Ce sujet a été résolu
Salutations, comme convenu j'envoie le premier résumé (mes notes) des bouquins que j'avais proposé, je commence par le prince parce que le seul clé qui a voté sur ce sondage a été banni
Mais bon, y'a mon pote Romano qui va en profiter et surement d'autres personnes, enfin peut être
Il a voté pour la partie 2 chap X - XIX
J'vais surement faire le livre de Weil ce dimanche pcq demain je n'aurai pas le temps et celui de Cerise dans la semaine
Mais bon, y'a mon pote Romano qui va en profiter et surement d'autres personnes, enfin peut être
Il a voté pour la partie 2 chap X - XIX
J'vais surement faire le livre de Weil ce dimanche pcq demain je n'aurai pas le temps et celui de Cerise dans la semaine
il y a 4 mois
CHAPITRE X : DE QUELLE MANIERE DOIT ON MESURER LES FORCES DE TOUTES LES PRINCIPAUTES.
Il importe de savoir si un prince a un état assez puissant pour résister lui-même à l'ennemi (1) ou s'il a besoin d'être défendu par autrui (2)
1 : assez de troupes/argent
2 : contraint de se réfugier dans les murs de la ville + les défendre = approvisionner et fortifier sa terre (ø états environnants)
Un prince qui possède une cité fortifiée + qui n'est pas haï par ses sujets ne redoute pas d'ê attaqué (l'ennemi abandonnerait). Un prince puissant et courageux surmontera un siège : quand l'ardeur des dommages déjà produits + maux subits se refroidit -> les sujets s'unissent plus étroitement à leur prince parce qu'il apparaît comme leur obligé (leurs biens ayant été ravagés).
-> Conforme à la nature humaine de s'attacher à qqn autant pour le bien qu'on lui fait que pour celui dont il nous est redevable (sauf si manque vivres et/ou moyens).
CHAPITRE XI : DES PRINCIPAUTES ECCLESIASTIQUES.
Difficultés avant acquisition (chance/valeur personne), ø conservation -> possesseur trouve appui dans institutions invétérées de la religion (vertu + puissance).
De tels princes = "ø" défense principauté/ ø gouverner sujets MAIS jamais attaqués de l'intérieur car sujets ne peuvent pas se détacher d'eux.
CHAPITRE XII : DES DIFFERENTES ESPECES DE MILICES ET DES SOLDATS MERCENAIRES
Prince = édifier son pouvoir sur des bases solides sous quoi il est condamné à la ruine -> fondements : bonnes lois + bonnes armées : ø bonnes lois si ø bonnes armées
P défend son état soit avec sa propre armée ou avec des troupes mercenaires (T. merc)/mixtes
T.merc : inutiles et dangereuses -> jamais paix/sécurité car elles sont désunies/ambitieuses/indisciplinées/infidèles + vaillantes avec amis et lâches avec ennemis + ø crainte Dieu + ø foi envers les Hommes => P dépouillé par elles en temps de paix + éventuelles ennemies en temps de guerre.
T.merc: que leur solde qui les retient au combat = ø chose suffisante pour donner envie de mourir pr P = veulent ê soldats en temps de paix/ fuir-abandonner pdt guerre. Capitaines T.merc sont des Hommes éminents, ou ils ne le sont pas car ils ne veulent qu'édifier leur propre grandeur soit en opprimant leur maître (P) ou les autres contre la volonté du P -> P doit se rendre en personne à l'armée et exercer les fonctions de chef pour faire de vrais progrès.
CHAPITRE XII : DES TROUPES AUXILIAIRES, MIXTES (T.mix) ET PROPRES.
Troupes inutiles quand on s'adresse à un souverain puissant pour obtenir secours et protection et + dangereuses que T.merc qui ne sont pas organisées (+ payées par P) -> T.merc : dangereuses car lâches, T.mix : dangereuses car courageuses + P mieux aimé à perdre avec son armée que de gagner avec celle d'un autre.
+ Si souverain ø sage : ne reconnaît les maux qu'au moment ou ils apparaissent = ø prince en sécurité s'il n'a des troupes à lui = armées de sujets/citoyens/créatures du P.
