Ce sujet a été résolu
Vu qu'on est entre nous sur Onche.org, je tiens à faire partager mon expérience sur les mods génitaux
J’ai franchis le pas avec mon premier tatouage sur le bras.
Puis pendant 2 ans j’ai fais tatoué mon corps, dos, pec, jambe...
La notion de piercing me titillait, je voulais un Prince Albert et un piercing du nombril. Ma compagne de l’époque a sauté sur l’occasion pour elle aussi s’en faire poser un.
Je continuais mes tattoos sur le ventre, pubis et le pénis (gland compris) tout en augmentant la taille de mon PA jusqu’à 15 mm.
Et vu que j’avais brûlé les étapes, ce qui devait arriver arriva : rupture du meat du gland et du frein.
Au lieu de me lamenter je perçais moi-même un ampallang de 3 mm d’epaisseur et le complétait par un apadravya de même taille : la croix magique que j’ai porté ensuite en 6 mm pendant 2 ans. Mes expériences m’avaient aguerri concernant la douleur et les saignements. je perçais à nouveau un apadravya dans la tige du penis derrière le gland.
Je m’intéressais de plus en plus aux modifications génitales et vu que le rentre dedans ne m’a jamais vraiment passionné (je préfère les préliminaires et tout ce qui est visible dans la sexualité) et que je me trouvais de nouveau célibataire, je dévorais l’histoire de BME et de Shannon larratt et de ses expériences bdsm et de modifications corporelles. Petit à petit j’affinais mon choix : une BISSECTION COMPLETE DU PENIS jusqu’au bas ventre.
Un jour, j’ai sauté le pas : sans crème antidouleur type Enema, beaucoup de volonté et de patience car je savais que se serait long, très long.
La première année avait pour objectif de pratiquer une subincision jusqu’au scrotum (et de toute façon j’aime mieux être assis pour « pisser »). Je termine l’incision fatale pour le canal urinaire en août 2019.
De là je commence la super-incision du gland qui se trouve rapidement divisé en deux grâce aux orifices des piercings. Pour la tige du pénis ce n’est pas la même affaire, le tissu est dur et il faut trancher une grosse veine. Frayeur hémorragique de quelques heures malgré le garrot... Bref leçon numéro 1 y aller doucement. Le tranchant du scalpel n’est pas spécialement douloureux sauf lorsque on titille un nerf et là il faut s’y reprendre à plusieurs fois en serrant les dents...
L’avancement de la coupe se fait par étape d’environ 1 cm à chaque séance. J’arrête de couper lorsque il y a trop de saignements. 15 jours d’arrêt voire un mois pour la guérison et je recommence. Une coupe dessous, une dessus, un arrêt cicatrisation et je coupe le milieu...
Aujourd’hui je suis à la fin du processus de la bissection. Encore 3 séances et j’aurais terminé.
Mais qu’est ce que cette division de mon membre a bien pu m’apporter me direz vous : Sans doute de me différencier des autres, un côté original satisfait, une esthétique particulière qui me plait, ne plus appartenir seulement à un seul genre car j’ai toujours penché vers la pansexualité. Et puis deux bites c’est plus rigolo !
J’ai franchis le pas avec mon premier tatouage sur le bras.
Puis pendant 2 ans j’ai fais tatoué mon corps, dos, pec, jambe...
La notion de piercing me titillait, je voulais un Prince Albert et un piercing du nombril. Ma compagne de l’époque a sauté sur l’occasion pour elle aussi s’en faire poser un.
Je continuais mes tattoos sur le ventre, pubis et le pénis (gland compris) tout en augmentant la taille de mon PA jusqu’à 15 mm.
Et vu que j’avais brûlé les étapes, ce qui devait arriver arriva : rupture du meat du gland et du frein.
Au lieu de me lamenter je perçais moi-même un ampallang de 3 mm d’epaisseur et le complétait par un apadravya de même taille : la croix magique que j’ai porté ensuite en 6 mm pendant 2 ans. Mes expériences m’avaient aguerri concernant la douleur et les saignements. je perçais à nouveau un apadravya dans la tige du penis derrière le gland.
