Ce sujet a été résolu
Que penses-tu des témoins de Jehova ? Les considères tu comme une secte ?
Il est doux à tout âge de se laisser guider par la fantaisie.
il y a 4 mois
Tranquille et toi?
Ça va.
Tu te rends compte que t'es topax ne réponde quasi jamais a des questions sérieuse ou bof ?
Tu te rends compte que t'es topax ne réponde quasi jamais a des questions sérieuse ou bof ?
Je passe et repasse de temps en temps.
il y a 4 mois
BlueLadyShow
4 mois
Que penses-tu des témoins de Jehova ? Les considères tu comme une secte ?
On ne peut qu'avoir de la sympathie pour des gens qui cherchent Dieu et qui sont zélés
Secte vient du verbe latin qui veut dire couper, la question est de savoir s'ils vivent retranchés ou non et le sort de ceux qui sortent de leur "religion"
Aux dernières nouvelles, ceux qui quittent leur religion quittent aussi leur famille, ils perdent tout lien, donc ça en fait une secte
Après, ils sont assez bien intégrés dans le monde, ils sont fréquentables, c'est ce qui nuance la position
C'est, pour moi, une petite secte au sens où elle n'a pas beaucoup de qualités propres aux sectes
L'islam est bien plus une secte que les TJ par exemple
Secte vient du verbe latin qui veut dire couper, la question est de savoir s'ils vivent retranchés ou non et le sort de ceux qui sortent de leur "religion"
Aux dernières nouvelles, ceux qui quittent leur religion quittent aussi leur famille, ils perdent tout lien, donc ça en fait une secte
Après, ils sont assez bien intégrés dans le monde, ils sont fréquentables, c'est ce qui nuance la position
C'est, pour moi, une petite secte au sens où elle n'a pas beaucoup de qualités propres aux sectes
L'islam est bien plus une secte que les TJ par exemple
il y a 4 mois
Ça va.
Tu te rends compte que t'es topax ne réponde quasi jamais a des questions sérieuse ou bof ?
Tu te rends compte que t'es topax ne réponde quasi jamais a des questions sérieuse ou bof ?
Je trouve qu'il y a une certaine diversité, ça dépend des jours
il y a 4 mois
Le feu des néophytes est bien plus ardent que celui des séculiers, ils vont renverser la France
il y a 4 mois
Une fois les osties que j'avais bouffé dans une église du sud un peu tradi sur les bords avaient un goût différent des autres (disons qu'elles étaient mangeable
) c'est pas pourtant censé être tous les mêmes ? Le prêtre braillait des conneries en latin donc j'imagine qu'il devait être pas trop dans les normes mais quand même ceuat étonnant
il y a 4 mois
Il y a tout un mouvement du carmel qui vise à pratiquer deux heures d'oraison, de prière silencieuse, pour avoir ce recueillement avec Dieu.
Quand on est dans le monde, il est difficile d'avoir ce temps, mais on est invité à l'avoir pour notre édification
Il n'y a que les moines qui peuvent vraiment l'avoir au fond
Quand on est dans le monde, il est difficile d'avoir ce temps, mais on est invité à l'avoir pour notre édification
Il n'y a que les moines qui peuvent vraiment l'avoir au fond
il y a 4 mois
Foutreglacial
4 mois
Une fois les osties que j'avais bouffé dans une église du sud un peu tradi sur les bords avaient un goût différent des autres (disons qu'elles étaient mangeable
) c'est pas pourtant censé être tous les mêmes ? Le prêtre braillait des conneries en latin donc j'imagine qu'il devait être pas trop dans les normes mais quand même ceuat étonnant
Il y a différents sites de fabrication d'hostie, certaines sont brunes avec de la farine complète, d'autres plus blanches. Certaines sont gravées selon les communautés. Bref, les hosties sont assez différentes les unes des autres et certaines sont plus ou moins bien conservées
il y a 4 mois
Josette
4 mois
Est ce que le prochain pape sera noir ?