CHAPITRE XIV : CE QUI EST DU RESSORT DU PRINCE AU SUJET DE LA MILICE.
P = unique objet et pensée : la guerre étant l'unique pratique qui convient à celui qui commande = maintient au pouvoir ceux qui sont nés princes + peut élever citoyen au rang de P + on voit des P perdre le pouvoir car ils préfèrent le raffinement à la guerre.
On perd un état pour avoir méprisé l'art de la guerre, on en gagne un car on y excelle + ø comparaison entre un Homme armé et un non armé (l'un obéit à l'autre) + inaptitude aux armes = cause mépris/honte que P doit éviter (ø estime confiance soldats) => actions + pensées guerre même pdt paix.
P doit tenir ses soldats bien disciplinés + entraînés à la chasse (habituer corps à la fatigue + connaissances géo des =/= sites) -> bien étudier ces faits pr 2 fins : -apprendre à connaître son pays + le défendre -connaître les lieux à considérer. P = lire les historiens/conduite des grands Hommes en temps de paix ceci étant cause de victoire ou défaite.
CHAPITRE XV : DES CHOSES QUI ATTIRENT SUR LES HOMMES, ET SURTOUT SUR LES PRINCES, L'ELOGE OU LA REPROBATION
P qui veut se maintenir doit apprendre à ê malhonnête + à l'ê ou ne pas l'ê en fonction des circonstances. Tous les H (surtout les P) sont définis par un certain caractère qui leur apporterait blâme ou éloge : -un est considéré comme libéral (positif) -l'autre "misero" (négatif) : qui se prive ,à excès, de son bien.
P = ê prudent pr éviter le déshonneur de certains vices qui lui ferait perdre le pouvoir + certaines pratiques semblant vertueuses mais qui, à les suivre, causeraient ruine du P; et d'autres qui semblent vicieuses, mais qui, à les suivre, lui donneront sécurité et bien-ê.
Il importe de savoir si un prince a un état assez puissant pour résister lui-même à l'ennemi (1) ou s'il a besoin d'être défendu par autrui (2)
1 : assez de troupes/argent
2 : contraint de se réfugier dans les murs de la ville + les défendre = approvisionner et fortifier sa terre (ø états environnants)
Un prince qui possède une cité fortifiée + qui n'est pas haï par ses sujets ne redoute pas d'ê attaqué (l'ennemi abandonnerait). Un prince puissant et courageux surmontera un siège : quand l'ardeur des dommages déjà produits + maux subits se refroidit -> les sujets s'unissent plus étroitement à leur prince parce qu'il apparaît comme leur obligé (leurs biens ayant été ravagés).
-> Conforme à la nature humaine de s'attacher à qqn autant pour le bien qu'on lui fait que pour celui dont il nous est redevable (sauf si manque vivres et/ou moyens).
CHAPITRE XI : DES PRINCIPAUTES ECCLESIASTIQUES.
Difficultés avant acquisition (chance/valeur personne), ø conservation -> possesseur trouve appui dans institutions invétérées de la religion (vertu + puissance).
De tels princes = "ø" défense principauté/ ø gouverner sujets MAIS jamais attaqués de l'intérieur car sujets ne peuvent pas se détacher d'eux.
CHAPITRE XII : DES DIFFERENTES ESPECES DE MILICES ET DES SOLDATS MERCENAIRES
Prince = édifier son pouvoir sur des bases solides sous quoi il est condamné à la ruine -> fondements : bonnes lois + bonnes armées : ø bonnes lois si ø bonnes armées
P défend son état soit avec sa propre armée ou avec des troupes mercenaires (T. merc)/mixtes
T.merc : inutiles et dangereuses -> jamais paix/sécurité car elles sont désunies/ambitieuses/indisciplinées/infidèles + vaillantes avec amis et lâches avec ennemis + ø crainte Dieu + ø foi envers les Hommes => P dépouillé par elles en temps de paix + éventuelles ennemies en temps de guerre.
