustrations, commença à changer. Les « Bonjour » qu’il recevait n’étaient plus seulement une gêne, mais une provocation. Il se mit à ignorer les salutations, fixant le sol avec défi. Puis, un jour, quelque chose se brisa. Une jeune femme, d’une vingtaine d’années, croisa son chemin. Elle marchait seule, un sourire léger aux lèvres, et lui lança un « Bonjour » amical. Simon, submergé par une rage soudaine, murmura entre ses dents : « Pute. » Le mot, à peine audible, lui procura une étrange satisfaction, comme s’il avait repris un peu de contrôle sur ce monde qui le rejetait.
Ce premier incident marqua un tournant. Insulter les femmes devint une habitude, un rituel malsain. À chaque jeune fille croisée, il laissait échapper ce mot, « pute », parfois à voix basse, parfois plus fort, savourant le frisson de sa propre audace. Les promeneuses, souvent surprises ou indifférentes, ne réagissaient pas toujours. Certaines, choquées, accéléraient le pas, mais Simon s’en moquait. Il se sentait puissant, comme si ses insultes pouvaient exorciser sa douleur, sa solitude, son sentiment d’infériorité.
Pourtant, cette spirale ne lui apportait aucun répit. Chaque insulte creusait un peu plus le gouffre de sa solitude. La forêt, jadis son sanctuaire, devenait le miroir de sa propre noirceur. Il marchait des heures, parfois jusqu’à l’épuisement, espérant peut-être se perdre, disparaître dans les bois. Mais il revenait toujours, incapable de couper les ponts avec ce lieu qui, malgré tout, restait son seul refuge.
Un jour d’automne, alors que les feuilles dorées tapissaient le sol, Simon croisa une jeune femme différente. Elle marchait lentement, un carnet à la main, esquissant des dessins des arbres. Lorsqu’elle le vit, elle lui adressa un sourire timide et un « Bonjour » doux. Simon, fidèle à son rituel, murmura son insulte. Mais cette fois, elle s’arrêta. « Pardon, qu’est-ce que vous avez dit ? » demanda-t-elle, non pas avec colère, mais avec une curiosité sincère. Simon, pris de court, sentit son visage s’empourprer. Pour la première fois, il n’eut pas de réponse. Il tourna les talons et s’enfuit, trébuchant sur les racines, le cœur battant à tout rompre.
Ce soir-là, seul dans sa chambre, Simon ne trouva pas le sommeil. Le regard de cette femme, dénué de jugement, le hantait. Pour la première fois, il se demanda pourquoi il agissait ainsi. Était-ce vraiment les autres qu’il haïssait, ou lui-même ? La forêt, témoin de ses errances, ne lui offrait plus de réponses. Simon, l’homme brisé, continuait de marcher, mais une fissure s’était ouverte dans son armure. Peut-être, un jour, oserait-il la franchir.
⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝ Mieux vaut être raciste que mort ⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜ ONE TWO THREE NIKE L'ALGERIE
il y a 2 jours
L’Histoire de Simon, l’Homme de la Forêt (Suite)
Simon, désormais plus ombre qu’homme, s’enfonçait chaque jour davantage dans son propre abîme. À vingt-cinq ans, sa maigreur s’était accentuée, ses joues creusées par des nuits sans sommeil et des journées noyées dans l’alcool. La bière, qu’il achetait par packs entiers dans un supermarché à la sortie de la ville, était devenue son refuge temporaire. Il en buvait des litres, assis sur son lit défait, dans une chambre où s’entassaient des canettes vides et des vêtements sales. L’alcool engourdissait ses pensées, mais ne suffisait pas à apaiser la rage qui bouillonnait en lui. Chaque gorgée était une tentative vaine de fuir le regard de cette femme dans la forêt, celle qui, avec un simple « Pardon ? », avait ébranlé ses certitudes.
La forêt, autrefois son sanctuaire, était devenue un lieu de confrontation. Simon y retournait, non plus pour chercher la paix, mais pour défier le monde. Un soir, après avoir vidé un pack de six bières, il saisit une corde à linge abandonnée dans la cour de son immeuble. Il ne savait pas encore pourquoi il la prenait, mais son esprit, embrumé par l’alcool, semblait guidé par une pulsion obscure. Dans un élan absurde, il récupéra aussi un vieux caddie de supermarché rouillé, traîné derrière un conteneur à ordures. Il le chargea dans le coffre de sa vieille voiture et roula jusqu’au sentier forestier, le jerrican de bière bon marché à ses côtés.
