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Le propriétaire d'une Bugatti Veyron a été surpris par le montant d'un devis du constructeur pour un simple bouton.

En juin 2025, Carl Hartley, héritier du concessionnaire Tom Hartley, découvre un bouton défectueux sur sa Bugatti Veyron.
Bugatti propose un devis de 13 000 euros pour réparer le bouton, mais un mécanicien indépendant le remplace pour moins de 2 euros.
Cette histoire souligne les coûts d'entretien exorbitants des hypercars comme la Bugatti Veyron, malgré l'utilisation de pièces communes au groupe VW.

La Bugatti Veyron est une hypercar qui incarne clairement le luxe extrême. Néanmoins, son coût d'entretien risque de faire pâlir même les plus riches. Le dernier cas en date concerne un bouton de réglage de rétroviseur facturé à 13 000 euros avant d'être réparé pour presque rien. Cette histoire inattendue a été partagée par AutoBild.de.

Un bouton défectueux sur une Bugatti Veyron
Produite entre 2005 et 2015, la Bugatti Veyron n'a été produite qu'à seulement 450 exemplaires. Avec un prix neuf frôlant les 1,4 million d'euros, il faut aussi prendre en compte son entretien onéreux avant d'acheter un modèle. En juin 2025, Carl Hartley a vécu une aventure peu commune avec cette hypercar. Ce dernier est d'ailleurs l'héritier du réputé concessionnaire Tom Hartley, basé à Birmingham. Il découvre que le bouton de réglage du miroir de sa Bugatti Veyron ne fonctionne plus.

Il s'adresse ainsi au service après-vente de Bugatti pour obtenir un devis. Carl reçoit donc un devis hallucinant d'environ 13 000 euros pour remplacer le moteur du miroir, sans même toucher à la coquille entière du rétroviseur. Surpris par ce prix exorbitant pour une panne aussi mineure, Carl estime que le constructeur abuse de sa position pour maximiser les marges sur des pièces banales. En effet, ces pièces sont partagées entre plusieurs modèles au sein du groupe Volkswagen.

Face à cette démesure, Carl décide de se tourner vers un mécanicien indépendant spécialisé en pièces de voitures d'exception. En seulement 25 minutes, il remplace le composant défectueux. Il a seulement utilisé une pièce identique à celle d'un Volkswagen Transporter. Celle-ci a été achetée pour moins de 2 euros et posée pour une bière symbolique après le service rendu.

Des coûts d'entretien extrêmes
Le contraste est sidérant entre le devis de Bugatti et le coût réel du remplacement de la pièce. Cette situation insolite révèle un véritable imbroglio entre exclusivité et accessibilité. À l'époque de la Bugatti Veyron, la marque française a été rattachée au groupe Volkswagen, ce qui permet l'emploi de pièces standard. Toutefois, ce n'est visiblement pas dans l'intérêt du service après-vente officiel.

Dans tous les cas, l'entretien d'une telle hypercar reste extrêmement coûteux. Par exemple, une banale vidange du moteur W16 de 8,0 litres de la Bugatti Veyron coûte près de 20 000 euros incluant les 27 heures de main-d'œuvre. Souvent, la faible diffusion de ce modèle pousse les garages officiels à exagérer les prix.

D'un côté, Bugatti justifie les coûts par la rareté, l'expertise et la nécessité de rigueur professionnelle. De l'autre, la présence de pièces communes au groupe VW révèle une large marge de manœuvre très lucrative.

www.autoplus.fr https://www.autoplus.fr/a[...]-13000-euros-1386104.html
il y a un mois
ayaaaa
:nez:
il y a un mois
Ptdrr l'europe ce continent d'enculé
After me the deluge
il y a un mois
Ptdrr l'europe ce continent d'enculé
Et Israël les enfants qui sortent de cette accouplement
:zizou_provence:
il y a un mois
L'arnaqueur ne discrimine pas entre pauvres et riches
( ͡° ͜ʖ ͡°)
il y a un mois
Fabu12
Fabu12
1 mois
Le propriétaire d'une Bugatti Veyron a été surpris par le montant d'un devis du constructeur pour un simple bouton.

