Ce sujet a été résolu
Parce que la france emprunte le même chemin que la grèce (dette supérieurs au PIB, déficit en augmentation), on peut prédire que les mesures d'austérité qu'ils ont subit nous frapperont également à court termes, voici donc la liste des mesures d'austérité qui nous frapperont en 2027 (merci CHATGPT) :
Les mesures d'austérité imposées à la population grecque pendant la crise de la dette souveraine (2009-2018) ont été particulièrement drastiques et ont affecté tous les aspects de la vie quotidienne. Ces mesures étaient des conditions imposées par la Troïka (Union européenne, Banque centrale européenne, et FMI) en échange des plans de sauvetage financiers. Voici un aperçu des principales mesures et leurs impacts :
1. Réductions des salaires et retraites
Baisse des salaires dans le secteur public :
Les fonctionnaires ont subi des réductions de salaire allant de 20 % à 40 %.
Les bonus traditionnels, comme les 13ᵉ et 14ᵉ mois, ont été supprimés pour la plupart des employés publics.
Réduction des retraites :
Les pensions ont été réduites jusqu’à 50 % dans certains cas.
Augmentation de l'âge de départ à la retraite (de 61 à 67 ans progressivement).
Réduction ou suppression des bonus pour les retraités à faible revenu.
2. Augmentation des impôts et nouvelles taxes
Augmentation de la TVA :
La TVA est passée de 19 % à 24 % au fil des années, augmentant le coût de la vie pour tous les consommateurs.
Nouvelles taxes sur la propriété :
Introduction d'une taxe annuelle sur les biens immobiliers, très impopulaire, appelée "taxe ENFIA".
Hausse des taxes sur l'énergie et l'essence :
Les coûts d'électricité, de carburant et de chauffage ont considérablement augmenté.
Augmentation des cotisations sociales :
Les travailleurs ont dû contribuer davantage aux systèmes d’assurance sociale.
3. Réformes du marché du travail
Réduction des droits des travailleurs :
Les salaires minimums ont été réduits (passant de 751 euros à 586 euros brut par mois, et à 510 euros pour les jeunes de moins de 25 ans).
Facilitation des licenciements pour les employeurs.
Privatisations massives :
De nombreuses entreprises publiques (ports, aéroports, chemins de fer, réseaux énergétiques) ont été vendues à des investisseurs étrangers, ce qui a souvent entraîné des suppressions d'emplois.
4. Réductions des dépenses publiques
Coupe dans les services publics :
Fermeture d’écoles et d’hôpitaux pour réduire les coûts.
Réduction du personnel dans les services publics.
Réformes du système de santé :
Moins de financement pour les hôpitaux, ce qui a conduit à une détérioration de la qualité des soins.
Les citoyens ont dû payer davantage pour accéder aux soins médicaux et aux médicaments.
5. Effets sur les prestations sociales
Réduction des allocations sociales :
Moins d’aide pour les chômeurs et les familles à faible revenu.
Restrictions accrues pour accéder aux allocations de chômage.
Augmentation de la pauvreté :
Environ 36 % des Grecs vivaient sous le seuil de pauvreté au plus fort de la crise.
6. Impacts sur la vie quotidienne
Chômage de masse :
Le taux de chômage a atteint un pic de 27,5 % en 2013, avec un chômage des jeunes dépassant 50 %.
Exode de la jeunesse :
Des centaines de milliers de jeunes Grecs qualifiés ont quitté le pays pour trouver un emploi à l'étranger (phénomène appelé "brain drain").
Baisse de la consommation :
Les familles ont dû réduire drastiquement leurs dépenses, affectant les petites entreprises et l’économie locale.
Manifestations massives :
La colère face à ces mesures a provoqué des grèves générales, des émeutes et des manifestations fréquentes.
Bilan des mesures d’austérité :
Ces mesures ont certes permis à la Grèce de réduire son déficit budgétaire et de rester dans la zone euro, mais elles ont également conduit à une profonde récession économique, une augmentation de la pauvreté, et une perte de confiance envers les institutions publiques. La croissance économique et la stabilité sociale restent des défis importants pour le pays.
