Ce sujet a été résolu
Rigolo ça, choppe le paludisme
Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie; personne ne va vers le Père sans passer par moi (14,6)
il y a 23 jours
En Inde, 569 millions de personnes font encore leurs besoins en plein air. Et ce n’est pas toujours parce que les toilettes manquent, mais par choix : l’acte est jugé viril par une large partie de la population masculine du pays ; idem pour les femmes, qui, elles, profitent de ce moment de liberté pour échanger des confidences entre amies.
D’autres raisons expliquent qu’une bonne partie des Indiens, principalement issus des zones rurales, répugnent à briser cette tradition ancestrale. D’une part, les usagers se sentent enfermés dans l’étroitesse des latrines. D’autre part, se rendre à l’extérieur offre aux jeunes la possibilité d’échapper, un instant, à la surveillance de leur famille. Si certaines publicités invitent les hommes à bâtir des toilettes, ce n’est pas pour des raisons d’hygiène, mais pour protéger les femmes et les filles du harcèlement sexuel et pour leur épargner la honte d’avoir à soulever leur sari en pleine nature.
Pourtant, les conséquences de cette pratique sur l’état de santé des populations sont lourdes, surtout chez les plus jeunes. Les mouches qui pondent dans les excréments propagent des agents infectieux pour l’homme : 1g de matière fécale peut contenir 10 millions de virus et 1 million de bactéries ! Les micro-organismes nous infectent ensuite en passant par les pores de notre peau, ou en contaminant l’eau et la nourriture que nous ingérons.
Résultat ? Une centaine de milliers d’Indiens de moins de 5 ans meurent de diarrhée chaque année et 39 % d’entre eux souffrent d’un retard de croissance. Les problèmes d’insalubrité affectent l’ensemble des pays en développement, où près de 1 milliard de personnes n’ont pas de toilettes. La fin de la défécation en plein air fait d’ailleurs partie des 30 objectifs de développement durable fixés par les Nations unies, à atteindre d’ici à 2030.
D’autres raisons expliquent qu’une bonne partie des Indiens, principalement issus des zones rurales, répugnent à briser cette tradition ancestrale. D’une part, les usagers se sentent enfermés dans l’étroitesse des latrines. D’autre part, se rendre à l’extérieur offre aux jeunes la possibilité d’échapper, un instant, à la surveillance de leur famille. Si certaines publicités invitent les hommes à bâtir des toilettes, ce n’est pas pour des raisons d’hygiène, mais pour protéger les femmes et les filles du harcèlement sexuel et pour leur épargner la honte d’avoir à soulever leur sari en pleine nature.
Pourtant, les conséquences de cette pratique sur l’état de santé des populations sont lourdes, surtout chez les plus jeunes. Les mouches qui pondent dans les excréments propagent des agents infectieux pour l’homme : 1g de matière fécale peut contenir 10 millions de virus et 1 million de bactéries ! Les micro-organismes nous infectent ensuite en passant par les pores de notre peau, ou en contaminant l’eau et la nourriture que nous ingérons.
Résultat ? Une centaine de milliers d’Indiens de moins de 5 ans meurent de diarrhée chaque année et 39 % d’entre eux souffrent d’un retard de croissance. Les problèmes d’insalubrité affectent l’ensemble des pays en développement, où près de 1 milliard de personnes n’ont pas de toilettes. La fin de la défécation en plein air fait d’ailleurs partie des 30 objectifs de développement durable fixés par les Nations unies, à atteindre d’ici à 2030.
il y a 23 jours
Ça va ils sont 1,4 milliard, encore heureux qu'il y en ait qui meurent
https://m.youtube.com/wat[...]amp;t=11s&pp=2AELkAIB
il y a 23 jours
Ensuite les femmes qui ont des gosses n'ont pas de lait et Nestle leur propose ton lait en poudre
il y a 23 jours
Tristin
23j
En Inde, 569 millions de personnes font encore leurs besoins en plein air. Et ce n’est pas toujours parce que les toilettes manquent, mais par choix : l’acte est jugé viril par une large partie de la population masculine du pays ; idem pour les femmes, qui, elles, profitent de ce moment de liberté pour échanger des confidences entre amies.
