C'est marrant comme les autorités militaires ont l'air d'en n'avoir rien à foutre. On aurait pu imaginer des interrogatoires et des saisies de smartphones pour analyser les données, mais en fait non. Comme si ces autorités étaient elles-même à l'origine de ces trucs, et que c'était fait exprès qu'ils soient vu du public, libre de faire ce qu'il veut des photos et des vidéos prises au risque de laisser fuiter des secrets techniques aux ennemis.