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Il y a des gens qui n'ont d'humain que le visage. Ce type individus sont horribles et provoquent d'innombrables souffrances autour d'eux. La plupart des souffrances sur Terre viennent en réalité de ces gens-là - qui ne sont pas humains à proprement dire, ce sont des démons déguisés sous une apparence humaine.

Dans ce topic, nous regarderons comment les démons procèdent pour nous asservir, et comment les gérer au quotidien.

Tout d'abord, les démons commencent par vous "barbariser".

La "barbarisation" consiste à considérer l'autre comme un barbare : un humain inférieur, un sous-être.

Ce phénomène a toujours existé, depuis l'Antiquité au moins. Tous les groupes extérieurs étaient des "barbares" et les siens des "civilisés". Ce n'est pas très étonnant, vu que les psychopathes ont toujours été plus ou moins au pouvoir des grandes civilisations (ils ont un avantage concurrentiel dans les grands systèmes de pouvoir du fait de leur manque d'émotions).

Aujourd'hui, cela se retrouve surtout au niveau individuel. Car au niveau collectif et officiellement, on a admis l'égalité de tous les hommes : alors une nation ne peut pas s'affirmer comme supérieure à une autre. Mais au niveau individuel il est difficile, voir impossible, d'empêcher ce processus barbarisant de se mettre à l'oeuvre.

Il se manifeste de façons différentes :

:d)
L'essentialisation. "Cette personne est un X alors il est forcément comme ça". C'est le cas du racisme ou de la xénophobie par exemple, entre autres. Une essentialisation diffère d'un constat empirique du fait qu'elle vise l'intérieur, l'âme des gens, plutôt que les faits extérieurs. Par exemple, dire "les arabes sont tous des voleurs" VS "une grande partie des voleurs en France est arabe". L'essentialisation n'a pas de solution ni de réponse, c'est comme ça et puis c'est tout. Un constat empirique peut faire l'objet de réflexions et de questionnements.

:d)
La diabolisation. Attention, toutes les essentialisations ne sont pas des diabolisations. Par exemple, les gauchistes essentialisent les arabes comme les petites victimes gentilles (ça reste une barbarisation) et diabolisent le blanc qui votent RN. La droite est plus nuancée, parfois essentialisant (les arabes sont juste comme ça, c'est dans leur nature, c'est mérité pour les blancs qui se laissent faire, par exemple), parfois diabolisant les arabes.

:d)
L'infantilisation. Comme la femme du secours catholique avec Aboubacar, ces gens vont vous considérer comme des sous-êtres qu'il faut constamment tenir en laisse et éduquer.

:d)
La moralisation. Il s'agit de barbariser la personne en lui faisant la leçon, comme si elle n'avait pas de boussole morale et qu'il fallait la civiliser. Les moralisateurs sont souvent des immondes personnes d'ailleurs.

Etc, Etc.

Aujourd'hui, on appelle les "barbarisateurs" des narcissiques ou des psychopathes - on considère ça comme une pathologie, à juste titre. On peut les appeler simplement des démons.

Les gauchistes ont raison de souligner que les systèmes idéologiques peuvent être imprégnés de psychopathie (ils ne le disent pas comme ça, mais bon). Une personne saine de base peut adopter des comportements psychopathes si elle s'insère dans un système qui non seulement valide, mais exige carrément ce genre de comportement à des fins de survie. Par exemple, chez les gauchiasses même, ne pas diaboliser le RN est considéré comme une trahison. Il est exigé d'adopter un comportement pathologique (barbariser une très large partie de la population), sous peine d'être un "facho" (un barbare) et d'être exclu du groupe (de civilisés).

Je critique beaucoup la gauche, mais la droite est à peu près pareil.

Mais peu importe l'origine de cette barbarisation. Il ne faut pas perdre son temps à comprendre d'où ça vient : gérer la situation est déjà compliqué en soi.

La barbarisation a toujours les caractéristiques suivantes :

:d)
L'objectif est la mise sous contrôle du "barbare", afin de le faire taire ou de l'exploiter.

:d)
Le démon ne parlera JAMAIS à un "barbare" d'égal à égal. Même si c'est le cas en superficie, pour la forme, dans le fond ils ne vont jamais considérer la volonté, la pensée, les sentiments ou émotions du barbare que sous l'angle du contrôle psychopathique. Il n"y a jamais de charité chez le psychopathe - il ne porte jamais de l'intérêt véritable vers l'autre, son seul but est de contrôler, de dominer, de soumettre.

