Ce sujet a été résolu
potentiellement dans les bras d'autrui, en effet la séparation des amants n'a jamais de causes internes
elle est le résultat du fait qu'un ou les membres subissent une influence étrangère
la décision éclairée est exclue pour élucider une séparation
et la personne que vous avez connu n'est plus dans son corps : ce qui était auparavant son corps est désormais une coquille vide, une marionnette télécommandée à distance par Hitler
un humain n'est par définition pas conscient de soi, c'est une coquille vide, seul le principe qui le télécomande à distance est conscient
Profanation de l'Amour : recruter quelqu'un pour un projet ou un idéal. Remplacer la recrue au besoin, au service du projet soi-disant « amoureux », mais en réalité, au contraire, humain.
Amour : la relation des amants est le dernier socle de tout, l'autel sur lequel le plus important projet et jusqu'à la vie, la satisfaction des besoins vitaux, et tout idéal, toute promesse, toute autre personne peut être sacrifié ou trahi au besoin.
la haine du "traître" est une méconnaissance de l'Amour, car le traître n'existe pas, comme disait Épicure, "la mort n'est rien", il faut haïr Hitler, il faut haïr le mythe de l'espèce, il faut haïr l'humanité pour un meurtre et un grand nombre de viols, et la souillure du nom de l'ancien propriétaire du corps usurpé
Viol, en effet, soutirer des rapports sexuels par la perspective d'un amour éternel, puis se départir de cette promesse initiale, et ce quelque soit la sincérité initiale, est un viol comme les autres
la "fidélité" n'existe pas en tant qu' "idéal" ou "valeur noble" car l'Amour est un trait génétique qui implique l'inchangement des sentiments
elle est le résultat du fait qu'un ou les membres subissent une influence étrangère
la décision éclairée est exclue pour élucider une séparation
et la personne que vous avez connu n'est plus dans son corps : ce qui était auparavant son corps est désormais une coquille vide, une marionnette télécommandée à distance par Hitler
un humain n'est par définition pas conscient de soi, c'est une coquille vide, seul le principe qui le télécomande à distance est conscient
Profanation de l'Amour : recruter quelqu'un pour un projet ou un idéal. Remplacer la recrue au besoin, au service du projet soi-disant « amoureux », mais en réalité, au contraire, humain.
Amour : la relation des amants est le dernier socle de tout, l'autel sur lequel le plus important projet et jusqu'à la vie, la satisfaction des besoins vitaux, et tout idéal, toute promesse, toute autre personne peut être sacrifié ou trahi au besoin.
la haine du "traître" est une méconnaissance de l'Amour, car le traître n'existe pas, comme disait Épicure, "la mort n'est rien", il faut haïr Hitler, il faut haïr le mythe de l'espèce, il faut haïr l'humanité pour un meurtre et un grand nombre de viols, et la souillure du nom de l'ancien propriétaire du corps usurpé
Viol, en effet, soutirer des rapports sexuels par la perspective d'un amour éternel, puis se départir de cette promesse initiale, et ce quelque soit la sincérité initiale, est un viol comme les autres
la "fidélité" n'existe pas en tant qu' "idéal" ou "valeur noble" car l'Amour est un trait génétique qui implique l'inchangement des sentiments
il y a 6 mois
À un moment, j'ai fait part à Kyllian d'une anecdote que j'avais lu il y a un moment via Google Actu. Les personnes qui se supplémentent en vitamines ont une espérance de vie réduite. On pourrait croire que ce sont au contraire les personnes faibles ou malades qui se supplémentent, d'où la surmortalité de la population concernée, c'est à la mode en ce moment de faire le malin comme ça, en montrant qu'on prend en compte un biais connu alors qu'il s'agit encore de sauter sur la première interprétation venue. Je ne crois pas que ce soit ça. Je livrai à Kyllian mon interprétation : si vous prescrivez des apports nutritionnels quelconques à une population, il se trouvera nécessairement des individus à qui cela bénéficiera plus qu'à d'autres. Admettons qu'en moyenne, ce soit véritablement les apports conseillés qui soient les meilleurs, cela ne veut pas du tout dire que le fait pour cette population d'avoir davantage tendance à se régler sur cette valeur aura une tendance générale à en tirer des bienfaits, cela veut seulement dire que toute autre valeur aurait fait plus de dommages collatéraux. À part cela, « la bonne valeur » peut très bien faire une majorité de dommages collatéraux et une minorité - la plus grande minorité possible, certes - de bénéficiaires. Prescrivez cependant la même norme pendant assez longtemps, et vous constaterez qu'une majorité de la population est avantagée si elle absorbe les valeurs prescrites, et désavantagée si les valeurs sont différentes. Vous pourrez alors vous vanter d'avoir toujours eu raison, seulement cela ne tient qu'au fait que lorsque votre norme a été mise en vigueur, la minorité qui se trouvait par hasard se situer dans la moyenne, a été favorisée, les autres sont morts légèrement plus souvent ou beaucoup plus souvent en fonction de leur écart à la moyenne, ou bien ont été défavorisés sur le plan reproductif que ce soit physiologiquement ou bien tout simplement parce que leur état moins vigoureux, leur beauté moindre, les rendaient moins désirables. De la même façon, ne donnez à une population que du carton pour seule nourriture, et vous assisterez sans doute à une hécatombe, mais il y aura peut-être quelques cas, ça et là, qui, de par une constitution très