Dans la forêt, sous un ciel crépusculaire, Simon titubait, la corde enroulée autour de son épaule, poussant le caddie grinçant sur le chemin. L’idée, vague et malsaine, était de tendre un piège, de confronter quelqu’un, n’importe qui, pour déverser sa colère. Il imaginait une femme, une de ces jeunes filles qu’il haïssait tant, trébuchant dans son caddie, et lui, enfin maître de la situation, l’insultant de « pute » jusqu’à ce que sa voix s’épuise. Dans son délire, c’était une façon de reprendre le contrôle, de se venger de ce monde qui l’avait toujours rejeté.
Il choisit un sentier étroit, où les promeneurs étaient rares à cette heure. Avec des gestes maladroits, il disposa la corde en travers du chemin, attachée à un arbre, et plaça le caddie à proximité, comme un appât grotesque. Puis il s’accroupit derrière un buisson, une canette à la main, attendant. L’alcool amplifiait ses pensées, les rendait confuses, mais aussi audacieuses. Il ricanait tout seul, imaginant une passante s’emmêler dans son piège ridicule.
Les heures passèrent. La forêt était silencieuse, hormis le chant des grillons et le bruissement des feuilles. Personne ne vint. Simon, engourdi par la bière et la fatigue, sentit sa colère s’effilocher. Le caddie, immobile, semblait se moquer de lui. La corde, mal tendue, s’était affaissée. Son plan, aussi absurde qu’il était, s’effondrait sous le poids de sa propre inutilité. Il se releva, chancelant, et but une nouvelle gorgée. « Pute », murmura-t-il dans le vide, mais le mot sonnait creux, dénué de la satisfaction qu’il lui procurait autrefois.
Alors qu’il s’apprêtait à abandonner, une silhouette apparut au loin. Une femme, peut-être une joggeuse, avançait sur le sentier. Simon se figea, son cœur s’emballant. Mais au lieu de ressentir du pouvoir, il fut submergé par une vague de honte. La femme passa sans remarquer la corde ni le caddie, son regard fixé droit devant. Elle ne lui adressa aucun « Bonjour », aucun sourire. Elle disparut dans l’obscurité, et Simon resta seul, accroupi dans les broussailles, la corde inutile à ses pieds.
Cette nuit-là, il ne rentra pas chez lui. Il s’assit contre un arbre, vidant les dernières canettes. La forêt, témoin de sa déchéance, semblait l’engloutir. Les insultes qu’il avait voulu crier s’étaient éteintes, remplacées par un vide oppressant. Simon, pour la première fois, se demanda s’il était vraiment l’homme qu’il voulait être. La corde à linge, le caddie, la bière : tout cela n’était qu’un reflet de sa propre impuissance. Il s’endormit là, sous les étoiles, un homme brisé par ses propres démons, dans une forêt qui ne lui offrait plus de refuge.
Le lendemain, il revint à la forêt, avec la corde. Il marcha, sobre pour la première fois depuis des semaines, et croisa une promeneuse. Lorsqu’elle lui lança un « Bonjour », il ne répondit pas. Mais il la pendit à un arbre avec la corde en la traitant de pute.
Simon, désormais plus ombre qu’homme, s’enfonçait chaque jour davantage dans son propre abîme. À vingt-cinq ans, sa maigreur s’était accentuée, ses joues creusées par des nuits sans sommeil et des journées noyées dans l’alcool. La bière, qu’il achetait par packs entiers dans un supermarché à la sortie de la ville, était devenue son refuge temporaire. Il en buvait des litres, assis sur son lit défait, dans une chambre où s’entassaient des canettes vides et des vêtements sales. L’alcool engourdissait ses pensées, mais ne suffisait pas à apaiser la rage qui bouillonnait en lui. Chaque gorgée était une tentative vaine de fuir le regard de cette femme dans la forêt, celle qui, avec un simple « Pardon ? », avait ébranlé ses certitudes.
La forêt, autrefois son sanctuaire, était devenue un lieu de confrontation. Simon y retournait, non plus pour chercher la paix, mais pour défier le monde. Un soir, après avoir vidé un pack de six bières, il saisit une corde à linge abandonnée dans la cour de son immeuble. Il ne savait pas encore pourquoi il la prenait, mais son esprit, embrumé par l’alcool, semblait guidé par une pulsion obscure. Dans un élan absurde, il récupéra aussi un vieux caddie de supermarché rouillé, traîné derrière un conteneur à ordures. Il le chargea dans le coffre de sa vieille voiture et roula jusqu’au sentier forestier, le jerrican de bière bon marché à ses côtés.
