Est-ce que vous avez parfois l’impression de ne pas comprendre les règles du monde ? Comme si tout le monde avançait avec assurance pendant que vous, vous luttez juste pour paraître normal ? Souvent, quand les autres me parlent, j’ai l’impression d’être ailleurs, plein de doutes et à la masse. Comme si j'étais dans un rêve, pas vraiment là.
Pendant longtemps, j’ai cru qu’on pouvait être heureux seul. Être à l’écart, avoir du temps pour soi, se protéger. Mais autour de moi, les gens paraissent tellement sûrs d’eux, alors que moi, je vis avec cette angoisse constante.
J’ai cru que changer de ville, entrer à la fac, ça allait tout transformer. Et quelque part, c’était vrai. J’ai changé de rôle, j’ai joué une autre version de moi. Plus sociable, plus normal, sans trop de crises d’angoisse. Mais je n’étais plus vraiment moi non plus.
Aujourd’hui, dans la vie active, j’ai gardé ce masque. Je parle, j’échange, je joue le jeu. Mais au fond, la vie me semble toujours aussi étrange. J’ai peu d’amis, beaucoup de solitude et cette question qui revient : est-ce que je vais toujours devoir faire semblant ?
Comment on fait pour être soi-même, moins angoissé, et se créer des liens vrais ?
Et vous, comment vous gérez ça ? Je sais que chacun avance avec ses galères.
Je me demande comment vous faites pour vous en sortir aussi avec tout cela.
Pendant longtemps, j’ai cru qu’on pouvait être heureux seul. Être à l’écart, avoir du temps pour soi, se protéger. Mais autour de moi, les gens paraissent tellement sûrs d’eux, alors que moi, je vis avec cette angoisse constante.
J’ai cru que changer de ville, entrer à la fac, ça allait tout transformer. Et quelque part, c’était vrai. J’ai changé de rôle, j’ai joué une autre version de moi. Plus sociable, plus normal, sans trop de crises d’angoisse. Mais je n’étais plus vraiment moi non plus.
Aujourd’hui, dans la vie active, j’ai gardé ce masque. Je parle, j’échange, je joue le jeu. Mais au fond, la vie me semble toujours aussi étrange. J’ai peu d’amis, beaucoup de solitude et cette question qui revient : est-ce que je vais toujours devoir faire semblant ?
Comment on fait pour être soi-même, moins angoissé, et se créer des liens vrais ?
Et vous, comment vous gérez ça ? Je sais que chacun avance avec ses galères.
Je me demande comment vous faites pour vous en sortir aussi avec tout cela.
Je ne possède strictement rien. Sauf mon âme. 
En pétant
En pétant
C'est fait, et maintenant mon bon clef ?
Je ne possède strictement rien. Sauf mon âme.
Est-ce que vous avez parfois l’impression de ne pas comprendre les règles du monde ? Comme si tout le monde avançait avec assurance pendant que vous, vous luttez juste pour paraître normal ? Souvent, quand les autres me parlent, j’ai l’impression d’être ailleurs, plein de doutes et à la masse. Comme si j'étais dans un rêve, pas vraiment là.
Pendant longtemps, j’ai cru qu’on pouvait être heureux seul. Être à l’écart, avoir du temps pour soi, se protéger. Mais autour de moi, les gens paraissent tellement sûrs d’eux, alors que moi, je vis avec cette angoisse constante.
J’ai cru que changer de ville, entrer à la fac, ça allait tout transformer. Et quelque part, c’était vrai. J’ai changé de rôle, j’ai joué une autre version de moi. Plus sociable, plus normal, sans trop de crises d’angoisse. Mais je n’étais plus vraiment moi non plus.
Aujourd’hui, dans la vie active, j’ai gardé ce masque. Je parle, j’échange, je joue le jeu. Mais au fond, la vie me semble toujours aussi étrange. J’ai peu d’amis, beaucoup de solitude et cette question qui revient : est-ce que je vais toujours devoir faire semblant ?
Comment on fait pour être soi-même, moins angoissé, et se créer des liens vrais ?
Et vous, comment vous gérez ça ? Je sais que chacun avance avec ses galères.
Je me demande comment vous faites pour vous en sortir aussi avec tout cela.
Pendant longtemps, j’ai cru qu’on pouvait être heureux seul. Être à l’écart, avoir du temps pour soi, se protéger. Mais autour de moi, les gens paraissent tellement sûrs d’eux, alors que moi, je vis avec cette angoisse constante.