:d)
Le démon ne changera JAMAIS. Même après 50 ans, même après 5000 ans, ce genre de personne ne va jamais se remettre en question, se demander si elle était en tort. Peu importe si cette personne a une pathologie ou pas. La soumission au système veut dire que la personne n'a pas assez de volonté pour se remettre en question.

:d)
Le démon n'éprouvera jamais la moindre culpabilité. Ce sentiment est inexistant chez lui.

Il faut très vite identifier ce genre d'individus - ceux qui vous barbarisent. Comment faire, comment les identifier ?

:d)
Se fier à son instinct. Si vous sentez que cette personne vous fait mal, qu'elle s'en fout de vos émotions et/ou de vos pensées, si vous avez la boule au ventre avec elle, etc. alors votre instinct a probablement raison : c'est un démon.

:d)
Observer si la personne demande pardon et remercie sincèrement. Les démons ne s'excusent jamais et n'ont pas de gratitude - vous n'êtes que des sales barbares après tout, c'est vous qui êtes toujours en tort, et d'ailleurs c'est vous qui devez exprimer une gratitude éternelle d'avoir le privilège de cotoyer un civilisé - , donc ils éviteront ces expressions autant que possible. Ils peuvent tout de même dire "merci" ou "pardon" si la situation l'exige, mais ça ne sera jamais sincère.

:d)
Observer si la personne se remet en question. Les démons n'admettent jamais leurs fautes - ce sont des "civilisés", ils ne peuvent pas se tromper. Réfléchissez à la dernière fois que la personne s'est remise en question, a vraiment changé d'avis sur un sujet.

:d)
Observer si la personne s'intéresse à vous, vous pose des questions sincères, écoute vraiment ce que vous dites sans juger, moraliser, barbariser ou changer de sujet.

Une fois que le démon est identifié, il faut adopter les réactions appropriées :

:d)
Ne jamais tenter de parler à cette personne d'égal à égal ou d'obtenir son approbation. La validation de la personne ne sera obtenue qu'après la soumission et l'abandon de sa volonté, pensée, sentiments propres. Aucun dialogue d'égal à égal n'est possible, car cette personne vous considère comme un animal à dominer ou à domestiquer.

:d)
Ne jamais tenter de changer cette personne, même si elle est saine de base. Toute tentative de changement sera perçue comme une agression barbare et retournée immédiatement contre l' "agresseur".

:d)
Ne jamais dévoiler de l'information exploitable à cette personne. Elle s'en servira systématiquement pour tenter de vous soumettre. Il faut intéragir le moins possible avec la personne et dévoiler le moins d'information possible.

:d)
Toute négociation avec cette personne doit être abordée comme un rapport de force. Vous êtes un "barbare" pour elle, donc le dialogue civilisé est impossible : il n'y a que votre soumission totale ou rien. Alors il faut revenir aux bases de l'humanité et appliquer la force, parfois physique, afin d'obtenir ce que vous voulez (souvent votre simple dû, que la personne refuse de vous donner car ce n'est pas un "dû" pour un barbare comme vous).

:d)
Il faut couper cette personne de votre vie si possible.

Les pseudo-civilisés, barbarisateurs, psychopathes, narcissiques, démons - ils ont de nombreux noms - sont légion dans notre société. Ils exercent surtout leur contrôle dans les systèmes de groupe comme les familles, les établissements scolaires, les entreprises, les associations, les couples et les mariages, et autres.

Les systèmes de groupe les plus vulnérables sont généralement les familles : la sacralisation du père et de la mère, la sacralisation des liens de sang font qu'il est très facile de barbariser le "rebelle" de la famille, celui ou celle qui dénonce les abus de l'oncle, du père, de la mère, etc. D'ailleurs les entreprises les plus malsaines et à éviter absolument sont celles qui "sont une grande famille", ce n'est pas un hasard si les boites les plus barbarisantes adoptent un système moral familial.

Enfin, il faut souligner et rappeler le rôle de ce que les anglais appelent "enablers". Ce sont les petits larbins qui sont sains de base, mais dont la volonté est trop faible pour résister aux psychopathes. Ils sont un peu comme des nègres de maison : toujours perçus comme barbares, inférieurs par le démon "civilisé", mais domestiqués, obéissants, soumis. Les larbins, ou "enablers" ne sont pas de votre côté. Ils ne vont jamais vous soutenir, ils serviront éternellement leur maître "civilisé". Il faut les traiter comme s'ils étaient des démons eux-mêmes.

Voilà, j'ai résumé les points principaux.