Dans la forêt, sous un ciel crépusculaire, Simon titubait, la corde enroulée autour de son épaule, poussant le caddie grinçant sur le chemin. L’idée, vague et malsaine, était de tendre un piège, de confronter quelqu’un, n’importe qui, pour déverser sa colère. Il imaginait une femme, une de ces jeunes filles qu’il haïssait tant, trébuchant dans son caddie, et lui, enfin maître de la situation, l’insultant de « pute » jusqu’à ce que sa voix s’épuise. Dans son délire, c’était une façon de reprendre le contrôle, de se venger de ce monde qui l’avait toujours rejeté.
Il choisit un sentier étroit, où les promeneurs étaient rares à cette heure. Avec des gestes maladroits, il disposa la corde en travers du chemin, attachée à un arbre, et plaça le caddie à proximité, comme un appât grotesque. Puis il s’accroupit derrière un buisson, une canette à la main, attendant. L’alcool amplifiait ses pensées, les rendait confuses, mais aussi audacieuses. Il ricanait tout seul, imaginant une passante s’emmêler dans son piège ridicule.
Les heures passèrent. La forêt était silencieuse, hormis le chant des grillons et le bruissement des feuilles. Personne ne vint. Simon, engourdi par la bière et la fatigue, sentit sa colère s’effilocher. Le caddie, immobile, semblait se moquer de lui. La corde, mal tendue, s’était affaissée. Son plan, aussi absurde qu’il était, s’effondrait sous le poids de sa propre inutilité. Il se releva, chancelant, et but une nouvelle gorgée. « Pute », murmura-t-il dans le vide, mais le mot sonnait creux, dénué de la satisfaction qu’il lui procurait autrefois.
Alors qu’il s’apprêtait à abandonner, une silhouette apparut au loin. Une femme, peut-être une joggeuse, avançait sur le sentier. Simon se figea, son cœur s’emballant. Mais au lieu de ressentir du pouvoir, il fut submergé par une vague de honte. La femme passa sans remarquer la corde ni le caddie, son regard fixé droit devant. Elle ne lui adressa aucun « Bonjour », aucun sourire. Elle disparut dans l’obscurité, et Simon resta seul, accroupi dans les broussailles, la corde inutile à ses pieds.
Cette nuit-là, il ne rentra pas chez lui. Il s’assit contre un arbre, vidant les dernières canettes. La forêt, témoin de sa déchéance, semblait l’engloutir. Les insultes qu’il avait voulu crier s’étaient éteintes, remplacées par un vide oppressant. Simon, pour la première fois, se demanda s’il était vraiment l’homme qu’il voulait être. La corde à linge, le caddie, la bière : tout cela n’était qu’un reflet de sa propre impuissance. Il s’endormit là, sous les étoiles, un homme brisé par ses propres démons, dans une forêt qui ne lui offrait plus de refuge.
Le lendemain, il revint à la forêt, avec la corde. Il marcha, sobre pour la première fois depuis des semaines, et croisa une promeneuse. Lorsqu’elle lui lança un « Bonjour », il ne répondit pas. Mais il la pendit à un arbre avec la corde en la traitant de pute.
⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝⇝ Mieux vaut être raciste que mort ⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜⇜ ONE TWO THREE NIKE L'ALGERIE
il y a 2 jours
punaise j'ai copié collé le texte sans même le lire, je suis mort de rire en lisant
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il y a 2 jours
Wooohma
2j
punaise j'ai copié collé le texte sans même le lire, je suis mort de rire en lisant
Source stp ?
il y a 2 jours
Source stp ?
Grok
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il y a 2 jours
Simon une fois rentré chez lui, décida de laisser la forêt un temps pour éviter de se faire prendre par la police et de se lancer dans une carrière scientifique. Fasciné par les mystères de l'univers et les lois de la physique, il rêvait de faire une découverte qui marquerait l'histoire. Cependant, il savait que le chemin serait long et semé d'embûches. Pour commencer, il voulait s'équiper d'un outil simple mais polyvalent : un four à micro-ondes. Il passa des heures sur Amazon, comparant les modèles, lisant les avis, et finalement, il commanda un appareil compact mais performant, parfait pour ses premières expériences.
Le colis arriva quelques jours plus tard, soigneusement emballé. Simon, excité comme une puce, déballa le four et l'installa dans sa petite cuisine, qu'il avait transformée en un laboratoire improvisé. Des carnets remplis de notes, des câbles électriques et des outils divers traînaient sur la table. Son idée était audacieuse : utiliser le four à micro-ondes pour étudier les interactions des ondes électromagnétiques avec différents matériaux. Il avait lu que les micro-ondes pouvaient chauffer les aliments en excitant les molécules d'eau, mais il voulait aller plus loin, explorer des applications inattendues, peut-être même découvrir un phénomène nouveau.
