A chaque superposition effondrée, à chaque choix, tu meurs d’une certaine manière, dans toutes les versions où tu ne continues. Tu meurs aussi à chaque fois que le regard des autres ne te reconnaît plus, quand ton rôle ou ton masque tombe. Également, tu meurs infiniment, l’éternel retour te rejoue encore et encore, sous toutes tes formes, dans toutes tes petites fins.
Alors combien de fois ? Autant que l’univers le permet. Ce n’est pas grave.
Alors combien de fois ? Autant que l’univers le permet. Ce n’est pas grave.
Je ne possède strictement rien. Sauf mon âme. 
A chaque superposition effondrée, à chaque choix, tu meurs d’une certaine manière, dans toutes les versions où tu ne continues. Tu meurs aussi à chaque fois que le regard des autres ne te reconnaît plus, quand ton rôle ou ton masque tombe. Également, tu meurs infiniment, l’éternel retour te rejoue encore et encore, sous toutes tes formes, dans toutes tes petites fins.
Alors combien de fois ? Autant que l’univers le permet. Ce n’est pas grave.
Alors combien de fois ? Autant que l’univers le permet. Ce n’est pas grave.
A chaque superposition effondrée, à chaque choix, tu meurs d’une certaine manière, dans toutes les versions où tu ne continues. Tu meurs aussi à chaque fois que le regard des autres ne te reconnaît plus, quand ton rôle ou ton masque tombe. Également, tu meurs infiniment, l’éternel retour te rejoue encore et encore, sous toutes tes formes, dans toutes tes petites fins.
Alors combien de fois ? Autant que l’univers le permet. Ce n’est pas grave.
Alors combien de fois ? Autant que l’univers le permet. Ce n’est pas grave.
Non, on ne se connait pas.
Je ne possède strictement rien. Sauf mon âme.
Non, on ne se connait pas.