Au plaisir
Au plaisir ~
:justice1:
il y a 5 mois
Ceux qui ne lisent pas les topics avant de poster sont aussi des démons
:kj_tea:
Au plaisir ~
:justice1:
il y a 5 mois
précis et concis, j'aime beaucoup
:surprised2:
Je vous aime tous
:love:
Tu ne fais pas exception

il y a 5 mois
palu + rien compris
:chat_zero:
:vide_gris:
il y a 5 mois
Pour répondre à ta remarque de petit malin : on catégorise ces gens comme démons comme mesure défensive, toujours en riposte (ou cancer) afin de se protéger de leurs abus. Eux, en revanche, le font de façon agressive et dans le but de contrôler et d'exploiter.
Au plaisir ~
:justice1:
il y a 5 mois
Putaso
Putaso
5 mois
Il y a des gens qui n'ont d'humain que le visage. Ce type individus sont horribles et provoquent d'innombrables souffrances autour d'eux. La plupart des souffrances sur Terre viennent en réalité de ces gens-là - qui ne sont pas humains à proprement dire, ce sont des démons déguisés sous une apparence humaine.

Dans ce topic, nous regarderons comment les démons procèdent pour nous asservir, et comment les gérer au quotidien.

Tout d'abord, les démons commencent par vous "barbariser".

La "barbarisation" consiste à considérer l'autre comme un barbare : un humain inférieur, un sous-être.

Ce phénomène a toujours existé, depuis l'Antiquité au moins. Tous les groupes extérieurs étaient des "barbares" et les siens des "civilisés". Ce n'est pas très étonnant, vu que les psychopathes ont toujours été plus ou moins au pouvoir des grandes civilisations (ils ont un avantage concurrentiel dans les grands systèmes de pouvoir du fait de leur manque d'émotions).

Aujourd'hui, cela se retrouve surtout au niveau individuel. Car au niveau collectif et officiellement, on a admis l'égalité de tous les hommes : alors une nation ne peut pas s'affirmer comme supérieure à une autre. Mais au niveau individuel il est difficile, voir impossible, d'empêcher ce processus barbarisant de se mettre à l'oeuvre.

Il se manifeste de façons différentes :

:d)
L'essentialisation. "Cette personne est un X alors il est forcément comme ça". C'est le cas du racisme ou de la xénophobie par exemple, entre autres. Une essentialisation diffère d'un constat empirique du fait qu'elle vise l'intérieur, l'âme des gens, plutôt que les faits extérieurs. Par exemple, dire "les arabes sont tous des voleurs" VS "une grande partie des voleurs en France est arabe". L'essentialisation n'a pas de solution ni de réponse, c'est comme ça et puis c'est tout. Un constat empirique peut faire l'objet de réflexions et de questionnements.

:d)
La diabolisation. Attention, toutes les essentialisations ne sont pas des diabolisations. Par exemple, les gauchistes essentialisent les arabes comme les petites victimes gentilles (ça reste une barbarisation) et diabolisent le blanc qui votent RN. La droite est plus nuancée, parfois essentialisant (les arabes sont juste comme ça, c'est dans leur nature, c'est mérité pour les blancs qui se laissent faire, par exemple), parfois diabolisant les arabes.

:d)
L'infantilisation. Comme la femme du secours catholique avec Aboubacar, ces gens vont vous considérer comme des sous-êtres qu'il faut constamment tenir en laisse et éduquer.

:d)
La moralisation. Il s'agit de barbariser la personne en lui faisant la leçon, comme si elle n'avait pas de boussole morale et qu'il fallait la civiliser. Les moralisateurs sont souvent des immondes personnes d'ailleurs.

Etc, Etc.

Aujourd'hui, on appelle les "barbarisateurs" des narcissiques ou des psychopathes - on considère ça comme une pathologie, à juste titre. On peut les appeler simplement des démons.

Les gauchistes ont raison de souligner que les systèmes idéologiques peuvent être imprégnés de psychopathie (ils ne le disent pas comme ça, mais bon). Une personne saine de base peut adopter des comportements psychopathes si elle s'insère dans un système qui non seulement valide, mais exige carrément ce genre de comportement à des fins de survie. Par exemple, chez les gauchiasses même, ne pas diaboliser le RN est considéré comme une trahison. Il est exigé d'adopter un comportement pathologique (barbariser une très large partie de la population), sous peine d'être un "facho" (un barbare) et d'être exclu du groupe (de civilisés).

