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Dans le passé, comme elles avaient besoin de nous pour être protégées, elles faisaient semblant de bien nous aimer.

Mais maintenant qu'elles n'ont plus de souci matériel, un homme ne leur sert absolument à RIEN donc elles peuvent se lâcher.
:)


Pour elles, nous sommes des sous-merdes inutiles, méprisables et surnuméraires. On pourrait crever la gueule ouverte, elles n'en auraient absolument rien à foutre.
:)


À la rigueur le seul moment où elles auraient besoin de nous, c'est le jour où elles auront besoin de traire notre sperme pour chier un nouveau mini-sous-homme ou une nouvelle mini-pute. Mais pour cela, il suffit d'aller sur donneurnaturel.com et des hordes de simps se précipiteront pour juter dans leur chatte sans contrepartie.
:)
C'est que de l'amour putain !
:patrick_biere:
il y a 6 mois
Plus tôt vous aurez digéré cette blackpill, mieux ça ira.
:)
C'est que de l'amour putain !
:patrick_biere:
il y a 6 mois
Nous c'est pas qu'on les déteste c'est qu'on a pas de raison de les aimer
:TARE_:
:Gilberted_:
:Bio_:
:Clochard_:
:Ferrari_lover:
:Atome_:
:Detraque_mental_:
:Gamin_:
:Aigri_:
:Nazillion:
il y a 6 mois
Elle a juste besoin d'un nouveau simp pour se prosterner devant elle.
:)
C'est que de l'amour putain !
:patrick_biere:
il y a 6 mois
Et toi tu aimes les femmes peut être ?
:risitas_gonfle:


Tu es juste prisonnier de l'envie de les pénétrer et ton incapacité à le faire te pousse à inventer un monde imaginaire ou les hommes sont plein de vertus

C'est juste un jeu d'alliance, personne n'aime personne au départ
:bateman3:
il y a 6 mois
Les femmes méprisent surtout les marginaux qu’elles considèrent comme des êtres inférieurs, car elles ne jugent un homme qu’à travers le prisme de leur hypergamie.
il y a 6 mois
Je pense que 95% des femmes, si on leur disait: "tu peux avoir un sac Louis Vuitton, mais en échange un incel mourra quelque part en France", elles prendraient le sac sans hésiter.

Le sac Louis Vuitton leur sert beaucoup plus qu'un homme en fait.
C'est que de l'amour putain !
:patrick_biere:
il y a 6 mois
les seuls hommes qu'elles aiment cest leur fils, et encore

ET ENCORE, pas toutes aiment leur fils
le méchant forum haineux de males privilégiés
il y a 6 mois
Sakina94
Sakina94
6 mois
les seuls hommes qu'elles aiment cest leur fils, et encore

ET ENCORE, pas toutes aiment leur fils
Elles aiment leur fils en tant que petite chose mignonne.
Mais plus il grandira et ressemblera à un homme, plus elles essayeront de réprimer (par la manipulation) l'homme qu'il est en train de devenir.
C'est pour ça que les garçons ont besoin d'un père pour grandir, qui les protégera contre le terrorisme idéologique mené par leur mère.
C'est que de l'amour putain !
:patrick_biere:
il y a 6 mois
Les "hommes" en couple sont des animaux de compagnie et des porte-bite.
C'est que de l'amour putain !
:patrick_biere:
il y a 6 mois
Image
il y a 6 mois
:pote_de_ADlaurent:
il y a 6 mois
Dans le passé, comme elles avaient besoin de nous pour être protégées, elles faisaient semblant de bien nous aimer.