Et vous, qu'est ce que vous attendez pour vous barrez de ce shit-hole avant 2027 ?
Les mesures d'austérité imposées à la population grecque pendant la crise de la dette souveraine (2009-2018) ont été particulièrement drastiques et ont affecté tous les aspects de la vie quotidienne. Ces mesures étaient des conditions imposées par la Troïka (Union européenne, Banque centrale européenne, et FMI) en échange des plans de sauvetage financiers. Voici un aperçu des principales mesures et leurs impacts :
1. Réductions des salaires et retraites
Baisse des salaires dans le secteur public :
Les fonctionnaires ont subi des réductions de salaire allant de 20 % à 40 %.
Les bonus traditionnels, comme les 13ᵉ et 14ᵉ mois, ont été supprimés pour la plupart des employés publics.
Réduction des retraites :
Les pensions ont été réduites jusqu’à 50 % dans certains cas.
Augmentation de l'âge de départ à la retraite (de 61 à 67 ans progressivement).
Réduction ou suppression des bonus pour les retraités à faible revenu.
2. Augmentation des impôts et nouvelles taxes
Augmentation de la TVA :
La TVA est passée de 19 % à 24 % au fil des années, augmentant le coût de la vie pour tous les consommateurs.
Nouvelles taxes sur la propriété :
Introduction d'une taxe annuelle sur les biens immobiliers, très impopulaire, appelée "taxe ENFIA".
Hausse des taxes sur l'énergie et l'essence :
Les coûts d'électricité, de carburant et de chauffage ont considérablement augmenté.
Augmentation des cotisations sociales :
Les travailleurs ont dû contribuer davantage aux systèmes d’assurance sociale.
3. Réformes du marché du travail
Réduction des droits des travailleurs :
Les salaires minimums ont été réduits (passant de 751 euros à 586 euros brut par mois, et à 510 euros pour les jeunes de moins de 25 ans).
Facilitation des licenciements pour les employeurs.
Privatisations massives :
De nombreuses entreprises publiques (ports, aéroports, chemins de fer, réseaux énergétiques) ont été vendues à des investisseurs étrangers, ce qui a souvent entraîné des suppressions d'emplois.
4. Réductions des dépenses publiques
Coupe dans les services publics :
Fermeture d’écoles et d’hôpitaux pour réduire les coûts.
Réduction du personnel dans les services publics.
Réformes du système de santé :
Moins de financement pour les hôpitaux, ce qui a conduit à une détérioration de la qualité des soins.
Les citoyens ont dû payer davantage pour accéder aux soins médicaux et aux médicaments.
5. Effets sur les prestations sociales
Réduction des allocations sociales :
Moins d’aide pour les chômeurs et les familles à faible revenu.
Restrictions accrues pour accéder aux allocations de chômage.
Augmentation de la pauvreté :
Environ 36 % des Grecs vivaient sous le seuil de pauvreté au plus fort de la crise.
6. Impacts sur la vie quotidienne
Chômage de masse :
Le taux de chômage a atteint un pic de 27,5 % en 2013, avec un chômage des jeunes dépassant 50 %.
Exode de la jeunesse :
Des centaines de milliers de jeunes Grecs qualifiés ont quitté le pays pour trouver un emploi à l'étranger (phénomène appelé "brain drain").
Baisse de la consommation :
Les familles ont dû réduire drastiquement leurs dépenses, affectant les petites entreprises et l’économie locale.
Manifestations massives :
La colère face à ces mesures a provoqué des grèves générales, des émeutes et des manifestations fréquentes.
Bilan des mesures d’austérité :
Ces mesures ont certes permis à la Grèce de réduire son déficit budgétaire et de rester dans la zone euro, mais elles ont également conduit à une profonde récession économique, une augmentation de la pauvreté, et une perte de confiance envers les institutions publiques. La croissance économique et la stabilité sociale restent des défis importants pour le pays.
