Ce sujet a été résolu
il y a un an
En général, je n'aime pas rire du malheur des autres, c'est mal, mais là, je suis obligé de dire MÉRITAX et on espère que ces fans le suivront.
🔻Tsahal VS un pneu http://bit.ly/juif
il y a un an
il y a un an
La Science ! C'est la Science ! Tremblez pauvre fou !!!
Je maudis le jour où ta salope de mère a pondu ton œuf !
il y a un an
Que diriez-vous d'un bon pavé royal?
Bientôt en vidéo ce mois d'août
"La nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre
Daniel Conversano est atteint d'un cancer
Et pas d'un cancer bénin sympa visiblement, puisque Conversano est rentré en France se faire soigner et commence bientôt les traitements. France qu'il considère comme un trou à merde, mais France dont les contribuables vont enrichir l'industrie pharmaceutique fournissant les traitements anti-cancéreux qu'il subira, et dont l'efficacité thérapeutique douteuse n'est que secondaire, puisqu'importent plus que tout, les profits des actionnaires. Il n'est pas non plus irrationnel de supposer que les protocoles chimiothérapeutiques servent à tester à grande échelle des produits toxiques sur l'organisme, en espérant faire quelque découverte utile.
Cette vidéo est, vous vous en doutez, pleine de fiel et de sarcasmes, puisque je considère Conversano comme un sale type dangereux. Pour autant, si vous l'écoutez jusqu'à la fin, vous entendrez que j'espère l'issue du sien combat, positive pour lui et autrui.
Pourquoi Conversano a-t-il contracté un cancer apparemment sérieux – selon ses propres termes relayant ceux de la médecine officielle, “préoccupant” traduction: “vous allez crever” - ?
Conversano cultive l'acidité, la haine et la méchanceté. Il souhaite beaucoup de mal à autrui, se réjouit des avanies ou drames frappant les personnes qu' à tort ou raison il déteste, et a bâti son entreprise d'extortion de fonds du nationalisme leucoderme, sur une animosité flagrante envers le monde non-blanc. Même s'il en rajoute, sa vie intérieure est bilieuse.
Conversano a beaucoup d'ennemis parmi les arabo-maghrébins, parce qu'il les abomine et le fait abondamment savoir. Leur existence le révulse, et pour cause! Conversano est lui-même un gros bougnoule. A l'instar des pires des homophobes, homosexuels refoulés (et parfois homosexuels honteux et pratiquants), Daniel Conversano l'arabo-maghrébin refoulé éprouve une détestation viscérale pour le monde arabo-maghrébin, dont il est issu en droite lignée de par ses origines méditerranéennes. De mauvais plaisants sur d'obscurs forums s'amusent à collecter des photographies de terroristes islamistes lui ressemblant, ou à créer des “Où est Charlie?” en insérant un Daniel parmi des dizaines d'Abdelhamids. C'est évidemment hilarant car il est le portrait parfois craché des objets de son exécration. Conversano a tant et si bien verbalisé son aversion quasiment métaphysique pour ses frères en phénotype, que ces derniers en ont fini par développer une certaine rancoeur à son endroit. Conversano est un idiot matérialiste mais il ne devrait pas ignorer qu'une des activités favorites de son berceau civilisationnel, est la sorcellerie, banale et commune au sein des communautés arabo-maghrébines. On a tôt fait de supposer que de retour au bled, des fils d'immigrés vont de temps à autre visiter le sorcier de leur village, lui offrir une chèvre et lui apporter des photos de Daniel Conversano, en lui disant “wollah par la barbe du Prophète que ce chien meure dans d'atroces souffrances”. Et on a peut-être raison. Tout matérialiste qu'il soit, le poids psychique de dizaines de malédictions lourdes peut finir par percer les barrières, psychiques également, de déni et d'ignorance des réalités métaphysiques dont Conversano bénéficiait.
Enfin, il a sagement suivi son schéma vaccinal anti-covid, et pris au moins trois doses. Une dose, deux doses, thrombose. Un pfizer, deux pfizer, trois pfizer, cancer. Il s'est généreusement moqué des sceptiques de cette soi-disant vaccination, les traitant de complotistes, d'abrutis refusant de faire confiance à la Sainte Science Occidentale, dont la médecine est selon lui la meilleure du monde. Va-t-il changer d'avis?