J'aime bien ses idées à celui dont on parle en ce moment, mais là communauté que vous connaissez bien pourrait ne pas laisser passer ça
J'aime bien ses idées à celui dont on parle en ce moment, mais là communauté que vous connaissez bien pourrait ne pas laisser passer ça
Des jeux Steam pas cher https://www.instant-gaming.com/?igr=gamer-cb611db
il y a 4 mois
Face au danger d'une mort spirituelle, la flamme lutte, la mollesse éteint. On a des alertes partout autour de nous montrant que la mort est proche
il y a 4 mois
Il y a différents sites de fabrication d'hostie, certaines sont brunes avec de la farine complète, d'autres plus blanches. Certaines sont gravées selon les communautés. Bref, les hosties sont assez différentes les unes des autres et certaines sont plus ou moins bien conservées
Bien ma grotte , j'étais persuadé que c'était les mêmes osties sur l'ensemble du clergé, ça demanderai des moyens logistiques de fils de pute donc j'imagine que c'était pas possible
il y a 4 mois
bonsoir josette
article du jour :
Il a défié les nazis avec des Téfilines
Yéhouda Wallis a été déporté dans le camp de concentration de Dachau pendant la Seconde Guerre mondiale. Un jour, alors qu’il se trouve dans le camp, il voit un Juif affaibli, inapte au travail épouvantable imposé par les nazis, qui se fait traîner par les pieds par des gardiens. Ils prennent la direction d’un endroit précis du camp d’où les prisonniers ne reviennent jamais. Brusquement, ce pauvre homme, qui va vers une mort certaine, jette un petit paquet dans la direction de Yéhouda. Yéhouda le récupère rapidement, il l’ouvre pensant y trouver un morceau de pain, et à la place du pain c’est une paire de Téfilines qu’il découvre. Il est effrayé parce qu'il sait que posséder des Téfilines est passible de mort dans le camp.
Yéhouda est paniqué, il hésite à laisser les Téfilines par terre mais il ne veut pas manquer de respect à un objet de culte sacré. Il cache comme il peut le paquet contenant les précieux Téfilines sous sa chemise et court vers son baraquement de prisonnier, et discrètement, il en profite pour accomplir le commandement de mettre les Téfilines.
Alors qu'il commence à sortir les Téfilines de leur pochette, il sent une tape sur son épaule. Il se retourne et se retrouve nez à nez avec un officier nazi. Il l'arrête immédiatement et le conduit vers le commandant du camp :
“Faites-le sortir dehors. Il ne doit pas mourir d'une mort ordinaire. On va le pendre devant tous les Juifs et on va leur raconter ce qu'il a fait.”
Les nazis préparent une potence, et ils ordonnent à tous les Juifs du camp d'interrompre leurs travaux forcés pour se réunir à l’emplacement où est prévue l’exécution publique. Même les femmes du camp voisin séparé par des barbelés sont obligées d'y assister. Personne ne comprend ce qui se passe. Mais la rumeur circule vite, un Juif aurait été arrêté pour avoir accompli une Mitsva.
Le pauvre Yéhouda se met debout sur la table, à côté d'un poteau auquel on attache une corde. Il suffit d’un coup dans la table pour qu’il soit pendu. Pendant ce temps, le commandant agite les Téfilines devant lui et hurle :
“Ce Juif, cet insolent, a été surpris en train de vouloir mettre ces lanières que vous connaissez. Or, celui qui pratique ici le judaïsme mourra comme cet homme-là. Nous allons maintenant le pendre et toute personne qui osera faire comme lui mourra tout comme lui. Vous allez tous assister à sa mort.”
Il se tourne vers Yéhouda avec un regard moqueur et lui demande, comme pour mieux l’humilier :
“Quelle est ta dernière volonté ?”
Et Yéhouda répond avec un sang-froid qui décontenance les officiers du camp :
“Mettre les Téfilines une dernière fois.”
Le commandant est surpris, mais il est connu pour son sadisme, et cette situation tragique l’amuse beaucoup. Il décide de lui passer les Téfilines.
Yehouda prend les Téfilines, il enroule les lanières autour de son bras et récite la bénédiction. Le commandant décide au bout de quelques secondes de mettre fin à cette scène et un officier repasse la corde autour du cou du condamné. Un instant avant que le bourreau ne donne un coup de pied à la table sur laquelle Yéhouda se trouve, ce dernier regarde tous les Juifs qui pleurent, et il s'adresse à eux à voix haute :
“Pourquoi vous pleurez ? J'ai gagné ! Vous ne comprenez pas, c’est moi le gagnant !”
Le commandant est furieux, il le fait descendre de la table et il décide de lui infliger une mort plus cruelle encore.
On met Yéhouda à genoux et on lui place deux pierres sous les bras, une sous le bras droit et une second sous le bras gauche. Le commandant lui explique :
“Je vais te donner vingt-cinq coups avec un nerf de bœuf (une matraque flexible). Si tu fais tomber l'une des pierres pendant le châtiment, je te tire une balle dans la tête, mais si tu résistes aux vingt-cinq coups et que les pierres ne glissent pas de sous tes bras, je te laisse en vie. Bon, n’y crois pas une seconde, je peux te dire qu'aucun homme n'est capable de résister à ces coups qui brisent tous les os, en quatre ou cinq coups, c'est fini. Mon conseil, c'est que dès le premier coup, tu laisses tomber une pierre, je t'envoie une balle dans la tête et on en finit rapidement.”