J’ai cru que changer de ville, entrer à la fac, ça allait tout transformer. Et quelque part, c’était vrai. J’ai changé de rôle, j’ai joué une autre version de moi. Plus sociable, plus normal, sans trop de crises d’angoisse. Mais je n’étais plus vraiment moi non plus.
Aujourd’hui, dans la vie active, j’ai gardé ce masque. Je parle, j’échange, je joue le jeu. Mais au fond, la vie me semble toujours aussi étrange. J’ai peu d’amis, beaucoup de solitude et cette question qui revient : est-ce que je vais toujours devoir faire semblant ?
Comment on fait pour être soi-même, moins angoissé, et se créer des liens vrais ?
Et vous, comment vous gérez ça ? Je sais que chacun avance avec ses galères.
Je me demande comment vous faites pour vous en sortir aussi avec tout cela.
Perso non je les ai compris à la perfection ces règles et j’en souffre car je les juge injustes et n’a aucune capacité à les changer
La seule chose que je peux changer est la fuite de ces règles
La seule chose que je peux changer est la fuite de ces règles
Je dis toujours la vérité mais on ne me donnera jamais raison
Bah arrête de porter un masque
𒈗𒉣𒈨 ♪ ♪
Bah sois toi-même khey, faut s'en foutre de l'avis des autres. Tu as l'air d'être le genre de mec à te comparer et c'est pas bon, fais ta vie comme tu le sens
Évidemment c'est plus facile à dire qu'à faire
Évidemment c'est plus facile à dire qu'à faire
Perdez pas espoir
Perso non je les ai compris à la perfection ces règles et j’en souffre car je les juge injustes et n’a aucune capacité à les changer
La seule chose que je peux changer est la fuite de ces règles
La seule chose que je peux changer est la fuite de ces règles
Je comprends, oui. Il reste uniquement cette partie sur laquelle on peut agir. Tu arrives à y trouver ton compte, malgré tout, avec cet espace où tu peux avoir une influence ?
Je ne possède strictement rien. Sauf mon âme.
Je comprends, oui. Il reste uniquement cette partie sur laquelle on peut agir. Tu arrives à y trouver ton compte, malgré tout, avec cet espace où tu peux avoir une influence ?
Pas du tout, et j’estime que je ne la trouverais plus jamais
Je dis toujours la vérité mais on ne me donnera jamais raison
Bah sois toi-même khey, faut s'en foutre de l'avis des autres. Tu as l'air d'être le genre de mec à te comparer et c'est pas bon, fais ta vie comme tu le sens
Évidemment c'est plus facile à dire qu'à faire
Évidemment c'est plus facile à dire qu'à faire
J’essaie vraiment de tendre vers l’authenticité, merci clef.
J’ai longtemps été très timide, et même si j’ai pas mal avancé là-dessus, communiquer reste parfois une vraie épreuve. Mais ouais, avec le temps, je me rends compte qu’on s’en fout tous un peu les uns des autres, et que c’est normal.
Ça m’aide à lâcher un peu prise, mais je dois quand même me forcer à aller vers les autres. Parce qu’au fond, même si j’ai longtemps cru que j’étais mieux seul, je me rends compte que m’isoler tout le temps, c’est pas vraiment souhaitable non plus
J’ai longtemps été très timide, et même si j’ai pas mal avancé là-dessus, communiquer reste parfois une vraie épreuve. Mais ouais, avec le temps, je me rends compte qu’on s’en fout tous un peu les uns des autres, et que c’est normal.
Ça m’aide à lâcher un peu prise, mais je dois quand même me forcer à aller vers les autres. Parce qu’au fond, même si j’ai longtemps cru que j’étais mieux seul, je me rends compte que m’isoler tout le temps, c’est pas vraiment souhaitable non plus
Je ne possède strictement rien. Sauf mon âme.
Avant de savoir où tu dois aller, tu dois savoir qui tu es vraiment
Ça peut prendre du temps mais tu y arriveras khey. Aie confiance en toi
Ça peut prendre du temps mais tu y arriveras khey. Aie confiance en toi
Je suis Aboubakar 🕊️
Pas du tout, et j’estime que je ne la trouverais plus jamais
J'espère cependant que t'arriveras à trouver des bons moments, voir un équilibre qui te convient, même en voulant fuir ces règles
Je ne possède strictement rien. Sauf mon âme.