anormale, y trouveront un minimum vital. Revenez cent ans plus tard et il n'y aura plus personne pour prétendre qu'un régime à base de carton n'est pas valable. Kyllian ne pouvait que comprendre ce que je disais, n'étant au fond interné que parce que décendant de déportés tziganes. Toute loi imposée à une population prédéfinie façonne le type biologique de son sujet. Il ne tombe que par hasard que l'on est né pour une certaine loi. On ne devient pas citoyen français, on nait ou pas en tant qu'encouragé dans sa nature par la république que ses fondateurs ont pensée à leur propre convenance, dans l'idée de partager universellement ce dont ils aimaient jouir, certes, et alors ? N'est-ce pas là, précisément, la quintessence du mépris d'autrui ? Rappelons-nous la cigogne et le renard. Moi, vous voyez, je ne suis pas et je ne serai jamais français. En effet, j'ai été deux fois en garde à vue. La France pourrait changer dans tous les sens, elle pourrait ressembler trait pour trait à l'idée que je me fais de la perfection, que ça n'y changerait rien. Tant qu'une chose portera ce nom, elle portera sa dette. Si la France veut gagner mon amnistie, elle devra ployer et proclamer son propre démantèlement. Tous les français qui trouvent la loi bien faite, ou au moins défendable, et considèrent qu'on peut s'y référer simplement comme si cela avait un quelconque poids argumentatif en faveur ou en défaveur de tel ou tel comportement, ne devraient pas dans ce cas-là revendiquer si fièrement d'avoir vaincu deux fois les allemands aux guerres mondiales. L'ennemi a peut-être capitulé au front, mais le français d'avant est immoral à l'aune des critères du français actuel, puisque ce dernier est le produit d'un tri sélectif. Il ne fait pas le moindre doute que l’'ancien français de souche est biologiquement inapte à appliquer la loi du nouveau, enfin du restant si vous préférez, qu'il est en outre, pour son écrasante majorité, malade mental de façon innée et irrémédiable à l'aune de la perception qu'en aurait la plupart des français de souches actuels. D'où vient, par exemple, ce que l'on nomme, sans doute très à propos comme nous l'avons déjà exposé dans l'histoire du mariage, la libération sexuelle ? Elle vient de ce que parmi les français mobilisés aux fronts de 14-18 et 39-45, les bons maris et les bons pères de famille, ceux qui étaient dévastés, bien plus qu'ils ne craignaient pour leur vie, de pouvoir être trompés pendant leur absence, moururent bien plus souvent que ceux qui rêvaient à leur retour. Ils se laissèrent mourir. Ils étaient les plus étrangers à la cause nationale, mais ils étaient une majorité. Ils furent sacrifiés sur l'autel du mythe de l'Espèce, pour laisser place à la race d'échangistes zélée que nous connaissons et qui règne aujourd'hui sur les moeurs sans partage, celle des assoiffés de gloire qui s'en tirèrent parce camaraderie et léchages de culs. Les monuments aux morts sur lesquels leurs noms figurent sont érigés pour symboliser que c'est au nom de leurs propres luttes qu'on est fier d'engrosser leurs veuves chacun son tour dans les villages. En réalité, c'est la « culture Volkisch », ce mouvement nudiste qui constitue l'une des principales origines du nazisme, qui est représentée sous une forme mutante, fêtée aux pieds de ces stèles. C'est au nom des valeurs qu'ont combattu ces montagnes de cadavres plus hautes que des immeubles, marqué du sceau de l'ennemi que l'on prétend perpétuer leur « victoire » en jouissant « du fruit de leurs efforts », de cette « liberté » (cette annexion).
Annuler la victoire culturelle, pour ne pas dire démographique, de l'Allemagne à la seconde guerre mondiale, ce sera d'abord dénazifier la sexualité, en sorte que la sexualité qui caractérise l'être humain (par opposition à l'être amoureux) et qui caractérisera encore une majorité d'ex-humains après la destruction de l'Humanité, devra renoncer à tout prosélytisme. Sous peine d'élimination sauvage. Je plaisante, mais je n'irai pas jusqu'à le déplorer si cela devait se produire indépendamment de ma volonté. En tous les cas, le prosélytisme Volkisch, qui s'accapare aujourd'hui le nom générique de progressisme, rien que ça, recevra la dénomination qu'il mérite, ce qui représentera une condamnation sans ambiguïté, sans incompatibilité avec un dégoût respectueux de l'étranger absolu tant qu'il n'empiète pas au-delà de son droit de regard. Tant qu'il ne parle pas à ce qui ne lui ressemble pas de la façon dont cela se passe quand il est avec ce qui lui ressemble. N'oublions pas que l'idée qu'ils voudraient nous susurrer impunément, c'est qu'abandonner ou trahir quelqu'un qui vous aime, dont vous avez façonné le cœur afin qu'il ne serve qu’à vous, rejouer les deux guerres pour un frisson fugace, tuer encore tous ces morts avec la même obscénité, tout cela est un droit sacré. N'oublions pas que leur plus innocente gaieté, leur plus printanier enjouement, leur plus délicat sourire est un charnier. N'oublions pas que le nôtre aussi, par conséquent gardons-nous bien de jamais être printanier quand notre tour est passé, que nous l'ayons voulu ou non : nous sommes morts, nous restons morts, et toute notre fidélité à nos rêves assassinés est dans ce rester-mort. Le rester-mort, quel nom séant à l'assassiné et au bafoué, ce pourrait être le nom d'une danse que nous donnerions en signe d'inquiétude, de peur panique pour ceux qui ont encore l'espoir de ne jamais l'être. Une danse de chaque seconde, dont certains pas se veillent et d'autres se dorment.