Yéhouda lui répond : “Non, je ne te laisserai pas ce plaisir.”
Le condamné est placé sur un Prügelblock, un banc de torture présent dans tous les camps nazis. Le nazi inflige le premier coup à Yéhouda qui hurle de douleur, puis le second, le troisième… Yéhouda souffre le martyre, mais il ne bouge pas les bras. On arrive au dixième coup, la souffrance est de plus en plus vive. Au 24ème coup, Yéhouda sent que son cœur va lâcher. Au 25ème coup de bâton, Yéhouda perd connaissance et s'écroule, apparemment sans vie. Les pierres sont toujours sous ses bras. Le nazi comprend qu'il est mort et demande à un Juif de prendre son cadavre pour l’acheminer vers une pile de cadavres à côté des fours crématoires...
Chaque soir, les cadavres sont brûlés dans les fours crématoires. Le Juif remarque que Yéhouda est toujours en vie, il le laisse à côté des corps sans vie avec un chiffon sur les yeux pour que personne ne remarque qu’il est bien vivant.
Quand il reprend pleinement conscience, Yéhouda se glisse au sol vers la première baraque la plus proche qui est montée sur des pilotis surélevés, il se glisse en-dessous jusqu'à retrouver les forces d’en sortir.
Pendant de longues semaines, Yéhouda parvient à se cacher, et à survivre grâce à l’aide des prisonniers juifs du camp. Et, deux mois après le sauvetage de Yéhouda, le camp est libéré par l’armée américaine.
Yéhouda est sur le point de quitter le camp. À ce moment-là, une jeune femme de dix-sept ans l'arrête et lui dit :
“C'est toi qui portais les Téfilines ? Je me souviens de toi. Écoute, j'ai dix-sept ans, je suis arrivée dans ce camp avec ma famille, maintenant les portes s'ouvrent, mais j'ai perdu tout le monde. Je ne veux pas rester seule, veux-tu m'épouser ?”
Yéhouda accepte à condition de trouver un rabbin pour les marier selon la loi juive.
Ils cherchent et découvrent l'illustre Rabbi Yékoutiel de Sanz, l'Admour de Klausenbourg, qui se trouvait dans le même camp. Il a perdu son épouse et onze enfants pendant la Shoah et est le seul survivant de toute sa famille.
L'Admour de Klausenbourg avait promis que si Hachem le faisait sortir vivant des camps, il monterait en Israël pour construire un hôpital, et promit aussi de créer un quartier dédié à son mouvement ‘hassidique, afin de le faire renaître de ses cendres.
Il a survécu à la Shoah, il est arrivé à Netanya et a fait construire l'hôpital de Laniado, selon les règles de la loi juive et a fondé également le quartier de Kiryat Sanz.
Rav Yékoutiel de Sanz accepte de marier Yéhouda et rédige lui-même de mémoire la Kétouba, l'acte de mariage que les petits-enfants ont encore aujourd'hui en leur possession.
La Mitsva des Téfilines est un signe qui rattache D.ieu à son peuple. Yéhouda n’avait aucune obligation de mettre les Téfilines dans une situation aussi dangereuse, mais le bonheur qu’il a eu à recevoir cet objet si sacré a surpassé toute tentative de raisonnement. L’attachement aux commandements d’Hachem a une valeur incalculable, et les descendants de Yéhouda en savent quelque chose…
source :
https://www.torah-box.com[...]lines-a-dachau_39047.html
article du jour :
Il a défié les nazis avec des Téfilines
Yéhouda Wallis a été déporté dans le camp de concentration de Dachau pendant la Seconde Guerre mondiale. Un jour, alors qu’il se trouve dans le camp, il voit un Juif affaibli, inapte au travail épouvantable imposé par les nazis, qui se fait traîner par les pieds par des gardiens. Ils prennent la direction d’un endroit précis du camp d’où les prisonniers ne reviennent jamais. Brusquement, ce pauvre homme, qui va vers une mort certaine, jette un petit paquet dans la direction de Yéhouda. Yéhouda le récupère rapidement, il l’ouvre pensant y trouver un morceau de pain, et à la place du pain c’est une paire de Téfilines qu’il découvre. Il est effrayé parce qu'il sait que posséder des Téfilines est passible de mort dans le camp.
Yéhouda est paniqué, il hésite à laisser les Téfilines par terre mais il ne veut pas manquer de respect à un objet de culte sacré. Il cache comme il peut le paquet contenant les précieux Téfilines sous sa chemise et court vers son baraquement de prisonnier, et discrètement, il en profite pour accomplir le commandement de mettre les Téfilines.