T.merc: que leur solde qui les retient au combat = ø chose suffisante pour donner envie de mourir pr P = veulent ê soldats en temps de paix/ fuir-abandonner pdt guerre. Capitaines T.merc sont des Hommes éminents, ou ils ne le sont pas car ils ne veulent qu'édifier leur propre grandeur soit en opprimant leur maître (P) ou les autres contre la volonté du P -> P doit se rendre en personne à l'armée et exercer les fonctions de chef pour faire de vrais progrès.
CHAPITRE XII : DES TROUPES AUXILIAIRES, MIXTES (T.mix) ET PROPRES.
Troupes inutiles quand on s'adresse à un souverain puissant pour obtenir secours et protection et + dangereuses que T.merc qui ne sont pas organisées (+ payées par P) -> T.merc : dangereuses car lâches, T.mix : dangereuses car courageuses + P mieux aimé à perdre avec son armée que de gagner avec celle d'un autre.
+ Si souverain ø sage : ne reconnaît les maux qu'au moment ou ils apparaissent = ø prince en sécurité s'il n'a des troupes à lui = armées de sujets/citoyens/créatures du P.
CHAPITRE XIV : CE QUI EST DU RESSORT DU PRINCE AU SUJET DE LA MILICE.
P = unique objet et pensée : la guerre étant l'unique pratique qui convient à celui qui commande = maintient au pouvoir ceux qui sont nés princes + peut élever citoyen au rang de P + on voit des P perdre le pouvoir car ils préfèrent le raffinement à la guerre.
On perd un état pour avoir méprisé l'art de la guerre, on en gagne un car on y excelle + ø comparaison entre un Homme armé et un non armé (l'un obéit à l'autre) + inaptitude aux armes = cause mépris/honte que P doit éviter (ø estime confiance soldats) => actions + pensées guerre même pdt paix.
P doit tenir ses soldats bien disciplinés + entraînés à la chasse (habituer corps à la fatigue + connaissances géo des =/= sites) -> bien étudier ces faits pr 2 fins : -apprendre à connaître son pays + le défendre -connaître les lieux à considérer. P = lire les historiens/conduite des grands Hommes en temps de paix ceci étant cause de victoire ou défaite.
CHAPITRE XV : DES CHOSES QUI ATTIRENT SUR LES HOMMES, ET SURTOUT SUR LES PRINCES, L'ELOGE OU LA REPROBATION
P qui veut se maintenir doit apprendre à ê malhonnête + à l'ê ou ne pas l'ê en fonction des circonstances. Tous les H (surtout les P) sont définis par un certain caractère qui leur apporterait blâme ou éloge : -un est considéré comme libéral (positif) -l'autre "misero" (négatif) : qui se prive ,à excès, de son bien.
P = ê prudent pr éviter le déshonneur de certains vices qui lui ferait perdre le pouvoir + certaines pratiques semblant vertueuses mais qui, à les suivre, causeraient ruine du P; et d'autres qui semblent vicieuses, mais qui, à les suivre, lui donneront sécurité et bien-ê.
il y a 4 mois
CHAPITRE XVI : DE LA LIBERALITE ET DE LA PARCIMONIE.
Avantageux d'ê considéré comme généreux -> nuisible si la générosité ne donne pas cette réputation. P ne doit négliger aucun trait de somptuosité (générosité raisonnable non appréciée) pour avoir le renom de générosité MAIS épuisera ses ressources dans des prodigalités, il faut alors imposer des mesures fiscales extraordinaires (+autres moyens) pour trouver son argent -> P dès lors mésestimé de tous tout en restant pauvre = faire tord à majorité pour combler minorité.
P sera tjrs considéré comme + généreux quand ses sujets, qui verront que, grâce au fait qu'il ne craint pas le nom de ladre = ses revenus sont suffisants pour défense/guerre/entreprendre sans accabler le peuple d'impôts.
-P dépense son bien + celui des autres = rester économe
-P dépense le bien des autres : ne doit négliger aucune forme de générosité (sinon ø suivi par soldats) car cela ne peut en rien enlever à sa réputation mais l'accroître.