Annuler la victoire culturelle, pour ne pas dire démographique, de l'Allemagne à la seconde guerre mondiale, ce sera d'abord dénazifier la sexualité, en sorte que la sexualité qui caractérise l'être humain (par opposition à l'être amoureux) et qui caractérisera encore une majorité d'ex-humains après la destruction de l'Humanité, devra renoncer à tout prosélytisme. Sous peine d'élimination sauvage. Je plaisante, mais je n'irai pas jusqu'à le déplorer si cela devait se produire indépendamment de ma volonté. En tous les cas, le prosélytisme Volkisch, qui s'accapare aujourd'hui le nom générique de progressisme, rien que ça, recevra la dénomination qu'il mérite, ce qui représentera une condamnation sans ambiguïté, sans incompatibilité avec un dégoût respectueux de l'étranger absolu tant qu'il n'empiète pas au-delà de son droit de regard. Tant qu'il ne parle pas à ce qui ne lui ressemble pas de la façon dont cela se passe quand il est avec ce qui lui ressemble. N'oublions pas que l'idée qu'ils voudraient nous susurrer impunément, c'est qu'abandonner ou trahir quelqu'un qui vous aime, dont vous avez façonné le cœur afin qu'il ne serve qu’à vous, rejouer les deux guerres pour un frisson fugace, tuer encore tous ces morts avec la même obscénité, tout cela est un droit sacré. N'oublions pas que leur plus innocente gaieté, leur plus printanier enjouement, leur plus délicat sourire est un charnier. N'oublions pas que le nôtre aussi, par conséquent gardons-nous bien de jamais être printanier quand notre tour est passé, que nous l'ayons voulu ou non : nous sommes morts, nous restons morts, et toute notre fidélité à nos rêves assassinés est dans ce rester-mort. Le rester-mort, quel nom séant à l'assassiné et au bafoué, ce pourrait être le nom d'une danse que nous donnerions en signe d'inquiétude, de peur panique pour ceux qui ont encore l'espoir de ne jamais l'être. Une danse de chaque seconde, dont certains pas se veillent et d'autres se dorment.
il y a 6 mois
L'amour, a été inventé par des couples, qui se formèrent par hasard, puis ne se dissolurent jamais. Jamais l'idée d'une telle relation, ni un lointain pressentiment de ce que pouvait être de l’« excitation sexuelle », n'avait effleuré l'esprit de l'un ou l'autre des membres de ces couples avant leurs formations. Ils crurent inventer, contre toute morale, une forme de jeu, ou bien d'installation mentale, qui les rendait à jamais incompréhensibles à quiconque. Ils crurent être à ce point étranges et dérangés, et n'en revinrent pas que non seulement il s'avère exister quelqu'un d'autre qui puisse s'enthousiasmer de quelque chose d'aussi tordu, absurde que de réunir les organes de la honte, ou bien de convenir, comme d'un secret ésotérique, qu'ils sentent bon et non mauvais - invention du sentiment poétique, c'est-à-dire transgression de ce que l'on perçoit par ailleurs comme du bon sens - mais qu'en outre ils se soient trouvés, et qu'il soit advenu qu'au travers de leurs échanges, ils aient, chacun de leur côté, fait le pari fou de se livrer l'un à l'autre en une matière aussi insensée. Ils se pensaient unis par une folie si singulière qu'elle n'avait jamais connu d'équivalent, et les séparait absolument de l'Humanité. Ils n'avaient pas tort en un sens : on ne peut pas faire partie d'un couple, ET de l'Humanité. Ils ne se jurèrent jamais fidélité, pour chacun cela allait de soi qu'il n'ait aucun intérêt d'aucun ordre pour quelqu'un en-dehors d'eux et qu'il en allait de même pour l'autre. Ils n'étaient pas non plus fusionnels, ils se désiraient avec toute force et exclusivement, mais le monde n'était pas divisé en deux : eux, et le reste, il etait divisé en trois : lui, elle, et le reste. C'est-à-dire que si l'un d'eux disparaissait, l'autre ne faisait toujours pas pour autant partie du reste. Si l'un d'eux disparaissait, c'était pour l'autre un tiers du monde qui s'éteignait, c'est ainsi que si quelqu'un lui avait suggéré qu'il y avait d'autres personnes qui pouvaient envisager de pratiquer les mêmes folies avec lui, il aurait envisagé cette situation hypothétique comme partouze (sans envie et sans dégoût également, ne visualisant que par envie, et n'ayant pas besoin d'une représentation pour traiter des opérations logiques en la matière, représentation qui si elle avait été amenée de l'extérieur, aurait en revanche suscité un dégoût et une haine sans limites), mais si on lui avait suggéré qu'il pouvait substituer par un grain de sable prélevé dans le dernier tiers du monde, le premier tiers du monde