Je critique beaucoup la gauche, mais la droite est à peu près pareil.

Mais peu importe l'origine de cette barbarisation. Il ne faut pas perdre son temps à comprendre d'où ça vient : gérer la situation est déjà compliqué en soi.

La barbarisation a toujours les caractéristiques suivantes :

:d)
L'objectif est la mise sous contrôle du "barbare", afin de le faire taire ou de l'exploiter.

:d)
Le démon ne parlera JAMAIS à un "barbare" d'égal à égal. Même si c'est le cas en superficie, pour la forme, dans le fond ils ne vont jamais considérer la volonté, la pensée, les sentiments ou émotions du barbare que sous l'angle du contrôle psychopathique. Il n"y a jamais de charité chez le psychopathe - il ne porte jamais de l'intérêt véritable vers l'autre, son seul but est de contrôler, de dominer, de soumettre.

:d)
Le démon ne changera JAMAIS. Même après 50 ans, même après 5000 ans, ce genre de personne ne va jamais se remettre en question, se demander si elle était en tort. Peu importe si cette personne a une pathologie ou pas. La soumission au système veut dire que la personne n'a pas assez de volonté pour se remettre en question.

:d)
Le démon n'éprouvera jamais la moindre culpabilité. Ce sentiment est inexistant chez lui.

Il faut très vite identifier ce genre d'individus - ceux qui vous barbarisent. Comment faire, comment les identifier ?

:d)
Se fier à son instinct. Si vous sentez que cette personne vous fait mal, qu'elle s'en fout de vos émotions et/ou de vos pensées, si vous avez la boule au ventre avec elle, etc. alors votre instinct a probablement raison : c'est un démon.

:d)
Observer si la personne demande pardon et remercie sincèrement. Les démons ne s'excusent jamais et n'ont pas de gratitude - vous n'êtes que des sales barbares après tout, c'est vous qui êtes toujours en tort, et d'ailleurs c'est vous qui devez exprimer une gratitude éternelle d'avoir le privilège de cotoyer un civilisé - , donc ils éviteront ces expressions autant que possible. Ils peuvent tout de même dire "merci" ou "pardon" si la situation l'exige, mais ça ne sera jamais sincère.

:d)
Observer si la personne se remet en question. Les démons n'admettent jamais leurs fautes - ce sont des "civilisés", ils ne peuvent pas se tromper. Réfléchissez à la dernière fois que la personne s'est remise en question, a vraiment changé d'avis sur un sujet.

:d)
Observer si la personne s'intéresse à vous, vous pose des questions sincères, écoute vraiment ce que vous dites sans juger, moraliser, barbariser ou changer de sujet.

Une fois que le démon est identifié, il faut adopter les réactions appropriées :

:d)
Ne jamais tenter de parler à cette personne d'égal à égal ou d'obtenir son approbation. La validation de la personne ne sera obtenue qu'après la soumission et l'abandon de sa volonté, pensée, sentiments propres. Aucun dialogue d'égal à égal n'est possible, car cette personne vous considère comme un animal à dominer ou à domestiquer.

:d)
Ne jamais tenter de changer cette personne, même si elle est saine de base. Toute tentative de changement sera perçue comme une agression barbare et retournée immédiatement contre l' "agresseur".

:d)
Ne jamais dévoiler de l'information exploitable à cette personne. Elle s'en servira systématiquement pour tenter de vous soumettre. Il faut intéragir le moins possible avec la personne et dévoiler le moins d'information possible.

:d)
Toute négociation avec cette personne doit être abordée comme un rapport de force. Vous êtes un "barbare" pour elle, donc le dialogue civilisé est impossible : il n'y a que votre soumission totale ou rien. Alors il faut revenir aux bases de l'humanité et appliquer la force, parfois physique, afin d'obtenir ce que vous voulez (souvent votre simple dû, que la personne refuse de vous donner car ce n'est pas un "dû" pour un barbare comme vous).

:d)
Il faut couper cette personne de votre vie si possible.

Les pseudo-civilisés, barbarisateurs, psychopathes, narcissiques, démons - ils ont de nombreux noms - sont légion dans notre société. Ils exercent surtout leur contrôle dans les systèmes de groupe comme les familles, les établissements scolaires, les entreprises, les associations, les couples et les mariages, et autres.

Les systèmes de groupe les plus vulnérables sont généralement les familles : la sacralisation du père et de la mère, la sacralisation des liens de sang font qu'il est très facile de barbariser le "rebelle" de la famille, celui ou celle qui dénonce les abus de l'oncle, du père, de la mère, etc. D'ailleurs les entreprises les plus malsaines et à éviter absolument sont celles qui "sont une grande famille", ce n'est pas un hasard si les boites les plus barbarisantes adoptent un système moral familial.