En juin 2025, Carl Hartley, héritier du concessionnaire Tom Hartley, découvre un bouton défectueux sur sa Bugatti Veyron.
Bugatti propose un devis de 13 000 euros pour réparer le bouton, mais un mécanicien indépendant le remplace pour moins de 2 euros.
Cette histoire souligne les coûts d'entretien exorbitants des hypercars comme la Bugatti Veyron, malgré l'utilisation de pièces communes au groupe VW.

La Bugatti Veyron est une hypercar qui incarne clairement le luxe extrême. Néanmoins, son coût d'entretien risque de faire pâlir même les plus riches. Le dernier cas en date concerne un bouton de réglage de rétroviseur facturé à 13 000 euros avant d'être réparé pour presque rien. Cette histoire inattendue a été partagée par AutoBild.de.

Un bouton défectueux sur une Bugatti Veyron
Produite entre 2005 et 2015, la Bugatti Veyron n'a été produite qu'à seulement 450 exemplaires. Avec un prix neuf frôlant les 1,4 million d'euros, il faut aussi prendre en compte son entretien onéreux avant d'acheter un modèle. En juin 2025, Carl Hartley a vécu une aventure peu commune avec cette hypercar. Ce dernier est d'ailleurs l'héritier du réputé concessionnaire Tom Hartley, basé à Birmingham. Il découvre que le bouton de réglage du miroir de sa Bugatti Veyron ne fonctionne plus.

Il s'adresse ainsi au service après-vente de Bugatti pour obtenir un devis. Carl reçoit donc un devis hallucinant d'environ 13 000 euros pour remplacer le moteur du miroir, sans même toucher à la coquille entière du rétroviseur. Surpris par ce prix exorbitant pour une panne aussi mineure, Carl estime que le constructeur abuse de sa position pour maximiser les marges sur des pièces banales. En effet, ces pièces sont partagées entre plusieurs modèles au sein du groupe Volkswagen.

Face à cette démesure, Carl décide de se tourner vers un mécanicien indépendant spécialisé en pièces de voitures d'exception. En seulement 25 minutes, il remplace le composant défectueux. Il a seulement utilisé une pièce identique à celle d'un Volkswagen Transporter. Celle-ci a été achetée pour moins de 2 euros et posée pour une bière symbolique après le service rendu.

Des coûts d'entretien extrêmes
Le contraste est sidérant entre le devis de Bugatti et le coût réel du remplacement de la pièce. Cette situation insolite révèle un véritable imbroglio entre exclusivité et accessibilité. À l'époque de la Bugatti Veyron, la marque française a été rattachée au groupe Volkswagen, ce qui permet l'emploi de pièces standard. Toutefois, ce n'est visiblement pas dans l'intérêt du service après-vente officiel.

Dans tous les cas, l'entretien d'une telle hypercar reste extrêmement coûteux. Par exemple, une banale vidange du moteur W16 de 8,0 litres de la Bugatti Veyron coûte près de 20 000 euros incluant les 27 heures de main-d'œuvre. Souvent, la faible diffusion de ce modèle pousse les garages officiels à exagérer les prix.

D'un côté, Bugatti justifie les coûts par la rareté, l'expertise et la nécessité de rigueur professionnelle. De l'autre, la présence de pièces communes au groupe VW révèle une large marge de manœuvre très lucrative.

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:nez:

Ils profitent des thunes des riches, si t'as une Bugatti et que tu t'en fous des thunes tu peux claquer 13 000€ dans un bouton sans même capter que c'est beaucoup trop
:LapinBelier:
:B_lapin:
La TEAM LAPIN domine le FOROMENT
:B_lapin:
il y a un mois
Fabu12
Fabu12
1 mois
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En juin 2025, Carl Hartley, héritier du concessionnaire Tom Hartley, découvre un bouton défectueux sur sa Bugatti Veyron.
Bugatti propose un devis de 13 000 euros pour réparer le bouton, mais un mécanicien indépendant le remplace pour moins de 2 euros.
Cette histoire souligne les coûts d'entretien exorbitants des hypercars comme la Bugatti Veyron, malgré l'utilisation de pièces communes au groupe VW.