Aucune chose ne se consume autant elle même que la libéralité : + on en use, + on s'enlève le pouvoir d'en user > pauvre et méprisé/ rapace et haïssable -> il est plus habile d'ê accusé de parcimonie (réprobation) =/= haine d'ê un rapace.
CHAPITRE XVII : DE LA CRUAUTE ET DE LA CLEMENCE, ET S'IL VAUT MIEUX Ê AIME QUE REDOUTE.
P doit désirer ê considéré comme un humain non cruel mais il doit se garder de faire mauvais usage de cette humanité. P ne doit pas se soucier d'encourir la réputation de la cruauté s'il maintient par ce moyen l'unité et la confiance parmi ses sujets. Avec un petit nombre d'exemples il sera + humain que celui qui, par excès d'humanité, laisse naître des troubles engendrant meurtres et rapines qui offensent des collectivités toutes entières, tandis que les exécutions ne sont contre qu'un seul Homme.
+ surtout le P nouveau qui n'échappera pas au titre de "cruel"
"Res dura, et regni novitas me talia cogunt moliri, et late fines custode tueri" Enéide, I, v.562-563 (trad. Périès : Le dur état où mes affaires sont, Et de mon règne ainsi la nouveauté, Tels cas cruels or faire me font, Et garnisons mettre de tout côté (mieux vaut être aimé ou haï?))
P = ne doit ni croire/se mouvoir à la légère + ne pas faire les choses impulsivement mais procéder avec pondération = allier prudence avec humanité pour que la défiance/confiance excessive ne le rende pas odieux/imprudent.
Difficile de réunir ces 2 attributs = plus de sécurité à ê craint qu'aimé -> H = généralement ingrats/changeants/dissimulés/prêts à esquiver danger/avides gain(s).
Quand on leur fait du bien ils sont tous à vous (sang/liens/vie/enfants), quand aucun danger ne menace MAIS ils se retournent quand celui-ci est là.
Les H hésitent moins à offenser celui qui se fait aimer plutôt que celui qui se fait craindre.
Amour = basé et maintenu par un lien de reconnaissance que la bassesse humaine brise toutes les fois ou l'intérêt personnel est en jeu. La crainte est maintenue par l'idée du châtiment qui ne disparaît jamais.
P = doit se faire craindre de telle manière que s'il ne conquiert pas l'amour, il évite la haine (s'il respecte en // les biens + femmes et enfants des sujets citoyens). Si nécessaire poursuivre une famille = que dans les cas ou il pourra justifier pleinement sa conduite + surtout respecter les biens car LES HOMMES OUBLIENT PLUS FACILEMENT LA MORT DE LEUR PERE QUE LA PERTE DE LEUR PATRIMOINE.
+ prétextes pour dépouiller ne manquent jamais alors que les prétextes pour verser le sang sont très limités.
+ nécessité réputation de cruauté pour avoir une armée unie et exempt de factions.
CHAPITRE XVIII : DE QUELLE FACON LES PRINCES DOIVENT Ê FIDELES A LEURS ENGAGEMENTS.
Louable pour un P de pratiquer loyauté et non la ruse mais en réalité ce sont deux façons de combattre : l'une a pour armes les lois et l'autre la force (H et animal), le P a besoin des deux. Il devrait ê mi-H, mi-bête, comme un lion (pour éventrer), comme un renard (pour connaître et éviter les filets). P ne peut ê fidèle quand la fidélité se tourne contre lui/que les motifs pris lors de son engagement ont disparu (ce précepte ne vaut que parce que les H ne sont pas tous vertueux) + motifs légitimes pour que le P coupe un engagement = innombrables.
Il est indispensable de bien discerner ce caractère : ê un grand simulateur/dissimulateur -> les H sont si naïfs obéissants, à tel point, que peu importe les nécessités présentes, le trompeur trouvera tjrs qqn qui se laissera tromper
"Alexandre n'a jamais fait ce qu'il disait, César n'a jamais dit ce qu'il faisait" _ proverbe italien.