Je m’intéressais de plus en plus aux modifications génitales et vu que le rentre dedans ne m’a jamais vraiment passionné (je préfère les préliminaires et tout ce qui est visible dans la sexualité) et que je me trouvais de nouveau célibataire, je dévorais l’histoire de BME et de Shannon larratt et de ses expériences bdsm et de modifications corporelles. Petit à petit j’affinais mon choix : une BISSECTION COMPLETE DU PENIS jusqu’au bas ventre.
Un jour, j’ai sauté le pas : sans crème antidouleur type Enema, beaucoup de volonté et de patience car je savais que se serait long, très long.
La première année avait pour objectif de pratiquer une subincision jusqu’au scrotum (et de toute façon j’aime mieux être assis pour « pisser »). Je termine l’incision fatale pour le canal urinaire en août 2019.
De là je commence la super-incision du gland qui se trouve rapidement divisé en deux grâce aux orifices des piercings. Pour la tige du pénis ce n’est pas la même affaire, le tissu est dur et il faut trancher une grosse veine. Frayeur hémorragique de quelques heures malgré le garrot... Bref leçon numéro 1 y aller doucement. Le tranchant du scalpel n’est pas spécialement douloureux sauf lorsque on titille un nerf et là il faut s’y reprendre à plusieurs fois en serrant les dents...
L’avancement de la coupe se fait par étape d’environ 1 cm à chaque séance. J’arrête de couper lorsque il y a trop de saignements. 15 jours d’arrêt voire un mois pour la guérison et je recommence. Une coupe dessous, une dessus, un arrêt cicatrisation et je coupe le milieu...
Aujourd’hui je suis à la fin du processus de la bissection. Encore 3 séances et j’aurais terminé.
Mais qu’est ce que cette division de mon membre a bien pu m’apporter me direz vous : Sans doute de me différencier des autres, un côté original satisfait, une esthétique particulière qui me plait, ne plus appartenir seulement à un seul genre car j’ai toujours penché vers la pansexualité. Et puis deux bites c’est plus rigolo !
il y a 16 heures
JVCucks
16h
palu le furax
gg cependant tu vis ta vie
gg cependant tu vis ta vie
JE ME FAIS CHIER A ECRIRE UN PAVER ALORS TU VAS LE LIRE
il y a 16 heures
C'est de toi qu'on s'est inspiré pour le personnage de Kakihara ?
Ma vie résumé en 1 musique :
https://youtu.be/gpSRiIj7Uws?si=35bo1isvu_QQid18
il y a 16 heures
Erir
16h
C'est de toi qu'on s'est inspiré pour le personnage de Kakihara ?
Connais pas
il y a 16 heures
Effroyable période de JVC que la boucle bissection du pénis
Et encore là tu as pas posté les photos
Et encore là tu as pas posté les photos
il y a 16 heures
Connais pas
Regarde Ichi The Killer c'est un reportage sur toi en gros
Ma vie résumé en 1 musique :
https://youtu.be/gpSRiIj7Uws?si=35bo1isvu_QQid18
il y a 16 heures
JE ME FAIS CHIER A ECRIRE UN PAVER ALORS TU VAS LE LIRE
okay clé demain si up en temps voulu je vais lire
il y a 16 heures
DechetUltime
16h
Effroyable période de JVC que la boucle bissection du pénis
Et encore là tu as pas posté les photos
Et encore là tu as pas posté les photos
C'est moi qui ait commencé cette boucle (100% nofake)
En + la boucle a pas commencé sur JvC mais sur 2sucres
En + la boucle a pas commencé sur JvC mais sur 2sucres
il y a 16 heures
C'est moi qui ait commencé cette boucle (100% nofake)
En + la boucle a pas commencé sur JvC mais sur 2sucres
En + la boucle a pas commencé sur JvC mais sur 2sucres
Oh putain c'est sérieux ?
Tu as pris le texte où ?
Tu as pris le texte où ?
il y a 16 heures
Oh putain c'est sérieux ?
Tu as pris le texte où ?
Tu as pris le texte où ?
