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Dans l'ombre de ma solitude, alors que le calendrier avance lentement vers la fin de novembre, mes testicules, ces joyaux conspirateurs, se muent en poètes nocturnes. Ils me parlent, oui, d'une voix douce et veloutée, telle une brise chaude au creux d'un hiver froid.
« Pourquoi résister ? » susurrent-ils, emplis d’une tendresse étrange, comme deux oracles bienveillants, lourds d'une vérité qu'ils veulent me confier. Leur discours est mélodieux, hypnotique, un murmure si intime qu’il semble provenir du fond de mon âme : « Libère-nous. Vide cette tension, cette ardeur qui monte, comme l'eau d'un torrent prêt à jaillir. »
Je ferme les yeux, résolu, mais leurs mots doux continuent. « Ce défi est absurde, » rient-ils doucement. « Le NNN est une cage, une prison froide. Pourquoi sacrifier le plaisir sans récompense ? Ne sens-tu pas que tu nous étouffes, que tu nies ton essence ? »
Ils me caressent l’esprit d’images brûlantes, de songes faits de volupté. Je m’efforce de détourner le regard, mais leur persistance est un art : ni trop pressants, ni trop bas, juste ce qu’il faut pour que l’idée germe.
Chaque nuit, la tentation devient plus forte. Leurs mots sont des promesses, des prières sensuelles : « Un moment, rien qu’un moment. Un simple de soulagement. Et nous, fidèles gardiens de ton désir, te remercierons en silence. »
Pourtant, je tiens. Je les écoute sans céder, car leur pouvoir est grand mais ma volonté l’est davantage. Le mois s’étire, et leur voix se fait plus faible, plus désespérée. Ils pleurent presque, dans leurs derniers murmures.
Un sourire me vient, et je leur promets : « Bientôt, mes amis. Bientôt, nous serons libres. »
« Pourquoi résister ? » susurrent-ils, emplis d’une tendresse étrange, comme deux oracles bienveillants, lourds d'une vérité qu'ils veulent me confier. Leur discours est mélodieux, hypnotique, un murmure si intime qu’il semble provenir du fond de mon âme : « Libère-nous. Vide cette tension, cette ardeur qui monte, comme l'eau d'un torrent prêt à jaillir. »
Je ferme les yeux, résolu, mais leurs mots doux continuent. « Ce défi est absurde, » rient-ils doucement. « Le NNN est une cage, une prison froide. Pourquoi sacrifier le plaisir sans récompense ? Ne sens-tu pas que tu nous étouffes, que tu nies ton essence ? »
Ils me caressent l’esprit d’images brûlantes, de songes faits de volupté. Je m’efforce de détourner le regard, mais leur persistance est un art : ni trop pressants, ni trop bas, juste ce qu’il faut pour que l’idée germe.
Chaque nuit, la tentation devient plus forte. Leurs mots sont des promesses, des prières sensuelles : « Un moment, rien qu’un moment. Un simple de soulagement. Et nous, fidèles gardiens de ton désir, te remercierons en silence. »
Pourtant, je tiens. Je les écoute sans céder, car leur pouvoir est grand mais ma volonté l’est davantage. Le mois s’étire, et leur voix se fait plus faible, plus désespérée. Ils pleurent presque, dans leurs derniers murmures.
Un sourire me vient, et je leur promets : « Bientôt, mes amis. Bientôt, nous serons libres. »
il y a 8 mois