Alors qu'il commence à sortir les Téfilines de leur pochette, il sent une tape sur son épaule. Il se retourne et se retrouve nez à nez avec un officier nazi. Il l'arrête immédiatement et le conduit vers le commandant du camp :
“Faites-le sortir dehors. Il ne doit pas mourir d'une mort ordinaire. On va le pendre devant tous les Juifs et on va leur raconter ce qu'il a fait.”
Les nazis préparent une potence, et ils ordonnent à tous les Juifs du camp d'interrompre leurs travaux forcés pour se réunir à l’emplacement où est prévue l’exécution publique. Même les femmes du camp voisin séparé par des barbelés sont obligées d'y assister. Personne ne comprend ce qui se passe. Mais la rumeur circule vite, un Juif aurait été arrêté pour avoir accompli une Mitsva.
Le pauvre Yéhouda se met debout sur la table, à côté d'un poteau auquel on attache une corde. Il suffit d’un coup dans la table pour qu’il soit pendu. Pendant ce temps, le commandant agite les Téfilines devant lui et hurle :
“Ce Juif, cet insolent, a été surpris en train de vouloir mettre ces lanières que vous connaissez. Or, celui qui pratique ici le judaïsme mourra comme cet homme-là. Nous allons maintenant le pendre et toute personne qui osera faire comme lui mourra tout comme lui. Vous allez tous assister à sa mort.”
Il se tourne vers Yéhouda avec un regard moqueur et lui demande, comme pour mieux l’humilier :
“Quelle est ta dernière volonté ?”
Et Yéhouda répond avec un sang-froid qui décontenance les officiers du camp :
“Mettre les Téfilines une dernière fois.”
Le commandant est surpris, mais il est connu pour son sadisme, et cette situation tragique l’amuse beaucoup. Il décide de lui passer les Téfilines.
Yehouda prend les Téfilines, il enroule les lanières autour de son bras et récite la bénédiction. Le commandant décide au bout de quelques secondes de mettre fin à cette scène et un officier repasse la corde autour du cou du condamné. Un instant avant que le bourreau ne donne un coup de pied à la table sur laquelle Yéhouda se trouve, ce dernier regarde tous les Juifs qui pleurent, et il s'adresse à eux à voix haute :
“Pourquoi vous pleurez ? J'ai gagné ! Vous ne comprenez pas, c’est moi le gagnant !”
Le commandant est furieux, il le fait descendre de la table et il décide de lui infliger une mort plus cruelle encore.
On met Yéhouda à genoux et on lui place deux pierres sous les bras, une sous le bras droit et une second sous le bras gauche. Le commandant lui explique :
“Je vais te donner vingt-cinq coups avec un nerf de bœuf (une matraque flexible). Si tu fais tomber l'une des pierres pendant le châtiment, je te tire une balle dans la tête, mais si tu résistes aux vingt-cinq coups et que les pierres ne glissent pas de sous tes bras, je te laisse en vie. Bon, n’y crois pas une seconde, je peux te dire qu'aucun homme n'est capable de résister à ces coups qui brisent tous les os, en quatre ou cinq coups, c'est fini. Mon conseil, c'est que dès le premier coup, tu laisses tomber une pierre, je t'envoie une balle dans la tête et on en finit rapidement.”
Yéhouda lui répond : “Non, je ne te laisserai pas ce plaisir.”
Le condamné est placé sur un Prügelblock, un banc de torture présent dans tous les camps nazis. Le nazi inflige le premier coup à Yéhouda qui hurle de douleur, puis le second, le troisième… Yéhouda souffre le martyre, mais il ne bouge pas les bras. On arrive au dixième coup, la souffrance est de plus en plus vive. Au 24ème coup, Yéhouda sent que son cœur va lâcher. Au 25ème coup de bâton, Yéhouda perd connaissance et s'écroule, apparemment sans vie. Les pierres sont toujours sous ses bras. Le nazi comprend qu'il est mort et demande à un Juif de prendre son cadavre pour l’acheminer vers une pile de cadavres à côté des fours crématoires...
Chaque soir, les cadavres sont brûlés dans les fours crématoires. Le Juif remarque que Yéhouda est toujours en vie, il le laisse à côté des corps sans vie avec un chiffon sur les yeux pour que personne ne remarque qu’il est bien vivant.
Quand il reprend pleinement conscience, Yéhouda se glisse au sol vers la première baraque la plus proche qui est montée sur des pilotis surélevés, il se glisse en-dessous jusqu'à retrouver les forces d’en sortir.
Pendant de longues semaines, Yéhouda parvient à se cacher, et à survivre grâce à l’aide des prisonniers juifs du camp. Et, deux mois après le sauvetage de Yéhouda, le camp est libéré par l’armée américaine.