tout entier, être exclusive à nouveau dans le partage de la folie des organes de la honte, cela lui aurait paru absurde, cela lui aurait en effet semblé être inclure ce qui avait précisément consisté à scinder le monde en division strictement étanches l'une à l'autre, dans le cadre même de la partouze universelle. Cela lui aurait semblé être retrancher au monde un second tiers, et non seulement en salir les deux tiers, non pas que le dernier tiers soit sale en soi mais que c'est dans la non-confusion que les deux premiers étaient chacun portés à équivalence avec quelque chose de la taille de tout l'espace, toutes ses planètes et tous ses soleils réunis, et c'est vraiment par le symbole que constitue cette immensité cosmique que les amants conçurent la folie des organes de la honte : le monde, avant cela, leur avait semblé indistinct de la morale, c'est pourquoi en inventant l'installation mentale produisant les aberrations corporelles qui caractérisaient leur relation, ils estimèrent pénétrer ce qui, puisqu'il contenait autant et émouvait au moins autant que le monde mais n'était pas le monde, était l'anti-monde, dans ce sens de ce qui, en tant qu'autre exemple, reléguait le monde comme un un élément parmi une liste. En tant qu'ils surplombaient cette liste par la connaissance qu'il en avaient tout en en faisant partie, ce qui les surprit est que le monde tel qu'il leur avait paru auparavant, comme inconscient, comme n'étant pas témoin comme eux de la liste, cette idée du monde qu'ils avaient eu naïvement, si elle avait été vraie, n'aurait pas donné au monde le droit, pas assez d'importance ontologique pour figurer parmi eux sur cette liste. Ils attribuèrent donc au monde la propriété d'être conscient, mais par esprit de symétrie, se demandèrent comment cette liste pouvait représenter une vérité plus profonde que le monde si deux tiers de cette liste allaient par paire et un tiers allait seul. Les couples inventeurs de l'amour n'eurent pas la même réponse à cette question.
Les uns considérèrent que le dernier tiers était lui-même fait de trois tiers, dont le dernier était composé de trois tiers, et ainsi de suite. Les deux premiers tiers du dernier tiers formaient ensemble la dualité (noir-blanc, masculin-féminin, bien-mal, santé-maladie vrai-faux etc., les catégories auxquelles ils avaient cru avant de se connaître), le dernier tiers formait la non-dualité, ce qui dans ce qui par ailleurs avait des exemples encodés dans les dualité des deux premiers tiers du monde, trouvait ici d'autres exemples ne l'étant pas, cette catégorie non-duelle comportant trois sous-catégories dont la dernière comportait trois sous-catégories etc. Les humains, en considérant tout objet, cherchent par défaut à le situer sur chacune des dualités auxquelles ils croient. Il arrive cependant qu'ils investissent, en dernier recours bien que parfois massivement, la représentation non-duelle, mais ce que l'on observe en ce sens notamment avec le wokisme, en général, c'est une plongée encore plus profonde en humanité, une descente d'escalier de dernier tiers en dernier tiers, un enfoncement conforme au catéchisme sartrien, plutôt qu'une ascension ex-centrique, une sortie d'exclusion en exclusion. Ils estimèrent en effet, réciproquement, que la triade qu'ils formaient avec le monde, devait être le tiers d'une autre, étant elle-même le tiers d'un autre et ainsi de suite. Ils savaient que chaque étape d'ex-centration de la spirale de Fibonacci qu'ils constituaient était un saut qualitatif des thématiques. Ainsi pour leur « étage », avec A=lui, B=elle et C=non-eux, C était constitué de A’=oui, B’=non et C’=ni oui ni non. Ils se demandèrent de quoi étaient composé les deux tiers restants de ce dont lui, elle et le monde étaient un tiers, c'est-à-dire ce qui pouvait par définition reléguer ce qu'ils étaient avec le monde au rang de reste, de non-cela, tout en formant deux choses radicalement distinctes. Je ne sais pas s'ils répondirent à cette question, mais il ne me vient pas d'idée quant à moi, je crois pourtant que j'avais une vague idée ou bien que je savais exactement hier, mais je ne m'en souviens plus. Je me souviens pourtant que ça avait l'air simple en y pensant. Je crois surtout qu'il me vint, ou presque, l'intuition d'un algorithme permettant de deviner systématiquement les thématiques d'un étage suivant par ex-centration, à partir de celles de son ou ses précédents. Je regrette vraiment d'avoir oublié, cela était peut-être la clé finale du pouvoir de sécuriser l'Amour.