La Bugatti Veyron est une hypercar qui incarne clairement le luxe extrême. Néanmoins, son coût d'entretien risque de faire pâlir même les plus riches. Le dernier cas en date concerne un bouton de réglage de rétroviseur facturé à 13 000 euros avant d'être réparé pour presque rien. Cette histoire inattendue a été partagée par AutoBild.de.

Un bouton défectueux sur une Bugatti Veyron
Produite entre 2005 et 2015, la Bugatti Veyron n'a été produite qu'à seulement 450 exemplaires. Avec un prix neuf frôlant les 1,4 million d'euros, il faut aussi prendre en compte son entretien onéreux avant d'acheter un modèle. En juin 2025, Carl Hartley a vécu une aventure peu commune avec cette hypercar. Ce dernier est d'ailleurs l'héritier du réputé concessionnaire Tom Hartley, basé à Birmingham. Il découvre que le bouton de réglage du miroir de sa Bugatti Veyron ne fonctionne plus.

Il s'adresse ainsi au service après-vente de Bugatti pour obtenir un devis. Carl reçoit donc un devis hallucinant d'environ 13 000 euros pour remplacer le moteur du miroir, sans même toucher à la coquille entière du rétroviseur. Surpris par ce prix exorbitant pour une panne aussi mineure, Carl estime que le constructeur abuse de sa position pour maximiser les marges sur des pièces banales. En effet, ces pièces sont partagées entre plusieurs modèles au sein du groupe Volkswagen.

Face à cette démesure, Carl décide de se tourner vers un mécanicien indépendant spécialisé en pièces de voitures d'exception. En seulement 25 minutes, il remplace le composant défectueux. Il a seulement utilisé une pièce identique à celle d'un Volkswagen Transporter. Celle-ci a été achetée pour moins de 2 euros et posée pour une bière symbolique après le service rendu.

Des coûts d'entretien extrêmes
Le contraste est sidérant entre le devis de Bugatti et le coût réel du remplacement de la pièce. Cette situation insolite révèle un véritable imbroglio entre exclusivité et accessibilité. À l'époque de la Bugatti Veyron, la marque française a été rattachée au groupe Volkswagen, ce qui permet l'emploi de pièces standard. Toutefois, ce n'est visiblement pas dans l'intérêt du service après-vente officiel.

Dans tous les cas, l'entretien d'une telle hypercar reste extrêmement coûteux. Par exemple, une banale vidange du moteur W16 de 8,0 litres de la Bugatti Veyron coûte près de 20 000 euros incluant les 27 heures de main-d'œuvre. Souvent, la faible diffusion de ce modèle pousse les garages officiels à exagérer les prix.

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Fabu12
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Bugatti propose un devis de 13 000 euros pour réparer le bouton, mais un mécanicien indépendant le remplace pour moins de 2 euros.
Cette histoire souligne les coûts d'entretien exorbitants des hypercars comme la Bugatti Veyron, malgré l'utilisation de pièces communes au groupe VW.

La Bugatti Veyron est une hypercar qui incarne clairement le luxe extrême. Néanmoins, son coût d'entretien risque de faire pâlir même les plus riches. Le dernier cas en date concerne un bouton de réglage de rétroviseur facturé à 13 000 euros avant d'être réparé pour presque rien. Cette histoire inattendue a été partagée par AutoBild.de.

Un bouton défectueux sur une Bugatti Veyron
Produite entre 2005 et 2015, la Bugatti Veyron n'a été produite qu'à seulement 450 exemplaires. Avec un prix neuf frôlant les 1,4 million d'euros, il faut aussi prendre en compte son entretien onéreux avant d'acheter un modèle. En juin 2025, Carl Hartley a vécu une aventure peu commune avec cette hypercar. Ce dernier est d'ailleurs l'héritier du réputé concessionnaire Tom Hartley, basé à Birmingham. Il découvre que le bouton de réglage du miroir de sa Bugatti Veyron ne fonctionne plus.