Avant de savoir où tu dois aller, tu dois savoir qui tu es vraiment
Ça peut prendre du temps mais tu y arriveras khey. Aie confiance en toi
Ça peut prendre du temps mais tu y arriveras khey. Aie confiance en toi
Merci clef, t'as bien raison. Je pense qu'il faut continuer de travailler là-dessus et prendre un peu de temps pour se comprendre
Je ne possède strictement rien. Sauf mon âme.
Est-ce que vous avez parfois l’impression de ne pas comprendre les règles du monde ? Comme si tout le monde avançait avec assurance pendant que vous, vous luttez juste pour paraître normal ? Souvent, quand les autres me parlent, j’ai l’impression d’être ailleurs, plein de doutes et à la masse. Comme si j'étais dans un rêve, pas vraiment là.
Pendant longtemps, j’ai cru qu’on pouvait être heureux seul. Être à l’écart, avoir du temps pour soi, se protéger. Mais autour de moi, les gens paraissent tellement sûrs d’eux, alors que moi, je vis avec cette angoisse constante.
J’ai cru que changer de ville, entrer à la fac, ça allait tout transformer. Et quelque part, c’était vrai. J’ai changé de rôle, j’ai joué une autre version de moi. Plus sociable, plus normal, sans trop de crises d’angoisse. Mais je n’étais plus vraiment moi non plus.
Aujourd’hui, dans la vie active, j’ai gardé ce masque. Je parle, j’échange, je joue le jeu. Mais au fond, la vie me semble toujours aussi étrange. J’ai peu d’amis, beaucoup de solitude et cette question qui revient : est-ce que je vais toujours devoir faire semblant ?
Comment on fait pour être soi-même, moins angoissé, et se créer des liens vrais ?
Et vous, comment vous gérez ça ? Je sais que chacun avance avec ses galères.
Je me demande comment vous faites pour vous en sortir aussi avec tout cela.
Pendant longtemps, j’ai cru qu’on pouvait être heureux seul. Être à l’écart, avoir du temps pour soi, se protéger. Mais autour de moi, les gens paraissent tellement sûrs d’eux, alors que moi, je vis avec cette angoisse constante.
J’ai cru que changer de ville, entrer à la fac, ça allait tout transformer. Et quelque part, c’était vrai. J’ai changé de rôle, j’ai joué une autre version de moi. Plus sociable, plus normal, sans trop de crises d’angoisse. Mais je n’étais plus vraiment moi non plus.
Aujourd’hui, dans la vie active, j’ai gardé ce masque. Je parle, j’échange, je joue le jeu. Mais au fond, la vie me semble toujours aussi étrange. J’ai peu d’amis, beaucoup de solitude et cette question qui revient : est-ce que je vais toujours devoir faire semblant ?
Comment on fait pour être soi-même, moins angoissé, et se créer des liens vrais ?
Et vous, comment vous gérez ça ? Je sais que chacun avance avec ses galères.
Je me demande comment vous faites pour vous en sortir aussi avec tout cela.
Je suis marginal depuis trjs, condition psy en cause, et j'ai pas entièrement résolu le problème que tu soulève mais j'ai des pistes.
Déjà faire les constats et réinterpréter ses habitudes et fonctionnements en conséquence :
- notre société est bourgeoise et pourrissante, aucune des prétendues valeurs dont elle se sert pour justifier ses abus n'est vraie ; donc pas d'implication morale ou éthique personnelle dans son rapport aux institutions ;
- la grande majorité des gens obéissent à l'argent et à la peur (même moi), donc tu sais voir les ressorts chez toi et les autres et tu gères autant que faire se peut pour ne trop te faire baiser ;
- la vie est courte et TOUT le monde s'en bas les couilles de toi : alors fait pareil, vis le moins possible dans le regard de l'autre (même si ça parait contre nature car nous somme des animaux sociaux, mais internet aussi c contre-nature et pourtant ça fait dorénavant parti de nos vies) ;
- personne ne t'attend et aucune place ne t'est prédestinée : c'est ici une bonne et terrible nouvelle puisque tu peux espérer te mettre à la place que tu veux - dans la mesure des possibilités matérielles de notre existence biensure, même si en réalité on ne peut pas objectivement les mesurer - mais il va falloir se battre et être son propre moteur (auto-nomos : se donner sa propre règle) ;
- on connait très mal nos raisons principales pour lesquelles on vit.. parfois le moyen de le savoir c'est de tutoyer la mort, ou une forme de mort > sports extrêmes, maladies, agression, catastrophe, extrême fatigue, drogues, initiations spirituelles, etc.