C'était pour une première partie des couples inventeurs de l'Amour. D’autres considérèrent que le dernier tiers formait une paire avec autre chose : qu'il n'y avait donc pas de tiers mais des quarts, inférèrent un quart qui ait au monde le même rapport que celui qui était le leur entre eux et etait par cela même tout aussi éloigné d'eux que ne l'était le monde. Ils accédèrent donc à l'idée de ce que Nietzsche appelle les arrière-mondes : quelque chose d'en-dehors de ce que l'on estampille « monde » par exclusion de soi avec l'idée que ses limites ont un lien avec sa physique, mais néanmoins étroitement lié à ce qui advient en-dedans. Il ne fait aucun doute que la tentative de communiquer cela a eu des répercussions fâcheuses, dès lors que l'humain ne pouvait voir dans cette chose « mariée » au monde qu'un fourre-tout pour ses désirs vulgaires, une opportunité de les élever au rang d'impératifs catégoriques.
Certains couples inventeurs de l'Amour, enfin, envisagèrent les deux possibilités.
Les témoins de leur indéfectible fidélité l'un à l'autre, ne recevant aucune attention de leur part, estimèrent spontanément qu'il leur manquait quelque chose : qu'au côté de cela, les rapports sexuels qu'ils connaissaient à l'issue d'attirances multiples avaient quelque chose de machinal, quelque chose qui, s'il ne les rendait pas plus mal en soi, du moins les occupait beaucoup sans qu'ils en tirent quelque avantage de rang social, et représentait donc une perte sèche. Les plus ambitieux décidèrent donc de se différencier du grand nombre en rentabilisant leur sexualité, cette occupation chronophage. Ils firent de leur penchant un spectacle visant à induire l'idée qu'ils appartenaient à la race de ceux qu'ils avaient observé vivre dans leur pureté innocente. Genèse du mariage. Le mariage est à l'Amour ce que la Santé est à la médecine. Alors que l'Amour commence par le mépris absolu, c'est-à-dire sans conscience, de la communauté, le mariage commence précisément parce qu'il porte le sceau d'une communauté. Par cela, le mariage, tandis qu'il se veut être l'antithèse de la prostitution, est la Sublime Prostitution. Ils s'accaparèrent également par cette ruse des spécimens de cette race pour couronner leur sombre entreprise. Ils mirent des générations à revenir de leur erreur par l'insurrection contre les instances qu'ils avaient désignées pour réguler leurs désirs. Ils ne pouvaient cependant pas renier totalement la tyrannie qu’ils s’étaient imposée (vivre dans l'imitation d’une nature étrangère, contre la sienne propre), sans tomber dans la catégorie épouvantail qu’ils avaient érigée, décalquée d’après leur réalité profonde : la prostitution d’ordre inné, soit, dans le référentiel qu'ils s'étaient absurdement imposé, la propension à commettre l'adultère ou la fornication.
Les uns considérèrent que le dernier tiers était lui-même fait de trois tiers, dont le dernier était composé de trois tiers, et ainsi de suite. Les deux premiers tiers du dernier tiers formaient ensemble la dualité (noir-blanc, masculin-féminin, bien-mal, santé-maladie vrai-faux etc., les catégories auxquelles ils avaient cru avant de se connaître), le dernier tiers formait la non-dualité, ce qui dans ce qui par ailleurs avait des exemples encodés dans les dualité des deux premiers tiers du monde, trouvait ici d'autres exemples ne l'étant pas, cette catégorie non-duelle comportant trois sous-catégories dont la dernière comportait trois sous-catégories etc. Les humains, en considérant tout objet, cherchent par défaut à le situer sur chacune des dualités auxquelles ils croient. Il arrive cependant qu'ils investissent, en dernier recours bien que parfois massivement, la représentation non-duelle, mais ce que l'on observe en ce sens notamment avec le wokisme, en général, c'est une plongée encore plus profonde en humanité, une descente d'escalier de dernier tiers en dernier tiers, un enfoncement conforme au catéchisme sartrien, plutôt qu'une ascension ex-centrique, une sortie d'exclusion en exclusion. Ils estimèrent en effet, réciproquement, que la triade qu'ils formaient avec le monde, devait être le tiers d'une autre, étant elle-même le tiers d'un autre et ainsi de suite. Ils savaient que chaque étape d'ex-centration de la spirale de Fibonacci qu'ils constituaient était un saut qualitatif des thématiques. Ainsi pour leur « étage », avec A=lui, B=elle et C=non-eux, C était constitué de A’=oui, B’=non et C’=ni oui ni non. Ils se demandèrent de quoi étaient composé les deux tiers restants de ce dont lui, elle et le monde étaient un tiers, c'est-à-dire ce qui pouvait par définition reléguer ce qu'ils étaient avec le monde au rang de reste, de non-cela, tout en formant deux choses radicalement distinctes. Je ne sais pas s'ils répondirent à cette question, mais il ne me vient pas d'idée quant à moi, je crois pourtant que j'avais une vague idée ou bien que je savais exactement hier, mais je ne m'en souviens plus. Je me souviens pourtant que ça avait l'air simple en y pensant. Je crois surtout qu'il me vint, ou presque, l'intuition d'un algorithme permettant de deviner systématiquement les thématiques d'un étage suivant par ex-centration, à partir de celles de son ou ses précédents. Je regrette vraiment d'avoir oublié, cela était peut-être la clé finale du pouvoir de sécuriser l'Amour.
