Abou Baker et le poignard du vendredi
Abou Baker était un type très pieux… ou du moins, il le devenait surtout les vendredis matins, juste après son café au lait de chamelle et ses tartines au pâté halal de de mafé .
Il priait toujours d’une manière bien à lui : à genoux, les fesses en arrière comme s’il essayait d’attraper le Wi-Fi de Dieu avec son postérieur.
Ce matin-là, alors qu’il s’apprêtait à entamer sa 17e prière de la journée (il avait tendance à prier pour tout et n’importe quoi, y compris pour que son scooter redémarre), un type louche nommé olivier de la Vierge Noire (oui, oui, c’est son vrai nom… ou pas), s’approcha en tremblotant.
— Frère Abou… j’veux apprendre à prier comme toi. Mais j’ai deux mains gauches et un démon dans le slip.
Touché par cette confession très… graphique, Abou Baker le prit sous son aile — littéralement, il avait une grande cape qui faisait un peu d’ombre. Il l’entraîna dans un coin de la mosquée , posa un tapis de prière (tricoté en laine de lama bénit de prophète momo ), et lui montra sa fameuse posture divine, appelée localement La Fesse Céleste
— Mets-toi comme ça, regarde. Tu tends les bras, tu pousses le bassin, et surtout : tu fais la moue du poisson mystique, dit-il en contractant les fessiers avec la grâce d’un dindon
Jean-Daniel tenta de l’imiter, mais ses abdos craquèrent comme un paquet de chips, et il tomba la face dans l’herbe en criant “ALLAHU-MAMAN !”
Tout allait bien, jusqu’à ce que Jean-Daniel se relève, sorte un couteau à beurre rouillé de son slip (oui, il l’avait planqué là, parce que logique), et poignarde Abou Baker… dans la fesse gauche.
— POURQUOI ?! hurla Abou en tombant sur le tapis.
— C’était un test. J’suis végétarien et athée, et t’as oublié de me demander mon consentement spirituel fils de pute
Abou Baker, malgré la douleur, se redressa lentement, son fessier tremblant comme une gelée de dinde, et murmura :
— Tu n’es pas digne de La Fesse Céleste. Que la diarrhée des hypocrites t’accompagne.
Puis il s’évanouit dans une explosion de pets bénis, laissant derrière lui un doux parfum d’encens, de curry, de mafé mélanger a du couscous de trahison.
Abou Baker était un type très pieux… ou du moins, il le devenait surtout les vendredis matins, juste après son café au lait de chamelle et ses tartines au pâté halal de de mafé .
Il priait toujours d’une manière bien à lui : à genoux, les fesses en arrière comme s’il essayait d’attraper le Wi-Fi de Dieu avec son postérieur.
Ce matin-là, alors qu’il s’apprêtait à entamer sa 17e prière de la journée (il avait tendance à prier pour tout et n’importe quoi, y compris pour que son scooter redémarre), un type louche nommé olivier de la Vierge Noire (oui, oui, c’est son vrai nom… ou pas), s’approcha en tremblotant.
— Frère Abou… j’veux apprendre à prier comme toi. Mais j’ai deux mains gauches et un démon dans le slip.
Touché par cette confession très… graphique, Abou Baker le prit sous son aile — littéralement, il avait une grande cape qui faisait un peu d’ombre. Il l’entraîna dans un coin de la mosquée , posa un tapis de prière (tricoté en laine de lama bénit de prophète momo ), et lui montra sa fameuse posture divine, appelée localement La Fesse Céleste
— Mets-toi comme ça, regarde. Tu tends les bras, tu pousses le bassin, et surtout : tu fais la moue du poisson mystique, dit-il en contractant les fessiers avec la grâce d’un dindon
Jean-Daniel tenta de l’imiter, mais ses abdos craquèrent comme un paquet de chips, et il tomba la face dans l’herbe en criant “ALLAHU-MAMAN !”
Tout allait bien, jusqu’à ce que Jean-Daniel se relève, sorte un couteau à beurre rouillé de son slip (oui, il l’avait planqué là, parce que logique), et poignarde Abou Baker… dans la fesse gauche.
— POURQUOI ?! hurla Abou en tombant sur le tapis.
— C’était un test. J’suis végétarien et athée, et t’as oublié de me demander mon consentement spirituel fils de pute
Abou Baker, malgré la douleur, se redressa lentement, son fessier tremblant comme une gelée de dinde, et murmura :
— Tu n’es pas digne de La Fesse Céleste. Que la diarrhée des hypocrites t’accompagne.
Puis il s’évanouit dans une explosion de pets bénis, laissant derrière lui un doux parfum d’encens, de curry, de mafé mélanger a du couscous de trahison.