Il s'adresse ainsi au service après-vente de Bugatti pour obtenir un devis. Carl reçoit donc un devis hallucinant d'environ 13 000 euros pour remplacer le moteur du miroir, sans même toucher à la coquille entière du rétroviseur. Surpris par ce prix exorbitant pour une panne aussi mineure, Carl estime que le constructeur abuse de sa position pour maximiser les marges sur des pièces banales. En effet, ces pièces sont partagées entre plusieurs modèles au sein du groupe Volkswagen.

Face à cette démesure, Carl décide de se tourner vers un mécanicien indépendant spécialisé en pièces de voitures d'exception. En seulement 25 minutes, il remplace le composant défectueux. Il a seulement utilisé une pièce identique à celle d'un Volkswagen Transporter. Celle-ci a été achetée pour moins de 2 euros et posée pour une bière symbolique après le service rendu.

Des coûts d'entretien extrêmes
Le contraste est sidérant entre le devis de Bugatti et le coût réel du remplacement de la pièce. Cette situation insolite révèle un véritable imbroglio entre exclusivité et accessibilité. À l'époque de la Bugatti Veyron, la marque française a été rattachée au groupe Volkswagen, ce qui permet l'emploi de pièces standard. Toutefois, ce n'est visiblement pas dans l'intérêt du service après-vente officiel.

Dans tous les cas, l'entretien d'une telle hypercar reste extrêmement coûteux. Par exemple, une banale vidange du moteur W16 de 8,0 litres de la Bugatti Veyron coûte près de 20 000 euros incluant les 27 heures de main-d'œuvre. Souvent, la faible diffusion de ce modèle pousse les garages officiels à exagérer les prix.

D'un côté, Bugatti justifie les coûts par la rareté, l'expertise et la nécessité de rigueur professionnelle. De l'autre, la présence de pièces communes au groupe VW révèle une large marge de manœuvre très lucrative.

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il y a un mois
Fabu12
Fabu12
1 mois
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En juin 2025, Carl Hartley, héritier du concessionnaire Tom Hartley, découvre un bouton défectueux sur sa Bugatti Veyron.
Bugatti propose un devis de 13 000 euros pour réparer le bouton, mais un mécanicien indépendant le remplace pour moins de 2 euros.
Cette histoire souligne les coûts d'entretien exorbitants des hypercars comme la Bugatti Veyron, malgré l'utilisation de pièces communes au groupe VW.

La Bugatti Veyron est une hypercar qui incarne clairement le luxe extrême. Néanmoins, son coût d'entretien risque de faire pâlir même les plus riches. Le dernier cas en date concerne un bouton de réglage de rétroviseur facturé à 13 000 euros avant d'être réparé pour presque rien. Cette histoire inattendue a été partagée par AutoBild.de.

Un bouton défectueux sur une Bugatti Veyron
Produite entre 2005 et 2015, la Bugatti Veyron n'a été produite qu'à seulement 450 exemplaires. Avec un prix neuf frôlant les 1,4 million d'euros, il faut aussi prendre en compte son entretien onéreux avant d'acheter un modèle. En juin 2025, Carl Hartley a vécu une aventure peu commune avec cette hypercar. Ce dernier est d'ailleurs l'héritier du réputé concessionnaire Tom Hartley, basé à Birmingham. Il découvre que le bouton de réglage du miroir de sa Bugatti Veyron ne fonctionne plus.

Il s'adresse ainsi au service après-vente de Bugatti pour obtenir un devis. Carl reçoit donc un devis hallucinant d'environ 13 000 euros pour remplacer le moteur du miroir, sans même toucher à la coquille entière du rétroviseur. Surpris par ce prix exorbitant pour une panne aussi mineure, Carl estime que le constructeur abuse de sa position pour maximiser les marges sur des pièces banales. En effet, ces pièces sont partagées entre plusieurs modèles au sein du groupe Volkswagen.

Face à cette démesure, Carl décide de se tourner vers un mécanicien indépendant spécialisé en pièces de voitures d'exception. En seulement 25 minutes, il remplace le composant défectueux. Il a seulement utilisé une pièce identique à celle d'un Volkswagen Transporter. Celle-ci a été achetée pour moins de 2 euros et posée pour une bière symbolique après le service rendu.

