Ce sujet a été résolu
11 000$ il a claqué le cuck
https://nypost.com/2025/0[...]my-husband-a-month-later/
il y a 3 mois
C’était juste un bêta provider maintenant qu’elle est baisable pour les chads elle va bien évidemment ouvrir en grand sa chatte pour ses derniers
il y a 3 mois
Augustus
3 mois
C’était juste un bêta provider maintenant qu’elle est baisable pour les chads elle va bien évidemment ouvrir en grand sa chatte pour ses derniers
J'suis heureux d'être né homme, quand je vois la puterie reptilienne féminine... je me dis que j'ai de la chance de ne pas être une pute.
il y a 3 mois
Homies
3 mois
11 000$ il a claqué le cuck
https://nypost.com/2025/0[...]my-husband-a-month-later/
Normalement avec un bon avocat aux states et vu comment elle en joue sur les RS il pourrait porter plainte et gagner même plus que les 11.000 $ c’est pas la fronsse et les juges rouges la bas sauf s’il vit en californie
il y a 3 mois
Si j'étais le cuck en question, je prendrai un malin plaisir à envoyer cette photo avant après à tous ses futurs mecs et leur dire « voici à quoi ressembleront tes gosses »
il y a 3 mois
"Mon" mec ? T'as un truc à nous avouer khey ?
ZE seule chaîne YT 100% burnée !
il y a 3 mois
La surprise bordel quand tes gamins ils sortent de cette pute avec un nez qui prend le vent pire qu'un voilier
Le droit du sol est une hérésie. Un chien qui nait dans une écurie n'est pas un cheval.
il y a 3 mois
Oh putain
Je corrige le titre et on s'arrange comme d'hab pour le p'tit virement ?
ZE seule chaîne YT 100% burnée !
il y a 3 mois
Homies
3 mois
11 000$ il a claqué le cuck
https://nypost.com/2025/0[...]my-husband-a-month-later/
"En fait, 82 % des personnes libres et sans attaches ressentent un regain de confiance et de paix intérieure après avoir dit adieu à leur conjoint, selon une étude récente ."
Ce genre de propos pour faire l'apologie de la volatilité des sentiments
Ce genre de propos pour faire l'apologie de la volatilité des sentiments
Je suis le donut du forum
il y a 3 mois
Avec un nez comme ça, il faudra l'enterrer sur le ventre. Sur le dos y aura jamais assez de terre pour remplir un tarin pareil
il y a 3 mois
Putain elle en avait vraiment besoin
Par contre imagine son futur cuck qui va lui faire un gosse. La surprise quand le bébé va naître
Par contre imagine son futur cuck qui va lui faire un gosse. La surprise quand le bébé va naître
il y a 3 mois
Je corrige le titre et on s'arrange comme d'hab pour le p'tit virement ?
T'embêtes pas avec ça
On va dire que ça ajoute un peu d'humour au topic
Je me suis enfin habitué à mes fautes dans mes titres
On va dire que ça ajoute un peu d'humour au topic
Je me suis enfin habitué à mes fautes dans mes titres
il y a 3 mois
Le tarin de jo Dalton
il y a 3 mois
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.

On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.

il y a 3 mois
il y a 3 mois