Toute la religion islamique est pompée sur le judaïsme.
Le Coran est une contrefaçon de la Torah (le Coran prétend que Abraham s'appelait en fait "Ibrahim" et était musulman, mais que les juifs ont voulu cacher cela... toutefois on n'a jamais retrouvé d'exemplaire de Torah "non-falsifiée" où Abraham était en fait appelé "Ibrahim").
Même le fait de ne pas manger de porc c'est pour imiter les juifs... C'est les juifs qui ont inventé en premier l'interdiction du porc. Au fond, toute cette haine d'Israël vient d'un espèce de complexe d'infériorité chelou.
Même le peuple palestinien inventé de toutes pièces (le nom de famille palestinien le plus répandu est "Masri" qui signifie "l'égyptien"
) n'est qu'une tentative de jouer au peuple persécuté pour encore une fois imiter les juifs.
On dirait que l'islam est incapable d'avoir une idée originale... donc il récupère tout sur les juifs puis cherche à détruire les juifs pour détruire les preuves de son plagiat.
En fait, c'est comme un petit frère qui admire son grand frère. Alors il essaye d'imiter son grand frère (le Coran est une imitation de la Torah. Les hadiths sont une imitation du Talmud. Le halal est une imitation du casher. La circoncision à 7 ans est une imitation de la circoncision au 8ème jour. Le peuple palestinien persécuté est une imitation du peuple juif persécuté.). Mais à force de se rendre compte que tout ce qu'il produit n'est qu'une pâle imitation de son grand frère et que lui-même n'arrive pas à avoir d'idée originale, il commence à jalouser son grand frère et à vouloir prendre sa place, quitte à le tuer.
En parallèle de cela se développe un complexe homosexuel (puisque je ne peux pas être mon grand frère, alors je vais chercher à me faire enculer par lui). C'est pour cela que le Hamas et les guérillas palestiniennes provoquent Israël. Ils savent bien qu'ils vont se prendre des obus sur la gueule, mais c'est ce qu'ils cherchent: un peu comme le petit frère perverti va chercher à se prendre la bite de son grand frère.
Le Coran est une contrefaçon de la Torah (le Coran prétend que Abraham s'appelait en fait "Ibrahim" et était musulman, mais que les juifs ont voulu cacher cela... toutefois on n'a jamais retrouvé d'exemplaire de Torah "non-falsifiée" où Abraham était en fait appelé "Ibrahim").
Même le fait de ne pas manger de porc c'est pour imiter les juifs... C'est les juifs qui ont inventé en premier l'interdiction du porc. Au fond, toute cette haine d'Israël vient d'un espèce de complexe d'infériorité chelou.
Même le peuple palestinien inventé de toutes pièces (le nom de famille palestinien le plus répandu est "Masri" qui signifie "l'égyptien"
On dirait que l'islam est incapable d'avoir une idée originale... donc il récupère tout sur les juifs puis cherche à détruire les juifs pour détruire les preuves de son plagiat.
En fait, c'est comme un petit frère qui admire son grand frère. Alors il essaye d'imiter son grand frère (le Coran est une imitation de la Torah. Les hadiths sont une imitation du Talmud. Le halal est une imitation du casher. La circoncision à 7 ans est une imitation de la circoncision au 8ème jour. Le peuple palestinien persécuté est une imitation du peuple juif persécuté.). Mais à force de se rendre compte que tout ce qu'il produit n'est qu'une pâle imitation de son grand frère et que lui-même n'arrive pas à avoir d'idée originale, il commence à jalouser son grand frère et à vouloir prendre sa place, quitte à le tuer.
En parallèle de cela se développe un complexe homosexuel (puisque je ne peux pas être mon grand frère, alors je vais chercher à me faire enculer par lui). C'est pour cela que le Hamas et les guérillas palestiniennes provoquent Israël. Ils savent bien qu'ils vont se prendre des obus sur la gueule, mais c'est ce qu'ils cherchent: un peu comme le petit frère perverti va chercher à se prendre la bite de son grand frère.
C'est que de l'amour putain !
Intéressant, je crois...
C'est un raccourci, mais voici la logique:
1. Mon frère a une plus grosse bite que la mienne. (= c'est les juifs qui ont donné le monothéisme et l'idée de Dieu Unique à l'humanité)
2. J'essaye de gonfler artificiellement ma bite pour qu'elle atteigne celle de mon frère, mais je n'y arrive pas. (= Coran imitation de Torah, halal imitation de casher, palestiniens persécutés imitation de juifs persécutés, islamophobie imitation de antisémitisme, etc...)
3. Jamais ma bite ne sera aussi grosse que celle de mon frère. Je vais donc trouver un moyen pour obtenir directement sa bite.