- on a, pour l'immense majorité d'entre nous, besoin des autres et besoin de contact humain, si la vie ne te fournit pas le bon matériel, il faut trouver les stratégies pour pallier à ça et ne pas trop avoir de remort à "manipuler" un peu les golems ;
- aucune illusion à se faire sur le plan social et économique... la réussite, le succès, la victoire, ça me semble être un truc mystique qui vient quand tu n'y crois plus.... un peu comme dans tout, c'est quand tu acceptes de ne plus regarder la ligne d'arrivée que tu termine la course (j'l'ai observé en sport, avec les meufs, à la fac, etc.)
- bonne chance Frieren, j'te kiff
Déjà faire les constats et réinterpréter ses habitudes et fonctionnements en conséquence :
- notre société est bourgeoise et pourrissante, aucune des prétendues valeurs dont elle se sert pour justifier ses abus n'est vraie ; donc pas d'implication morale ou éthique personnelle dans son rapport aux institutions ;
- la grande majorité des gens obéissent à l'argent et à la peur (même moi), donc tu sais voir les ressorts chez toi et les autres et tu gères autant que faire se peut pour ne trop te faire baiser ;
- la vie est courte et TOUT le monde s'en bas les couilles de toi : alors fait pareil, vis le moins possible dans le regard de l'autre (même si ça parait contre nature car nous somme des animaux sociaux, mais internet aussi c contre-nature et pourtant ça fait dorénavant parti de nos vies) ;
- personne ne t'attend et aucune place ne t'est prédestinée : c'est ici une bonne et terrible nouvelle puisque tu peux espérer te mettre à la place que tu veux - dans la mesure des possibilités matérielles de notre existence biensure, même si en réalité on ne peut pas objectivement les mesurer - mais il va falloir se battre et être son propre moteur (auto-nomos : se donner sa propre règle) ;
- on connait très mal nos raisons principales pour lesquelles on vit.. parfois le moyen de le savoir c'est de tutoyer la mort, ou une forme de mort > sports extrêmes, maladies, agression, catastrophe, extrême fatigue, drogues, initiations spirituelles, etc.
- on a, pour l'immense majorité d'entre nous, besoin des autres et besoin de contact humain, si la vie ne te fournit pas le bon matériel, il faut trouver les stratégies pour pallier à ça et ne pas trop avoir de remort à "manipuler" un peu les golems ;
- aucune illusion à se faire sur le plan social et économique... la réussite, le succès, la victoire, ça me semble être un truc mystique qui vient quand tu n'y crois plus.... un peu comme dans tout, c'est quand tu acceptes de ne plus regarder la ligne d'arrivée que tu termine la course (j'l'ai observé en sport, avec les meufs, à la fac, etc.)
- bonne chance Frieren, j'te kiff
Je suis marginal depuis trjs, condition psy en cause, et j'ai pas entièrement résolu le problème que tu soulève mais j'ai des pistes.
Déjà faire les constats et réinterpréter ses habitudes et fonctionnements en conséquence :
- notre société est bourgeoise et pourrissante, aucune des prétendues valeurs dont elle se sert pour justifier ses abus n'est vraie ; donc pas d'implication morale ou éthique personnelle dans son rapport aux institutions ;
- la grande majorité des gens obéissent à l'argent et à la peur (même moi), donc tu sais voir les ressorts chez toi et les autres et tu gères autant que faire se peut pour ne trop te faire baiser ;
- la vie est courte et TOUT le monde s'en bas les couilles de toi : alors fait pareil, vis le moins possible dans le regard de l'autre (même si ça parait contre nature car nous somme des animaux sociaux, mais internet aussi c contre-nature et pourtant ça fait dorénavant parti de nos vies) ;
- personne ne t'attend et aucune place ne t'est prédestinée : c'est ici une bonne et terrible nouvelle puisque tu peux espérer te mettre à la place que tu veux - dans la mesure des possibilités matérielles de notre existence biensure, même si en réalité on ne peut pas objectivement les mesurer - mais il va falloir se battre et être son propre moteur (auto-nomos : se donner sa propre règle) ;
- on connait très mal nos raisons principales pour lesquelles on vit.. parfois le moyen de le savoir c'est de tutoyer la mort, ou une forme de mort > sports extrêmes, maladies, agression, catastrophe, extrême fatigue, drogues, initiations spirituelles, etc.
