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J'ai écrit un LIVRE avec CHATGPT, vos avis ??
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1
15
Cacahuète
PuerAnus
Jeune onchois de rang bronzeGiga chad
ça va être du lourd
https://jvflux.fr/PuerAnus Ne me bannissez pas ! Je suis simplement Autiste Asperger !
il y a 8 jours
upziazz98
Turlupinzigotin
WaifuGhislaine
resumax2livres
Ricamor
Shol
Folk
Barnaclus
Singedepouce
Ananas
Kurkahn
e-MIGRANT
TrissMeripute
Jon
et
AllahNiche
ont lancé des cacahuètes.
Cacahuète
PuerAnus
Jeune onchois de rang bronzeGiga chad
Titre : L’Assiette des Vers
Le grondement du vent traverse les interstices des murs ruisselants d’eau. Dans la cellule étroite, dix filles se tiennent serrées sous une seule couverture grise, grelottant. Leurs âges varient : Lucia, 7 ans, les yeux gonflés de larmes, Ana, 12 ans, maigre, avec les joues creusées, Mara, 15 ans, le regard fixe, et d’autres encore, jusqu’à Elena, 17 ans, qui tente de paraître forte.
Un claquement de clés, des pas de bottes sur le béton. Deux gardiens apparaissent, Stancu et Ilie, tous deux vêtus d’un manteau d’uniforme. Stancu tient un grand seau en métal. Une puanteur lourde le précède.
Stancu (ton tranchant) :
Debout, les morveux. Heure du festin.
Ilie rigole en coin. Dans le seau, des morceaux de lard flottent dans une graisse blanchâtre, à la surface de laquelle dérivent des vers blancs et gras, se tordant lentement. L’odeur est si violente qu’Ilie plaque aussitôt un mouchoir contre son nez.
Ilie (voix nasillarde derrière son mouchoir) :
C’est vos précieuses jumari. Spécialité roumaine… avec supplément protéines.
Lucia, la petite, recule contre le mur, secouée de sanglots. Ana porte la main à sa bouche, le visage virant au vert. Mara, déjà plus endurcie, dévisage les gardiens avec haine, mais ses narines frémissent malgré elle.
Stancu plonge une louche crasseuse dans le seau, la ressort, dégoulinante de graisse. Il en verse le contenu dans une gamelle en métal, où tombent trois gros morceaux de viande grouillant de vers.
Stancu (sourire cruel) :
Mangez. Sinon… pas de repas demain. Et peut-être un tour à la cave.
Ilie rit, puis se penche vers Elena :
Ilie (sifflement moqueur) :
T’es la grande, hein ? Montre l’exemple à tes petites sœurs…
Elena fixe la gamelle. Elle inspire fort, ferme les yeux, et approche ses doigts tremblants. Elle saisit un morceau de viande, visqueux. Un vers glisse le long de sa main, tombant sur la dalle avec un petit bruit mouillé. Elena pousse un haut-le-cœur, mais se force à porter le morceau à ses lèvres.
Lucia hurle :
Lucia (pleurant) :
Non !! Non !! C’est sale !! Y’a des bébêtes dedans !!
Ana se met à vomir violemment dans un coin, ses spasmes soulevant son frêle corps. Ilie la saisit par le bras, la secoue.
Ilie (fou de rage) :
Tu gaspilles ? Hein ? Tu vomis ce qu’on te donne ? Tu veux crever ?!
Mara serre les poings. Elle attrape la gamelle, retire rageusement quelques vers d’un morceau et avale un bout en fermant les yeux, la respiration hachée. Elle tousse, manque de vomir à son tour.
Mara (voix étouffée) :
Si on mange pas… on meurt…
Lucia continue de pleurer, répétant sans cesse :
Lucia :
Maman… maman… c’est pas de la nourriture…
Elena ravale un sanglot. Elle réussit à mordre dans un morceau, la graisse explose sous ses dents, l’odeur putride envahit sa bouche, ses larmes coulent malgré elle. Elle mâche, très lentement, le regard vide.
Stancu (voix doucereuse) :
Bonne fille. Vous voyez, les autres ? Elle, elle a compris.
Ilie relâche Ana, la pousse brutalement contre le mur.