4. Une manière d'obtenir la bite de mon frère, est de l'obtenir dans mon anus. (= comportement masochiste des guérillas palestiniennes qui provoquent Israël pour se prendre des obus dans le cul)
C'est que de l'amour putain !
Palu mais je up
Ma faute est d'avoir ouvert ma gueule pour rien en disant des choses excessives et violentes.
Par contre, une critique intelligente comme celle ci-dessus est entièrement légale.
Par contre, une critique intelligente comme celle ci-dessus est entièrement légale.
C'est que de l'amour putain !
"un peu comme le petit frère perverti va chercher à se prendre la bite de son grand frère."
Très clair clef
Très clair clef
Je ne possède strictement rien. Sauf mon âme. 
up
C'est que de l'amour putain !
Excellente analyse
Par pitié convertissez Patoche au judaïsme. Même si c’est pour la forme, il aura accompli le but de sa vie 
Les hénothéistes et les hanifs jouent un rôle subtil et significatif dans le contexte de l'émergence de l'islam. Ces groupes reflétaient une quête spirituelle et monothéiste dans la péninsule arabique avant la mission prophétique de Muhammad. Voici un approfondissement sur leur rôle :
1. Qui étaient les hanifs ?
Les hanifs étaient des monothéistes arabes pré-islamiques qui rejetaient le polythéisme dominant et cherchaient à adorer un Dieu unique, souvent identifié comme le Dieu d'Abraham. Cependant, ils ne s'identifiaient ni au judaïsme ni au christianisme, bien qu'ils en aient été influencés.
a. Caractéristiques des hanifs :
Rejet du polythéisme : Contrairement à la majorité des Arabes, les hanifs considéraient l'idolâtrie comme erronée.
Retour à la religion abrahamique : Ils se revendiquaient comme suivant la "vraie" religion d'Abraham (Ibrahim), qu'ils voyaient comme un pur monothéisme.
Mode de vie simple : Ils prônaient une vie d'intégrité morale et de pureté spirituelle.
Indépendance religieuse : Ils ne se rattachaient pas aux traditions organisées comme le judaïsme ou le christianisme, mais ils étaient influencés par ces courants religieux.
b. Les hanifs sont mentionnés dans la tradition islamique :
Zayd ibn Amr ibn Nufayl : Il rejetait l'idolâtrie et priait un Dieu unique. Il aurait cherché une religion monothéiste avant l'islam.
Waraka ibn Nawfal : Un cousin de Khadija (épouse de Muhammad), qui s'intéressait aux Écritures chrétiennes et aurait reconnu la mission prophétique de Muhammad.
2. Le rôle des hanifs dans l'apparition de l'islam :
Les hanifs ne formaient pas un groupe organisé ou influent politiquement, mais leur existence témoigne d'un mouvement spirituel monothéiste naissant qui a préparé le terrain pour l'islam. Voici comment ils ont influencé indirectement l'émergence de l'islam :
a. Sensibilisation au monothéisme :
Les hanifs ont contribué à répandre l'idée d’un Dieu unique dans une société dominée par le polythéisme.
Ils ont mis en avant la notion d'Abraham comme figure monothéiste centrale, une thématique reprise dans l'islam.
b. Critique de l'idolâtrie :
Leur rejet des idoles a probablement influencé le discours de Muhammad, qui dénonçait également l'idolâtrie et prônait le retour à un culte pur et abrahamique.
c. Interactions avec Muhammad :
Des figures comme Waraka ibn Nawfal étaient des hanifs ou proches d'eux et ont joué un rôle dans les premières étapes de la mission de Muhammad. Waraka, par exemple, aurait reconnu Muhammad comme un prophète après sa première révélation.
d. Continuité religieuse :
Les hanifs représentaient une continuité entre les traditions abrahamiques précédentes (judaïsme et christianisme) et l'islam. Leur existence montre que le monothéisme n'était pas étranger aux Arabes avant l'islam, mais qu'il n'avait pas encore pris une forme unifiée et universelle.
3. Hénothéisme dans la péninsule arabique :
Les hénothéistes n’étaient pas monothéistes au sens strict, mais leur croyance en un Dieu suprême a facilité l’acceptation de l’islam par de nombreuses tribus.
Cela différait du polythéisme classique car il plaçait un Dieu supérieur, souvent appelé Allah, au-dessus des autres divinités. D'autres idoles tribales comme Hubal, Al-Lat, Al-Uzza et Manat jouaient un rôle important.
4. Contexte religieux et intellectuel :
L’existence des hanifs et des hénothéistes reflète un malaise spirituel et une recherche de sens dans la société arabe pré-islamique.