Simon prépara son expérience avec soin. Il avait acheté des échantillons de métaux, de liquides et de polymères pour tester leurs réactions dans le four. Mais, dans un moment d'impulsion, il eut une idée étrange : et si un matériau organique, comme sa propre tête, pouvait révéler quelque chose d'unique sur la diffusion des micro-ondes ? Il savait que c'était risqué, mais sa curiosité l'emportait. Il ouvrit la porte du four, y plaça sa tête, juste pour voir ce qui se passerait, sans vraiment réfléchir aux conséquences.
Rien ne se passa. Le four, conçu avec des sécurités modernes, refusa de démarrer. Simon se rendit compte que la porte ouverte empêchait le fonctionnement, un mécanisme de protection standard. Il éclata de rire, un peu gêné par son idée farfelue. "Qu'est-ce qui m'a pris ?" murmura-t-il, en secouant la tête. Il referma la porte et décida de revenir à ses expériences initiales. Ce moment d'égarement lui rappela l'importance de la rigueur scientifique. Il ne suffisait pas d'avoir des idées ; il fallait les tester méthodiquement.
Simon passa les jours suivants à expérimenter avec des matériaux inoffensifs. Il découvrit que certains polymères changeaient de structure sous l'effet des micro-ondes, ce qui l'amena à rédiger ses premières notes pour un article scientifique. Il contacta un professeur de physique d'une université locale, qui fut intrigué par ses résultats préliminaires. Encouragé, Simon s'inscrivit à des cours en ligne pour approfondir ses connaissances en électromagnétisme et en science des matériaux.
Au fil des mois, son petit laboratoire de cuisine devint un espace de créativité. Il commença à publier ses résultats sur des forums scientifiques, attirant l'attention d'autres passionnés. Simon réalisa que sa carrière scientifique ne faisait que commencer, mais cet incident avec le four à micro-ondes resta dans son esprit comme une leçon : la science exigeait de la curiosité, mais aussi de la prudence. Il rangea le four, désormais surnommé "le catalyseur", et se promit de toujours vérifier ses hypothèses avec soin avant de se lancer dans des expériences.
Le colis arriva quelques jours plus tard, soigneusement emballé. Simon, excité comme une puce, déballa le four et l'installa dans sa petite cuisine, qu'il avait transformée en un laboratoire improvisé. Des carnets remplis de notes, des câbles électriques et des outils divers traînaient sur la table. Son idée était audacieuse : utiliser le four à micro-ondes pour étudier les interactions des ondes électromagnétiques avec différents matériaux. Il avait lu que les micro-ondes pouvaient chauffer les aliments en excitant les molécules d'eau, mais il voulait aller plus loin, explorer des applications inattendues, peut-être même découvrir un phénomène nouveau.
Simon prépara son expérience avec soin. Il avait acheté des échantillons de métaux, de liquides et de polymères pour tester leurs réactions dans le four. Mais, dans un moment d'impulsion, il eut une idée étrange : et si un matériau organique, comme sa propre tête, pouvait révéler quelque chose d'unique sur la diffusion des micro-ondes ? Il savait que c'était risqué, mais sa curiosité l'emportait. Il ouvrit la porte du four, y plaça sa tête, juste pour voir ce qui se passerait, sans vraiment réfléchir aux conséquences.
Rien ne se passa. Le four, conçu avec des sécurités modernes, refusa de démarrer. Simon se rendit compte que la porte ouverte empêchait le fonctionnement, un mécanisme de protection standard. Il éclata de rire, un peu gêné par son idée farfelue. "Qu'est-ce qui m'a pris ?" murmura-t-il, en secouant la tête. Il referma la porte et décida de revenir à ses expériences initiales. Ce moment d'égarement lui rappela l'importance de la rigueur scientifique. Il ne suffisait pas d'avoir des idées ; il fallait les tester méthodiquement.
Simon passa les jours suivants à expérimenter avec des matériaux inoffensifs. Il découvrit que certains polymères changeaient de structure sous l'effet des micro-ondes, ce qui l'amena à rédiger ses premières notes pour un article scientifique. Il contacta un professeur de physique d'une université locale, qui fut intrigué par ses résultats préliminaires. Encouragé, Simon s'inscrivit à des cours en ligne pour approfondir ses connaissances en électromagnétisme et en science des matériaux.
Au fil des mois, son petit laboratoire de cuisine devint un espace de créativité. Il commença à publier ses résultats sur des forums scientifiques, attirant l'attention d'autres passionnés. Simon réalisa que sa carrière scientifique ne faisait que commencer, mais cet incident avec le four à micro-ondes resta dans son esprit comme une leçon : la science exigeait de la curiosité, mais aussi de la prudence. Il rangea le four, désormais surnommé "le catalyseur", et se promit de toujours vérifier ses hypothèses avec soin avant de se lancer dans des expériences.
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il y a 2 jours