Des coûts d'entretien extrêmes
Le contraste est sidérant entre le devis de Bugatti et le coût réel du remplacement de la pièce. Cette situation insolite révèle un véritable imbroglio entre exclusivité et accessibilité. À l'époque de la Bugatti Veyron, la marque française a été rattachée au groupe Volkswagen, ce qui permet l'emploi de pièces standard. Toutefois, ce n'est visiblement pas dans l'intérêt du service après-vente officiel.

Dans tous les cas, l'entretien d'une telle hypercar reste extrêmement coûteux. Par exemple, une banale vidange du moteur W16 de 8,0 litres de la Bugatti Veyron coûte près de 20 000 euros incluant les 27 heures de main-d'œuvre. Souvent, la faible diffusion de ce modèle pousse les garages officiels à exagérer les prix.

D'un côté, Bugatti justifie les coûts par la rareté, l'expertise et la nécessité de rigueur professionnelle. De l'autre, la présence de pièces communes au groupe VW révèle une large marge de manœuvre très lucrative.

www.autoplus.fr https://www.autoplus.fr/a[...]-13000-euros-1386104.html
:nez:

Ils profitent des thunes des riches, si t'as une Bugatti et que tu t'en fous des thunes tu peux claquer 13 000€ dans un bouton sans même capter que c'est beaucoup trop
:LapinBelier:
:B_lapin:
La TEAM LAPIN domine le FOROMENT
:B_lapin:
il y a un mois
Quelque part le milliardaire si tu lui dit que ça coûte 3 euros il va presque se sentir insulté
:Chatonchent:
il y a un mois
Le problème c'est que maintenant ce n'est plus une Bugatti veyron authentique mais une espèce d'hybride entre une Bugatti veyron et un VW transporter. Ca casse quand même le prestige non?
il y a un mois
Azrael
Azrael
1 mois
Le problème c'est que maintenant ce n'est plus une Bugatti veyron authentique mais une espèce d'hybride entre une Bugatti veyron et un VW transporter. Ca casse quand même le prestige non?
Cette histoire souligne les coûts d'entretien exorbitants des hypercars comme la Bugatti Veyron, malgré l'utilisation de pièces communes au groupe VW.
il y a un mois
les gens qui achètent cette voiture sont censés avoir des moyens illimités

il est évident qu'une pièce ne coûte pas 13k, ni 1 vidange 20k

c'est juste 1 accord tacite entre le client et la marque :
-gain pour le client : montrer qu'il fait partie de l'élite de l'élite, de la même manière que vous vous en foutez de payer votre baguette 2 centimes, 2€ ou même 20€ si vous gagnez 200k/mois (même en achetant 1 baguette par jour ça vous couterait 600€)
-gain pour la marque : argent + renforcement de son propre statut symbolique > vous avez vu pour venir chez moi il faut faire partie de ceux qui sont prêts à payer un prix plus que délirant, en lien avec le fait que vous faites parties des 0,01%
:nouscnous:


ceux qui sortent de cet accord tacite montrent qu'il y a erreur sur le contrat depuis le début (tant de la part du client que de bugatti), ce n'est pas être un "suceur" de bugatti de dire cela, puisque le marketing/stratégie commerciale est basé là dessus : on vend veyron aux 500 personnes dans le monde qu'on sélectionne nous mêmes (sinon on refuse de vendre) et qui sont capables de payer quel que soit le montant de la facture
:nouscnous:


"gneugneu tu es en train de montrer que tu serais prêt à payer une baguette 20€" > non tu n'as rien compris branlotin car moi je ne gagne pas 200k/mois, et encore moins ce qu'il faut pour 1 bugatti donc le raisonnement ne s'applique pas à moi, on ne parle pas de ton voisin que tu considères comme riche car il a un patrimoine de 10M
Image
en résumé : en parlant de prix, ce client montre simplement qu'il ne devrait pas faire partie du "club"

on ne parle pas d'un produit de luxe mais d'un truc qui existe en quelques centaines d'exemplaires et où tu es sélectionné parmi l'élite de l'élite des riches
:philippacide:
il y a un mois
Fabu12
Fabu12
1 mois
Le propriétaire d'une Bugatti Veyron a été surpris par le montant d'un devis du constructeur pour un simple bouton.