Le contact avec le judaïsme, le christianisme, et le zoroastrisme ont créé une ouverture à l’idée d’un Dieu unique et d’une révélation universelle, ce qui a permis à l’islam de s’inscrire dans une continuité spirituelle tout en se présentant comme un renouvellement pur du monothéisme.
5. L'islam comme réponse :
Lorsque Muhammad commence sa mission prophétique, l’islam apparaît comme une réponse à cette quête spirituelle :
Il reprend et développe l’idée d’un Dieu unique suprême (Allah).
Il affirme être la "religion d’Abraham" purifiée, ce que recherchaient les hanifs.
Il dépasse le hénothéisme en rejetant totalement l’existence des autres divinités, établissant un strict monothéisme.
Conclusion :
Les hanifs et les hénothéistes ont joué un rôle clé en préparant intellectuellement et spirituellement les Arabes à l’islam. Ils ont créé un pont entre le polythéisme traditionnel et le monothéisme abrahamique, tout en dénonçant les pratiques idolâtres. Muhammad et l’islam s'inscrivent dans cette continuité, tout en l'unifiant et en la transformant en une religion universelle et complète.
Les hénothéistes et les hanifs jouent un rôle subtil et significatif dans le contexte de l'émergence de l'islam. Ces groupes reflétaient une quête spirituelle et monothéiste dans la péninsule arabique avant la mission prophétique de Muhammad. Voici un approfondissement sur leur rôle :
1. Qui étaient les hanifs ?
Les hanifs étaient des monothéistes arabes pré-islamiques qui rejetaient le polythéisme dominant et cherchaient à adorer un Dieu unique, souvent identifié comme le Dieu d'Abraham. Cependant, ils ne s'identifiaient ni au judaïsme ni au christianisme, bien qu'ils en aient été influencés.
a. Caractéristiques des hanifs :
Rejet du polythéisme : Contrairement à la majorité des Arabes, les hanifs considéraient l'idolâtrie comme erronée.
Retour à la religion abrahamique : Ils se revendiquaient comme suivant la "vraie" religion d'Abraham (Ibrahim), qu'ils voyaient comme un pur monothéisme.
Mode de vie simple : Ils prônaient une vie d'intégrité morale et de pureté spirituelle.
Indépendance religieuse : Ils ne se rattachaient pas aux traditions organisées comme le judaïsme ou le christianisme, mais ils étaient influencés par ces courants religieux.
b. Les hanifs sont mentionnés dans la tradition islamique :
Zayd ibn Amr ibn Nufayl : Il rejetait l'idolâtrie et priait un Dieu unique. Il aurait cherché une religion monothéiste avant l'islam.
Waraka ibn Nawfal : Un cousin de Khadija (épouse de Muhammad), qui s'intéressait aux Écritures chrétiennes et aurait reconnu la mission prophétique de Muhammad.
2. Le rôle des hanifs dans l'apparition de l'islam :
Les hanifs ne formaient pas un groupe organisé ou influent politiquement, mais leur existence témoigne d'un mouvement spirituel monothéiste naissant qui a préparé le terrain pour l'islam. Voici comment ils ont influencé indirectement l'émergence de l'islam :
a. Sensibilisation au monothéisme :
Les hanifs ont contribué à répandre l'idée d’un Dieu unique dans une société dominée par le polythéisme.
Ils ont mis en avant la notion d'Abraham comme figure monothéiste centrale, une thématique reprise dans l'islam.
b. Critique de l'idolâtrie :
Leur rejet des idoles a probablement influencé le discours de Muhammad, qui dénonçait également l'idolâtrie et prônait le retour à un culte pur et abrahamique.
c. Interactions avec Muhammad :
Des figures comme Waraka ibn Nawfal étaient des hanifs ou proches d'eux et ont joué un rôle dans les premières étapes de la mission de Muhammad. Waraka, par exemple, aurait reconnu Muhammad comme un prophète après sa première révélation.
d. Continuité religieuse :
Les hanifs représentaient une continuité entre les traditions abrahamiques précédentes (judaïsme et christianisme) et l'islam. Leur existence montre que le monothéisme n'était pas étranger aux Arabes avant l'islam, mais qu'il n'avait pas encore pris une forme unifiée et universelle.
3. Hénothéisme dans la péninsule arabique :
Les hénothéistes n’étaient pas monothéistes au sens strict, mais leur croyance en un Dieu suprême a facilité l’acceptation de l’islam par de nombreuses tribus.
Cela différait du polythéisme classique car il plaçait un Dieu supérieur, souvent appelé Allah, au-dessus des autres divinités. D'autres idoles tribales comme Hubal, Al-Lat, Al-Uzza et Manat jouaient un rôle important.
4. Contexte religieux et intellectuel :
L’existence des hanifs et des hénothéistes reflète un malaise spirituel et une recherche de sens dans la société arabe pré-islamique.