Et vous, qu'est ce que vous attendez pour vous barrez de ce shit-hole avant 2027 ?
il y a 6 mois
Mistralien
6 mois
Parce que la france emprunte le même chemin que la grèce (dette supérieurs au PIB, déficit en augmentation), on peut prédire que les mesures d'austérité qu'ils ont subit nous frapperont également à court termes, voici donc la liste des mesures d'austérité qui nous frapperont en 2027 (merci CHATGPT) :
Les mesures d'austérité imposées à la population grecque pendant la crise de la dette souveraine (2009-2018) ont été particulièrement drastiques et ont affecté tous les aspects de la vie quotidienne. Ces mesures étaient des conditions imposées par la Troïka (Union européenne, Banque centrale européenne, et FMI) en échange des plans de sauvetage financiers. Voici un aperçu des principales mesures et leurs impacts :
1. Réductions des salaires et retraites
Baisse des salaires dans le secteur public :
Les fonctionnaires ont subi des réductions de salaire allant de 20 % à 40 %.
Les bonus traditionnels, comme les 13ᵉ et 14ᵉ mois, ont été supprimés pour la plupart des employés publics.
Réduction des retraites :
Les pensions ont été réduites jusqu’à 50 % dans certains cas.
Augmentation de l'âge de départ à la retraite (de 61 à 67 ans progressivement).
Réduction ou suppression des bonus pour les retraités à faible revenu.
2. Augmentation des impôts et nouvelles taxes
Augmentation de la TVA :
La TVA est passée de 19 % à 24 % au fil des années, augmentant le coût de la vie pour tous les consommateurs.
Nouvelles taxes sur la propriété :
Introduction d'une taxe annuelle sur les biens immobiliers, très impopulaire, appelée "taxe ENFIA".
Hausse des taxes sur l'énergie et l'essence :
Les coûts d'électricité, de carburant et de chauffage ont considérablement augmenté.
Augmentation des cotisations sociales :
Les travailleurs ont dû contribuer davantage aux systèmes d’assurance sociale.
3. Réformes du marché du travail
Réduction des droits des travailleurs :
Les salaires minimums ont été réduits (passant de 751 euros à 586 euros brut par mois, et à 510 euros pour les jeunes de moins de 25 ans).
Facilitation des licenciements pour les employeurs.
Privatisations massives :
De nombreuses entreprises publiques (ports, aéroports, chemins de fer, réseaux énergétiques) ont été vendues à des investisseurs étrangers, ce qui a souvent entraîné des suppressions d'emplois.
4. Réductions des dépenses publiques
Coupe dans les services publics :
Fermeture d’écoles et d’hôpitaux pour réduire les coûts.
Réduction du personnel dans les services publics.
Réformes du système de santé :
Moins de financement pour les hôpitaux, ce qui a conduit à une détérioration de la qualité des soins.
Les citoyens ont dû payer davantage pour accéder aux soins médicaux et aux médicaments.
5. Effets sur les prestations sociales
Réduction des allocations sociales :
Moins d’aide pour les chômeurs et les familles à faible revenu.
Restrictions accrues pour accéder aux allocations de chômage.
Augmentation de la pauvreté :
Environ 36 % des Grecs vivaient sous le seuil de pauvreté au plus fort de la crise.
6. Impacts sur la vie quotidienne
Chômage de masse :
Le taux de chômage a atteint un pic de 27,5 % en 2013, avec un chômage des jeunes dépassant 50 %.
Exode de la jeunesse :
Des centaines de milliers de jeunes Grecs qualifiés ont quitté le pays pour trouver un emploi à l'étranger (phénomène appelé "brain drain").
Baisse de la consommation :
Les familles ont dû réduire drastiquement leurs dépenses, affectant les petites entreprises et l’économie locale.
Manifestations massives :
La colère face à ces mesures a provoqué des grèves générales, des émeutes et des manifestations fréquentes.
Bilan des mesures d’austérité :
Ces mesures ont certes permis à la Grèce de réduire son déficit budgétaire et de rester dans la zone euro, mais elles ont également conduit à une profonde récession économique, une augmentation de la pauvreté, et une perte de confiance envers les institutions publiques. La croissance économique et la stabilité sociale restent des défis importants pour le pays.
Et vous, qu'est ce que vous attendez pour vous barrez de ce shit-hole avant 2027 ?