Yéhouda est sur le point de quitter le camp. À ce moment-là, une jeune femme de dix-sept ans l'arrête et lui dit :
“C'est toi qui portais les Téfilines ? Je me souviens de toi. Écoute, j'ai dix-sept ans, je suis arrivée dans ce camp avec ma famille, maintenant les portes s'ouvrent, mais j'ai perdu tout le monde. Je ne veux pas rester seule, veux-tu m'épouser ?”
Yéhouda accepte à condition de trouver un rabbin pour les marier selon la loi juive.
Ils cherchent et découvrent l'illustre Rabbi Yékoutiel de Sanz, l'Admour de Klausenbourg, qui se trouvait dans le même camp. Il a perdu son épouse et onze enfants pendant la Shoah et est le seul survivant de toute sa famille.
L'Admour de Klausenbourg avait promis que si Hachem le faisait sortir vivant des camps, il monterait en Israël pour construire un hôpital, et promit aussi de créer un quartier dédié à son mouvement ‘hassidique, afin de le faire renaître de ses cendres.
Il a survécu à la Shoah, il est arrivé à Netanya et a fait construire l'hôpital de Laniado, selon les règles de la loi juive et a fondé également le quartier de Kiryat Sanz.
Rav Yékoutiel de Sanz accepte de marier Yéhouda et rédige lui-même de mémoire la Kétouba, l'acte de mariage que les petits-enfants ont encore aujourd'hui en leur possession.
La Mitsva des Téfilines est un signe qui rattache D.ieu à son peuple. Yéhouda n’avait aucune obligation de mettre les Téfilines dans une situation aussi dangereuse, mais le bonheur qu’il a eu à recevoir cet objet si sacré a surpassé toute tentative de raisonnement. L’attachement aux commandements d’Hachem a une valeur incalculable, et les descendants de Yéhouda en savent quelque chose…
source :
🇫🇷 🇵🇱 🇪🇺 🇺🇦
il y a 4 mois
Est ce que le prochain pape sera noir ?
J'aime bien ses idées à celui dont on parle en ce moment, mais là communauté que vous connaissez bien pourrait ne pas laisser passer ça
J'aime bien ses idées à celui dont on parle en ce moment, mais là communauté que vous connaissez bien pourrait ne pas laisser passer ça
Je n'en sais rien
Israël n'a rien à voir dans les élections des papes, les rabbins cardinaux électeurs n'existent pas
Israël n'a rien à voir dans les élections des papes, les rabbins cardinaux électeurs n'existent pas
il y a 4 mois
Amaury
4 mois
bonsoir josette
article du jour :
Il a défié les nazis avec des Téfilines
Yéhouda Wallis a été déporté dans le camp de concentration de Dachau pendant la Seconde Guerre mondiale. Un jour, alors qu’il se trouve dans le camp, il voit un Juif affaibli, inapte au travail épouvantable imposé par les nazis, qui se fait traîner par les pieds par des gardiens. Ils prennent la direction d’un endroit précis du camp d’où les prisonniers ne reviennent jamais. Brusquement, ce pauvre homme, qui va vers une mort certaine, jette un petit paquet dans la direction de Yéhouda. Yéhouda le récupère rapidement, il l’ouvre pensant y trouver un morceau de pain, et à la place du pain c’est une paire de Téfilines qu’il découvre. Il est effrayé parce qu'il sait que posséder des Téfilines est passible de mort dans le camp.
Yéhouda est paniqué, il hésite à laisser les Téfilines par terre mais il ne veut pas manquer de respect à un objet de culte sacré. Il cache comme il peut le paquet contenant les précieux Téfilines sous sa chemise et court vers son baraquement de prisonnier, et discrètement, il en profite pour accomplir le commandement de mettre les Téfilines.
Alors qu'il commence à sortir les Téfilines de leur pochette, il sent une tape sur son épaule. Il se retourne et se retrouve nez à nez avec un officier nazi. Il l'arrête immédiatement et le conduit vers le commandant du camp :
“Faites-le sortir dehors. Il ne doit pas mourir d'une mort ordinaire. On va le pendre devant tous les Juifs et on va leur raconter ce qu'il a fait.”
Les nazis préparent une potence, et ils ordonnent à tous les Juifs du camp d'interrompre leurs travaux forcés pour se réunir à l’emplacement où est prévue l’exécution publique. Même les femmes du camp voisin séparé par des barbelés sont obligées d'y assister. Personne ne comprend ce qui se passe. Mais la rumeur circule vite, un Juif aurait été arrêté pour avoir accompli une Mitsva.
