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Aujourd'hui de nombreuses études démographiques et économiques montrent que l'origine des migrations est malthusienne : la pression démographique liée à un haut taux de fécondité à déterminer quelles populations ont migrées dans le nouveau monde il y a 200 ans tout comme celles qui migrent aujourd'hui en Europe.

Si vous voulez prévenir cela c'est très simple : soutenir la transition démographique du tiers-monde jusqu'à ce qu'ils atteignent un taux de fécondité inférieur à 2,1 enfants par femme. Le "driver" le plus sur de cela est la suppression des modèles patriarcaux et l'autonomisation socio-économique des femmes, ainsi qu'un accès facilité à la contraception et l'avortement.
:pepepipe:


C'est la théorie des jeux ! ça ne sert à rien de courir le plus vite pour survivre, juste de courir plus vite que le plus lent de son espèce !
:pepepipe:


Il faut diminuer le taux de fécondité directement dans le tiers-monde. Un don aux organisations suivantes qui luttent pour l'autonomisation des femmes dans les pays du sud ainsi que leurs accès facilité à l'avortement est l'action la plus forte que vous pouvez faire pour aider votre continent :

www.msichoices.org https://www.msichoices.org/donate/
www.ipas.org https://www.ipas.org/donate/
www.ippf.org https://www.ippf.org/donate
il y a un mois
J'ai une meilleur solution
:Dedin:
il y a un mois
Il suffit de les faire devenir comme la corée du sud
:chat_lunettes:
il y a un mois
Ricardos
Ricardos
1 mois
J'ai une meilleur solution
:Dedin:
:chat_lunettes:
il y a un mois
Si vous devez faire un don à une association, faites un don pour les femmes du tiers-monde !
:pepepipe:


Si vous voulez pécho, dites que vous avez fait un don pour les femmes du tiers-monde !
:pepepipe:
il y a un mois
Nea
Nea
1 mois
Il suffit de les faire devenir comme la corée du sud
:chat_lunettes:
Exact l'ami
:pepepipe:
il y a un mois
Women for Women International

Soutient les femmes survivantes de guerre et de conflits (Afrique, Moyen-Orient, Balkans).

Programmes : alphabétisation, formation professionnelle, autonomie financière, droits des femmes.

Pays d’action : Rwanda, Nigeria, Afghanistan, République démocratique du Congo, Irak, etc.

www.womenforwomen.org https://www.womenforwomen.org/donate
il y a un mois
Global Fund for Women

Financement direct de projets féministes dans le Sud global.

Soutient des groupes locaux dirigés par des femmes, dans les domaines de l’économie, l’éducation, les droits reproductifs, et la lutte contre les violences.

Présence mondiale mais avec forte priorité sur les pays du tiers-monde.

🔗 www.globalfundforwomen.org https://www.globalfundforwomen.org/donate/
il y a un mois
EREDOR
EREDOR
1 mois
Aujourd'hui de nombreuses études démographiques et économiques montrent que l'origine des migrations est malthusienne : la pression démographique liée à un haut taux de fécondité à déterminer quelles populations ont migrées dans le nouveau monde il y a 200 ans tout comme celles qui migrent aujourd'hui en Europe.

Si vous voulez prévenir cela c'est très simple : soutenir la transition démographique du tiers-monde jusqu'à ce qu'ils atteignent un taux de fécondité inférieur à 2,1 enfants par femme. Le "driver" le plus sur de cela est la suppression des modèles patriarcaux et l'autonomisation socio-économique des femmes, ainsi qu'un accès facilité à la contraception et l'avortement.
:pepepipe:


C'est la théorie des jeux ! ça ne sert à rien de courir le plus vite pour survivre, juste de courir plus vite que le plus lent de son espèce !
:pepepipe:


Il faut diminuer le taux de fécondité directement dans le tiers-monde. Un don aux organisations suivantes qui luttent pour l'autonomisation des femmes dans les pays du sud ainsi que leurs accès facilité à l'avortement est l'action la plus forte que vous pouvez faire pour aider votre continent :

www.msichoices.org https://www.msichoices.org/donate/
www.ipas.org https://www.ipas.org/donate/
www.ippf.org https://www.ippf.org/donate
1. Au contraire, la migration n’est pas principalement malthusienne

❌ Réduction démographique contestable

Au contraire, l’analyse malthusienne des migrations — qui les lie mécaniquement à la seule pression démographique — est historiquement et empiriquement limitée. De nombreuses régions ayant connu des pics démographiques n'ont pas produit de flux migratoires significatifs (ex. : Bangladesh, Égypte), tandis que d’autres pays à fécondité modérée (ex. : Mexique, Maroc, Turquie) ont vu des vagues migratoires importantes.