Ilie :
Vous allez tout bouffer. Ou la cave. Et là-bas, c’est pire que les vers.
Il jette un dernier regard aux gamines, le mouchoir toujours sur le nez, avant de sortir en claquant la porte. L’écho de la clé résonne longtemps.
Dans le silence retombé, on n’entend plus que les sanglots de Lucia, et les mastications lentes de Mara et Elena, avalant malgré elles, pour ne pas mourir.
Titre : L’Odeur du Froid
Chapitre 2 La crasse et le tissu
La nuit est tombée depuis longtemps sur Jilava. Dans la cellule glaciale, l’air sent la moisissure, l’urine et la sueur rance. L’humidité ruisselle sur les murs. Le sol est poisseux, toujours humide, jamais sec.
Les dix filles portent toujours les mêmes vêtements depuis des semaines, parfois des mois :
des robes de coton râpées, autrefois blanches, maintenant tachées de brun et de gris.
des chaussettes effilochées, parfois une seule chaussure aux pieds.
aucune culotte propre : celles qu’elles portent sont jaunies, déchirées, collées à leur peau, et sentent l’ammoniac, les excréments, et la crasse.
Lucia, la plus petite, a les cuisses couvertes de dartres rouges. Elle se gratte sans arrêt. Des poux rampent dans ses cheveux emmêlés.
Mara (15 ans, voix éteinte) :
Arrête, Lucia. Si tu te grattes, ça saigne. Et ça pique encore plus.
Les draps ne sont jamais lavés. Une unique couverture, humide, sert à toutes. Les gardiennes interdisent de laver le linge plus d’une fois par mois. Les filles sentent l’urine séchée, le sang menstruel, la moisissure.
Chapitre 3 Le repas du matin
Au petit matin, un gardien nommé Petru ouvre la porte. Il a les lèvres gercées, les yeux cernés, mais un sourire cruel. Il tient une marmite cabossée, dont s’échappe une odeur de graisse froide et de pourriture.
Petru :
Debout, les princesses. On va vous régaler.
Il dépose sur le sol une gamelle unique, dans laquelle flottent :
des eaux grasses jaunâtres,
quelques morceaux de jumari grisâtres,
et encore ces vers blancs, certains vivants, qui se tortillent.
Lucia se recule d’un bond, les larmes aux yeux. Ana (12 ans) observe la gamelle avec terreur.
Ana :
J… j’ai faim. Mais… j’y arrive pas…
Elena (17 ans), les traits tirés, prend une grande inspiration. Elle se penche, attrape un morceau, souffle dessus, retire deux vers et avale. Son visage se contracte, des larmes lui montent aux yeux.
Elena :
Mangez… un peu… sinon vous tomberez.
Petru, le gardien, rit.
Petru :
Regardez-moi ces p’tites bourgeoises. Ça vous dégoûte ? Les cochons, eux, ils mangeraient tout. Vous valez moins qu’un cochon.
Ana se penche enfin, tremblante. Elle approche un morceau de viande de ses lèvres, mais dès qu’elle sent l’odeur, elle vomit sur le sol. Une bouillie liquide dégouline sur ses genoux maigres.
Petru lui assène une gifle sèche.
Petru (criant) :
Tu vomis ce qu’on te donne ? T’auras rien d’autre. Rien ! T’entends ?!
Ana éclate en sanglots.
Chapitre 4 L’hygiène en ruine
Dans le dortoir, après le “repas”, les filles tentent de se laver tant bien que mal :
pas de savon depuis des semaines.
une bassine d’eau glacée, brunâtre, où flottent des peluches de saleté.
pas de serviettes. Elles s’essuient avec leurs manches souillées.
Mara essaie de démêler les cheveux de Lucia, mais la petite hurle :
Lucia :
Aïe ! Ça tire ! Y’a des bêtes dedans !
Effectivement, des lentes blanches s’accrochent aux racines de ses cheveux. Mara soupire.
Mara :
Il faut les enlever… sinon ça gratte trop.
@pueranus
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Titre : L’Assiette des Vers
Le grondement du vent traverse les interstices des murs ruisselants d’eau. Dans la cellule étroite, dix filles se tiennent serrées sous une seule couverture grise, grelottant. Leurs âges varient : Lucia, 7 ans, les yeux gonflés de larmes, Ana, 12 ans, maigre, avec les joues creusées, Mara, 15 ans, le regard fixe, et d’autres encore, jusqu’à Elena, 17 ans, qui tente de paraître forte.