Le pauvre Yéhouda se met debout sur la table, à côté d'un poteau auquel on attache une corde. Il suffit d’un coup dans la table pour qu’il soit pendu. Pendant ce temps, le commandant agite les Téfilines devant lui et hurle :
“Ce Juif, cet insolent, a été surpris en train de vouloir mettre ces lanières que vous connaissez. Or, celui qui pratique ici le judaïsme mourra comme cet homme-là. Nous allons maintenant le pendre et toute personne qui osera faire comme lui mourra tout comme lui. Vous allez tous assister à sa mort.”
Il se tourne vers Yéhouda avec un regard moqueur et lui demande, comme pour mieux l’humilier :
“Quelle est ta dernière volonté ?”
Et Yéhouda répond avec un sang-froid qui décontenance les officiers du camp :
“Mettre les Téfilines une dernière fois.”
Le commandant est surpris, mais il est connu pour son sadisme, et cette situation tragique l’amuse beaucoup. Il décide de lui passer les Téfilines.
Yehouda prend les Téfilines, il enroule les lanières autour de son bras et récite la bénédiction. Le commandant décide au bout de quelques secondes de mettre fin à cette scène et un officier repasse la corde autour du cou du condamné. Un instant avant que le bourreau ne donne un coup de pied à la table sur laquelle Yéhouda se trouve, ce dernier regarde tous les Juifs qui pleurent, et il s'adresse à eux à voix haute :
“Pourquoi vous pleurez ? J'ai gagné ! Vous ne comprenez pas, c’est moi le gagnant !”
Le commandant est furieux, il le fait descendre de la table et il décide de lui infliger une mort plus cruelle encore.
On met Yéhouda à genoux et on lui place deux pierres sous les bras, une sous le bras droit et une second sous le bras gauche. Le commandant lui explique :
“Je vais te donner vingt-cinq coups avec un nerf de bœuf (une matraque flexible). Si tu fais tomber l'une des pierres pendant le châtiment, je te tire une balle dans la tête, mais si tu résistes aux vingt-cinq coups et que les pierres ne glissent pas de sous tes bras, je te laisse en vie. Bon, n’y crois pas une seconde, je peux te dire qu'aucun homme n'est capable de résister à ces coups qui brisent tous les os, en quatre ou cinq coups, c'est fini. Mon conseil, c'est que dès le premier coup, tu laisses tomber une pierre, je t'envoie une balle dans la tête et on en finit rapidement.”
Yéhouda lui répond : “Non, je ne te laisserai pas ce plaisir.”
Le condamné est placé sur un Prügelblock, un banc de torture présent dans tous les camps nazis. Le nazi inflige le premier coup à Yéhouda qui hurle de douleur, puis le second, le troisième… Yéhouda souffre le martyre, mais il ne bouge pas les bras. On arrive au dixième coup, la souffrance est de plus en plus vive. Au 24ème coup, Yéhouda sent que son cœur va lâcher. Au 25ème coup de bâton, Yéhouda perd connaissance et s'écroule, apparemment sans vie. Les pierres sont toujours sous ses bras. Le nazi comprend qu'il est mort et demande à un Juif de prendre son cadavre pour l’acheminer vers une pile de cadavres à côté des fours crématoires...
Chaque soir, les cadavres sont brûlés dans les fours crématoires. Le Juif remarque que Yéhouda est toujours en vie, il le laisse à côté des corps sans vie avec un chiffon sur les yeux pour que personne ne remarque qu’il est bien vivant.
Quand il reprend pleinement conscience, Yéhouda se glisse au sol vers la première baraque la plus proche qui est montée sur des pilotis surélevés, il se glisse en-dessous jusqu'à retrouver les forces d’en sortir.
Pendant de longues semaines, Yéhouda parvient à se cacher, et à survivre grâce à l’aide des prisonniers juifs du camp. Et, deux mois après le sauvetage de Yéhouda, le camp est libéré par l’armée américaine.
Yéhouda est sur le point de quitter le camp. À ce moment-là, une jeune femme de dix-sept ans l'arrête et lui dit :
“C'est toi qui portais les Téfilines ? Je me souviens de toi. Écoute, j'ai dix-sept ans, je suis arrivée dans ce camp avec ma famille, maintenant les portes s'ouvrent, mais j'ai perdu tout le monde. Je ne veux pas rester seule, veux-tu m'épouser ?”
Yéhouda accepte à condition de trouver un rabbin pour les marier selon la loi juive.
Ils cherchent et découvrent l'illustre Rabbi Yékoutiel de Sanz, l'Admour de Klausenbourg, qui se trouvait dans le même camp. Il a perdu son épouse et onze enfants pendant la Shoah et est le seul survivant de toute sa famille.
L'Admour de Klausenbourg avait promis que si Hachem le faisait sortir vivant des camps, il monterait en Israël pour construire un hôpital, et promit aussi de créer un quartier dédié à son mouvement ‘hassidique, afin de le faire renaître de ses cendres.