Enfin, il faut souligner et rappeler le rôle de ce que les anglais appelent "enablers". Ce sont les petits larbins qui sont sains de base, mais dont la volonté est trop faible pour résister aux psychopathes. Ils sont un peu comme des nègres de maison : toujours perçus comme barbares, inférieurs par le démon "civilisé", mais domestiqués, obéissants, soumis. Les larbins, ou "enablers" ne sont pas de votre côté. Ils ne vont jamais vous soutenir, ils serviront éternellement leur maître "civilisé". Il faut les traiter comme s'ils étaient des démons eux-mêmes.

Voilà, j'ai résumé les points principaux.

Au plaisir
T as mieux analysé mon ex femme en 2 secondes que moi pendant toute ma vie

"Si vous sentez que cette personne vous fait mal, qu'elle s'en fout de vos émotions et/ou de vos pensées, si vous avez la boule au ventre avec elle, etc. alors votre instinct a probablement raison : c'est un démon"
:Ahahah:
il y a 5 mois
Très vrai mon ami! Beaucoup de femmes sont des démons!

"Les pseudo-civilisés, barbarisateurs, psychopathes, narcissiques, démons - ils ont de nombreux noms - sont légion dans notre société. Ils exercent surtout leur contrôle dans les systèmes de groupe comme les familles, les établissements scolaires, les entreprises, les associations, les couples et les mariages, et autres."

Tu racontes beaucoup de conneries mais beaucoup de choses vraies aussi
:jesus_perplexe:
il y a 5 mois
Non il dit beaucoup de vrai aussi
il y a 5 mois
J allais réagir sur ça aussi au début de son pavé, mais le pécheur endurci est semblable au démon, l op est plus proche de la vérité qu il n en a l air
il y a 5 mois
On parle beaucoup des pervers narcissiques mais jamais des perverses narcissiques, sans compter les avorteuses ... qui sont proches de la figure démoniaque mais contrairement aux démons peuvent se racheter
il y a 5 mois
:frieren:
:logocadillac:
Best of all, it's a Cadillac
:Cadillac:
il y a 5 mois
Putaso
Putaso
5 mois
Il y a des gens qui n'ont d'humain que le visage. Ce type individus sont horribles et provoquent d'innombrables souffrances autour d'eux. La plupart des souffrances sur Terre viennent en réalité de ces gens-là - qui ne sont pas humains à proprement dire, ce sont des démons déguisés sous une apparence humaine.

Dans ce topic, nous regarderons comment les démons procèdent pour nous asservir, et comment les gérer au quotidien.

Tout d'abord, les démons commencent par vous "barbariser".

La "barbarisation" consiste à considérer l'autre comme un barbare : un humain inférieur, un sous-être.

Ce phénomène a toujours existé, depuis l'Antiquité au moins. Tous les groupes extérieurs étaient des "barbares" et les siens des "civilisés". Ce n'est pas très étonnant, vu que les psychopathes ont toujours été plus ou moins au pouvoir des grandes civilisations (ils ont un avantage concurrentiel dans les grands systèmes de pouvoir du fait de leur manque d'émotions).

Aujourd'hui, cela se retrouve surtout au niveau individuel. Car au niveau collectif et officiellement, on a admis l'égalité de tous les hommes : alors une nation ne peut pas s'affirmer comme supérieure à une autre. Mais au niveau individuel il est difficile, voir impossible, d'empêcher ce processus barbarisant de se mettre à l'oeuvre.

Il se manifeste de façons différentes :

:d)
L'essentialisation. "Cette personne est un X alors il est forcément comme ça". C'est le cas du racisme ou de la xénophobie par exemple, entre autres. Une essentialisation diffère d'un constat empirique du fait qu'elle vise l'intérieur, l'âme des gens, plutôt que les faits extérieurs. Par exemple, dire "les arabes sont tous des voleurs" VS "une grande partie des voleurs en France est arabe". L'essentialisation n'a pas de solution ni de réponse, c'est comme ça et puis c'est tout. Un constat empirique peut faire l'objet de réflexions et de questionnements.