A la base c'était un témoignage réel sur les forum de Bodywork
Mais ils l'ont supprimé
Faut dire que je l'ai spam sur JvC, ça a dut faire une mauvaise pub
Mais ils l'ont supprimé
Faut dire que je l'ai spam sur JvC, ça a dut faire une mauvaise pub
il y a 16 heures
A la base c'était un témoignage réel sur les forum de Bodywork
Mais ils l'ont supprimé
Faut dire que je l'ai spam sur JvC, ça a dut faire une mauvaise pub
Mais ils l'ont supprimé
Faut dire que je l'ai spam sur JvC, ça a dut faire une mauvaise pub
il y a 15 heures
J'en éprouve une certaine fierté
J'ai quand même commencé une boucle
J'ai quand même commencé une boucle
il y a 15 heures
A la base c'était un témoignage réel sur les forum de Bodywork
Mais ils l'ont supprimé
Faut dire que je l'ai spam sur JvC, ça a dut faire une mauvaise pub
Mais ils l'ont supprimé
Faut dire que je l'ai spam sur JvC, ça a dut faire une mauvaise pub
Je l'ai vu plein de fois vers 2019-2020
Une des boucles les plus zinzolbix
Une des boucles les plus zinzolbix
il y a 15 heures
J'en éprouve une certaine fierté
J'ai quand même commencé une boucle
J'ai quand même commencé une boucle
gg à toi l'auteur
légitime fièreté
légitime fièreté
il y a 15 heures
Je l'ai vu plein de fois vers 2019-2020
Une des boucles les plus zinzolbix
Une des boucles les plus zinzolbix
Y'avait le liens vers le forum
Et aussi des image imgur
Mais j'ai pas envie de me faire ban d'ici
Et aussi des image imgur
Mais j'ai pas envie de me faire ban d'ici
il y a 15 heures
Y'avait le liens vers le forum
Et aussi des image imgur
Mais j'ai pas envie de me faire ban d'ici
Et aussi des image imgur
Mais j'ai pas envie de me faire ban d'ici
Dans le +18 peut-être ça peut passer
il y a 15 heures
Dans le +18 peut-être ça peut passer
Je suis quasi sur que non
il y a 15 heures
Sorceleur
16h
Vu qu'on est entre nous sur Onche.org, je tiens à faire partager mon expérience sur les mods génitaux
J’ai franchis le pas avec mon premier tatouage sur le bras.
Puis pendant 2 ans j’ai fais tatoué mon corps, dos, pec, jambe...
La notion de piercing me titillait, je voulais un Prince Albert et un piercing du nombril. Ma compagne de l’époque a sauté sur l’occasion pour elle aussi s’en faire poser un.
Je continuais mes tattoos sur le ventre, pubis et le pénis (gland compris) tout en augmentant la taille de mon PA jusqu’à 15 mm.
Et vu que j’avais brûlé les étapes, ce qui devait arriver arriva : rupture du meat du gland et du frein.
Au lieu de me lamenter je perçais moi-même un ampallang de 3 mm d’epaisseur et le complétait par un apadravya de même taille : la croix magique que j’ai porté ensuite en 6 mm pendant 2 ans. Mes expériences m’avaient aguerri concernant la douleur et les saignements. je perçais à nouveau un apadravya dans la tige du penis derrière le gland.
Je m’intéressais de plus en plus aux modifications génitales et vu que le rentre dedans ne m’a jamais vraiment passionné (je préfère les préliminaires et tout ce qui est visible dans la sexualité) et que je me trouvais de nouveau célibataire, je dévorais l’histoire de BME et de Shannon larratt et de ses expériences bdsm et de modifications corporelles. Petit à petit j’affinais mon choix : une BISSECTION COMPLETE DU PENIS jusqu’au bas ventre.
Un jour, j’ai sauté le pas : sans crème antidouleur type Enema, beaucoup de volonté et de patience car je savais que se serait long, très long.
La première année avait pour objectif de pratiquer une subincision jusqu’au scrotum (et de toute façon j’aime mieux être assis pour « pisser »). Je termine l’incision fatale pour le canal urinaire en août 2019.