Il a survécu à la Shoah, il est arrivé à Netanya et a fait construire l'hôpital de Laniado, selon les règles de la loi juive et a fondé également le quartier de Kiryat Sanz.
Rav Yékoutiel de Sanz accepte de marier Yéhouda et rédige lui-même de mémoire la Kétouba, l'acte de mariage que les petits-enfants ont encore aujourd'hui en leur possession.
La Mitsva des Téfilines est un signe qui rattache D.ieu à son peuple. Yéhouda n’avait aucune obligation de mettre les Téfilines dans une situation aussi dangereuse, mais le bonheur qu’il a eu à recevoir cet objet si sacré a surpassé toute tentative de raisonnement. L’attachement aux commandements d’Hachem a une valeur incalculable, et les descendants de Yéhouda en savent quelque chose…
source :
https://www.torah-box.com[...]lines-a-dachau_39047.html
article du jour :
Il a défié les nazis avec des Téfilines
Yéhouda Wallis a été déporté dans le camp de concentration de Dachau pendant la Seconde Guerre mondiale. Un jour, alors qu’il se trouve dans le camp, il voit un Juif affaibli, inapte au travail épouvantable imposé par les nazis, qui se fait traîner par les pieds par des gardiens. Ils prennent la direction d’un endroit précis du camp d’où les prisonniers ne reviennent jamais. Brusquement, ce pauvre homme, qui va vers une mort certaine, jette un petit paquet dans la direction de Yéhouda. Yéhouda le récupère rapidement, il l’ouvre pensant y trouver un morceau de pain, et à la place du pain c’est une paire de Téfilines qu’il découvre. Il est effrayé parce qu'il sait que posséder des Téfilines est passible de mort dans le camp.
Yéhouda est paniqué, il hésite à laisser les Téfilines par terre mais il ne veut pas manquer de respect à un objet de culte sacré. Il cache comme il peut le paquet contenant les précieux Téfilines sous sa chemise et court vers son baraquement de prisonnier, et discrètement, il en profite pour accomplir le commandement de mettre les Téfilines.
Alors qu'il commence à sortir les Téfilines de leur pochette, il sent une tape sur son épaule. Il se retourne et se retrouve nez à nez avec un officier nazi. Il l'arrête immédiatement et le conduit vers le commandant du camp :
“Faites-le sortir dehors. Il ne doit pas mourir d'une mort ordinaire. On va le pendre devant tous les Juifs et on va leur raconter ce qu'il a fait.”
Les nazis préparent une potence, et ils ordonnent à tous les Juifs du camp d'interrompre leurs travaux forcés pour se réunir à l’emplacement où est prévue l’exécution publique. Même les femmes du camp voisin séparé par des barbelés sont obligées d'y assister. Personne ne comprend ce qui se passe. Mais la rumeur circule vite, un Juif aurait été arrêté pour avoir accompli une Mitsva.
Le pauvre Yéhouda se met debout sur la table, à côté d'un poteau auquel on attache une corde. Il suffit d’un coup dans la table pour qu’il soit pendu. Pendant ce temps, le commandant agite les Téfilines devant lui et hurle :
“Ce Juif, cet insolent, a été surpris en train de vouloir mettre ces lanières que vous connaissez. Or, celui qui pratique ici le judaïsme mourra comme cet homme-là. Nous allons maintenant le pendre et toute personne qui osera faire comme lui mourra tout comme lui. Vous allez tous assister à sa mort.”
Il se tourne vers Yéhouda avec un regard moqueur et lui demande, comme pour mieux l’humilier :
“Quelle est ta dernière volonté ?”
Et Yéhouda répond avec un sang-froid qui décontenance les officiers du camp :
“Mettre les Téfilines une dernière fois.”
Le commandant est surpris, mais il est connu pour son sadisme, et cette situation tragique l’amuse beaucoup. Il décide de lui passer les Téfilines.
Yehouda prend les Téfilines, il enroule les lanières autour de son bras et récite la bénédiction. Le commandant décide au bout de quelques secondes de mettre fin à cette scène et un officier repasse la corde autour du cou du condamné. Un instant avant que le bourreau ne donne un coup de pied à la table sur laquelle Yéhouda se trouve, ce dernier regarde tous les Juifs qui pleurent, et il s'adresse à eux à voix haute :
“Pourquoi vous pleurez ? J'ai gagné ! Vous ne comprenez pas, c’est moi le gagnant !”
Le commandant est furieux, il le fait descendre de la table et il décide de lui infliger une mort plus cruelle encore.