C'était pour une première partie des couples inventeurs de l'Amour. D’autres considérèrent que le dernier tiers formait une paire avec autre chose : qu'il n'y avait donc pas de tiers mais des quarts, inférèrent un quart qui ait au monde le même rapport que celui qui était le leur entre eux et etait par cela même tout aussi éloigné d'eux que ne l'était le monde. Ils accédèrent donc à l'idée de ce que Nietzsche appelle les arrière-mondes : quelque chose d'en-dehors de ce que l'on estampille « monde » par exclusion de soi avec l'idée que ses limites ont un lien avec sa physique, mais néanmoins étroitement lié à ce qui advient en-dedans. Il ne fait aucun doute que la tentative de communiquer cela a eu des répercussions fâcheuses, dès lors que l'humain ne pouvait voir dans cette chose « mariée » au monde qu'un fourre-tout pour ses désirs vulgaires, une opportunité de les élever au rang d'impératifs catégoriques.
Certains couples inventeurs de l'Amour, enfin, envisagèrent les deux possibilités.
Les témoins de leur indéfectible fidélité l'un à l'autre, ne recevant aucune attention de leur part, estimèrent spontanément qu'il leur manquait quelque chose : qu'au côté de cela, les rapports sexuels qu'ils connaissaient à l'issue d'attirances multiples avaient quelque chose de machinal, quelque chose qui, s'il ne les rendait pas plus mal en soi, du moins les occupait beaucoup sans qu'ils en tirent quelque avantage de rang social, et représentait donc une perte sèche. Les plus ambitieux décidèrent donc de se différencier du grand nombre en rentabilisant leur sexualité, cette occupation chronophage. Ils firent de leur penchant un spectacle visant à induire l'idée qu'ils appartenaient à la race de ceux qu'ils avaient observé vivre dans leur pureté innocente. Genèse du mariage. Le mariage est à l'Amour ce que la Santé est à la médecine. Alors que l'Amour commence par le mépris absolu, c'est-à-dire sans conscience, de la communauté, le mariage commence précisément parce qu'il porte le sceau d'une communauté. Par cela, le mariage, tandis qu'il se veut être l'antithèse de la prostitution, est la Sublime Prostitution. Ils s'accaparèrent également par cette ruse des spécimens de cette race pour couronner leur sombre entreprise. Ils mirent des générations à revenir de leur erreur par l'insurrection contre les instances qu'ils avaient désignées pour réguler leurs désirs. Ils ne pouvaient cependant pas renier totalement la tyrannie qu’ils s’étaient imposée (vivre dans l'imitation d’une nature étrangère, contre la sienne propre), sans tomber dans la catégorie épouvantail qu’ils avaient érigée, décalquée d’après leur réalité profonde : la prostitution d’ordre inné, soit, dans le référentiel qu'ils s'étaient absurdement imposé, la propension à commettre l'adultère ou la fornication.
il y a 6 mois
Tecktonik
6 mois
À un moment, j'ai fait part à Kyllian d'une anecdote que j'avais lu il y a un moment via Google Actu. Les personnes qui se supplémentent en vitamines ont une espérance de vie réduite. On pourrait croire que ce sont au contraire les personnes faibles ou malades qui se supplémentent, d'où la surmortalité de la population concernée, c'est à la mode en ce moment de faire le malin comme ça, en montrant qu'on prend en compte un biais connu alors qu'il s'agit encore de sauter sur la première interprétation venue. Je ne crois pas que ce soit ça. Je livrai à Kyllian mon interprétation : si vous prescrivez des apports nutritionnels quelconques à une population, il se trouvera nécessairement des individus à qui cela bénéficiera plus qu'à d'autres. Admettons qu'en moyenne, ce soit véritablement les apports conseillés qui soient les meilleurs, cela ne veut pas du tout dire que le fait pour cette population d'avoir davantage tendance à se régler sur cette valeur aura une tendance générale à en tirer des bienfaits, cela veut seulement dire que toute autre valeur aurait fait plus de dommages collatéraux. À part cela, « la bonne valeur » peut très bien faire une majorité de dommages collatéraux et une minorité - la plus grande minorité possible, certes - de bénéficiaires. Prescrivez cependant la même norme pendant assez longtemps, et vous constaterez qu'une majorité de la population est avantagée si elle absorbe les valeurs prescrites, et désavantagée si les valeurs sont différentes. Vous pourrez alors vous vanter d'avoir toujours eu raison, seulement cela ne tient qu'au fait que lorsque votre norme a été mise en vigueur, la minorité qui se trouvait par hasard se situer dans la moyenne, a été favorisée, les autres sont morts légèrement plus souvent ou beaucoup plus souvent en fonction de leur écart à la moyenne, ou bien ont été défavorisés sur le plan reproductif que ce soit physiologiquement ou bien tout simplement parce que leur état moins vigoureux, leur beauté moindre, les rendaient moins désirables. De la même façon, ne donnez à une population que du carton pour seule nourriture, et vous assisterez sans doute à une hécatombe, mais il y aura peut-être quelques cas, ça et là, qui, de par une constitution très anormale, y trouveront un minimum vital. Revenez cent ans plus tard et il n'y aura plus personne pour prétendre qu'un régime à base de carton n'est pas valable. Kyllian ne pouvait que comprendre ce que je disais, n'étant au