D’autres raisons expliquent qu’une bonne partie des Indiens, principalement issus des zones rurales, répugnent à briser cette tradition ancestrale. D’une part, les usagers se sentent enfermés dans l’étroitesse des latrines. D’autre part, se rendre à l’extérieur offre aux jeunes la possibilité d’échapper, un instant, à la surveillance de leur famille. Si certaines publicités invitent les hommes à bâtir des toilettes, ce n’est pas pour des raisons d’hygiène, mais pour protéger les femmes et les filles du harcèlement sexuel et pour leur épargner la honte d’avoir à soulever leur sari en pleine nature.
Pourtant, les conséquences de cette pratique sur l’état de santé des populations sont lourdes, surtout chez les plus jeunes. Les mouches qui pondent dans les excréments propagent des agents infectieux pour l’homme : 1g de matière fécale peut contenir 10 millions de virus et 1 million de bactéries ! Les micro-organismes nous infectent ensuite en passant par les pores de notre peau, ou en contaminant l’eau et la nourriture que nous ingérons.
Résultat ? Une centaine de milliers d’Indiens de moins de 5 ans meurent de diarrhée chaque année et 39 % d’entre eux souffrent d’un retard de croissance. Les problèmes d’insalubrité affectent l’ensemble des pays en développement, où près de 1 milliard de personnes n’ont pas de toilettes. La fin de la défécation en plein air fait d’ailleurs partie des 30 objectifs de développement durable fixés par les Nations unies, à atteindre d’ici à 2030.
D’autres raisons expliquent qu’une bonne partie des Indiens, principalement issus des zones rurales, répugnent à briser cette tradition ancestrale. D’une part, les usagers se sentent enfermés dans l’étroitesse des latrines. D’autre part, se rendre à l’extérieur offre aux jeunes la possibilité d’échapper, un instant, à la surveillance de leur famille. Si certaines publicités invitent les hommes à bâtir des toilettes, ce n’est pas pour des raisons d’hygiène, mais pour protéger les femmes et les filles du harcèlement sexuel et pour leur épargner la honte d’avoir à soulever leur sari en pleine nature.
Pourtant, les conséquences de cette pratique sur l’état de santé des populations sont lourdes, surtout chez les plus jeunes. Les mouches qui pondent dans les excréments propagent des agents infectieux pour l’homme : 1g de matière fécale peut contenir 10 millions de virus et 1 million de bactéries ! Les micro-organismes nous infectent ensuite en passant par les pores de notre peau, ou en contaminant l’eau et la nourriture que nous ingérons.
Résultat ? Une centaine de milliers d’Indiens de moins de 5 ans meurent de diarrhée chaque année et 39 % d’entre eux souffrent d’un retard de croissance. Les problèmes d’insalubrité affectent l’ensemble des pays en développement, où près de 1 milliard de personnes n’ont pas de toilettes. La fin de la défécation en plein air fait d’ailleurs partie des 30 objectifs de développement durable fixés par les Nations unies, à atteindre d’ici à 2030.
"Viril"

𝓑𝓸𝓲𝓪 𝓒𝓱𝓲 𝓜𝓸𝓵𝓵𝓪 ▐┛
il y a 23 jours
"Viril"

"idem pour les femmes, qui, elles, profitent de ce moment de liberté pour échanger des confidences entre amies."
J'imagine bien les copines qui se tiennent la main en se vidant le cul cash à même le sol qui se racontent les derniers ragots qui circulent dans leur entourage
J'imagine bien les copines qui se tiennent la main en se vidant le cul cash à même le sol qui se racontent les derniers ragots qui circulent dans leur entourage
il y a 23 jours
"idem pour les femmes, qui, elles, profitent de ce moment de liberté pour échanger des confidences entre amies."
J'imagine bien les copines qui se tiennent la main en se vidant le cul cash à même le sol qui se racontent les derniers ragots qui circulent dans leur entourage
J'imagine bien les copines qui se tiennent la main en se vidant le cul cash à même le sol qui se racontent les derniers ragots qui circulent dans leur entourage
De quoi exciter PuerAnus
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il y a 23 jours