Un claquement de clés, des pas de bottes sur le béton. Deux gardiens apparaissent, Stancu et Ilie, tous deux vêtus d’un manteau d’uniforme. Stancu tient un grand seau en métal. Une puanteur lourde le précède.
Stancu (ton tranchant) :
Debout, les morveux. Heure du festin.
Ilie rigole en coin. Dans le seau, des morceaux de lard flottent dans une graisse blanchâtre, à la surface de laquelle dérivent des vers blancs et gras, se tordant lentement. L’odeur est si violente qu’Ilie plaque aussitôt un mouchoir contre son nez.
Ilie (voix nasillarde derrière son mouchoir) :
C’est vos précieuses jumari. Spécialité roumaine… avec supplément protéines.
Lucia, la petite, recule contre le mur, secouée de sanglots. Ana porte la main à sa bouche, le visage virant au vert. Mara, déjà plus endurcie, dévisage les gardiens avec haine, mais ses narines frémissent malgré elle.
Stancu plonge une louche crasseuse dans le seau, la ressort, dégoulinante de graisse. Il en verse le contenu dans une gamelle en métal, où tombent trois gros morceaux de viande grouillant de vers.
Stancu (sourire cruel) :
Mangez. Sinon… pas de repas demain. Et peut-être un tour à la cave.
Ilie rit, puis se penche vers Elena :
Ilie (sifflement moqueur) :
T’es la grande, hein ? Montre l’exemple à tes petites sœurs…
Elena fixe la gamelle. Elle inspire fort, ferme les yeux, et approche ses doigts tremblants. Elle saisit un morceau de viande, visqueux. Un vers glisse le long de sa main, tombant sur la dalle avec un petit bruit mouillé. Elena pousse un haut-le-cœur, mais se force à porter le morceau à ses lèvres.
Lucia hurle :
Lucia (pleurant) :
Non !! Non !! C’est sale !! Y’a des bébêtes dedans !!
Ana se met à vomir violemment dans un coin, ses spasmes soulevant son frêle corps. Ilie la saisit par le bras, la secoue.
Ilie (fou de rage) :
Tu gaspilles ? Hein ? Tu vomis ce qu’on te donne ? Tu veux crever ?!
Mara serre les poings. Elle attrape la gamelle, retire rageusement quelques vers d’un morceau et avale un bout en fermant les yeux, la respiration hachée. Elle tousse, manque de vomir à son tour.
Mara (voix étouffée) :
Si on mange pas… on meurt…
Lucia continue de pleurer, répétant sans cesse :
Lucia :
Maman… maman… c’est pas de la nourriture…
Elena ravale un sanglot. Elle réussit à mordre dans un morceau, la graisse explose sous ses dents, l’odeur putride envahit sa bouche, ses larmes coulent malgré elle. Elle mâche, très lentement, le regard vide.
Stancu (voix doucereuse) :
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Ilie relâche Ana, la pousse brutalement contre le mur.
Ilie :
Vous allez tout bouffer. Ou la cave. Et là-bas, c’est pire que les vers.
Il jette un dernier regard aux gamines, le mouchoir toujours sur le nez, avant de sortir en claquant la porte. L’écho de la clé résonne longtemps.
Dans le silence retombé, on n’entend plus que les sanglots de Lucia, et les mastications lentes de Mara et Elena, avalant malgré elles, pour ne pas mourir.
Titre : L’Odeur du Froid
Chapitre 2 La crasse et le tissu
La nuit est tombée depuis longtemps sur Jilava. Dans la cellule glaciale, l’air sent la moisissure, l’urine et la sueur rance. L’humidité ruisselle sur les murs. Le sol est poisseux, toujours humide, jamais sec.
Les dix filles portent toujours les mêmes vêtements depuis des semaines, parfois des mois :
des robes de coton râpées, autrefois blanches, maintenant tachées de brun et de gris.
des chaussettes effilochées, parfois une seule chaussure aux pieds.
aucune culotte propre : celles qu’elles portent sont jaunies, déchirées, collées à leur peau, et sentent l’ammoniac, les excréments, et la crasse.
