Ce sujet a été résolu
Je regarde autour de moi, et tout ce qui faisait la force du cinéma, du jeu vidéo, de la culture au sens noble, semble avoir été effacé.
Ce qu’on appelait autrefois des œuvres, avec une vision, une identité, du caractère, a laissé place à un flot insipide de productions standardisées, tièdes, sans âme. Tout semble conçu pour plaire au plus grand nombre sans jamais prendre le moindre risque.
On ne parle plus d’art, mais de produit.
Les films s’allongent pour masquer le vide, les séries tirent sur la corde, les jeux se formatent tous selon les mêmes schémas creux. Et derrière, une idéologie dominante lisse tout ce qui dépasse, efface toute nuance, et rend impossible le simple fait d’exister en dehors des clous.
Il ne s’agit pas de nostalgie, mais de lucidité.
L’époque ne produit presque plus rien qui vibre ou qui élève. Les rares exceptions ne font que souligner la médiocrité ambiante. Et plus grave encore : la majorité s’en accommode, voire en redemande.
Je suis condamné à vivre dans le passé.
Pas par faiblesse, mais parce que c’est là que résident encore la beauté, la profondeur, la sincérité. L’avenir, lui, semble cadenassé, livré à des logiques qui ont trahi tout ce que l’art avait de noble, de subversif, de vivant..
Ce qu’on appelait autrefois des œuvres, avec une vision, une identité, du caractère, a laissé place à un flot insipide de productions standardisées, tièdes, sans âme. Tout semble conçu pour plaire au plus grand nombre sans jamais prendre le moindre risque.
On ne parle plus d’art, mais de produit.
Les films s’allongent pour masquer le vide, les séries tirent sur la corde, les jeux se formatent tous selon les mêmes schémas creux. Et derrière, une idéologie dominante lisse tout ce qui dépasse, efface toute nuance, et rend impossible le simple fait d’exister en dehors des clous.
Il ne s’agit pas de nostalgie, mais de lucidité.
L’époque ne produit presque plus rien qui vibre ou qui élève. Les rares exceptions ne font que souligner la médiocrité ambiante. Et plus grave encore : la majorité s’en accommode, voire en redemande.
Je suis condamné à vivre dans le passé.
Pas par faiblesse, mais parce que c’est là que résident encore la beauté, la profondeur, la sincérité. L’avenir, lui, semble cadenassé, livré à des logiques qui ont trahi tout ce que l’art avait de noble, de subversif, de vivant..
On se verra à la fête Richter !
il y a 3 mois
DoYouEvenPrayz
3 mois
Peu importe, je ne compte pas vivre vieux de toute manière, à quoi bon vivre plusieurs dizaines d'années encore dans cette immondice, cette purge qui empire de jour en jour, d'heures en heures..
On se verra à la fête Richter !
il y a 3 mois
SalePetiteP
3 mois
Je regarde autour de moi, et tout ce qui faisait la force du cinéma, du jeu vidéo, de la culture au sens noble, semble avoir été effacé.
Ce qu’on appelait autrefois des œuvres, avec une vision, une identité, du caractère, a laissé place à un flot insipide de productions standardisées, tièdes, sans âme. Tout semble conçu pour plaire au plus grand nombre sans jamais prendre le moindre risque.
On ne parle plus d’art, mais de produit.
Les films s’allongent pour masquer le vide, les séries tirent sur la corde, les jeux se formatent tous selon les mêmes schémas creux. Et derrière, une idéologie dominante lisse tout ce qui dépasse, efface toute nuance, et rend impossible le simple fait d’exister en dehors des clous.
Il ne s’agit pas de nostalgie, mais de lucidité.
L’époque ne produit presque plus rien qui vibre ou qui élève. Les rares exceptions ne font que souligner la médiocrité ambiante. Et plus grave encore : la majorité s’en accommode, voire en redemande.
Je suis condamné à vivre dans le passé.
Pas par faiblesse, mais parce que c’est là que résident encore la beauté, la profondeur, la sincérité. L’avenir, lui, semble cadenassé, livré à des logiques qui ont trahi tout ce que l’art avait de noble, de subversif, de vivant..
Ce qu’on appelait autrefois des œuvres, avec une vision, une identité, du caractère, a laissé place à un flot insipide de productions standardisées, tièdes, sans âme. Tout semble conçu pour plaire au plus grand nombre sans jamais prendre le moindre risque.
On ne parle plus d’art, mais de produit.
Les films s’allongent pour masquer le vide, les séries tirent sur la corde, les jeux se formatent tous selon les mêmes schémas creux. Et derrière, une idéologie dominante lisse tout ce qui dépasse, efface toute nuance, et rend impossible le simple fait d’exister en dehors des clous.