En juin 2025, Carl Hartley, héritier du concessionnaire Tom Hartley, découvre un bouton défectueux sur sa Bugatti Veyron.
Bugatti propose un devis de 13 000 euros pour réparer le bouton, mais un mécanicien indépendant le remplace pour moins de 2 euros.
Cette histoire souligne les coûts d'entretien exorbitants des hypercars comme la Bugatti Veyron, malgré l'utilisation de pièces communes au groupe VW.

La Bugatti Veyron est une hypercar qui incarne clairement le luxe extrême. Néanmoins, son coût d'entretien risque de faire pâlir même les plus riches. Le dernier cas en date concerne un bouton de réglage de rétroviseur facturé à 13 000 euros avant d'être réparé pour presque rien. Cette histoire inattendue a été partagée par AutoBild.de.

Un bouton défectueux sur une Bugatti Veyron
Produite entre 2005 et 2015, la Bugatti Veyron n'a été produite qu'à seulement 450 exemplaires. Avec un prix neuf frôlant les 1,4 million d'euros, il faut aussi prendre en compte son entretien onéreux avant d'acheter un modèle. En juin 2025, Carl Hartley a vécu une aventure peu commune avec cette hypercar. Ce dernier est d'ailleurs l'héritier du réputé concessionnaire Tom Hartley, basé à Birmingham. Il découvre que le bouton de réglage du miroir de sa Bugatti Veyron ne fonctionne plus.

Il s'adresse ainsi au service après-vente de Bugatti pour obtenir un devis. Carl reçoit donc un devis hallucinant d'environ 13 000 euros pour remplacer le moteur du miroir, sans même toucher à la coquille entière du rétroviseur. Surpris par ce prix exorbitant pour une panne aussi mineure, Carl estime que le constructeur abuse de sa position pour maximiser les marges sur des pièces banales. En effet, ces pièces sont partagées entre plusieurs modèles au sein du groupe Volkswagen.

Face à cette démesure, Carl décide de se tourner vers un mécanicien indépendant spécialisé en pièces de voitures d'exception. En seulement 25 minutes, il remplace le composant défectueux. Il a seulement utilisé une pièce identique à celle d'un Volkswagen Transporter. Celle-ci a été achetée pour moins de 2 euros et posée pour une bière symbolique après le service rendu.

Des coûts d'entretien extrêmes
Le contraste est sidérant entre le devis de Bugatti et le coût réel du remplacement de la pièce. Cette situation insolite révèle un véritable imbroglio entre exclusivité et accessibilité. À l'époque de la Bugatti Veyron, la marque française a été rattachée au groupe Volkswagen, ce qui permet l'emploi de pièces standard. Toutefois, ce n'est visiblement pas dans l'intérêt du service après-vente officiel.

Dans tous les cas, l'entretien d'une telle hypercar reste extrêmement coûteux. Par exemple, une banale vidange du moteur W16 de 8,0 litres de la Bugatti Veyron coûte près de 20 000 euros incluant les 27 heures de main-d'œuvre. Souvent, la faible diffusion de ce modèle pousse les garages officiels à exagérer les prix.

D'un côté, Bugatti justifie les coûts par la rareté, l'expertise et la nécessité de rigueur professionnelle. De l'autre, la présence de pièces communes au groupe VW révèle une large marge de manœuvre très lucrative.

www.autoplus.fr https://www.autoplus.fr/a[...]-13000-euros-1386104.html
:nez:

Ils profitent des thunes des riches, si t'as une Bugatti et que tu t'en fous des thunes tu peux claquer 13 000€ dans un bouton sans même capter que c'est beaucoup trop
:LapinBelier:
:B_lapin:
La TEAM LAPIN domine le FOROMENT
:B_lapin:
il y a un mois
les gens qui achètent cette voiture sont censés avoir des moyens illimités

il est évident qu'une pièce ne coûte pas 13k, ni 1 vidange 20k

c'est juste 1 accord tacite entre le client et la marque :
-gain pour le client : montrer qu'il fait partie de l'élite de l'élite, de la même manière que vous vous en foutez de payer votre baguette 2 centimes, 2€ ou même 20€ si vous gagnez 200k/mois (même en achetant 1 baguette par jour ça vous couterait 600€)
-gain pour la marque : argent + renforcement de son propre statut symbolique > vous avez vu pour venir chez moi il faut faire partie de ceux qui sont prêts à payer un prix plus que délirant, en lien avec le fait que vous faites parties des 0,01%
:nouscnous:


ceux qui sortent de cet accord tacite montrent qu'il y a erreur sur le contrat depuis le début (tant de la part du client que de bugatti), ce n'est pas être un "suceur" de bugatti de dire cela, puisque le marketing/stratégie commerciale est basé là dessus : on vend veyron aux 500 personnes dans le monde qu'on sélectionne nous mêmes (sinon on refuse de vendre) et qui sont capables de payer quel que soit le montant de la facture
:nouscnous:


"gneugneu tu es en train de montrer que tu serais prêt à payer une baguette 20€" > non tu n'as rien compris branlotin car moi je ne gagne pas 200k/mois, et encore moins ce qu'il faut pour 1 bugatti donc le raisonnement ne s'applique pas à moi, on ne parle pas de ton voisin que tu considères comme riche car il a un patrimoine de 10M
Image
en résumé : en parlant de prix, ce client montre simplement qu'il ne devrait pas faire partie du "club"

on ne parle pas d'un produit de luxe mais d'un truc qui existe en quelques centaines d'exemplaires et où tu es sélectionné parmi l'élite de l'élite des riches
:philippacide:
En juin 2025, Carl Hartley, héritier du concessionnaire Tom Hartley, découvre un bouton défectueux sur sa Bugatti Veyron.

www.tomhartleyjnr.com https://www.tomhartleyjnr.com/fr/

Faut voir la personnalité du mec, il se fait une publicité gratuite pour son groupe pour dire que eux ils sont sympas et honnêtes
:chat_lunettes:
il y a un mois
Azrael
Azrael
1 mois
Le problème c'est que maintenant ce n'est plus une Bugatti veyron authentique mais une espèce d'hybride entre une Bugatti veyron et un VW transporter. Ca casse quand même le prestige non?
Apparemment c' est dès le départ un réemploi par Bugatti de pièces dans la banque d' organe du groupe VW donc à moins que Bugatti a gravé son logo dessus il y a rien qui change, en sortie usine de chez Bugatti il y a bien du VW Transporter dans la Veyron
:Escargochat:
il y a un mois
Fabu12
Fabu12
1 mois
En juin 2025, Carl Hartley, héritier du concessionnaire Tom Hartley, découvre un bouton défectueux sur sa Bugatti Veyron.

www.tomhartleyjnr.com https://www.tomhartleyjnr.com/fr/

Faut voir la personnalité du mec, il se fait une publicité gratuite pour son groupe pour dire que eux ils sont sympas et honnêtes
:chat_lunettes:
oui je n'ai pas pris en compte cet aspect en effet

lui même fait une opération de communication en disant "oh vous avez vu je suis comme vous j'ai pas les moyens de payer bugatti, si vous avez un peu d'argent mais pas trop et que vous ne voulez pas être arnaqués venez acheter votre voiture chez nous"

bref il fait semblant de se faire "arnaquer" (devoir payer très cher pour l entretien de sa veyron) pour mieux "arnaquer" (vendre son produit) autrui
:philippacide:
il y a un mois
oui je n'ai pas pris en compte cet aspect en effet

lui même fait une opération de communication en disant "oh vous avez vu je suis comme vous j'ai pas les moyens de payer bugatti, si vous avez un peu d'argent mais pas trop et que vous ne voulez pas être arnaqués venez acheter votre voiture chez nous"