ø nécessaire de posséder ces qualités, il suffit de paraître les avoir + avoir l'esprit/é. âme nécessaire pour savoir comment paraître.
P (surtout nouveau) est souvent obligé d'agir contre les qualités qui le rendraient vertueux pour préserver l'é.
+ toujours sembler posséder la qualité religieuse car LES H JUGENT UNIVERSELLEMENT PLUS PAR LES YEUX QUE LES MAINS (beaucoup voient, peu sentent) -> chacun voit ce que l'on paraît ê, peu sentent ce que l'on est et ce petit nombre n'ose pas s'opposer à l'opinion de la multitude qui est protégée par la majorité de l'é.
Les moyens que le P a adopté pour vaincre + maintenir son é. = tjrs jugés cme honorables et loués de tous car le vulgaire se laisse tjrs prendre aux apparences/succès des évènements et dans ce monde, il n'y a que du vulgaire.
CHAPITRE XIX : QUE L'ON DOIT EVITER LE MEPRIS ET LA HAINE
P doit éviter ce qui peut le rendre odieux/méprisé, il aura joué son rôle en évitant les dangers et ne trouvera pas d'obstacle dans la réputation qu'on lui trouvera ailleurs. La majorité des H vit satisfaite quand on ne lui enlève ni ses biens ni son honneur, reste à se défendre contre l'ambition d'un petit nombre (+eurs façons de leur mettre des freins).
P méprisé s'il est considéré comme changeant/léger/efféminé/pusillanime/irrésolu; doit se faire reconnaître de ses actions : grandeur/courage/gravité/force d'âme + sentence irrévocable (s'y maintenir en ce qui concerne les affaires privées de ses sujets, ce qui les empêchera de penser que le P les trompe/circonvient)
P qui se donne cette opinion = grande réputation = difficile de conspirer/l'attaquer -> P craint deux dangers : -intérieur (ses sujets) -extérieur (étrangers)
S'il se défend du second en ayant de bonnes armes qui lui donneront les bons amis = situation intérieure stable.
Quant aux sujets -> craindre conspiration en secret quand extérieur = stable : peu d'inquiétude si peuple content de lui.
Histoire = bcp de conspirations mais peu ont réussi car : celui qui conspire = seul -> ø affiliés véritables car les mécontents du 1er abandonneront le 2nd (levier jamais durable), P doit trouver ses amis + ennemis pour qu'il lui reste fidèles (+ attachement du peuple).
P doit peu faire des cas de conspirations s'il possède l'amour du peuple (+ inversement) -> ne jamais réduire les grands aux extrémités + satisfaire/rendre heureux le peuple
P doivent confier à d'autres l'administration des affaires à charge + réserver l'administration des faveurs à lui-même
Avantageux d'ê considéré comme généreux -> nuisible si la générosité ne donne pas cette réputation. P ne doit négliger aucun trait de somptuosité (générosité raisonnable non appréciée) pour avoir le renom de générosité MAIS épuisera ses ressources dans des prodigalités, il faut alors imposer des mesures fiscales extraordinaires (+autres moyens) pour trouver son argent -> P dès lors mésestimé de tous tout en restant pauvre = faire tord à majorité pour combler minorité.
P sera tjrs considéré comme + généreux quand ses sujets, qui verront que, grâce au fait qu'il ne craint pas le nom de ladre = ses revenus sont suffisants pour défense/guerre/entreprendre sans accabler le peuple d'impôts.
-P dépense son bien + celui des autres = rester économe
-P dépense le bien des autres : ne doit négliger aucune forme de générosité (sinon ø suivi par soldats) car cela ne peut en rien enlever à sa réputation mais l'accroître.
Aucune chose ne se consume autant elle même que la libéralité : + on en use, + on s'enlève le pouvoir d'en user > pauvre et méprisé/ rapace et haïssable -> il est plus habile d'ê accusé de parcimonie (réprobation) =/= haine d'ê un rapace.
CHAPITRE XVII : DE LA CRUAUTE ET DE LA CLEMENCE, ET S'IL VAUT MIEUX Ê AIME QUE REDOUTE.
