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Frérot… là c’est plus un voyage, c’est une descente en enfer. Une immersion virile non-consentie dans le XIIe siècle, version ibérique.
Je suis là, tranquille, en train de boire un godet de rouge en lisant un traité militaire byzantin dans mon salon. J’parle d’honneur, d’acier, de mecs qui saignent pour une croix, tu vois. Je lance une punchline en mode :
“Si j’étais né au Moyen Âge, j’aurais été connétable, ou tyran éclairé, pas influenceur en leggings.”
Et là… ÉCLIPSE. Je rouvre les yeux, j’suis en plein royaume d’Aragon, entre des montagnes, des oliviers et des mecs armés jusqu’aux molaires. J’sens direct que ça pue la baston.
Espagne, an 1143. Y’a pas de tapas, pas de Real Madrid, pas de touristes allemands. Juste des types en cuir bouilli, avec des casques qui brillent sous le soleil, et des couteaux aussi longs que leurs rancunes.
Moi j’arrive, barbe noire, bronzé, manteau sombre, démarche virile de mec qui a déjà regardé Braveheart en VO.
Je me dis :
“Ils vont croire que je suis un hidalgo, un chevalier, un poète de la reconquête. Ils vont m’accueillir avec du vin et un mulet.”
Que dalle, je croise une troupe d’Almogavres.
Si tu connais pas, c’est pas des troubadours. C’est des mercenaires catalans. Des mecs qui vivent pour tuer, piller, brûler et hurler en catalan. L’équivalent médiéval d’une bande de hooligans sous stéroïdes et fanatisme géopolitique.
Et là… c’est le drame.
Ils me voient, ils se regardent, et l’un d’eux dit (en gros) :
“C’est un Sarrasin ! Il est trop brun pour être chrétien, il est trop propre pour être pauvre, et il parle comme un démon !”
Fin du game.
Ils m’encerclent. Pas un pour écouter. Pas un pour négocier. Moi j’essaie de m’expliquer en espagnol de chantier :
“¡Soy Papacito! ¡Un cruzado de testosterona! ¡Un aliado del orden!”
Ils comprennent “Papacito” = pseudo d’émir dégénéré. Et là, c’est le festival du racket.
Ils me dépouillent : bottes, ceinture, gilet tactique en cuir de vache limousine — tout y passe. Ils me volent même un peigne en os que j’avais sur moi. Ensuite, ils m’attachent à un olivier, et pendant qu’ils se partagent mon sac comme si c’était un coffre de loot, le plus vieux dit :
“On le livre à la Vierge… mais en morceaux.”
Traduction : égorgement.
Pas de procès, pas de duel. Un coup de lame dans la gorge, propre, silencieux, catholique.
Pendant que je saigne, je me dis :
“C’est ça le vrai Moyen Âge… pas un GN dans une forêt avec des étudiants en histoire. C’est du sang, du feu, et des malentendus ethniques mortels.”
Je suis là, tranquille, en train de boire un godet de rouge en lisant un traité militaire byzantin dans mon salon. J’parle d’honneur, d’acier, de mecs qui saignent pour une croix, tu vois. Je lance une punchline en mode :
“Si j’étais né au Moyen Âge, j’aurais été connétable, ou tyran éclairé, pas influenceur en leggings.”
Et là… ÉCLIPSE. Je rouvre les yeux, j’suis en plein royaume d’Aragon, entre des montagnes, des oliviers et des mecs armés jusqu’aux molaires. J’sens direct que ça pue la baston.
Espagne, an 1143. Y’a pas de tapas, pas de Real Madrid, pas de touristes allemands. Juste des types en cuir bouilli, avec des casques qui brillent sous le soleil, et des couteaux aussi longs que leurs rancunes.
Moi j’arrive, barbe noire, bronzé, manteau sombre, démarche virile de mec qui a déjà regardé Braveheart en VO.
Je me dis :
“Ils vont croire que je suis un hidalgo, un chevalier, un poète de la reconquête. Ils vont m’accueillir avec du vin et un mulet.”
Que dalle, je croise une troupe d’Almogavres.
Si tu connais pas, c’est pas des troubadours. C’est des mercenaires catalans. Des mecs qui vivent pour tuer, piller, brûler et hurler en catalan. L’équivalent médiéval d’une bande de hooligans sous stéroïdes et fanatisme géopolitique.
Et là… c’est le drame.
Ils me voient, ils se regardent, et l’un d’eux dit (en gros) :
“C’est un Sarrasin ! Il est trop brun pour être chrétien, il est trop propre pour être pauvre, et il parle comme un démon !”

Fin du game.
Ils m’encerclent. Pas un pour écouter. Pas un pour négocier. Moi j’essaie de m’expliquer en espagnol de chantier :
“¡Soy Papacito! ¡Un cruzado de testosterona! ¡Un aliado del orden!”
Ils comprennent “Papacito” = pseudo d’émir dégénéré. Et là, c’est le festival du racket.
Ils me dépouillent : bottes, ceinture, gilet tactique en cuir de vache limousine — tout y passe. Ils me volent même un peigne en os que j’avais sur moi. Ensuite, ils m’attachent à un olivier, et pendant qu’ils se partagent mon sac comme si c’était un coffre de loot, le plus vieux dit :
“On le livre à la Vierge… mais en morceaux.”

Traduction : égorgement.
Pas de procès, pas de duel. Un coup de lame dans la gorge, propre, silencieux, catholique.
Pendant que je saigne, je me dis :
“C’est ça le vrai Moyen Âge… pas un GN dans une forêt avec des étudiants en histoire. C’est du sang, du feu, et des malentendus ethniques mortels.”
il y a 15 jours
Was le vent que tu t'es pris alors que t'as pondu tout ça
are you threatening me
il y a 15 jours