De là je commence la super-incision du gland qui se trouve rapidement divisé en deux grâce aux orifices des piercings. Pour la tige du pénis ce n’est pas la même affaire, le tissu est dur et il faut trancher une grosse veine. Frayeur hémorragique de quelques heures malgré le garrot... Bref leçon numéro 1 y aller doucement. Le tranchant du scalpel n’est pas spécialement douloureux sauf lorsque on titille un nerf et là il faut s’y reprendre à plusieurs fois en serrant les dents...
L’avancement de la coupe se fait par étape d’environ 1 cm à chaque séance. J’arrête de couper lorsque il y a trop de saignements. 15 jours d’arrêt voire un mois pour la guérison et je recommence. Une coupe dessous, une dessus, un arrêt cicatrisation et je coupe le milieu...
Aujourd’hui je suis à la fin du processus de la bissection. Encore 3 séances et j’aurais terminé.
Mais qu’est ce que cette division de mon membre a bien pu m’apporter me direz vous : Sans doute de me différencier des autres, un côté original satisfait, une esthétique particulière qui me plait, ne plus appartenir seulement à un seul genre car j’ai toujours penché vers la pansexualité. Et puis deux bites c’est plus rigolo !
J’ai franchis le pas avec mon premier tatouage sur le bras.
Puis pendant 2 ans j’ai fais tatoué mon corps, dos, pec, jambe...
La notion de piercing me titillait, je voulais un Prince Albert et un piercing du nombril. Ma compagne de l’époque a sauté sur l’occasion pour elle aussi s’en faire poser un.
Je continuais mes tattoos sur le ventre, pubis et le pénis (gland compris) tout en augmentant la taille de mon PA jusqu’à 15 mm.
Et vu que j’avais brûlé les étapes, ce qui devait arriver arriva : rupture du meat du gland et du frein.
Au lieu de me lamenter je perçais moi-même un ampallang de 3 mm d’epaisseur et le complétait par un apadravya de même taille : la croix magique que j’ai porté ensuite en 6 mm pendant 2 ans. Mes expériences m’avaient aguerri concernant la douleur et les saignements. je perçais à nouveau un apadravya dans la tige du penis derrière le gland.
Je m’intéressais de plus en plus aux modifications génitales et vu que le rentre dedans ne m’a jamais vraiment passionné (je préfère les préliminaires et tout ce qui est visible dans la sexualité) et que je me trouvais de nouveau célibataire, je dévorais l’histoire de BME et de Shannon larratt et de ses expériences bdsm et de modifications corporelles. Petit à petit j’affinais mon choix : une BISSECTION COMPLETE DU PENIS jusqu’au bas ventre.
Un jour, j’ai sauté le pas : sans crème antidouleur type Enema, beaucoup de volonté et de patience car je savais que se serait long, très long.
La première année avait pour objectif de pratiquer une subincision jusqu’au scrotum (et de toute façon j’aime mieux être assis pour « pisser »). Je termine l’incision fatale pour le canal urinaire en août 2019.
De là je commence la super-incision du gland qui se trouve rapidement divisé en deux grâce aux orifices des piercings. Pour la tige du pénis ce n’est pas la même affaire, le tissu est dur et il faut trancher une grosse veine. Frayeur hémorragique de quelques heures malgré le garrot... Bref leçon numéro 1 y aller doucement. Le tranchant du scalpel n’est pas spécialement douloureux sauf lorsque on titille un nerf et là il faut s’y reprendre à plusieurs fois en serrant les dents...
L’avancement de la coupe se fait par étape d’environ 1 cm à chaque séance. J’arrête de couper lorsque il y a trop de saignements. 15 jours d’arrêt voire un mois pour la guérison et je recommence. Une coupe dessous, une dessus, un arrêt cicatrisation et je coupe le milieu...
Aujourd’hui je suis à la fin du processus de la bissection. Encore 3 séances et j’aurais terminé.
Mais qu’est ce que cette division de mon membre a bien pu m’apporter me direz vous : Sans doute de me différencier des autres, un côté original satisfait, une esthétique particulière qui me plait, ne plus appartenir seulement à un seul genre car j’ai toujours penché vers la pansexualité. Et puis deux bites c’est plus rigolo !
Des malades mentaux qui se mutilent
il y a 15 heures