:d)
La diabolisation. Attention, toutes les essentialisations ne sont pas des diabolisations. Par exemple, les gauchistes essentialisent les arabes comme les petites victimes gentilles (ça reste une barbarisation) et diabolisent le blanc qui votent RN. La droite est plus nuancée, parfois essentialisant (les arabes sont juste comme ça, c'est dans leur nature, c'est mérité pour les blancs qui se laissent faire, par exemple), parfois diabolisant les arabes.

:d)
L'infantilisation. Comme la femme du secours catholique avec Aboubacar, ces gens vont vous considérer comme des sous-êtres qu'il faut constamment tenir en laisse et éduquer.

:d)
La moralisation. Il s'agit de barbariser la personne en lui faisant la leçon, comme si elle n'avait pas de boussole morale et qu'il fallait la civiliser. Les moralisateurs sont souvent des immondes personnes d'ailleurs.

Etc, Etc.

Aujourd'hui, on appelle les "barbarisateurs" des narcissiques ou des psychopathes - on considère ça comme une pathologie, à juste titre. On peut les appeler simplement des démons.

Les gauchistes ont raison de souligner que les systèmes idéologiques peuvent être imprégnés de psychopathie (ils ne le disent pas comme ça, mais bon). Une personne saine de base peut adopter des comportements psychopathes si elle s'insère dans un système qui non seulement valide, mais exige carrément ce genre de comportement à des fins de survie. Par exemple, chez les gauchiasses même, ne pas diaboliser le RN est considéré comme une trahison. Il est exigé d'adopter un comportement pathologique (barbariser une très large partie de la population), sous peine d'être un "facho" (un barbare) et d'être exclu du groupe (de civilisés).

Je critique beaucoup la gauche, mais la droite est à peu près pareil.

Mais peu importe l'origine de cette barbarisation. Il ne faut pas perdre son temps à comprendre d'où ça vient : gérer la situation est déjà compliqué en soi.

La barbarisation a toujours les caractéristiques suivantes :

:d)
L'objectif est la mise sous contrôle du "barbare", afin de le faire taire ou de l'exploiter.

:d)
Le démon ne parlera JAMAIS à un "barbare" d'égal à égal. Même si c'est le cas en superficie, pour la forme, dans le fond ils ne vont jamais considérer la volonté, la pensée, les sentiments ou émotions du barbare que sous l'angle du contrôle psychopathique. Il n"y a jamais de charité chez le psychopathe - il ne porte jamais de l'intérêt véritable vers l'autre, son seul but est de contrôler, de dominer, de soumettre.

:d)
Le démon ne changera JAMAIS. Même après 50 ans, même après 5000 ans, ce genre de personne ne va jamais se remettre en question, se demander si elle était en tort. Peu importe si cette personne a une pathologie ou pas. La soumission au système veut dire que la personne n'a pas assez de volonté pour se remettre en question.

:d)
Le démon n'éprouvera jamais la moindre culpabilité. Ce sentiment est inexistant chez lui.

Il faut très vite identifier ce genre d'individus - ceux qui vous barbarisent. Comment faire, comment les identifier ?

:d)
Se fier à son instinct. Si vous sentez que cette personne vous fait mal, qu'elle s'en fout de vos émotions et/ou de vos pensées, si vous avez la boule au ventre avec elle, etc. alors votre instinct a probablement raison : c'est un démon.

:d)
Observer si la personne demande pardon et remercie sincèrement. Les démons ne s'excusent jamais et n'ont pas de gratitude - vous n'êtes que des sales barbares après tout, c'est vous qui êtes toujours en tort, et d'ailleurs c'est vous qui devez exprimer une gratitude éternelle d'avoir le privilège de cotoyer un civilisé - , donc ils éviteront ces expressions autant que possible. Ils peuvent tout de même dire "merci" ou "pardon" si la situation l'exige, mais ça ne sera jamais sincère.

:d)
Observer si la personne se remet en question. Les démons n'admettent jamais leurs fautes - ce sont des "civilisés", ils ne peuvent pas se tromper. Réfléchissez à la dernière fois que la personne s'est remise en question, a vraiment changé d'avis sur un sujet.

:d)
Observer si la personne s'intéresse à vous, vous pose des questions sincères, écoute vraiment ce que vous dites sans juger, moraliser, barbariser ou changer de sujet.

Une fois que le démon est identifié, il faut adopter les réactions appropriées :

:d)
Ne jamais tenter de parler à cette personne d'égal à égal ou d'obtenir son approbation. La validation de la personne ne sera obtenue qu'après la soumission et l'abandon de sa volonté, pensée, sentiments propres. Aucun dialogue d'égal à égal n'est possible, car cette personne vous considère comme un animal à dominer ou à domestiquer.