Le contact avec le judaïsme, le christianisme, et le zoroastrisme ont créé une ouverture à l’idée d’un Dieu unique et d’une révélation universelle, ce qui a permis à l’islam de s’inscrire dans une continuité spirituelle tout en se présentant comme un renouvellement pur du monothéisme.
5. L'islam comme réponse :
Lorsque Muhammad commence sa mission prophétique, l’islam apparaît comme une réponse à cette quête spirituelle :
Il reprend et développe l’idée d’un Dieu unique suprême (Allah).
Il affirme être la "religion d’Abraham" purifiée, ce que recherchaient les hanifs.
Il dépasse le hénothéisme en rejetant totalement l’existence des autres divinités, établissant un strict monothéisme.
Conclusion :
Les hanifs et les hénothéistes ont joué un rôle clé en préparant intellectuellement et spirituellement les Arabes à l’islam. Ils ont créé un pont entre le polythéisme traditionnel et le monothéisme abrahamique, tout en dénonçant les pratiques idolâtres. Muhammad et l’islam s'inscrivent dans cette continuité, tout en l'unifiant et en la transformant en une religion universelle et complète.
Ta gueule
C'est que de l'amour putain !
Pendant ce temps en Europe on a des licornes à bite.
Si, ça apporte au propos, parce que ça met en évidence le fond homosexuel de l'Islam.
Je ne suis pas le premier à le dire, il suffit de lire le passage sur l'islam dans "Tristes tropiques" de Claude Lévi-Strauss: http://kiosquenet.free.fr[...]ss-Tristes-tropiques.html
Chez les Musulmans, manger avec les doigts devient un système : nul ne saisit l’os de la viande pour en ronger la chair. De la seule main utilisable (la gauche étant impure, parce que réservée aux ablutions intimes) on pétrit, on arrache les lambeaux et quand on a soif, la main graisseuse empoigne le verre. En observant ces manières de table qui valent bien les autres, mais qui du point de vue occidental, semblent faire ostentation de sans-gêne, on se demande jusqu’à quel point la coutume, plutôt que vestige archaïque, ne résulte pas d’une réforme voulue par le Prophète – “ne faites pas comme les autres peuples, qui mangent avec un couteau“ – inspiré par le même souci, inconscient sans doute, d’infantilisation systématique, d’imposition homosexuelle de la communauté par la promiscuité qui ressort des rituels de propreté après le repas, quand tout le monde se lave les mains, se gargarise, éructe et crache dans la même cuvette, mettant en commun, dans une indifférence terriblement autiste, la même peur de l’impureté associée au même exhibitionnisme. (…)
(…) si un corps de garde pouvait être religieux, l’Islam paraîtrait sa religion idéale : stricte observance du règlement (prières cinq fois par jour, chacune exigeant cinquante génuflexions [sic]) ; revues de détail et soins de propreté (les ablutions rituellesles) ; promiscuité masculine dans la vie spirituelle comme dans l’accomplissement des fonctions religieuses ; et pas de femmes.
Je ne suis pas le premier à le dire, il suffit de lire le passage sur l'islam dans "Tristes tropiques" de Claude Lévi-Strauss: http://kiosquenet.free.fr[...]ss-Tristes-tropiques.html
Chez les Musulmans, manger avec les doigts devient un système : nul ne saisit l’os de la viande pour en ronger la chair. De la seule main utilisable (la gauche étant impure, parce que réservée aux ablutions intimes) on pétrit, on arrache les lambeaux et quand on a soif, la main graisseuse empoigne le verre. En observant ces manières de table qui valent bien les autres, mais qui du point de vue occidental, semblent faire ostentation de sans-gêne, on se demande jusqu’à quel point la coutume, plutôt que vestige archaïque, ne résulte pas d’une réforme voulue par le Prophète – “ne faites pas comme les autres peuples, qui mangent avec un couteau“ – inspiré par le même souci, inconscient sans doute, d’infantilisation systématique, d’imposition homosexuelle de la communauté par la promiscuité qui ressort des rituels de propreté après le repas, quand tout le monde se lave les mains, se gargarise, éructe et crache dans la même cuvette, mettant en commun, dans une indifférence terriblement autiste, la même peur de l’impureté associée au même exhibitionnisme. (…)
(…) si un corps de garde pouvait être religieux, l’Islam paraîtrait sa religion idéale : stricte observance du règlement (prières cinq fois par jour, chacune exigeant cinquante génuflexions [sic]) ; revues de détail et soins de propreté (les ablutions rituellesles) ; promiscuité masculine dans la vie spirituelle comme dans l’accomplissement des fonctions religieuses ; et pas de femmes.
C'est que de l'amour putain !