Écoute Célestinus, viens à côté de moi. Je vais t'expliquer d'où vient cette maladie mentale dont souffriront plus tard tes camarades étrangers à l'education, ceux qui n'ont pas eu leur ration d'affection; dont la mère voyage d'hôtel en hôtel, et le père de salaires en salaires.
Le gauchisme est une pathologie moderne qui se développe par le procédé de sur-socialisation systémique. Un mélange de quête de droit individuel et de peur du rejet social, le cocktail en résultant étant celui d'une soumission absolue à l'idéologie de la masse sociétale sans quoi s'en suivrait d'office une marginalisation sociale et une confrontation rapide a l'isolement quasi-total.
Chez l'animal social, Il n'y a pas plus lâche et rassurant qu'être gauchiste, c'est instinctif, principalement chez l'adolescent tantot en déficit d'esprit critique, tantot en surplus de dépendance affective. La doctrine de mort débilisante, celle de l'avortements, de l'euthanasie, et de la stérilisation propagandé par le système mondial donne une illusion naïve de résistance à un système national au nom d'un désir de droits exacerbé, qui mène à une bestialisation corruptrice de l'individu fragile et malléable au profit d'un système de planification collapsologique. Système visant à attenuer la conscience de l'individu pour en faire un objet de manoeuvre dénué de reflexion). Dans le pire des cas le gauchiste se suicide, dans le meilleur des cas il invite tout le monde à le faire, sans même épargner sa descendance.
A force de chercher toujours plus de droits que devrait lui biberonner un système spécialisé dans l'ingénierie sociale, le gauchiste obtient progressivement ce qu'il veut, comme un enfant dont les parents seraient tombés dans les caprices. Sauf qu'ici, ce système s'y donne à cœur joie, car le cas clinique ne peut jamais se satisfaire de ce qu'on lui donne, amplifiant un mal-être qu'il n'a dorénavant pas le courage de transcender. Conclusion? Il devient définitivement incapable d'agir de lui même, dépendant uniquement de ce qu'on sert dans son assiette, autrement dit, xanax, ivg, ethnomasochisme, métissage, malnutrition et autres concrétisation de la pulsion de mort en tout genre.
En fin de compte, le gauchiste qui ne se suicide pas physiquement est déjà entrain de le faire psychiquement, il lève le bouclier devant l'épée qui perce lentement son crâne, et parfois même avec enthousiasme.
Quoi qu'il en advienne, il est alors le parfait pantin le plus ajustable de l'ordre mondial.
Le gauchisme est une pathologie moderne qui se développe par le procédé de sur-socialisation systémique. Un mélange de quête de droit individuel et de peur du rejet social, le cocktail en résultant étant celui d'une soumission absolue à l'idéologie de la masse sociétale sans quoi s'en suivrait d'office une marginalisation sociale et une confrontation rapide a l'isolement quasi-total.
Chez l'animal social, Il n'y a pas plus lâche et rassurant qu'être gauchiste, c'est instinctif, principalement chez l'adolescent tantot en déficit d'esprit critique, tantot en surplus de dépendance affective. La doctrine de mort débilisante, celle de l'avortements, de l'euthanasie, et de la stérilisation propagandé par le système mondial donne une illusion naïve de résistance à un système national au nom d'un désir de droits exacerbé, qui mène à une bestialisation corruptrice de l'individu fragile et malléable au profit d'un système de planification collapsologique. Système visant à attenuer la conscience de l'individu pour en faire un objet de manoeuvre dénué de reflexion). Dans le pire des cas le gauchiste se suicide, dans le meilleur des cas il invite tout le monde à le faire, sans même épargner sa descendance.
A force de chercher toujours plus de droits que devrait lui biberonner un système spécialisé dans l'ingénierie sociale, le gauchiste obtient progressivement ce qu'il veut, comme un enfant dont les parents seraient tombés dans les caprices. Sauf qu'ici, ce système s'y donne à cœur joie, car le cas clinique ne peut jamais se satisfaire de ce qu'on lui donne, amplifiant un mal-être qu'il n'a dorénavant pas le courage de transcender. Conclusion? Il devient définitivement incapable d'agir de lui même, dépendant uniquement de ce qu'on sert dans son assiette, autrement dit, xanax, ivg, ethnomasochisme, métissage, malnutrition et autres concrétisation de la pulsion de mort en tout genre.
En fin de compte, le gauchiste qui ne se suicide pas physiquement est déjà entrain de le faire psychiquement, il lève le bouclier devant l'épée qui perce lentement son crâne, et parfois même avec enthousiasme.
Quoi qu'il en advienne, il est alors le parfait pantin le plus ajustable de l'ordre mondial.
"Si le monde vous hait, sachez qu'il m'a haï avant vous." Jean 15:18
J'ai tout lu
Pourquoi cette position sur la fin de vie ?
Pourquoi cette position sur l'avortement ?
Pourquoi cette position sur la fin de vie ?
Pourquoi cette position sur l'avortement ?
J'ai tout lu
Pourquoi cette position sur la fin de vie ?
Pourquoi cette position sur l'avortement ?
Pourquoi cette position sur la fin de vie ?
Pourquoi cette position sur l'avortement ?