La migration dépend bien davantage de facteurs géopolitiques, climatiques, économiques et politiques que du simple taux de fécondité.


---

2. Au contraire, ce sont les classes moyennes qui migrent

💼 Profil socio-économique des migrants

Au contraire de l’image véhiculée, les migrants ne sont pas les plus pauvres ou les plus prolifiques : ils sont souvent issus des classes moyennes éduquées, capables de financer un déplacement international. Le coût de la migration est inabordable pour les plus précaires. La fécondité élevée est une variable d’arrière-plan, mais rarement la cause directe.


---

3. Au contraire, la fécondité baisse déjà dans presque tout le Sud

📉 Tendance massive au déclin

Au contraire, la transition démographique est déjà largement en cours : l’Afrique du Nord, l’Amérique latine, une grande partie de l’Asie ont déjà franchi ou s’approchent du seuil des 2,1 enfants par femme. Le Niger ou la Somalie sont aujourd’hui des exceptions, pas des modèles dominants.

Faire de la réduction de fécondité une condition préalable pour freiner les migrations est une erreur temporelle : cette transition est déjà enclenchée, et la migration continue.


---

4. Au contraire, les causes des flux migratoires sont historiques et géopolitiques

🌍 Colonialisme, guerre, réchauffement, économie globale

Au contraire d’un modèle uniquement démographique, la migration est d’abord l’effet :

des traumas coloniaux et postcoloniaux (ex. : Afrique francophone),

de guerres provoquées ou prolongées par les grandes puissances (ex. : Syrie, Irak, Libye),

du réchauffement climatique causé principalement par les pays industrialisés,

d’une économie mondiale asymétrique qui concentre richesses et perspectives dans l’hémisphère nord.



---

5. Au contraire, l’analogie avec la théorie des jeux est darwinienne et dangereuse

🧠 Simplification cynique

Au contraire, appliquer la théorie des jeux de manière darwinienne (« il suffit d’être moins lent que le plus lent ») revient à naturaliser une compétition cruelle entre humains, déshumanisante, contraire à toute approche éthique, solidaire ou historique de la migration.


---

6. Au contraire, cette thèse sert souvent de masque à des politiques néocoloniales

💰 Qui décide, qui paie, qui contrôle ?

Au contraire, prétendre « aider le tiers-monde à faire baisser sa fécondité » peut très vite masquer :

des politiques de contrôle natal exogènes et autoritaires,

un néocolonialisme philanthropique dicté par les pays du Nord,

un déplacement de la responsabilité : ce serait aux femmes pauvres de « régler » un problème causé par l’organisation économique mondiale.



---

7. Au contraire, le continent européen tire bénéfice de certaines migrations

🧓 Vieillissement et pénurie de main-d’œuvre

Au contraire de la peur du « grand remplacement », l’Europe vieillit, ses systèmes de retraites sont sous tension, ses secteurs essentiels manquent de main-d’œuvre (soins, bâtiment, agriculture). Une migration encadrée, choisie et intégrée peut être bénéfique aux deux parties.


---

Conclusion : au contraire, la fécondité n’est ni la cause centrale, ni la solution

La réduction de la fécondité est une dynamique déjà en œuvre, pas une baguette magique. Les migrations contemporaines ont des causes systémiques, complexes, souvent induites par les pays riches eux-mêmes. Plutôt que de viser un contrôle démographique du Sud, un modèle plus juste consisterait à :

corriger les inégalités structurelles,

promouvoir une économie coopérative et durable,

accueillir avec humanité ceux qui fuient les crises.
:drapeau_europe:
:drapeau_ukraine:
:seringue_twitter:
:seringue_twitter:
:seringue_twitter:
:seringue_twitter:
il y a un mois
Proprio
Proprio
1 mois
1. Au contraire, la migration n’est pas principalement malthusienne

❌ Réduction démographique contestable

Au contraire, l’analyse malthusienne des migrations — qui les lie mécaniquement à la seule pression démographique — est historiquement et empiriquement limitée. De nombreuses régions ayant connu des pics démographiques n'ont pas produit de flux migratoires significatifs (ex. : Bangladesh, Égypte), tandis que d’autres pays à fécondité modérée (ex. : Mexique, Maroc, Turquie) ont vu des vagues migratoires importantes.

La migration dépend bien davantage de facteurs géopolitiques, climatiques, économiques et politiques que du simple taux de fécondité.