Les mesures d'austérité imposées à la population grecque pendant la crise de la dette souveraine (2009-2018) ont été particulièrement drastiques et ont affecté tous les aspects de la vie quotidienne. Ces mesures étaient des conditions imposées par la Troïka (Union européenne, Banque centrale européenne, et FMI) en échange des plans de sauvetage financiers. Voici un aperçu des principales mesures et leurs impacts :
1. Réductions des salaires et retraites
Baisse des salaires dans le secteur public :
Les fonctionnaires ont subi des réductions de salaire allant de 20 % à 40 %.
Les bonus traditionnels, comme les 13ᵉ et 14ᵉ mois, ont été supprimés pour la plupart des employés publics.
Réduction des retraites :
Les pensions ont été réduites jusqu’à 50 % dans certains cas.
Augmentation de l'âge de départ à la retraite (de 61 à 67 ans progressivement).
Réduction ou suppression des bonus pour les retraités à faible revenu.
2. Augmentation des impôts et nouvelles taxes
Augmentation de la TVA :
La TVA est passée de 19 % à 24 % au fil des années, augmentant le coût de la vie pour tous les consommateurs.
Nouvelles taxes sur la propriété :
Introduction d'une taxe annuelle sur les biens immobiliers, très impopulaire, appelée "taxe ENFIA".
Hausse des taxes sur l'énergie et l'essence :
Les coûts d'électricité, de carburant et de chauffage ont considérablement augmenté.
Augmentation des cotisations sociales :
Les travailleurs ont dû contribuer davantage aux systèmes d’assurance sociale.
3. Réformes du marché du travail
Réduction des droits des travailleurs :
Les salaires minimums ont été réduits (passant de 751 euros à 586 euros brut par mois, et à 510 euros pour les jeunes de moins de 25 ans).
Facilitation des licenciements pour les employeurs.
Privatisations massives :
De nombreuses entreprises publiques (ports, aéroports, chemins de fer, réseaux énergétiques) ont été vendues à des investisseurs étrangers, ce qui a souvent entraîné des suppressions d'emplois.
4. Réductions des dépenses publiques
Coupe dans les services publics :
Fermeture d’écoles et d’hôpitaux pour réduire les coûts.
Réduction du personnel dans les services publics.
Réformes du système de santé :
Moins de financement pour les hôpitaux, ce qui a conduit à une détérioration de la qualité des soins.
Les citoyens ont dû payer davantage pour accéder aux soins médicaux et aux médicaments.
5. Effets sur les prestations sociales
Réduction des allocations sociales :
Moins d’aide pour les chômeurs et les familles à faible revenu.
Restrictions accrues pour accéder aux allocations de chômage.
Augmentation de la pauvreté :
Environ 36 % des Grecs vivaient sous le seuil de pauvreté au plus fort de la crise.
6. Impacts sur la vie quotidienne
Chômage de masse :
Le taux de chômage a atteint un pic de 27,5 % en 2013, avec un chômage des jeunes dépassant 50 %.
Exode de la jeunesse :
Des centaines de milliers de jeunes Grecs qualifiés ont quitté le pays pour trouver un emploi à l'étranger (phénomène appelé "brain drain").
Baisse de la consommation :
Les familles ont dû réduire drastiquement leurs dépenses, affectant les petites entreprises et l’économie locale.
Manifestations massives :
La colère face à ces mesures a provoqué des grèves générales, des émeutes et des manifestations fréquentes.
Bilan des mesures d’austérité :
Ces mesures ont certes permis à la Grèce de réduire son déficit budgétaire et de rester dans la zone euro, mais elles ont également conduit à une profonde récession économique, une augmentation de la pauvreté, et une perte de confiance envers les institutions publiques. La croissance économique et la stabilité sociale restent des défis importants pour le pays.
Et vous, qu'est ce que vous attendez pour vous barrez de ce shit-hole avant 2027 ?