Aliénation de la nature humaine, mal-être occasionné par le système mondialiste, système déracinant, dégradant et déshumanisant. Le gauchiste en est malade, et trop faible pour en triompher. Il cède alors à l'anesthésie sociale, devient un bluepill bien docile jusqu'au jour où il ne pourra même plus supporter la pillule bleue.
En quelques mots il est pd quoi.
En quelques mots il est pd quoi.
"Si le monde vous hait, sachez qu'il m'a haï avant vous." Jean 15:18
Écoute Célestinus, viens à côté de moi. Je vais t'expliquer d'où vient cette maladie mentale dont souffriront plus tard tes camarades étrangers à l'education, ceux qui n'ont pas eu leur ration d'affection; dont la mère voyage d'hôtel en hôtel, et le père de salaires en salaires.
Le gauchisme est une pathologie moderne qui se développe par le procédé de sur-socialisation systémique. Un mélange de quête de droit individuel et de peur du rejet social, le cocktail en résultant étant celui d'une soumission absolue à l'idéologie de la masse sociétale sans quoi s'en suivrait d'office une marginalisation sociale et une confrontation rapide a l'isolement quasi-total.
Chez l'animal social, Il n'y a pas plus lâche et rassurant qu'être gauchiste, c'est instinctif, principalement chez l'adolescent tantot en déficit d'esprit critique, tantot en surplus de dépendance affective. La doctrine de mort débilisante, celle de l'avortements, de l'euthanasie, et de la stérilisation propagandé par le système mondial donne une illusion naïve de résistance à un système national au nom d'un désir de droits exacerbé, qui mène à une bestialisation corruptrice de l'individu fragile et malléable au profit d'un système de planification collapsologique. Système visant à attenuer la conscience de l'individu pour en faire un objet de manoeuvre dénué de reflexion). Dans le pire des cas le gauchiste se suicide, dans le meilleur des cas il invite tout le monde à le faire, sans même épargner sa descendance.
A force de chercher toujours plus de droits que devrait lui biberonner un système spécialisé dans l'ingénierie sociale, le gauchiste obtient progressivement ce qu'il veut, comme un enfant dont les parents seraient tombés dans les caprices. Sauf qu'ici, ce système s'y donne à cœur joie, car le cas clinique ne peut jamais se satisfaire de ce qu'on lui donne, amplifiant un mal-être qu'il n'a dorénavant pas le courage de transcender. Conclusion? Il devient définitivement incapable d'agir de lui même, dépendant uniquement de ce qu'on sert dans son assiette, autrement dit, xanax, ivg, ethnomasochisme, métissage, malnutrition et autres concrétisation de la pulsion de mort en tout genre.
En fin de compte, le gauchiste qui ne se suicide pas physiquement est déjà entrain de le faire psychiquement, il lève le bouclier devant l'épée qui perce lentement son crâne, et parfois même avec enthousiasme.
Quoi qu'il en advienne, il est alors le parfait pantin le plus ajustable de l'ordre mondial.
Le gauchisme est une pathologie moderne qui se développe par le procédé de sur-socialisation systémique. Un mélange de quête de droit individuel et de peur du rejet social, le cocktail en résultant étant celui d'une soumission absolue à l'idéologie de la masse sociétale sans quoi s'en suivrait d'office une marginalisation sociale et une confrontation rapide a l'isolement quasi-total.
Chez l'animal social, Il n'y a pas plus lâche et rassurant qu'être gauchiste, c'est instinctif, principalement chez l'adolescent tantot en déficit d'esprit critique, tantot en surplus de dépendance affective. La doctrine de mort débilisante, celle de l'avortements, de l'euthanasie, et de la stérilisation propagandé par le système mondial donne une illusion naïve de résistance à un système national au nom d'un désir de droits exacerbé, qui mène à une bestialisation corruptrice de l'individu fragile et malléable au profit d'un système de planification collapsologique. Système visant à attenuer la conscience de l'individu pour en faire un objet de manoeuvre dénué de reflexion). Dans le pire des cas le gauchiste se suicide, dans le meilleur des cas il invite tout le monde à le faire, sans même épargner sa descendance.
A force de chercher toujours plus de droits que devrait lui biberonner un système spécialisé dans l'ingénierie sociale, le gauchiste obtient progressivement ce qu'il veut, comme un enfant dont les parents seraient tombés dans les caprices. Sauf qu'ici, ce système s'y donne à cœur joie, car le cas clinique ne peut jamais se satisfaire de ce qu'on lui donne, amplifiant un mal-être qu'il n'a dorénavant pas le courage de transcender. Conclusion? Il devient définitivement incapable d'agir de lui même, dépendant uniquement de ce qu'on sert dans son assiette, autrement dit, xanax, ivg, ethnomasochisme, métissage, malnutrition et autres concrétisation de la pulsion de mort en tout genre.
En fin de compte, le gauchiste qui ne se suicide pas physiquement est déjà entrain de le faire psychiquement, il lève le bouclier devant l'épée qui perce lentement son crâne, et parfois même avec enthousiasme.
Quoi qu'il en advienne, il est alors le parfait pantin le plus ajustable de l'ordre mondial.
"Si le monde vous hait, sachez qu'il m'a haï avant vous." Jean 15:18