Lucia, la plus petite, a les cuisses couvertes de dartres rouges. Elle se gratte sans arrêt. Des poux rampent dans ses cheveux emmêlés.
Mara (15 ans, voix éteinte) :
Arrête, Lucia. Si tu te grattes, ça saigne. Et ça pique encore plus.
Les draps ne sont jamais lavés. Une unique couverture, humide, sert à toutes. Les gardiennes interdisent de laver le linge plus d’une fois par mois. Les filles sentent l’urine séchée, le sang menstruel, la moisissure.
Chapitre 3 Le repas du matin
Au petit matin, un gardien nommé Petru ouvre la porte. Il a les lèvres gercées, les yeux cernés, mais un sourire cruel. Il tient une marmite cabossée, dont s’échappe une odeur de graisse froide et de pourriture.
Petru :
Debout, les princesses. On va vous régaler.
Il dépose sur le sol une gamelle unique, dans laquelle flottent :
des eaux grasses jaunâtres,
quelques morceaux de jumari grisâtres,
et encore ces vers blancs, certains vivants, qui se tortillent.
Lucia se recule d’un bond, les larmes aux yeux. Ana (12 ans) observe la gamelle avec terreur.
Ana :
J… j’ai faim. Mais… j’y arrive pas…
Elena (17 ans), les traits tirés, prend une grande inspiration. Elle se penche, attrape un morceau, souffle dessus, retire deux vers et avale. Son visage se contracte, des larmes lui montent aux yeux.
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Regardez-moi ces p’tites bourgeoises. Ça vous dégoûte ? Les cochons, eux, ils mangeraient tout. Vous valez moins qu’un cochon.
Ana se penche enfin, tremblante. Elle approche un morceau de viande de ses lèvres, mais dès qu’elle sent l’odeur, elle vomit sur le sol. Une bouillie liquide dégouline sur ses genoux maigres.
Petru lui assène une gifle sèche.
Petru (criant) :
Tu vomis ce qu’on te donne ? T’auras rien d’autre. Rien ! T’entends ?!
Ana éclate en sanglots.
Chapitre 4 L’hygiène en ruine
Dans le dortoir, après le “repas”, les filles tentent de se laver tant bien que mal :
pas de savon depuis des semaines.
une bassine d’eau glacée, brunâtre, où flottent des peluches de saleté.
pas de serviettes. Elles s’essuient avec leurs manches souillées.
Mara essaie de démêler les cheveux de Lucia, mais la petite hurle :
Lucia :
Aïe ! Ça tire ! Y’a des bêtes dedans !
Effectivement, des lentes blanches s’accrochent aux racines de ses cheveux. Mara soupire.
Mara :
Il faut les enlever… sinon ça gratte trop.
@pueranus
80ans de propagande juive ont meneé à ceci
il y a 15 jours
Vaillant
15j
J'ai écrit un LIVRE avec CHATGPT, vos avis ??
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Cacahuète
PuerAnus
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ça va être du lourd
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il y a 8 jours
upziazz98
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Shol
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Le grondement du vent traverse les interstices des murs ruisselants d’eau. Dans la cellule étroite, dix filles se tiennent serrées sous une seule couverture grise, grelottant. Leurs âges varient : Lucia, 7 ans, les yeux gonflés de larmes, Ana, 12 ans, maigre, avec les joues creusées, Mara, 15 ans, le regard fixe, et d’autres encore, jusqu’à Elena, 17 ans, qui tente de paraître forte.
Un claquement de clés, des pas de bottes sur le béton. Deux gardiens apparaissent, Stancu et Ilie, tous deux vêtus d’un manteau d’uniforme. Stancu tient un grand seau en métal. Une puanteur lourde le précède.
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Debout, les morveux. Heure du festin.
Ilie rigole en coin. Dans le seau, des morceaux de lard flottent dans une graisse blanchâtre, à la surface de laquelle dérivent des vers blancs et gras, se tordant lentement. L’odeur est si violente qu’Ilie plaque aussitôt un mouchoir contre son nez.
Ilie (voix nasillarde derrière son mouchoir) :
C’est vos précieuses jumari. Spécialité roumaine… avec supplément protéines.