Att je vais tester l'IA des chinois
il y a 6 mois
Mistralien
6 mois
Parce que la france emprunte le même chemin que la grèce (dette supérieurs au PIB, déficit en augmentation), on peut prédire que les mesures d'austérité qu'ils ont subit nous frapperont également à court termes, voici donc la liste des mesures d'austérité qui nous frapperont en 2027 (merci CHATGPT) :
Les mesures d'austérité imposées à la population grecque pendant la crise de la dette souveraine (2009-2018) ont été particulièrement drastiques et ont affecté tous les aspects de la vie quotidienne. Ces mesures étaient des conditions imposées par la Troïka (Union européenne, Banque centrale européenne, et FMI) en échange des plans de sauvetage financiers. Voici un aperçu des principales mesures et leurs impacts :
1. Réductions des salaires et retraites
Baisse des salaires dans le secteur public :
Les fonctionnaires ont subi des réductions de salaire allant de 20 % à 40 %.
Les bonus traditionnels, comme les 13ᵉ et 14ᵉ mois, ont été supprimés pour la plupart des employés publics.
Réduction des retraites :
Les pensions ont été réduites jusqu’à 50 % dans certains cas.
Augmentation de l'âge de départ à la retraite (de 61 à 67 ans progressivement).
Réduction ou suppression des bonus pour les retraités à faible revenu.
2. Augmentation des impôts et nouvelles taxes
Augmentation de la TVA :
La TVA est passée de 19 % à 24 % au fil des années, augmentant le coût de la vie pour tous les consommateurs.
Nouvelles taxes sur la propriété :
Introduction d'une taxe annuelle sur les biens immobiliers, très impopulaire, appelée "taxe ENFIA".
Hausse des taxes sur l'énergie et l'essence :
Les coûts d'électricité, de carburant et de chauffage ont considérablement augmenté.
Augmentation des cotisations sociales :
Les travailleurs ont dû contribuer davantage aux systèmes d’assurance sociale.
3. Réformes du marché du travail
Réduction des droits des travailleurs :
Les salaires minimums ont été réduits (passant de 751 euros à 586 euros brut par mois, et à 510 euros pour les jeunes de moins de 25 ans).
Facilitation des licenciements pour les employeurs.
Privatisations massives :
De nombreuses entreprises publiques (ports, aéroports, chemins de fer, réseaux énergétiques) ont été vendues à des investisseurs étrangers, ce qui a souvent entraîné des suppressions d'emplois.
4. Réductions des dépenses publiques
Coupe dans les services publics :
Fermeture d’écoles et d’hôpitaux pour réduire les coûts.
Réduction du personnel dans les services publics.
Réformes du système de santé :
Moins de financement pour les hôpitaux, ce qui a conduit à une détérioration de la qualité des soins.
Les citoyens ont dû payer davantage pour accéder aux soins médicaux et aux médicaments.
5. Effets sur les prestations sociales
Réduction des allocations sociales :
Moins d’aide pour les chômeurs et les familles à faible revenu.
Restrictions accrues pour accéder aux allocations de chômage.
Augmentation de la pauvreté :
Environ 36 % des Grecs vivaient sous le seuil de pauvreté au plus fort de la crise.
6. Impacts sur la vie quotidienne
Chômage de masse :
Le taux de chômage a atteint un pic de 27,5 % en 2013, avec un chômage des jeunes dépassant 50 %.
Exode de la jeunesse :
Des centaines de milliers de jeunes Grecs qualifiés ont quitté le pays pour trouver un emploi à l'étranger (phénomène appelé "brain drain").
Baisse de la consommation :
Les familles ont dû réduire drastiquement leurs dépenses, affectant les petites entreprises et l’économie locale.
Manifestations massives :
La colère face à ces mesures a provoqué des grèves générales, des émeutes et des manifestations fréquentes.
Bilan des mesures d’austérité :
Ces mesures ont certes permis à la Grèce de réduire son déficit budgétaire et de rester dans la zone euro, mais elles ont également conduit à une profonde récession économique, une augmentation de la pauvreté, et une perte de confiance envers les institutions publiques. La croissance économique et la stabilité sociale restent des défis importants pour le pays.
Et vous, qu'est ce que vous attendez pour vous barrez de ce shit-hole avant 2027 ?
