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Le mot "juggernaut", aujourd’hui synonyme de force écrasante, trouve son origine dans une procession religieuse indienne : celle du dieu Jagannath, à Puri.

Chaque année, des milliers, parfois des centaines de milliers de fidèles se massent pour tirer un char gigantesque pesant parfois jusqu'à 65 tonnes portant l’idole de pierre et de bois sacrée. La ferveur est totale. Les chants, les tambours, la poussière et la foule créent une atmosphère de transe collective.

Des missionnaires britanniques, témoins de cette scène au XIXe siècle, décrivent une vénération qu’ils perçoivent comme fanatique. Claudius Buchanan, en 1811, écrit :
« Le char avance lentement, écrasant sur son passage les corps d’hommes, de femmes, parfois même d’enfants jetés volontairement sous ses roues. Le peuple acclame. Le salut, pensent-ils, est au prix de leur propre chair. »

Dans cet état d’exaltation mystique, des fidèles se font volontairement écraser par la masse en mouvement, certains glissent, d’autres se jettent volontairement par fanatisme. Selon Buchanan :
« Des mères sacrifient leurs nourrissons sous les roues du dieu. Une foule ivre de dévotion pousse des cris de liesse alors que les corps sont broyés. »

C'est une autre culture
:rcw:
il y a un mois
Une autre pour la route
:rcw:


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La pratique du Sati (ou suttee) consistait à brûler une veuve vive sur le bûcher funéraire de son mari. Elle choqua profondément les observateurs occidentaux.

En 1829, Lord William Bentinck écrit en interdisant la pratique :
« Le Sati est une violation flagrante de toute justice humaine. »

Un missionnaire britannique rapporte :
« La veuve, en larmes, est portée jusqu’au bûcher. Les tambours couvrent ses cris. Le feu s’allume, elle hurle. »

Certains cas furent volontaires, d’autres imposés sous la pression sociale ou même par la force. Abolie en 1829, la pratique a perduré clandestinement jusqu’au XXe siècle.
il y a un mois
FAFO
FAFO
1 mois
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Le mot "juggernaut", aujourd’hui synonyme de force écrasante, trouve son origine dans une procession religieuse indienne : celle du dieu Jagannath, à Puri.

Chaque année, des milliers, parfois des centaines de milliers de fidèles se massent pour tirer un char gigantesque pesant parfois jusqu'à 65 tonnes portant l’idole de pierre et de bois sacrée. La ferveur est totale. Les chants, les tambours, la poussière et la foule créent une atmosphère de transe collective.

Des missionnaires britanniques, témoins de cette scène au XIXe siècle, décrivent une vénération qu’ils perçoivent comme fanatique. Claudius Buchanan, en 1811, écrit :
« Le char avance lentement, écrasant sur son passage les corps d’hommes, de femmes, parfois même d’enfants jetés volontairement sous ses roues. Le peuple acclame. Le salut, pensent-ils, est au prix de leur propre chair. »

Dans cet état d’exaltation mystique, des fidèles se font volontairement écraser par la masse en mouvement, certains glissent, d’autres se jettent volontairement par fanatisme. Selon Buchanan :
« Des mères sacrifient leurs nourrissons sous les roues du dieu. Une foule ivre de dévotion pousse des cris de liesse alors que les corps sont broyés. »

C'est une autre culture
:rcw:
Toutes les cultures se valent le chofix
:Skin:
T'as des idées noires keyou ? Plutôt que de faire une connerie, passes discuter en MP.
il y a un mois
:Boucled_a_fond:
il y a un mois
Une dernière
:rcw:


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La pratique de la suspension par crochets, connue sous le nom de Charak Puja au Bengale ou hook-swinging dans les récits coloniaux, est l’une des traditions religieuses les plus déroutantes rapportées par les Européens au XIXe siècle.

Lors de cette fête dédiée à Shiva, des dévots faisaient passer deux crochets de métal dans la peau de leur dos, puis étaient hissés en l’air au bout d’un bras mobile en bois, et balancés au-dessus de la foule, parfois pendant plusieurs minutes.

Un officier britannique raconte :
« Ils étaient suspendus comme des carcasses, tournoyant au-dessus du sol, la chair tendue, le sang coulant lentement le long de leur dos. Et pourtant, ils criaient de joie. »
il y a un mois
Y'avait les thugs aussi, la secte qui assassinait des voyageurs pour leur piquer leur fric.

Mais buter des gens pour piquer leur pognon était pour eux une tradition religieuse, un sacrifice. Leur déesse voulait qu'ils étranglent des gens et les dépouillent
:hap:
Je suis Seugondaire.
il y a un mois