P doit désirer ê considéré comme un humain non cruel mais il doit se garder de faire mauvais usage de cette humanité. P ne doit pas se soucier d'encourir la réputation de la cruauté s'il maintient par ce moyen l'unité et la confiance parmi ses sujets. Avec un petit nombre d'exemples il sera + humain que celui qui, par excès d'humanité, laisse naître des troubles engendrant meurtres et rapines qui offensent des collectivités toutes entières, tandis que les exécutions ne sont contre qu'un seul Homme.
+ surtout le P nouveau qui n'échappera pas au titre de "cruel"
"Res dura, et regni novitas me talia cogunt moliri, et late fines custode tueri" Enéide, I, v.562-563 (trad. Périès : Le dur état où mes affaires sont, Et de mon règne ainsi la nouveauté, Tels cas cruels or faire me font, Et garnisons mettre de tout côté (mieux vaut être aimé ou haï?))
P = ne doit ni croire/se mouvoir à la légère + ne pas faire les choses impulsivement mais procéder avec pondération = allier prudence avec humanité pour que la défiance/confiance excessive ne le rende pas odieux/imprudent.
Difficile de réunir ces 2 attributs = plus de sécurité à ê craint qu'aimé -> H = généralement ingrats/changeants/dissimulés/prêts à esquiver danger/avides gain(s).
Quand on leur fait du bien ils sont tous à vous (sang/liens/vie/enfants), quand aucun danger ne menace MAIS ils se retournent quand celui-ci est là.
Les H hésitent moins à offenser celui qui se fait aimer plutôt que celui qui se fait craindre.
Amour = basé et maintenu par un lien de reconnaissance que la bassesse humaine brise toutes les fois ou l'intérêt personnel est en jeu. La crainte est maintenue par l'idée du châtiment qui ne disparaît jamais.
P = doit se faire craindre de telle manière que s'il ne conquiert pas l'amour, il évite la haine (s'il respecte en // les biens + femmes et enfants des sujets citoyens). Si nécessaire poursuivre une famille = que dans les cas ou il pourra justifier pleinement sa conduite + surtout respecter les biens car LES HOMMES OUBLIENT PLUS FACILEMENT LA MORT DE LEUR PERE QUE LA PERTE DE LEUR PATRIMOINE.
+ prétextes pour dépouiller ne manquent jamais alors que les prétextes pour verser le sang sont très limités.
+ nécessité réputation de cruauté pour avoir une armée unie et exempt de factions.
CHAPITRE XVIII : DE QUELLE FACON LES PRINCES DOIVENT Ê FIDELES A LEURS ENGAGEMENTS.
Louable pour un P de pratiquer loyauté et non la ruse mais en réalité ce sont deux façons de combattre : l'une a pour armes les lois et l'autre la force (H et animal), le P a besoin des deux. Il devrait ê mi-H, mi-bête, comme un lion (pour éventrer), comme un renard (pour connaître et éviter les filets). P ne peut ê fidèle quand la fidélité se tourne contre lui/que les motifs pris lors de son engagement ont disparu (ce précepte ne vaut que parce que les H ne sont pas tous vertueux) + motifs légitimes pour que le P coupe un engagement = innombrables.
Il est indispensable de bien discerner ce caractère : ê un grand simulateur/dissimulateur -> les H sont si naïfs obéissants, à tel point, que peu importe les nécessités présentes, le trompeur trouvera tjrs qqn qui se laissera tromper
"Alexandre n'a jamais fait ce qu'il disait, César n'a jamais dit ce qu'il faisait" _ proverbe italien.
ø nécessaire de posséder ces qualités, il suffit de paraître les avoir + avoir l'esprit/é. âme nécessaire pour savoir comment paraître.
P (surtout nouveau) est souvent obligé d'agir contre les qualités qui le rendraient vertueux pour préserver l'é.
+ toujours sembler posséder la qualité religieuse car LES H JUGENT UNIVERSELLEMENT PLUS PAR LES YEUX QUE LES MAINS (beaucoup voient, peu sentent) -> chacun voit ce que l'on paraît ê, peu sentent ce que l'on est et ce petit nombre n'ose pas s'opposer à l'opinion de la multitude qui est protégée par la majorité de l'é.
