Membres de la Commission de la Formation et de la vie Universitaire de l’Université Franche-Comté,
nous nous sommes réuni∙e∙s lors de cette séance, affirmant la nécessité de reconnaître les difficultés
auxquelles font face les personnes menstruées dans l’Enseignement Supérieur et la Recherche. Nous
constatons en effet qu’aujourd’hui dans la quasi-totalité des établissements de l’ESR, le motif des règles
douloureuses n’est pas reconnu comme justifiant une absence sur les heures de cours pour les usagèr∙e∙s
et sur les heures de travail pour les personnel∙le∙s enseignant∙e∙s et administrif∙ve∙s.
De nombreuses personnes menstruées font pourtant face aux symptômes engendrés par les règles
douloureuses allant jusqu’à des périodes d’invalidité en cas d’endométriose ou d’autre maladie
gynécologique rendant impossible les déplacements en cours. La non-reconnaissance de ces souffrances
à l’Université porte atteinte à l’égalité du droit à la réussite pour tou∙te∙s.
Dans un contexte de pénurie
de médecins, pouvant allonger le délai de consultation à plusieurs semaines dans certains territoires et
par les frais qu’engendrent une consultation, les difficultés d’accès à l’accompagnement médical
poussent certain∙e∙s à renoncer aux soins et créer une charge mentale considérable déteriorant leurs
conditions de vie et d’études. Ainsi, faute de certificat médical, le risque de défaillance pèse plus
fortement sur les personnes menstruées que sur celles qui ne le sont pas.
Ça me fout tellement la haine
Pendant ce temps jean-BTP lambda
"Ma colonne s'est désalignée ? Bah je prendrais 2 tablettes d'ibuprofène au lieu d'une avant d'aller bosser"
Ça me fout tellement la haine
On se verra à la fête Richter !
Pendant ce temps jean-BTP lambda
"Ma colonne s'est désalignée ? Bah je prendrais 2 tablettes d'ibuprofène au lieu d'une avant d'aller bosser"
pelo
Il n'y a pas d'augmentation d'impot la