On met Yéhouda à genoux et on lui place deux pierres sous les bras, une sous le bras droit et une second sous le bras gauche. Le commandant lui explique :
“Je vais te donner vingt-cinq coups avec un nerf de bœuf (une matraque flexible). Si tu fais tomber l'une des pierres pendant le châtiment, je te tire une balle dans la tête, mais si tu résistes aux vingt-cinq coups et que les pierres ne glissent pas de sous tes bras, je te laisse en vie. Bon, n’y crois pas une seconde, je peux te dire qu'aucun homme n'est capable de résister à ces coups qui brisent tous les os, en quatre ou cinq coups, c'est fini. Mon conseil, c'est que dès le premier coup, tu laisses tomber une pierre, je t'envoie une balle dans la tête et on en finit rapidement.”
Yéhouda lui répond : “Non, je ne te laisserai pas ce plaisir.”
Le condamné est placé sur un Prügelblock, un banc de torture présent dans tous les camps nazis. Le nazi inflige le premier coup à Yéhouda qui hurle de douleur, puis le second, le troisième… Yéhouda souffre le martyre, mais il ne bouge pas les bras. On arrive au dixième coup, la souffrance est de plus en plus vive. Au 24ème coup, Yéhouda sent que son cœur va lâcher. Au 25ème coup de bâton, Yéhouda perd connaissance et s'écroule, apparemment sans vie. Les pierres sont toujours sous ses bras. Le nazi comprend qu'il est mort et demande à un Juif de prendre son cadavre pour l’acheminer vers une pile de cadavres à côté des fours crématoires...
Chaque soir, les cadavres sont brûlés dans les fours crématoires. Le Juif remarque que Yéhouda est toujours en vie, il le laisse à côté des corps sans vie avec un chiffon sur les yeux pour que personne ne remarque qu’il est bien vivant.
Quand il reprend pleinement conscience, Yéhouda se glisse au sol vers la première baraque la plus proche qui est montée sur des pilotis surélevés, il se glisse en-dessous jusqu'à retrouver les forces d’en sortir.
Pendant de longues semaines, Yéhouda parvient à se cacher, et à survivre grâce à l’aide des prisonniers juifs du camp. Et, deux mois après le sauvetage de Yéhouda, le camp est libéré par l’armée américaine.
Yéhouda est sur le point de quitter le camp. À ce moment-là, une jeune femme de dix-sept ans l'arrête et lui dit :
“C'est toi qui portais les Téfilines ? Je me souviens de toi. Écoute, j'ai dix-sept ans, je suis arrivée dans ce camp avec ma famille, maintenant les portes s'ouvrent, mais j'ai perdu tout le monde. Je ne veux pas rester seule, veux-tu m'épouser ?”
Yéhouda accepte à condition de trouver un rabbin pour les marier selon la loi juive.
Ils cherchent et découvrent l'illustre Rabbi Yékoutiel de Sanz, l'Admour de Klausenbourg, qui se trouvait dans le même camp. Il a perdu son épouse et onze enfants pendant la Shoah et est le seul survivant de toute sa famille.
L'Admour de Klausenbourg avait promis que si Hachem le faisait sortir vivant des camps, il monterait en Israël pour construire un hôpital, et promit aussi de créer un quartier dédié à son mouvement ‘hassidique, afin de le faire renaître de ses cendres.
Il a survécu à la Shoah, il est arrivé à Netanya et a fait construire l'hôpital de Laniado, selon les règles de la loi juive et a fondé également le quartier de Kiryat Sanz.
Rav Yékoutiel de Sanz accepte de marier Yéhouda et rédige lui-même de mémoire la Kétouba, l'acte de mariage que les petits-enfants ont encore aujourd'hui en leur possession.
La Mitsva des Téfilines est un signe qui rattache D.ieu à son peuple. Yéhouda n’avait aucune obligation de mettre les Téfilines dans une situation aussi dangereuse, mais le bonheur qu’il a eu à recevoir cet objet si sacré a surpassé toute tentative de raisonnement. L’attachement aux commandements d’Hachem a une valeur incalculable, et les descendants de Yéhouda en savent quelque chose…
source :
C'est un récit hassidique beau
Il y a eu beaucoup de miracles pendant la shoah, celui-là en fait partie
T'arrives dans un camp et tu sors marié, la masterclasse
Il y a eu beaucoup de miracles pendant la shoah, celui-là en fait partie
T'arrives dans un camp et tu sors marié, la masterclasse
il y a 4 mois
Est ce une bonne chose qu’il y’ait autant de divergence doctrinales entre cardinaux ?
(si déjà y a de réelle divergence)
(si déjà y a de réelle divergence)
Il est doux à tout âge de se laisser guider par la fantaisie.
il y a 4 mois