Mais maintenant qu'elles n'ont plus de souci matériel, un homme ne leur sert absolument à RIEN donc elles peuvent se lâcher.
:)


Pour elles, nous sommes des sous-merdes inutiles, méprisables et surnuméraires. On pourrait crever la gueule ouverte, elles n'en auraient absolument rien à foutre.
:)


À la rigueur le seul moment où elles auraient besoin de nous, c'est le jour où elles auront besoin de traire notre sperme pour chier un nouveau mini-sous-homme ou une nouvelle mini-pute. Mais pour cela, il suffit d'aller sur donneurnaturel.com et des hordes de simps se précipiteront pour juter dans leur chatte sans contrepartie.
:)
Lop a fini ça branlette
:chat_lunettes:
il y a 6 mois
Maxander
Maxander
6 mois
Image
C'est pouètique
:Chasseur-cueilleur:
C'est que de l'amour putain !
:patrick_biere:
il y a 6 mois
:risitas_ahi:
il y a un jour
Vous avez peut etre des avis très/trop tranchés.
Les Choses sont (toujours) un peu plus compliquees (Et pourtant je me suis aussi fait lourdé X fois comme ca sans prevenir par des Femmes dont j'etais dingue amoureux)

Je vous invite a creuser un peu plus en lisant/re-lisant le bouquin de Julius Evola : Éros et les mystères de l'amour."
:Mouais_Jesus:
il y a un jour
je m'en balek je suis mgtow maintenant
:cartman_slurp:


95% des meufs sont insuportable ou ont des comportement de gamines irresponsable vivant de la misère des hommes
:cartman_slurp:
il y a un jour
Ce topic me fut utile, j’ai appris le mot surnuméraires
:TAREDelph:
Breton d’ultra droite !! #FreePalestine
il y a un jour
Dans le passé, comme elles avaient besoin de nous pour être protégées, elles faisaient semblant de bien nous aimer.

Mais maintenant qu'elles n'ont plus de souci matériel, un homme ne leur sert absolument à RIEN donc elles peuvent se lâcher.
:)


Pour elles, nous sommes des sous-merdes inutiles, méprisables et surnuméraires. On pourrait crever la gueule ouverte, elles n'en auraient absolument rien à foutre.
:)


À la rigueur le seul moment où elles auraient besoin de nous, c'est le jour où elles auront besoin de traire notre sperme pour chier un nouveau mini-sous-homme ou une nouvelle mini-pute. Mais pour cela, il suffit d'aller sur donneurnaturel.com et des hordes de simps se précipiteront pour juter dans leur chatte sans contrepartie.
:)
Erreur
:corbeaupoint:


La vérité dans cet extrait de mon livre :
Si nous voulons donner plus de corps à la façon dont des réalités sont trompeusement interprétées et réagencées entre elles par l'homme pour la seule raison qu'il est homme, nous pourrions citer l'exemple du féminin et du masculin. « Tel est le mâle, telle est la femelle », voilà des prémisses qui n'ont d'autre origine que d’induire la question : « Mais de quelle espèce ? ». La séparation du masculin et du féminin est largement plus en amont généalogiquement - antérieure à la formation des premiers organismes pluricellulaires - et insignifiante à la fois que les variations morphologiques qui, de part leur tendance à se conglomérer, donne lieu à l'illusion de reconnaissance des espèces. Mais toute la mystification réside dans le fait de faire de cette séparation absolue, une opposition. Féminin et masculin, loin d'être des contraires comme le blanc et le noir, seraient plutôt comme un jaune et un bordeau, deux teintes piochées au hasard sur le spectre lumineux, sauf qu'elles seraient, par un autre hasard, les deux seules. Il est tout aussi impossible au « masculin » de se référer à l'ordre des priorités « féminines » comme valeur en soi que l'inverse, ces ordres de priorités respectifs ne sont pas contraires, ils n'en sont pas moins incompatibles. L'origine de la convergence des tendances morphologique par paires d'ensembles - l'un « féminin », l'autre « masculin » est à trouver dans la dialectique du maître et de l'esclave, le camouflage et le syndrome de Stockholm. Il est vain de se demander en quoi consistent intrinsèquement les priorités « masculines » pour ce qui est de d'établir leurs rapports aux « féminines » en tant que les premières s'inscrivent dans les secondes au seul titre de leviers émotionnels dont tirer parti. Il est assez drôle de savoir que l'un des taxons inventés par la zoologie est censé s'illustrer le plus distinctement par un comportement qui ne fait que trouver des modalités d'expression plus retorses partout ailleurs, la forme la plus évidente de « masculin-féminin » imbriqué: la mante religieuse. Si le « mâle » et la « femelle » dits « mante religieuse » représentaient deux archétypes n’étant caractérisés que relativement l'un à l'autre, étant en l'absence d'interactions entre eux, deux choses étrangères sous tout rapport, mais dont on supposerait qu’en cas d’interactions, leurs rapports illustrent universellement le rapport invariable qu’auraient entre eux, si exposés l'un à l'autre, « masculin » et « féminin » d'une « espèce», on pourrait commencer par se demander l’origine de la proximité morphologique d'un « sexe » à « l’autre ». La réponse universelle est encore une fois dans les « caractères propres » de certains taxons : pieuvre mimétique, caméléon, phasmes, papillons etc. Aux quatres coins du vivant, des organismes déploient des mécanismes de camouflage, utiles tantôt à la prédation, tantôt à la protection contre les prédateurs. Nous pourrions probablement gloser des heures pour déterminer qui du « mâle » ou de la « femelle » est, quant à sa morphologie, une pâle copie de l'autre, si nous ne connaissions pas la « femelle » « hyène », dont le clitoris a la taille d'un pénis de « mâle », dont elle se sert pour pénétrer l'urètre du « mâle », ce qui le fait souffrir à l'agonie. Pour ce qui est de savoir qui est proie, qui prédateur, il apparaît évident que le « mâle » déploie des comportements de prédation envers la « femelle », l'inverse est bien moins évident. Cela n'est que la mesure de l’efficacité du camouflage « féminin », mais que faire de cette information ? Otto Weininger - pour faire court - aurait tranché ainsi : F étant vide et M plein, le « féminin » contextuel se forme en toute circonstance à l'image du « masculin », de sorte que, comme estimait Nietzsche, le masculin est à l'image du hasard, ce qui n'est pas sans appeler pour représentation le rapport entre les spermatozoïdes et l’Ovule. La vérité est ailleurs. Le vide caractéristique du « féminin » divise le « masculin » en deux catégories. Il n'y a rien à dire de la « femme », de sorte que celui qui trouve quelque chose à en dire est taré. Du « masculin », il y a d'une part les tarés, et d'autre part ceux que l'idée de la femme prive de parole, plonge dans le vide intersidéral, sans le moindre repère. Ces derniers, éventuellement, comptent avec les femmes sans pour autant laisser l'incantation « femme » s'insinuer dans leur système de représentations, le ventouser intégralement. C'est donc, contrairement aux estimations de Weininger, en référence à la femme qu'est l'homme et non l'inverse, et ce en vertu même du vide « féminin ». La dialectique du maître et de l'esclave en tant que principe créateur de ce qui passe auprès de l'humain, eut égard à son humanité, pour des espèces, est un continent entier de recherche scientifique qui existe dès lors qu’il prend mes énoncés précédents pour axiomatique, mais elle n'est pas mon sujet, et en fin de compte, la femme est sans doute tout sauf vide : je ne fais ici qu'affirmer mon éternelle incapacité à en saisir quoi que ce soit, ce tout autant à ma décharge qu'à la sienne. La grande misère des femmes, et ce qu'elles nomment désormais leur « charge mentale », a été, jusqu'à présent, de devoir continuellement employer, une fois nées, toute leur ingéniosité à dépasser, dans notre regard, la vallée de l'étrange, et l'essence de la compétition entre les femmes, c'est de repousser l'autre femme à rebours, à l'attention du regard « masculin », dans la vallée de l'étrange.
il y a un jour
Ce topic me fut utile, j’ai appris le mot surnuméraires
:TAREDelph:
S'agissant des chromosomes ?
:risitaeheh:
il y a un jour