Lucia, la petite, recule contre le mur, secouée de sanglots. Ana porte la main à sa bouche, le visage virant au vert. Mara, déjà plus endurcie, dévisage les gardiens avec haine, mais ses narines frémissent malgré elle.
Stancu plonge une louche crasseuse dans le seau, la ressort, dégoulinante de graisse. Il en verse le contenu dans une gamelle en métal, où tombent trois gros morceaux de viande grouillant de vers.
Stancu (sourire cruel) :
Mangez. Sinon… pas de repas demain. Et peut-être un tour à la cave.
Ilie rit, puis se penche vers Elena :
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T’es la grande, hein ? Montre l’exemple à tes petites sœurs…
Elena fixe la gamelle. Elle inspire fort, ferme les yeux, et approche ses doigts tremblants. Elle saisit un morceau de viande, visqueux. Un vers glisse le long de sa main, tombant sur la dalle avec un petit bruit mouillé. Elena pousse un haut-le-cœur, mais se force à porter le morceau à ses lèvres.
Lucia hurle :
Lucia (pleurant) :
Non !! Non !! C’est sale !! Y’a des bébêtes dedans !!
Ana se met à vomir violemment dans un coin, ses spasmes soulevant son frêle corps. Ilie la saisit par le bras, la secoue.
Ilie (fou de rage) :
Tu gaspilles ? Hein ? Tu vomis ce qu’on te donne ? Tu veux crever ?!
Mara serre les poings. Elle attrape la gamelle, retire rageusement quelques vers d’un morceau et avale un bout en fermant les yeux, la respiration hachée. Elle tousse, manque de vomir à son tour.
Mara (voix étouffée) :
Si on mange pas… on meurt…
Lucia continue de pleurer, répétant sans cesse :
Lucia :
Maman… maman… c’est pas de la nourriture…
Elena ravale un sanglot. Elle réussit à mordre dans un morceau, la graisse explose sous ses dents, l’odeur putride envahit sa bouche, ses larmes coulent malgré elle. Elle mâche, très lentement, le regard vide.
Stancu (voix doucereuse) :
Bonne fille. Vous voyez, les autres ? Elle, elle a compris.
Ilie relâche Ana, la pousse brutalement contre le mur.
Ilie :
Vous allez tout bouffer. Ou la cave. Et là-bas, c’est pire que les vers.
Il jette un dernier regard aux gamines, le mouchoir toujours sur le nez, avant de sortir en claquant la porte. L’écho de la clé résonne longtemps.
Dans le silence retombé, on n’entend plus que les sanglots de Lucia, et les mastications lentes de Mara et Elena, avalant malgré elles, pour ne pas mourir.
Titre : L’Odeur du Froid
Chapitre 2 La crasse et le tissu
La nuit est tombée depuis longtemps sur Jilava. Dans la cellule glaciale, l’air sent la moisissure, l’urine et la sueur rance. L’humidité ruisselle sur les murs. Le sol est poisseux, toujours humide, jamais sec.
Les dix filles portent toujours les mêmes vêtements depuis des semaines, parfois des mois :
des robes de coton râpées, autrefois blanches, maintenant tachées de brun et de gris.
des chaussettes effilochées, parfois une seule chaussure aux pieds.
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Lucia, la plus petite, a les cuisses couvertes de dartres rouges. Elle se gratte sans arrêt. Des poux rampent dans ses cheveux emmêlés.
Mara (15 ans, voix éteinte) :
Arrête, Lucia. Si tu te grattes, ça saigne. Et ça pique encore plus.
Les draps ne sont jamais lavés. Une unique couverture, humide, sert à toutes. Les gardiennes interdisent de laver le linge plus d’une fois par mois. Les filles sentent l’urine séchée, le sang menstruel, la moisissure.
Chapitre 3 Le repas du matin
Au petit matin, un gardien nommé Petru ouvre la porte. Il a les lèvres gercées, les yeux cernés, mais un sourire cruel. Il tient une marmite cabossée, dont s’échappe une odeur de graisse froide et de pourriture.
Petru :
Debout, les princesses. On va vous régaler.
Il dépose sur le sol une gamelle unique, dans laquelle flottent :
des eaux grasses jaunâtres,
quelques morceaux de jumari grisâtres,
et encore ces vers blancs, certains vivants, qui se tortillent.
