Tout ces esclaves de merde dans cet occident décadent

Quand tu t’écartes du monde pendant quelques mois, radicalement, tu comprends que la majorité des gens ici vivent sans âme.
Pas seulement au sens métaphorique : ya plus de lumière dans leurs regards, plus d’élan dans leurs cœurs, 98 % sont en pilote automatique, anesthésiés par la routine, le divertissement bas de gamme, la peur du vide.

Ils vivent pas, ils fonctionnent.
Ils ne choisissent pas, ils obéissent.
Des vies de sous-hommes au sens où elles ont renoncé à ce qui fait l’humain : la quête du sens, du vrai, du transcendant.
Un échec massif, silencieux, mais total.

Je suis encore en retrait, pas encore revenu dans l’arène.
Pour l’instant, je ne vis pas mais je sais une chose, si j’avais 10 % de leur vie, leur schéma, leurs petits compromis, leur confort creux, je mettrais une balle dans ma tête, pas par désespoir, mais par lucidité.

Ce monde n’a pas besoin d’un peu plus de bonheur. Il a besoin de résurrection. Et ça commence par une séparation radicale d’avec ce qui est mort autour de nous.

Il faut laisser la nature être nature.

L'homme est plus que nature. Et quand il s’abaisse à moins, il trahit tout.

Oui il faut prendre le chemin de la radicalité, il n'y a plus rien à garder dans le monde des " homme "

L'homme n'est pas dans la nature, ni plus que la nature, nous sommes la nature humaine c'est à dire la nature prenant conscience d'elle même

La rupture. Tout ce qui n’est pas purifié doit brûler

D'accord jean-moulin, retourne te branlé maintenant

Comment tu t'es écarté du monde ?

malaise abdoulin

Lhomme nest pas la nature qui se regarde dans un miroir.
Il est un être qui reçoit l’être, pas qui se le fabrique.
Il n’est pas une conscience qui émerge, mais une créature qui doit répondre.

Sil se confond avec ce quil observe, il s’efface.
Et quand il oublie qu’il est fait pour plus que ce qu’il perçoit, il devient moins que ce qu’il est