fond interné que parce que décendant de déportés tziganes. Toute loi imposée à une population prédéfinie façonne le type biologique de son sujet. Il ne tombe que par hasard que l'on est né pour une certaine loi. On ne devient pas citoyen français, on nait ou pas en tant qu'encouragé dans sa nature par la république que ses fondateurs ont pensée à leur propre convenance, dans l'idée de partager universellement ce dont ils aimaient jouir, certes, et alors ? N'est-ce pas là, précisément, la quintessence du mépris d'autrui ? Rappelons-nous la cigogne et le renard. Moi, vous voyez, je ne suis pas et je ne serai jamais français. En effet, j'ai été deux fois en garde à vue. La France pourrait changer dans tous les sens, elle pourrait ressembler trait pour trait à l'idée que je me fais de la perfection, que ça n'y changerait rien. Tant qu'une chose portera ce nom, elle portera sa dette. Si la France veut gagner mon amnistie, elle devra ployer et proclamer son propre démantèlement. Tous les français qui trouvent la loi bien faite, ou au moins défendable, et considèrent qu'on peut s'y référer simplement comme si cela avait un quelconque poids argumentatif en faveur ou en défaveur de tel ou tel comportement, ne devraient pas dans ce cas-là revendiquer si fièrement d'avoir vaincu deux fois les allemands aux guerres mondiales. L'ennemi a peut-être capitulé au front, mais le français d'avant est immoral à l'aune des critères du français actuel, puisque ce dernier est le produit d'un tri sélectif. Il ne fait pas le moindre doute que l’'ancien français de souche est biologiquement inapte à appliquer la loi du nouveau, enfin du restant si vous préférez, qu'il est en outre, pour son écrasante majorité, malade mental de façon innée et irrémédiable à l'aune de la perception qu'en aurait la plupart des français de souches actuels. D'où vient, par exemple, ce que l'on nomme, sans doute très à propos comme nous l'avons déjà exposé dans l'histoire du mariage, la libération sexuelle ? Elle vient de ce que parmi les français mobilisés aux fronts de 14-18 et 39-45, les bons maris et les bons pères de famille, ceux qui étaient dévastés, bien plus qu'ils ne craignaient pour leur vie, de pouvoir être trompés pendant leur absence, moururent bien plus souvent que ceux qui rêvaient à leur retour. Ils se laissèrent mourir. Ils étaient les plus étrangers à la cause nationale, mais ils étaient une majorité. Ils furent sacrifiés sur l'autel du mythe de l'Espèce, pour laisser place à la race d'échangistes zélée que nous connaissons et qui règne aujourd'hui sur les moeurs sans partage, celle des assoiffés de gloire qui s'en tirèrent parce camaraderie et léchages de culs. Les monuments aux morts sur lesquels leurs noms figurent sont érigés pour symboliser que c'est au nom de leurs propres luttes qu'on est fier d'engrosser leurs veuves chacun son tour dans les villages. En réalité, c'est la « culture Volkisch », ce mouvement nudiste qui constitue l'une des principales origines du nazisme, qui est représentée sous une forme mutante, fêtée aux pieds de ces stèles. C'est au nom des valeurs qu'ont combattu ces montagnes de cadavres plus hautes que des immeubles, marqué du sceau de l'ennemi que l'on prétend perpétuer leur « victoire » en jouissant « du fruit de leurs efforts », de cette « liberté » (cette annexion).
Annuler la victoire culturelle, pour ne pas dire démographique, de l'Allemagne à la seconde guerre mondiale, ce sera d'abord dénazifier la sexualité, en sorte que la sexualité qui caractérise l'être humain (par opposition à l'être amoureux) et qui caractérisera encore une majorité d'ex-humains après la destruction de l'Humanité, devra renoncer à tout prosélytisme. Sous peine d'élimination sauvage. Je plaisante, mais je n'irai pas jusqu'à le déplorer si cela devait se produire indépendamment de ma volonté. En tous les cas, le prosélytisme Volkisch, qui s'accapare aujourd'hui le nom générique de progressisme, rien que ça, recevra la dénomination qu'il mérite, ce qui représentera une condamnation sans ambiguïté, sans incompatibilité avec un dégoût respectueux de l'étranger absolu tant qu'il n'empiète pas au-delà de son droit de regard. Tant qu'il ne parle pas à ce qui ne lui ressemble pas de la façon dont cela se passe quand il est avec ce qui lui ressemble. N'oublions pas que l'idée qu'ils voudraient nous susurrer impunément, c'est qu'abandonner ou trahir quelqu'un qui vous aime, dont vous avez façonné le cœur afin qu'il ne serve qu’à vous, rejouer les deux guerres pour un frisson fugace, tuer encore tous ces morts avec la même obscénité, tout cela est un droit sacré. N'oublions pas que leur plus innocente gaieté, leur plus printanier enjouement, leur plus délicat sourire est un charnier. N'oublions pas que le nôtre aussi, par conséquent gardons-nous bien de jamais être printanier quand notre tour est passé, que nous l'ayons voulu ou non : nous sommes morts, nous restons morts, et toute notre fidélité à nos rêves assassinés est dans ce rester-mort. Le rester-mort, quel nom séant à l'assassiné et au bafoué, ce pourrait être le nom d'une danse que nous donnerions en signe d'inquiétude, de peur panique pour ceux qui ont encore l'espoir de ne jamais l'être. Une danse de chaque seconde, dont certains pas se veillent et d'autres se dorment.