:d)
Ne jamais tenter de changer cette personne, même si elle est saine de base. Toute tentative de changement sera perçue comme une agression barbare et retournée immédiatement contre l' "agresseur".

:d)
Ne jamais dévoiler de l'information exploitable à cette personne. Elle s'en servira systématiquement pour tenter de vous soumettre. Il faut intéragir le moins possible avec la personne et dévoiler le moins d'information possible.

:d)
Toute négociation avec cette personne doit être abordée comme un rapport de force. Vous êtes un "barbare" pour elle, donc le dialogue civilisé est impossible : il n'y a que votre soumission totale ou rien. Alors il faut revenir aux bases de l'humanité et appliquer la force, parfois physique, afin d'obtenir ce que vous voulez (souvent votre simple dû, que la personne refuse de vous donner car ce n'est pas un "dû" pour un barbare comme vous).

:d)
Il faut couper cette personne de votre vie si possible.

Les pseudo-civilisés, barbarisateurs, psychopathes, narcissiques, démons - ils ont de nombreux noms - sont légion dans notre société. Ils exercent surtout leur contrôle dans les systèmes de groupe comme les familles, les établissements scolaires, les entreprises, les associations, les couples et les mariages, et autres.

Les systèmes de groupe les plus vulnérables sont généralement les familles : la sacralisation du père et de la mère, la sacralisation des liens de sang font qu'il est très facile de barbariser le "rebelle" de la famille, celui ou celle qui dénonce les abus de l'oncle, du père, de la mère, etc. D'ailleurs les entreprises les plus malsaines et à éviter absolument sont celles qui "sont une grande famille", ce n'est pas un hasard si les boites les plus barbarisantes adoptent un système moral familial.

Enfin, il faut souligner et rappeler le rôle de ce que les anglais appelent "enablers". Ce sont les petits larbins qui sont sains de base, mais dont la volonté est trop faible pour résister aux psychopathes. Ils sont un peu comme des nègres de maison : toujours perçus comme barbares, inférieurs par le démon "civilisé", mais domestiqués, obéissants, soumis. Les larbins, ou "enablers" ne sont pas de votre côté. Ils ne vont jamais vous soutenir, ils serviront éternellement leur maître "civilisé". Il faut les traiter comme s'ils étaient des démons eux-mêmes.

Voilà, j'ai résumé les points principaux.

Au plaisir
je confirme mais méritax
:perenoel:
Le Phoenix renait toujours de son 410 !
il y a 5 mois
Moi je suis ce que Jésus ne voyait pas : Tout être vivant est égoiste de nature, batir une société qui assume l'entraide est une illusion
:perenoel:
Le Phoenix renait toujours de son 410 !
il y a 5 mois
Putaso
Putaso
5 mois
Ceux qui ne lisent pas les topics avant de poster sont aussi des démons
:kj_tea:
Je suis le pire alors
:kj_tea:
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 5 mois
La souffrance n'est pas une question de moralité ; elle est une nécessité fondamentale de l'ordre naturel. À l'échelle microscopique et macroscopique, chaque respiration prise par un être vivant entraîne la destruction de millions d'organismes en une fraction de seconde. Aussi cruelle que puisse paraître leur mort, elle sert un but en nourrissant la vie des autres, et la souffrance favorise leur croissance. L'inconfort provoqué par la souffrance favorise la croissance, tant sur le plan biologique que sur le plan de la conscience.

Il n'y a pas de justice dans le monde naturel, seulement les forts qui dominent les faibles. Les formes de vie sont intrinsèquement liées à la cruauté, animées par la volonté de causer de la souffrance qui alimente leur évolution. De la même manière qu'une forme de vie plus simple tue, parasite ou consomme les autres, des créatures plus évoluées, comme les dauphins ou les orques, éprouvent un plaisir sadique en jouant avec leur proie. Cette volonté d'imposer leur âme et leur esprit au monde physique ne fait que croître à mesure que leur capacité cognitive se développe.