Les moyens que le P a adopté pour vaincre + maintenir son é. = tjrs jugés cme honorables et loués de tous car le vulgaire se laisse tjrs prendre aux apparences/succès des évènements et dans ce monde, il n'y a que du vulgaire.
CHAPITRE XIX : QUE L'ON DOIT EVITER LE MEPRIS ET LA HAINE
P doit éviter ce qui peut le rendre odieux/méprisé, il aura joué son rôle en évitant les dangers et ne trouvera pas d'obstacle dans la réputation qu'on lui trouvera ailleurs. La majorité des H vit satisfaite quand on ne lui enlève ni ses biens ni son honneur, reste à se défendre contre l'ambition d'un petit nombre (+eurs façons de leur mettre des freins).
P méprisé s'il est considéré comme changeant/léger/efféminé/pusillanime/irrésolu; doit se faire reconnaître de ses actions : grandeur/courage/gravité/force d'âme + sentence irrévocable (s'y maintenir en ce qui concerne les affaires privées de ses sujets, ce qui les empêchera de penser que le P les trompe/circonvient)
P qui se donne cette opinion = grande réputation = difficile de conspirer/l'attaquer -> P craint deux dangers : -intérieur (ses sujets) -extérieur (étrangers)
S'il se défend du second en ayant de bonnes armes qui lui donneront les bons amis = situation intérieure stable.
Quant aux sujets -> craindre conspiration en secret quand extérieur = stable : peu d'inquiétude si peuple content de lui.
Histoire = bcp de conspirations mais peu ont réussi car : celui qui conspire = seul -> ø affiliés véritables car les mécontents du 1er abandonneront le 2nd (levier jamais durable), P doit trouver ses amis + ennemis pour qu'il lui reste fidèles (+ attachement du peuple).
P doit peu faire des cas de conspirations s'il possède l'amour du peuple (+ inversement) -> ne jamais réduire les grands aux extrémités + satisfaire/rendre heureux le peuple
P doivent confier à d'autres l'administration des affaires à charge + réserver l'administration des faveurs à lui-même
il y a 4 mois
N'hésitez pas à acheter le bouquin si ça vous intéresse (j'ai + de notes sur neuropirates et moins sur note géné supp partis pol)
ê = être
tjrs = toujours
ø = rien/aucun/pas de (contexte)
=/= = différent
P= prince
é. = état/Etat (contexte)
H = Homme (dans le sens humanité)
ê = être
tjrs = toujours
ø = rien/aucun/pas de (contexte)
=/= = différent
P= prince
é. = état/Etat (contexte)
H = Homme (dans le sens humanité)
il y a 4 mois
Gpalu
https://studio--kheyland-[...]e.us-central1.hosted.app/ forum créer 100% par l'ia
il y a 4 mois
J'm'en doute bien
C'est un genre de codex de jeu de rôle ?
Désactiver les signatures : Mon profil/modifier/apparence
il y a 4 mois
Tu peux lire en plusieurs fois ahi
Breton d’ultra droite !! #FreePalestine
il y a 4 mois
@Dortiguier_
Je me suis permis d'éditer ton titre pour rajouter "Machiavel" à la fin.
Je me suis permis d'éditer ton titre pour rajouter "Machiavel" à la fin.
ZE seule chaîne YT 100% burnée !
il y a 4 mois
Merci bien !
Bah, de rien khey : vu que je trouve que tu as fait un très bon boulot en taffant sur ce bouquin essentiel, j'ai trouvé que c'était dommage que le titre ne soit pas au cordeau comme le reste.
ZE seule chaîne YT 100% burnée !
il y a 4 mois
Bah, de rien khey : vu que je trouve que tu as fait un très bon boulot en taffant sur ce bouquin essentiel, j'ai trouvé que c'était dommage que le titre ne soit pas au cordeau comme le reste.
Le livre est sympa et le titre est mieux comme ca
il y a 4 mois