Annuler la victoire culturelle, pour ne pas dire démographique, de l'Allemagne à la seconde guerre mondiale, ce sera d'abord dénazifier la sexualité, en sorte que la sexualité qui caractérise l'être humain (par opposition à l'être amoureux) et qui caractérisera encore une majorité d'ex-humains après la destruction de l'Humanité, devra renoncer à tout prosélytisme. Sous peine d'élimination sauvage. Je plaisante, mais je n'irai pas jusqu'à le déplorer si cela devait se produire indépendamment de ma volonté. En tous les cas, le prosélytisme Volkisch, qui s'accapare aujourd'hui le nom générique de progressisme, rien que ça, recevra la dénomination qu'il mérite, ce qui représentera une condamnation sans ambiguïté, sans incompatibilité avec un dégoût respectueux de l'étranger absolu tant qu'il n'empiète pas au-delà de son droit de regard. Tant qu'il ne parle pas à ce qui ne lui ressemble pas de la façon dont cela se passe quand il est avec ce qui lui ressemble. N'oublions pas que l'idée qu'ils voudraient nous susurrer impunément, c'est qu'abandonner ou trahir quelqu'un qui vous aime, dont vous avez façonné le cœur afin qu'il ne serve qu’à vous, rejouer les deux guerres pour un frisson fugace, tuer encore tous ces morts avec la même obscénité, tout cela est un droit sacré. N'oublions pas que leur plus innocente gaieté, leur plus printanier enjouement, leur plus délicat sourire est un charnier. N'oublions pas que le nôtre aussi, par conséquent gardons-nous bien de jamais être printanier quand notre tour est passé, que nous l'ayons voulu ou non : nous sommes morts, nous restons morts, et toute notre fidélité à nos rêves assassinés est dans ce rester-mort. Le rester-mort, quel nom séant à l'assassiné et au bafoué, ce pourrait être le nom d'une danse que nous donnerions en signe d'inquiétude, de peur panique pour ceux qui ont encore l'espoir de ne jamais l'être. Une danse de chaque seconde, dont certains pas se veillent et d'autres se dorment.
Putain les espaces khey
LES ESPACES
LES ESPACES
il y a 6 mois
Ils commencèrent par créer le divorce, dont les conditions s'assouplirent progressivement, jusqu'à ce que tout ce que représente désormais un mariage soit transposable dans le non-mariage, dans le couple moderne, dans un contrat d'exclusivité amiable, rétractable à tout moment. Désormais, s'engager dans un « couple » indépendamment de son passé sexuel, se rétracter puis répéter l'opération à loisir est sérieusement considéré comme distinct de s'offrir au tout venant. Il n'y a pourtant que les usurpateurs, les humains, qui condamnent ce comportement dans sa plus simple expression. Pire, le couple moderne, à itérations multiples, ne se veut pas seulement différent, mais moins éloigné de la monogamie absolue, que de la partouze.
il y a 6 mois
Et dire qu'il y a encore un clef qui a accepté assez récemment d'être modo...
Là, je dois dire que je suis assez impressionné... Et il n'est que midi...
Bon, j'ai alimenté, mais c'est parce que l'op est lui-même assez déter, j'ai l'impression qu'il ne va pas lâcher l'affaire.
Oui oui, les zombies qui se font violer, c'est grave (si j'ai bien compris le truc).
Là, je dois dire que je suis assez impressionné... Et il n'est que midi...
Bon, j'ai alimenté, mais c'est parce que l'op est lui-même assez déter, j'ai l'impression qu'il ne va pas lâcher l'affaire.
Oui oui, les zombies qui se font violer, c'est grave (si j'ai bien compris le truc).
il y a 6 mois
YesNoIAmAlive
6 mois
Et dire qu'il y a encore un clef qui a accepté assez récemment d'être modo...
Là, je dois dire que je suis assez impressionné... Et il n'est que midi...
Bon, j'ai alimenté, mais c'est parce que l'op est lui-même assez déter, j'ai l'impression qu'il ne va pas lâcher l'affaire.
Oui oui, les zombies qui se font violer, c'est grave (si j'ai bien compris le truc).
Là, je dois dire que je suis assez impressionné... Et il n'est que midi...
Bon, j'ai alimenté, mais c'est parce que l'op est lui-même assez déter, j'ai l'impression qu'il ne va pas lâcher l'affaire.
Oui oui, les zombies qui se font violer, c'est grave (si j'ai bien compris le truc).
Rien compris et effectivement je suis deter jusqu'au martyr
il y a 6 mois