- on a, pour l'immense majorité d'entre nous, besoin des autres et besoin de contact humain, si la vie ne te fournit pas le bon matériel, il faut trouver les stratégies pour pallier à ça et ne pas trop avoir de remort à "manipuler" un peu les golems ;
- aucune illusion à se faire sur le plan social et économique... la réussite, le succès, la victoire, ça me semble être un truc mystique qui vient quand tu n'y crois plus.... un peu comme dans tout, c'est quand tu acceptes de ne plus regarder la ligne d'arrivée que tu termine la course (j'l'ai observé en sport, avec les meufs, à la fac, etc.)
- bonne chance Frieren, j'te kiff
Déjà faire les constats et réinterpréter ses habitudes et fonctionnements en conséquence :
- notre société est bourgeoise et pourrissante, aucune des prétendues valeurs dont elle se sert pour justifier ses abus n'est vraie ; donc pas d'implication morale ou éthique personnelle dans son rapport aux institutions ;
- la grande majorité des gens obéissent à l'argent et à la peur (même moi), donc tu sais voir les ressorts chez toi et les autres et tu gères autant que faire se peut pour ne trop te faire baiser ;
- la vie est courte et TOUT le monde s'en bas les couilles de toi : alors fait pareil, vis le moins possible dans le regard de l'autre (même si ça parait contre nature car nous somme des animaux sociaux, mais internet aussi c contre-nature et pourtant ça fait dorénavant parti de nos vies) ;
- personne ne t'attend et aucune place ne t'est prédestinée : c'est ici une bonne et terrible nouvelle puisque tu peux espérer te mettre à la place que tu veux - dans la mesure des possibilités matérielles de notre existence biensure, même si en réalité on ne peut pas objectivement les mesurer - mais il va falloir se battre et être son propre moteur (auto-nomos : se donner sa propre règle) ;
- on connait très mal nos raisons principales pour lesquelles on vit.. parfois le moyen de le savoir c'est de tutoyer la mort, ou une forme de mort > sports extrêmes, maladies, agression, catastrophe, extrême fatigue, drogues, initiations spirituelles, etc.
- on a, pour l'immense majorité d'entre nous, besoin des autres et besoin de contact humain, si la vie ne te fournit pas le bon matériel, il faut trouver les stratégies pour pallier à ça et ne pas trop avoir de remort à "manipuler" un peu les golems ;
- aucune illusion à se faire sur le plan social et économique... la réussite, le succès, la victoire, ça me semble être un truc mystique qui vient quand tu n'y crois plus.... un peu comme dans tout, c'est quand tu acceptes de ne plus regarder la ligne d'arrivée que tu termine la course (j'l'ai observé en sport, avec les meufs, à la fac, etc.)
- bonne chance Frieren, j'te kiff
Merci TonyEthylik, je t’aime aussi 
C’est vrai que ce monde a quelque chose d’absurde, mais bon, on essaie quand même de naviguer à travers tout ça.
J’espère que ça va de ton côté, que t’arrives à trouver un peu ta place et à t’y retrouver.
Franchement, je me reconnais pas mal dans ce que tu dis.
J’ai vécu quelques expériences assez traumatisantes, et à chaque fois, ça m’a forcé à me recentrer un peu, même si, paradoxalement, j’avais parfois l’impression de m’éloigner de moi-même. Comme si j’étais dans un rêve, un peu à côté de la plaque, et que la vie continuait sans vraiment m’attendre.
Y a des moments où tout ça me paraît un peu vide de sens, alors je laisse passer.
J’espère que toi, t’as réussi à trouver un équilibre, avec tes propres règles
C’est vrai que ce monde a quelque chose d’absurde, mais bon, on essaie quand même de naviguer à travers tout ça.
J’espère que ça va de ton côté, que t’arrives à trouver un peu ta place et à t’y retrouver.
Franchement, je me reconnais pas mal dans ce que tu dis.
