La Sainte Fesse de la mosquée
Dans les terres sacrées de du frankistan , où la religion officielle était le fessierisme muslim transcendantal, on priait en montrant son cul à l’univers, par humilité... ou par pure connerie.
Abou Baker, un musulman de la mosquée des trou du culs a l'air , était ce matin-là en pleine adoration : à genoux, cul à l'air, les joues tremblotant fièrement vers le ciel, il murmurait des prières comme : « Ô Grand allah contemple mes glorieuses fesses et offre-moi ta bénédiction De prout amin ! ! »
À ce moment déboula Olivier, un touriste paumé, clope au bec et sac banane négligemment attaché. Intrigué par la scène — et légèrement dégoûté — il s'approcha d'Abou Baker :
— "Eh frérot... C’est quoi ce délire ? Comment qu’on prie ici, là ?"
Abou Baker, tout fier, se retourna (sans remonter son froc, évidemment) et déclara avec sérieux :
— "Ici, on prie avec son cœur... et surtout avec son trou du cul. Observe !"
Et sans aucune honte, il se remit à genoux, leva les fesses et commença à secouer les hanches en rythme, tout en chantonnant : "Que mes fesses soient vues, que mon âme soit nue allah y akbaranus..."
Olivier, écœuré, sortit calmement un couteau suisse de sa poche, s'approcha, fit mine de s'incliner pieusement... puis, dans un élan de sainte colère, il planta un grand coup de couteau dans la fesse gauche d'Abou Baker.
— "C'est pas une religion, c’est un concours de clowns dénudés !" gueula-t-il en retirant la lame avec un bruit bien juteux.
Abou Baker hurla :
— "AU NOM DU SAINT FION Wallah , JE TE MAUDIS !"
Il s'effondra, le cul à l'air, dans une position qui rappelait vaguement un flamant rose bourré.
Le reste des fidèles, qui priaient aussi le cul en l’air, se retournèrent, formant une sorte de chorale grotesque d'anus indignés. Olivier, lui, s'en alla tranquillement, déclarant à voix haute :
— "Y’a des trucs que même mon psy va jamais croire..."
Et c’est ainsi que la religion de la Sainte Fesse connut sa première et dernière excommunication par poignardage anal.
Dans les terres sacrées de du frankistan , où la religion officielle était le fessierisme muslim transcendantal, on priait en montrant son cul à l’univers, par humilité... ou par pure connerie.
Abou Baker, un musulman de la mosquée des trou du culs a l'air , était ce matin-là en pleine adoration : à genoux, cul à l'air, les joues tremblotant fièrement vers le ciel, il murmurait des prières comme : « Ô Grand allah contemple mes glorieuses fesses et offre-moi ta bénédiction De prout amin ! ! »
À ce moment déboula Olivier, un touriste paumé, clope au bec et sac banane négligemment attaché. Intrigué par la scène — et légèrement dégoûté — il s'approcha d'Abou Baker :
— "Eh frérot... C’est quoi ce délire ? Comment qu’on prie ici, là ?"
Abou Baker, tout fier, se retourna (sans remonter son froc, évidemment) et déclara avec sérieux :
— "Ici, on prie avec son cœur... et surtout avec son trou du cul. Observe !"
Et sans aucune honte, il se remit à genoux, leva les fesses et commença à secouer les hanches en rythme, tout en chantonnant : "Que mes fesses soient vues, que mon âme soit nue allah y akbaranus..."
Olivier, écœuré, sortit calmement un couteau suisse de sa poche, s'approcha, fit mine de s'incliner pieusement... puis, dans un élan de sainte colère, il planta un grand coup de couteau dans la fesse gauche d'Abou Baker.
— "C'est pas une religion, c’est un concours de clowns dénudés !" gueula-t-il en retirant la lame avec un bruit bien juteux.
Abou Baker hurla :
— "AU NOM DU SAINT FION Wallah , JE TE MAUDIS !"
Il s'effondra, le cul à l'air, dans une position qui rappelait vaguement un flamant rose bourré.
Le reste des fidèles, qui priaient aussi le cul en l’air, se retournèrent, formant une sorte de chorale grotesque d'anus indignés. Olivier, lui, s'en alla tranquillement, déclarant à voix haute :
— "Y’a des trucs que même mon psy va jamais croire..."
Et c’est ainsi que la religion de la Sainte Fesse connut sa première et dernière excommunication par poignardage anal.
Que Allah accepte aboubakar dans le paradis des putes , Amin
" Il s'effondra, le cul à l'air, dans une position qui rappelait vaguement un flamant rose bourré.
Le reste des fidèles, qui priaient aussi le cul en l’air, se retournèrent, formant une sorte de chorale grotesque d'anus indignés"
Tes un malade
Le reste des fidèles, qui priaient aussi le cul en l’air, se retournèrent, formant une sorte de chorale grotesque d'anus indignés"
Tes un malade
Complètement tarax
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