bref il fait semblant de se faire "arnaquer" (devoir payer très cher pour l entretien de sa veyron) pour mieux "arnaquer" (vendre son produit) autrui
:philippacide:
Avec des coûts d'entretien honnêtes, c'est le but de la communication
:chat_lunettes:
il y a un mois
encore est toujours c'est le petit artisan qui profite pas du ruissellement
WalterJR n'est pas 0 tout , preuve ->
:WJRCHAD:
:WJRCHAD2:
:WJRCHAD3:
:WJRCHAD4:
, supprimez ce badge svp
:Prionche:
il y a un mois
Fabu12
Fabu12
1 mois
Le propriétaire d'une Bugatti Veyron a été surpris par le montant d'un devis du constructeur pour un simple bouton.

En juin 2025, Carl Hartley, héritier du concessionnaire Tom Hartley, découvre un bouton défectueux sur sa Bugatti Veyron.
Bugatti propose un devis de 13 000 euros pour réparer le bouton, mais un mécanicien indépendant le remplace pour moins de 2 euros.
Cette histoire souligne les coûts d'entretien exorbitants des hypercars comme la Bugatti Veyron, malgré l'utilisation de pièces communes au groupe VW.

La Bugatti Veyron est une hypercar qui incarne clairement le luxe extrême. Néanmoins, son coût d'entretien risque de faire pâlir même les plus riches. Le dernier cas en date concerne un bouton de réglage de rétroviseur facturé à 13 000 euros avant d'être réparé pour presque rien. Cette histoire inattendue a été partagée par AutoBild.de.

Un bouton défectueux sur une Bugatti Veyron
Produite entre 2005 et 2015, la Bugatti Veyron n'a été produite qu'à seulement 450 exemplaires. Avec un prix neuf frôlant les 1,4 million d'euros, il faut aussi prendre en compte son entretien onéreux avant d'acheter un modèle. En juin 2025, Carl Hartley a vécu une aventure peu commune avec cette hypercar. Ce dernier est d'ailleurs l'héritier du réputé concessionnaire Tom Hartley, basé à Birmingham. Il découvre que le bouton de réglage du miroir de sa Bugatti Veyron ne fonctionne plus.

Il s'adresse ainsi au service après-vente de Bugatti pour obtenir un devis. Carl reçoit donc un devis hallucinant d'environ 13 000 euros pour remplacer le moteur du miroir, sans même toucher à la coquille entière du rétroviseur. Surpris par ce prix exorbitant pour une panne aussi mineure, Carl estime que le constructeur abuse de sa position pour maximiser les marges sur des pièces banales. En effet, ces pièces sont partagées entre plusieurs modèles au sein du groupe Volkswagen.

Face à cette démesure, Carl décide de se tourner vers un mécanicien indépendant spécialisé en pièces de voitures d'exception. En seulement 25 minutes, il remplace le composant défectueux. Il a seulement utilisé une pièce identique à celle d'un Volkswagen Transporter. Celle-ci a été achetée pour moins de 2 euros et posée pour une bière symbolique après le service rendu.

Des coûts d'entretien extrêmes
Le contraste est sidérant entre le devis de Bugatti et le coût réel du remplacement de la pièce. Cette situation insolite révèle un véritable imbroglio entre exclusivité et accessibilité. À l'époque de la Bugatti Veyron, la marque française a été rattachée au groupe Volkswagen, ce qui permet l'emploi de pièces standard. Toutefois, ce n'est visiblement pas dans l'intérêt du service après-vente officiel.

Dans tous les cas, l'entretien d'une telle hypercar reste extrêmement coûteux. Par exemple, une banale vidange du moteur W16 de 8,0 litres de la Bugatti Veyron coûte près de 20 000 euros incluant les 27 heures de main-d'œuvre. Souvent, la faible diffusion de ce modèle pousse les garages officiels à exagérer les prix.

D'un côté, Bugatti justifie les coûts par la rareté, l'expertise et la nécessité de rigueur professionnelle. De l'autre, la présence de pièces communes au groupe VW révèle une large marge de manœuvre très lucrative.

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Faire ce genre de dépense c’est comme signer un abonnement pour régulièrement te faire enculer
:Risitousse:
il y a un mois