Le groupe emmène ensuite la jeune femme dans le parc voisin des Coquibus. Pendant près de deux heures, elle va subir un calvaire. Attachée et bâillonnée, rien ne lui sera épargné. L'aîné la viole pendant que les autres la frappent à coups de bâton et écrasent leurs cigarettes sur elle. Puis c'est à leur tour d'abuser de la victime, à plusieurs reprises chacun. À la fin, ils la frappent à coups de pieds et de poings. Avant de l'abandonner en pleine nuit et de la menacer de mort si elle évoque les faits qui viennent de se dérouler. Deux automobilistes découvriront la victime au petit matin, errant dans la rue, le visage tuméfié. Elle souffre d'une fracture du nez, de la mâchoire ainsi que de multiples contusions sur le corps. En état de choc, elle se confiera aux policiers.
En garde à vue, le meneur - de nationalité turque - avait notamment indiqué: «Quand je sortirai, je niquerai la France». Un complice avait pour sa part reconnu s'en être pris à cette jeune fille «parce qu'elle [était] Française et qu'il [n'aimait] pas les Françaises». Lors du premier procès, le procureur d'Evry avait choisi de dire que ces éléments étaient «faux», car la famille de la victime souhaitait «éviter toute récupération politique».
Ce peuple
Savoir que j'en fais partie
Savoir que j'en fais partie
Le racisme c'est de l'appropriation culturelle
Ne se prononce pas
En garde à vue, le meneur - de nationalité turque - avait notamment indiqué: «Quand je sortirai, je niquerai la France».
Un complice avait pour sa part reconnu s'en être pris à cette jeune fille «parce qu'elle [était] Française et qu'il [n'aimait] pas les Françaises».
Lors du premier procès, le procureur d'Evry avait choisi de dire que ces éléments étaient «faux», car la famille de la victime souhaitait «éviter toute récupération politique».
Un complice avait pour sa part reconnu s'en être pris à cette jeune fille «parce qu'elle [était] Française et qu'il [n'aimait] pas les Françaises».
Lors du premier procès, le procureur d'Evry avait choisi de dire que ces éléments étaient «faux», car la famille de la victime souhaitait «éviter toute récupération politique».
le titre est totalement fake je me dois de ddb 
Le groupe emmène ensuite la jeune femme dans le parc voisin des Coquibus. Pendant près de deux heures, elle va subir un calvaire. Attachée et bâillonnée, rien ne lui sera épargné. L'aîné la viole pendant que les autres la frappent à coups de bâton et écrasent leurs cigarettes sur elle. Puis c'est à leur tour d'abuser de la victime, à plusieurs reprises chacun. À la fin, ils la frappent à coups de pieds et de poings. Avant de l'abandonner en pleine nuit et de la menacer de mort si elle évoque les faits qui viennent de se dérouler. Deux automobilistes découvriront la victime au petit matin, errant dans la rue, le visage tuméfié. Elle souffre d'une fracture du nez, de la mâchoire ainsi que de multiples contusions sur le corps. En état de choc, elle se confiera aux policiers.
En garde à vue, le meneur - de nationalité turque - avait notamment indiqué: «Quand je sortirai, je niquerai la France». Un complice avait pour sa part reconnu s'en être pris à cette jeune fille «parce qu'elle [était] Française et qu'il [n'aimait] pas les Françaises». Lors du premier procès, le procureur d'Evry avait choisi de dire que ces éléments étaient «faux», car la famille de la victime souhaitait «éviter toute récupération politique».
Je serais juge je prendrait une 10 aine de mec du forum en chien
J leur donerai du viagra et l ets go metre une peruque au violeur
Vous conaisse la suite
J leur donerai du viagra et l ets go metre une peruque au violeur
Vous conaisse la suite
exacte sa se passerai cher les manouche
Il y aurais deja des mec cacher dans le buisson pour les egorger
Il y aurais deja des mec cacher dans le buisson pour les egorger
> Lors du premier procès, le procureur d'Evry avait choisi de dire que ces éléments étaient «faux», car la famille de la victime souhaitait «éviter toute récupération politique».
la boucle
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En garde à vue, le meneur - de nationalité turque - avait notamment indiqué: «Quand je sortirai, je niquerai la France».
Un complice avait pour sa part reconnu s'en être pris à cette jeune fille «parce qu'elle [était] Française et qu'il [n'aimait] pas les Françaises».
Lors du premier procès, le procureur d'Evry avait choisi de dire que ces éléments étaient «faux», car la famille de la victime souhaitait «éviter toute récupération politique».
Un complice avait pour sa part reconnu s'en être pris à cette jeune fille «parce qu'elle [était] Française et qu'il [n'aimait] pas les Françaises».
Lors du premier procès, le procureur d'Evry avait choisi de dire que ces éléments étaient «faux», car la famille de la victime souhaitait «éviter toute récupération politique».