J’ai vécu quelques expériences assez traumatisantes, et à chaque fois, ça m’a forcé à me recentrer un peu, même si, paradoxalement, j’avais parfois l’impression de m’éloigner de moi-même. Comme si j’étais dans un rêve, un peu à côté de la plaque, et que la vie continuait sans vraiment m’attendre.
Y a des moments où tout ça me paraît un peu vide de sens, alors je laisse passer.
J’espère que toi, t’as réussi à trouver un équilibre, avec tes propres règles
Je ne possède strictement rien. Sauf mon âme.
Merci clef, t'as bien raison. Je pense qu'il faut continuer de travailler là-dessus et prendre un peu de temps pour se comprendre
Dit toi qu'énormément de personnes vivent sans se poser ce genre de questions. D'ailleurs , tu noteras que l'étymologie du mot "personne" renvoie au masque de théâtre
Beaucoup ont tellement portés de masques dans leurs vies qu'ils les confondent avec leur être véritable.
Ils peuvent donner l'illusion de s'être totalement trouvé par rapport à toi qui te pose toutes ces questions mais c'est tout l'inverse en réalité. Pendant que toi tu fissure tes masques eux les renforcent
C'est marrant parceque tout à l'heure j'ai croisé un type chez qui le masque était totalement visible lorsqu'il s'adressait aux gens
Beaucoup ont tellement portés de masques dans leurs vies qu'ils les confondent avec leur être véritable.
Ils peuvent donner l'illusion de s'être totalement trouvé par rapport à toi qui te pose toutes ces questions mais c'est tout l'inverse en réalité. Pendant que toi tu fissure tes masques eux les renforcent
C'est marrant parceque tout à l'heure j'ai croisé un type chez qui le masque était totalement visible lorsqu'il s'adressait aux gens
Je suis Aboubakar 🕊️
Merci TonyEthylik, je t’aime aussi
C’est vrai que ce monde a quelque chose d’absurde, mais bon, on essaie quand même de naviguer à travers tout ça.
J’espère que ça va de ton côté, que t’arrives à trouver un peu ta place et à t’y retrouver.
Franchement, je me reconnais pas mal dans ce que tu dis.
J’ai vécu quelques expériences assez traumatisantes, et à chaque fois, ça m’a forcé à me recentrer un peu, même si, paradoxalement, j’avais parfois l’impression de m’éloigner de moi-même. Comme si j’étais dans un rêve, un peu à côté de la plaque, et que la vie continuait sans vraiment m’attendre.
Y a des moments où tout ça me paraît un peu vide de sens, alors je laisse passer.
J’espère que toi, t’as réussi à trouver un équilibre, avec tes propres règles
C’est vrai que ce monde a quelque chose d’absurde, mais bon, on essaie quand même de naviguer à travers tout ça.
J’espère que ça va de ton côté, que t’arrives à trouver un peu ta place et à t’y retrouver.
Franchement, je me reconnais pas mal dans ce que tu dis.
J’ai vécu quelques expériences assez traumatisantes, et à chaque fois, ça m’a forcé à me recentrer un peu, même si, paradoxalement, j’avais parfois l’impression de m’éloigner de moi-même. Comme si j’étais dans un rêve, un peu à côté de la plaque, et que la vie continuait sans vraiment m’attendre.
Y a des moments où tout ça me paraît un peu vide de sens, alors je laisse passer.
J’espère que toi, t’as réussi à trouver un équilibre, avec tes propres règles
Moi c'est le chaos complet mais je suis plus stable qu'il y a un an quand je crachais du sang tous les matins et que je pensais que j'allais crever d'une merde à 30 balais
c'est à ce moment là, pdt quelques mois j'ai eu un stress de me dire que ça y est j'allais bientôt crever (jsuis hypocondriaque) alors j'ai commencé à mettre mes affaires en ordre. De me dire, putain j'ai vécu plus de trente ans et la majeur partie du temps j'ai l'impression d'être passé à côté de ma vie.. Et du coup j'me suis dressé un liste de toutes les idées que j'ai voulu explorer sans aller au bout, de tout ce que j'avais compris et pas compris et que je voulais connaitre, et j'ai commencé à priorisé les trucs qui sont importants pour moi d'un point de vue symbolique, mystique, personnel, sans aucune considération de réalisation matérielle ou communautaire. J'ai rompu la plupart de mes liens IRL parce qu'ils étaient superficiels, et j'ai entamé un bras de fer avec la vie. Parfois je sens que je suis en train de le gagner, parfois je me sens fléchir et perdre, parfois je chute, puis je me relève, mais une chose est sûre, c'est que si je ne suis pas debout je suis couché, mais je ne serai plus jamais à genoux
Est-ce que vous avez parfois l’impression de ne pas comprendre les règles du monde ? Comme si tout le monde avançait avec assurance pendant que vous, vous luttez juste pour paraître normal ? Souvent, quand les autres me parlent, j’ai l’impression d’être ailleurs, plein de doutes et à la masse. Comme si j'étais dans un rêve, pas vraiment là.