Il ne s’agit pas de nostalgie, mais de lucidité.
L’époque ne produit presque plus rien qui vibre ou qui élève. Les rares exceptions ne font que souligner la médiocrité ambiante. Et plus grave encore : la majorité s’en accommode, voire en redemande.
Je suis condamné à vivre dans le passé.
Pas par faiblesse, mais parce que c’est là que résident encore la beauté, la profondeur, la sincérité. L’avenir, lui, semble cadenassé, livré à des logiques qui ont trahi tout ce que l’art avait de noble, de subversif, de vivant..
je crois malheureusement que tu as raison
il y a 3 mois
je crois malheureusement que tu as raison
Que j'ai raison ou pas n'est pas la question, tout ce qui compte c'est les faits.
On se verra à la fête Richter !
il y a 3 mois
Le nivellement vers le fond, encore, toujours et à tout les niveaux
Vous croyez qu'on a déjà touché le fond ? On en est encore très loin..
Vous croyez qu'on a déjà touché le fond ? On en est encore très loin..
On se verra à la fête Richter !
il y a 3 mois
Dit le qu’on en finisse
Breton d’ultra droite !! #FreePalestine
il y a 3 mois
Dit le qu’on en finisse
Finir ? Non...
La haine n'est qu'un autre chemin, qu'il nous faut tous prendre...
La haine n'est qu'un autre chemin, qu'il nous faut tous prendre...
On se verra à la fête Richter !
il y a 3 mois
DoYouEvenPrayz
3 mois
il y a 3 mois
SalePetiteP
3 mois
Je regarde autour de moi, et tout ce qui faisait la force du cinéma, du jeu vidéo, de la culture au sens noble, semble avoir été effacé.
Ce qu’on appelait autrefois des œuvres, avec une vision, une identité, du caractère, a laissé place à un flot insipide de productions standardisées, tièdes, sans âme. Tout semble conçu pour plaire au plus grand nombre sans jamais prendre le moindre risque.
On ne parle plus d’art, mais de produit.
Les films s’allongent pour masquer le vide, les séries tirent sur la corde, les jeux se formatent tous selon les mêmes schémas creux. Et derrière, une idéologie dominante lisse tout ce qui dépasse, efface toute nuance, et rend impossible le simple fait d’exister en dehors des clous.
Il ne s’agit pas de nostalgie, mais de lucidité.
L’époque ne produit presque plus rien qui vibre ou qui élève. Les rares exceptions ne font que souligner la médiocrité ambiante. Et plus grave encore : la majorité s’en accommode, voire en redemande.
Je suis condamné à vivre dans le passé.
Pas par faiblesse, mais parce que c’est là que résident encore la beauté, la profondeur, la sincérité. L’avenir, lui, semble cadenassé, livré à des logiques qui ont trahi tout ce que l’art avait de noble, de subversif, de vivant..
Ce qu’on appelait autrefois des œuvres, avec une vision, une identité, du caractère, a laissé place à un flot insipide de productions standardisées, tièdes, sans âme. Tout semble conçu pour plaire au plus grand nombre sans jamais prendre le moindre risque.
On ne parle plus d’art, mais de produit.
Les films s’allongent pour masquer le vide, les séries tirent sur la corde, les jeux se formatent tous selon les mêmes schémas creux. Et derrière, une idéologie dominante lisse tout ce qui dépasse, efface toute nuance, et rend impossible le simple fait d’exister en dehors des clous.
Il ne s’agit pas de nostalgie, mais de lucidité.
L’époque ne produit presque plus rien qui vibre ou qui élève. Les rares exceptions ne font que souligner la médiocrité ambiante. Et plus grave encore : la majorité s’en accommode, voire en redemande.
Je suis condamné à vivre dans le passé.
Pas par faiblesse, mais parce que c’est là que résident encore la beauté, la profondeur, la sincérité. L’avenir, lui, semble cadenassé, livré à des logiques qui ont trahi tout ce que l’art avait de noble, de subversif, de vivant..
il y a 3 mois
Peu importe, je ne compte pas vivre vieux de toute manière, à quoi bon vivre plusieurs dizaines d'années encore dans cette immondice, cette purge qui empire de jour en jour, d'heures en heures..
Oh
Oui, c'est déprimant
Oui, c'est déprimant
il y a 3 mois
Oh
Oui, c'est déprimant
Oui, c'est déprimant
Oh que oui...
On se verra à la fête Richter !
il y a 3 mois