Pour que le système fonctionne, l'ordre—la négentropie—doit exister dans un univers gouverné par l'entropie. Les êtres vivants doivent coopérer pour maintenir le fonctionnement du système. La compassion, l'empathie et la bienveillance émergent comme des adaptations biologiques introduites par le système pour empêcher la vie de s'autodétruire par égoïsme.
Le Phoenix renait toujours de son 410 !
il y a 5 mois
Il n'y a rien de "statique" que ce soit dans le vivant ou dans le matériel tu utilise ce mot à tort, le mot que tu cherche est : determinisme

L'univers physique est deterministe, les créatures vivantes le sont pas. Elles enrichissent leur information (l'information qui est de nature a-dimensionelle en tant que concept, non défini dans l'espace et le temps, cad "statique/ame/divine") par leur expérience et leur feedback qui leur permet de grandir et d'évoluer (l'évolution n'est pas que déterministe, soumise à la pression environnementale, elle a aussi une part autopoétique). C'est cette même souffrance que certains qualifie de punition, un défi à surmonter, une conséquence des actions, ou une illusion née du désir, mais toutes ces perspectives ne parviennent pas à reconnaître une vérité plus profonde

La vie transcende le divin grâce à sa liberté. Le divin est un absolu, et un absolu ne peut être tout ou n'importe quoi—sinon, il cesserait d'être absolu. Il ne peut être que ce qu’il est, un système immuable et constant, voué à répéter les mêmes fonctions indépendamment du temps, incapable d’évoluer.

Les êtres vivants sont intrinsèquement incapables d'incarner le divin. Ceux qui prétendent le faire sont hypocrites, se cachant derrière des morales arbitraires tout en luttant avec les conflits internes et les désirs intrinsèques à l'ordre naturel auquel ils appartiennent réellement. Ils professent suivre le chemin du divin, s'efforçant de maintenir un mode de vie fragile, mais en vérité, ils ne peuvent atteindre ce qu'ils revendiquent dans les limites du monde naturel. Leur réconfort vient d'une vision fausse de la réalité—des concepts tels que le karma, le péché, la rédemption, les démons, le paradis, l'enfer etc. Ce sont des illusions utilisées pour justifier leur souffrance ou comme des récompenses pour celle-ci alors qu'aucun de ces systèmes n'existe. Ils échouent à réaliser que la vie est un système d'échange de ressources, et tous les bénéfices qu'ils obtiennent proviennent de la vie elle-même, non de ce qui vient après. Pour qu'un humain régresse et suive le chemin de la divinité, il devrait être totalement isolé du monde naturel depuis la naissance, vivant dans un coma toute sa vie, immuable et inconscient de son propre corps. Ceux qui vivent seront inévitablement submergés par leurs désirs, transformés par l'influence des autres et du monde, comme cela est prévu dans l'ordre naturel.
Le Phoenix renait toujours de son 410 !
il y a 5 mois
Merci pour ton topic l’op
Je le trouve très intéressant.
Il y a des gens de ma famille avec je ressens cette boule d’angoisse que tu décris et qui cherche toujours à dominer autrui
:AnimeFace18:

Que devrais-je faire selon toi ?
:AnimeFace18:
il y a 5 mois
Il est tout autant chrétiens que moi je suis vaudou
il y a 5 mois
Ce que tu dis est juste au niveau de l'essentialisation, notamment, c'est intéresant.

On appelle aussi cela "l'identification". Dire à voix haute "untel est ceci". Et surtout dire à untel "tu es ceci".

C'est un procédé de magie noire employé au quotidien par la majorité des gens, notamment les golems.

Quand j'étais petit ça m'insupportait que l'on me définisse. Mon père et ma mère me définissaient beaucoup, afin d'exiger que je me conforme à leurs attentes. Je trouvais ça d'une impolitesse suprême, et je les reprenais.

Aujourd'hui, quand on me définit, je dis "oui" et j'exagère. Voire, je fais semblant d'obtempérer. Et puis ensuite je continue à faire comme je l'entends.

Souvent, j'entends mes parents me dire "oui toi tu es comme ci, comme ça", je dis oui. Et je reviens même à la charge "ah ouais je suis vraiment comme ça, ah ouais c'est fou là j'y arrive pas je suis pas fait pour ça", puis je continue à faire ce que je faisais et à réussir là où on ne m'attend pas et là où ça casse l'image que l'on m'a créé sur mesure sans me demander mon avis
:hap:


J'éprouve presque un plaisir pervers à décevoir les gens, ou à leur faire peur, à les surprendre en brisant l'image qu'ils avaient de moi, en leur imposant, j'aime les laisser se bercer d'illusions pour mieux briser leurs égos fragiles, leur narcissisme craintif. J'aime abonder dans leur sens pour mieux les tromper, et les voir finalement me suivre comme des petits toutous, des enfants apeurés qui dépendent de moi pour avoir un ersatz de vie qu'ils n'ont jamais eu le courage d'avoir.
Je suis Seugondaire.
il y a 5 mois