Lucia se recule d’un bond, les larmes aux yeux. Ana (12 ans) observe la gamelle avec terreur.
Ana :
J… j’ai faim. Mais… j’y arrive pas…
Elena (17 ans), les traits tirés, prend une grande inspiration. Elle se penche, attrape un morceau, souffle dessus, retire deux vers et avale. Son visage se contracte, des larmes lui montent aux yeux.
Elena :
Mangez… un peu… sinon vous tomberez.
Petru, le gardien, rit.
Petru :
Regardez-moi ces p’tites bourgeoises. Ça vous dégoûte ? Les cochons, eux, ils mangeraient tout. Vous valez moins qu’un cochon.
Ana se penche enfin, tremblante. Elle approche un morceau de viande de ses lèvres, mais dès qu’elle sent l’odeur, elle vomit sur le sol. Une bouillie liquide dégouline sur ses genoux maigres.
Petru lui assène une gifle sèche.
Petru (criant) :
Tu vomis ce qu’on te donne ? T’auras rien d’autre. Rien ! T’entends ?!
Ana éclate en sanglots.
Chapitre 4 L’hygiène en ruine
Dans le dortoir, après le “repas”, les filles tentent de se laver tant bien que mal :
pas de savon depuis des semaines.
une bassine d’eau glacée, brunâtre, où flottent des peluches de saleté.
pas de serviettes. Elles s’essuient avec leurs manches souillées.
Mara essaie de démêler les cheveux de Lucia, mais la petite hurle :
Lucia :
Aïe ! Ça tire ! Y’a des bêtes dedans !
Effectivement, des lentes blanches s’accrochent aux racines de ses cheveux. Mara soupire.
Mara :
Il faut les enlever… sinon ça gratte trop.
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Titre : L’Assiette des Vers
Le grondement du vent traverse les interstices des murs ruisselants d’eau. Dans la cellule étroite, dix filles se tiennent serrées sous une seule couverture grise, grelottant. Leurs âges varient : Lucia, 7 ans, les yeux gonflés de larmes, Ana, 12 ans, maigre, avec les joues creusées, Mara, 15 ans, le regard fixe, et d’autres encore, jusqu’à Elena, 17 ans, qui tente de paraître forte.
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Ilie rigole en coin. Dans le seau, des morceaux de lard flottent dans une graisse blanchâtre, à la surface de laquelle dérivent des vers blancs et gras, se tordant lentement. L’odeur est si violente qu’Ilie plaque aussitôt un mouchoir contre son nez.
Ilie (voix nasillarde derrière son mouchoir) :
C’est vos précieuses jumari. Spécialité roumaine… avec supplément protéines.
Lucia, la petite, recule contre le mur, secouée de sanglots. Ana porte la main à sa bouche, le visage virant au vert. Mara, déjà plus endurcie, dévisage les gardiens avec haine, mais ses narines frémissent malgré elle.
Stancu plonge une louche crasseuse dans le seau, la ressort, dégoulinante de graisse. Il en verse le contenu dans une gamelle en métal, où tombent trois gros morceaux de viande grouillant de vers.
Stancu (sourire cruel) :
Mangez. Sinon… pas de repas demain. Et peut-être un tour à la cave.
Ilie rit, puis se penche vers Elena :
Ilie (sifflement moqueur) :
T’es la grande, hein ? Montre l’exemple à tes petites sœurs…
Elena fixe la gamelle. Elle inspire fort, ferme les yeux, et approche ses doigts tremblants. Elle saisit un morceau de viande, visqueux. Un vers glisse le long de sa main, tombant sur la dalle avec un petit bruit mouillé. Elena pousse un haut-le-cœur, mais se force à porter le morceau à ses lèvres.
Lucia hurle :
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Maman… maman… c’est pas de la nourriture…
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Stancu (voix doucereuse) :
Bonne fille. Vous voyez, les autres ? Elle, elle a compris.
Ilie relâche Ana, la pousse brutalement contre le mur.
Ilie :
Vous allez tout bouffer. Ou la cave. Et là-bas, c’est pire que les vers.