Pendant longtemps, j’ai cru qu’on pouvait être heureux seul. Être à l’écart, avoir du temps pour soi, se protéger. Mais autour de moi, les gens paraissent tellement sûrs d’eux, alors que moi, je vis avec cette angoisse constante.
J’ai cru que changer de ville, entrer à la fac, ça allait tout transformer. Et quelque part, c’était vrai. J’ai changé de rôle, j’ai joué une autre version de moi. Plus sociable, plus normal, sans trop de crises d’angoisse. Mais je n’étais plus vraiment moi non plus.
Aujourd’hui, dans la vie active, j’ai gardé ce masque. Je parle, j’échange, je joue le jeu. Mais au fond, la vie me semble toujours aussi étrange. J’ai peu d’amis, beaucoup de solitude et cette question qui revient : est-ce que je vais toujours devoir faire semblant ?
Comment on fait pour être soi-même, moins angoissé, et se créer des liens vrais ?
Et vous, comment vous gérez ça ? Je sais que chacun avance avec ses galères.
Je me demande comment vous faites pour vous en sortir aussi avec tout cela.
Pendant longtemps, j’ai cru qu’on pouvait être heureux seul. Être à l’écart, avoir du temps pour soi, se protéger. Mais autour de moi, les gens paraissent tellement sûrs d’eux, alors que moi, je vis avec cette angoisse constante.
J’ai cru que changer de ville, entrer à la fac, ça allait tout transformer. Et quelque part, c’était vrai. J’ai changé de rôle, j’ai joué une autre version de moi. Plus sociable, plus normal, sans trop de crises d’angoisse. Mais je n’étais plus vraiment moi non plus.
Aujourd’hui, dans la vie active, j’ai gardé ce masque. Je parle, j’échange, je joue le jeu. Mais au fond, la vie me semble toujours aussi étrange. J’ai peu d’amis, beaucoup de solitude et cette question qui revient : est-ce que je vais toujours devoir faire semblant ?
Comment on fait pour être soi-même, moins angoissé, et se créer des liens vrais ?
Et vous, comment vous gérez ça ? Je sais que chacun avance avec ses galères.
Je me demande comment vous faites pour vous en sortir aussi avec tout cela.
faire sa vie et ça viendra
Je vous aime tous
Tu ne fais pas exception
Dit toi qu'énormément de personnes vivent sans se poser ce genre de questions. D'ailleurs , tu noteras que l'étymologie du mot "personne" renvoie au masque de théâtre
Beaucoup ont tellement portés de masques dans leurs vies qu'ils les confondent avec leur être véritable.
Ils peuvent donner l'illusion de s'être totalement trouvé par rapport à toi qui te pose toutes ces questions mais c'est tout l'inverse en réalité. Pendant que toi tu fissure tes masques eux les renforcent
C'est marrant parceque tout à l'heure j'ai croisé un type chez qui le masque était totalement visible lorsqu'il s'adressait aux gens
Beaucoup ont tellement portés de masques dans leurs vies qu'ils les confondent avec leur être véritable.
Ils peuvent donner l'illusion de s'être totalement trouvé par rapport à toi qui te pose toutes ces questions mais c'est tout l'inverse en réalité. Pendant que toi tu fissure tes masques eux les renforcent
C'est marrant parceque tout à l'heure j'ai croisé un type chez qui le masque était totalement visible lorsqu'il s'adressait aux gens
Effectivement, il y a quelques personnes sur qui c'est facilement visible ce masque. Il était comment celui que tu as croisé ?
Je ne possède strictement rien. Sauf mon âme.
By prouting
Vaste sujet... Pour un homme en 2025, c'est particulièrement difficile, on va pas se mentir.