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2. Au contraire, ce sont les classes moyennes qui migrent

💼 Profil socio-économique des migrants

Au contraire de l’image véhiculée, les migrants ne sont pas les plus pauvres ou les plus prolifiques : ils sont souvent issus des classes moyennes éduquées, capables de financer un déplacement international. Le coût de la migration est inabordable pour les plus précaires. La fécondité élevée est une variable d’arrière-plan, mais rarement la cause directe.


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3. Au contraire, la fécondité baisse déjà dans presque tout le Sud

📉 Tendance massive au déclin

Au contraire, la transition démographique est déjà largement en cours : l’Afrique du Nord, l’Amérique latine, une grande partie de l’Asie ont déjà franchi ou s’approchent du seuil des 2,1 enfants par femme. Le Niger ou la Somalie sont aujourd’hui des exceptions, pas des modèles dominants.

Faire de la réduction de fécondité une condition préalable pour freiner les migrations est une erreur temporelle : cette transition est déjà enclenchée, et la migration continue.


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4. Au contraire, les causes des flux migratoires sont historiques et géopolitiques

🌍 Colonialisme, guerre, réchauffement, économie globale

Au contraire d’un modèle uniquement démographique, la migration est d’abord l’effet :

des traumas coloniaux et postcoloniaux (ex. : Afrique francophone),

de guerres provoquées ou prolongées par les grandes puissances (ex. : Syrie, Irak, Libye),

du réchauffement climatique causé principalement par les pays industrialisés,

d’une économie mondiale asymétrique qui concentre richesses et perspectives dans l’hémisphère nord.



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5. Au contraire, l’analogie avec la théorie des jeux est darwinienne et dangereuse

🧠 Simplification cynique

Au contraire, appliquer la théorie des jeux de manière darwinienne (« il suffit d’être moins lent que le plus lent ») revient à naturaliser une compétition cruelle entre humains, déshumanisante, contraire à toute approche éthique, solidaire ou historique de la migration.


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6. Au contraire, cette thèse sert souvent de masque à des politiques néocoloniales

💰 Qui décide, qui paie, qui contrôle ?

Au contraire, prétendre « aider le tiers-monde à faire baisser sa fécondité » peut très vite masquer :

des politiques de contrôle natal exogènes et autoritaires,

un néocolonialisme philanthropique dicté par les pays du Nord,

un déplacement de la responsabilité : ce serait aux femmes pauvres de « régler » un problème causé par l’organisation économique mondiale.



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7. Au contraire, le continent européen tire bénéfice de certaines migrations

🧓 Vieillissement et pénurie de main-d’œuvre

Au contraire de la peur du « grand remplacement », l’Europe vieillit, ses systèmes de retraites sont sous tension, ses secteurs essentiels manquent de main-d’œuvre (soins, bâtiment, agriculture). Une migration encadrée, choisie et intégrée peut être bénéfique aux deux parties.


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Conclusion : au contraire, la fécondité n’est ni la cause centrale, ni la solution

La réduction de la fécondité est une dynamique déjà en œuvre, pas une baguette magique. Les migrations contemporaines ont des causes systémiques, complexes, souvent induites par les pays riches eux-mêmes. Plutôt que de viser un contrôle démographique du Sud, un modèle plus juste consisterait à :

corriger les inégalités structurelles,

promouvoir une économie coopérative et durable,

accueillir avec humanité ceux qui fuient les crises.
Supprime ta bouillie gauchiste made in GPT qui gache la première page de mon topic stp
:pepepipe:


Ce que je te dis vient d'une recherche approfondie par un des plus grands instituts de recherche en économie du monde :
www.nber.org https://www.nber.org/syst[...]_papers/w33542/w33542.pdf
Le tout détaillé, chiffré et mis en graph.
:pepepipe:
il y a un mois
Pro Mujer

Organisation spécialisée dans l’autonomisation économique des femmes en Amérique latine (Bolivie, Nicaragua, Pérou, etc.).

Programmes : microcrédit, formation entrepreneuriale, santé, leadership.

🔗 promujer.org https://promujer.org/donate/
il y a un mois
Mothers' Union

Organisation chrétienne, mais très active dans des programmes de renforcement économique et social des femmes en Afrique sub-saharienne.

Formation, création de coopératives, soutien à la parentalité, alphabétisation.

🔗 www.mothersunion.org https://www.mothersunion.org/get-involved/donate
il y a un mois
Kiva

Bien qu’il s’agisse de microcrédit plutôt que de don, Kiva permet de soutenir directement des femmes entrepreneures dans les pays en développement.

Tu peux choisir des projets par pays, secteur, ou profil de femmes.

🔗 www.kiva.org https://www.kiva.org/lend/women
il y a un mois