Il jette un dernier regard aux gamines, le mouchoir toujours sur le nez, avant de sortir en claquant la porte. L’écho de la clé résonne longtemps.
Dans le silence retombé, on n’entend plus que les sanglots de Lucia, et les mastications lentes de Mara et Elena, avalant malgré elles, pour ne pas mourir.
Titre : L’Odeur du Froid
Chapitre 2 La crasse et le tissu
La nuit est tombée depuis longtemps sur Jilava. Dans la cellule glaciale, l’air sent la moisissure, l’urine et la sueur rance. L’humidité ruisselle sur les murs. Le sol est poisseux, toujours humide, jamais sec.
Les dix filles portent toujours les mêmes vêtements depuis des semaines, parfois des mois :
des robes de coton râpées, autrefois blanches, maintenant tachées de brun et de gris.
des chaussettes effilochées, parfois une seule chaussure aux pieds.
aucune culotte propre : celles qu’elles portent sont jaunies, déchirées, collées à leur peau, et sentent l’ammoniac, les excréments, et la crasse.
Lucia, la plus petite, a les cuisses couvertes de dartres rouges. Elle se gratte sans arrêt. Des poux rampent dans ses cheveux emmêlés.
Mara (15 ans, voix éteinte) :
Arrête, Lucia. Si tu te grattes, ça saigne. Et ça pique encore plus.
Les draps ne sont jamais lavés. Une unique couverture, humide, sert à toutes. Les gardiennes interdisent de laver le linge plus d’une fois par mois. Les filles sentent l’urine séchée, le sang menstruel, la moisissure.
Chapitre 3 Le repas du matin
Au petit matin, un gardien nommé Petru ouvre la porte. Il a les lèvres gercées, les yeux cernés, mais un sourire cruel. Il tient une marmite cabossée, dont s’échappe une odeur de graisse froide et de pourriture.
Petru :
Debout, les princesses. On va vous régaler.
Il dépose sur le sol une gamelle unique, dans laquelle flottent :
des eaux grasses jaunâtres,
quelques morceaux de jumari grisâtres,
et encore ces vers blancs, certains vivants, qui se tortillent.
Lucia se recule d’un bond, les larmes aux yeux. Ana (12 ans) observe la gamelle avec terreur.
Ana :
J… j’ai faim. Mais… j’y arrive pas…
Elena (17 ans), les traits tirés, prend une grande inspiration. Elle se penche, attrape un morceau, souffle dessus, retire deux vers et avale. Son visage se contracte, des larmes lui montent aux yeux.
Elena :
Mangez… un peu… sinon vous tomberez.
Petru, le gardien, rit.
Petru :
Regardez-moi ces p’tites bourgeoises. Ça vous dégoûte ? Les cochons, eux, ils mangeraient tout. Vous valez moins qu’un cochon.
Ana se penche enfin, tremblante. Elle approche un morceau de viande de ses lèvres, mais dès qu’elle sent l’odeur, elle vomit sur le sol. Une bouillie liquide dégouline sur ses genoux maigres.
Petru lui assène une gifle sèche.
Petru (criant) :
Tu vomis ce qu’on te donne ? T’auras rien d’autre. Rien ! T’entends ?!
Ana éclate en sanglots.
Chapitre 4 L’hygiène en ruine
Dans le dortoir, après le “repas”, les filles tentent de se laver tant bien que mal :
pas de savon depuis des semaines.
une bassine d’eau glacée, brunâtre, où flottent des peluches de saleté.
pas de serviettes. Elles s’essuient avec leurs manches souillées.
Mara essaie de démêler les cheveux de Lucia, mais la petite hurle :
Lucia :
Aïe ! Ça tire ! Y’a des bêtes dedans !
Effectivement, des lentes blanches s’accrochent aux racines de ses cheveux. Mara soupire.
Mara :
Il faut les enlever… sinon ça gratte trop.
@pueranus
À peine sorti tu veux déjà y retourner ?
Je suis un parfait anonyme. Je n'existe pas. Sauf ici.
il y a 15 jours
À peine sorti tu veux déjà y retourner ?
Non, mais c'est une promesse que je luis ai faite
Et puis je ne l'ai pas lu
Et puis je ne l'ai pas lu
80ans de propagande juive ont meneé à ceci
il y a 15 jours