Les mesures d'austérité imposées à la population grecque pendant la crise de la dette souveraine (2009-2018) ont été particulièrement drastiques et ont affecté tous les aspects de la vie quotidienne. Ces mesures étaient des conditions imposées par la Troïka (Union européenne, Banque centrale européenne, et FMI) en échange des plans de sauvetage financiers. Voici un aperçu des principales mesures et leurs impacts :
1. Réductions des salaires et retraites
Baisse des salaires dans le secteur public :
Les fonctionnaires ont subi des réductions de salaire allant de 20 % à 40 %.
Les bonus traditionnels, comme les 13ᵉ et 14ᵉ mois, ont été supprimés pour la plupart des employés publics.
Réduction des retraites :
Les pensions ont été réduites jusqu’à 50 % dans certains cas.
Augmentation de l'âge de départ à la retraite (de 61 à 67 ans progressivement).
Réduction ou suppression des bonus pour les retraités à faible revenu.
2. Augmentation des impôts et nouvelles taxes
Augmentation de la TVA :
La TVA est passée de 19 % à 24 % au fil des années, augmentant le coût de la vie pour tous les consommateurs.
Nouvelles taxes sur la propriété :
Introduction d'une taxe annuelle sur les biens immobiliers, très impopulaire, appelée "taxe ENFIA".
Hausse des taxes sur l'énergie et l'essence :
Les coûts d'électricité, de carburant et de chauffage ont considérablement augmenté.
Augmentation des cotisations sociales :
Les travailleurs ont dû contribuer davantage aux systèmes d’assurance sociale.
3. Réformes du marché du travail
Réduction des droits des travailleurs :
Les salaires minimums ont été réduits (passant de 751 euros à 586 euros brut par mois, et à 510 euros pour les jeunes de moins de 25 ans).
Facilitation des licenciements pour les employeurs.
Privatisations massives :
De nombreuses entreprises publiques (ports, aéroports, chemins de fer, réseaux énergétiques) ont été vendues à des investisseurs étrangers, ce qui a souvent entraîné des suppressions d'emplois.
4. Réductions des dépenses publiques
Coupe dans les services publics :
Fermeture d’écoles et d’hôpitaux pour réduire les coûts.
Réduction du personnel dans les services publics.
Réformes du système de santé :
Moins de financement pour les hôpitaux, ce qui a conduit à une détérioration de la qualité des soins.
Les citoyens ont dû payer davantage pour accéder aux soins médicaux et aux médicaments.
5. Effets sur les prestations sociales
Réduction des allocations sociales :
Moins d’aide pour les chômeurs et les familles à faible revenu.
Restrictions accrues pour accéder aux allocations de chômage.
Augmentation de la pauvreté :
Environ 36 % des Grecs vivaient sous le seuil de pauvreté au plus fort de la crise.
6. Impacts sur la vie quotidienne
Chômage de masse :
Le taux de chômage a atteint un pic de 27,5 % en 2013, avec un chômage des jeunes dépassant 50 %.
Exode de la jeunesse :
Des centaines de milliers de jeunes Grecs qualifiés ont quitté le pays pour trouver un emploi à l'étranger (phénomène appelé "brain drain").
Baisse de la consommation :
Les familles ont dû réduire drastiquement leurs dépenses, affectant les petites entreprises et l’économie locale.
Manifestations massives :
La colère face à ces mesures a provoqué des grèves générales, des émeutes et des manifestations fréquentes.
Bilan des mesures d’austérité :
Ces mesures ont certes permis à la Grèce de réduire son déficit budgétaire et de rester dans la zone euro, mais elles ont également conduit à une profonde récession économique, une augmentation de la pauvreté, et une perte de confiance envers les institutions publiques. La croissance économique et la stabilité sociale restent des défis importants pour le pays.
Et vous, qu'est ce que vous attendez pour vous barrez de ce shit-hole avant 2027 ?
6. Investissements stratégiques
Transition écologique et numérique : Orienter les investissements publics vers des secteurs porteurs d'avenir, comme la transition énergétique, qui peuvent générer des retours économiques à long terme.
Faut mettre des éoliennes apparemment ça aide a baisser la dette
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Faut mettre des éoliennes apparemment ça aide a baisser la dette
il y a 6 mois