Conversano est un sale con et un personnage fort malsain. Quelqu'un qui partagea au début des années 2000 les mêmes bancs universitaires, quoi que dans une discipline différente si mes souvenirs sont bons, m'expliquait que cet individu rêvait alors d'une carrière artistique dans le milieu audiovisuel, faisait montre d'une irrépressible égomanie, et n'était pas vraiment de bonne compagnie.
Je répète souvent que Conversano fait un numéro d'artiste contemporain, se met en scène lui-même comme nationaliste blanc, parce qu'il a reniflé dans ce milieu nationaliste un bon filon, tant au niveau monétaire, qu'au niveau humain. Des tas de jeunes en quête de sens, d'identité et de meneurs le composent, jeunes prêts à débourser des sommes conséquentes pour se voir proposer une voie, un modèle, un idéal. L'arabe Conversano n'est certes pas scandinave mais propose un exotisme rafraîchissant, et l'idéologie de cet arabe pas-comme-les-autres, un fascisme rigolo et progressiste. Conversano n'a pourtant pas tellement d'idéologie, il aspire avant tout à proposer un spectacle vivant, une performance continue. Son histrionisme peut l'habiter jour et nuit et, savamment orienté politiquement, sa transe de cabotinage lui rapporte beaucoup, financièrement autant qu'égotiquement. Conversano est réalisateur, metteur en scène, acteur, il gère et incarne le personnage d'un leader fasciste charismatique. Conversano avait semble-t-il plus d'affinités avec le fascisme de gauche, avant de constater qu'un public bien plus important aspirait, ces deux dernières décennies, à un fascisme de droite. Vous pourriez m'opposer que son goût pour le fascisme constitue bel et bien une idéologie. Je vous répondrai qu'il s'agit plutôt d'un invariant ethnologique, puisque Conversano est arabe, que les arabes sont collectivistes et avouent eux-mêmes ne savoir être gérés que par un homme fort, voire un dictateur.
Sa passion pour le cinéma nous offre par ailleurs un autre objet d'analyse psychopathologique. Le cinéma est un sous-art, un assemblage souvent grossier et balourd de différentes catégories artistiques. Seuls de rares génies parviennent à conjuguer sans bouffonnerie des domaines comme photographie, rythme, mise en scène, musique, gestion et jeu des acteurs, écriture. Le cinéma constitue le loisir et l'objet d'analyse favori de Daniel Conversano, qui comme nous venons de l'expliquer, ouvrez les guillemets “fait son cinéma” devant un public de nationalistes blancs. Il considère donc vraisemblablement, parce qu'il s'affirme homme de goût, que, des activités élevées de l'occidental blanc, le cinéma en est sinon la plus sublime et la plus riche, du moins digne des plus grandes louanges. Nous touchons au coeur du problème: Conversano est un blanc trans. Tout comme les hommes devenus femmes trans vont singer la féminité en caricaturant ce qu'ils en croient être essentiel, Conversano singe l'expression du génie occidental en vouant une passion démesurée à un secteur d'activité effroyablement vulgaire: le cinéma. Des femmes trans, hommes biologiques, se font gonfler grotesquement les lèvres, se maquillent outrancièrement, s'habillent de façon ridicule en espérant incarner une féminité fatalement inaccessible pour eux. Daniel Conversano, blanc trans, arabe biologique, se pâme devant le loisir dégénéré qu'est le cinéma, et fait de sa vie une mise en scène audiovisuelle. Il ne sera jamais blanc pour autant.
Rappelons que les grands lieux de la cinématographie sont assez peu européens: l'Italie est méditerrannéenne, Bollywood est indien (les indiens sont classés parmi les indo-européens mais qui affirmerait qu'ils sont blancs?), et Hollywood est juif. Curieux raffinement de la civilisation occidentale, que ce cinéma auquel Conversano voue une vénération.
Les femmes trans, hommes biologiques, abhorrent en réalité les femmes, dont ils voudraient prendre la place afin de bénéficier des avantages qu'ils leur supposent. On peut par exemple le constater dans le secteur du sport, où des athlètes biologiquement mâles font mine de transitionner pour à la fois, humilier des concurrentes biologiquement femmes, et jouir d'une puissance, de victoires, qu'ils ne possédaient et auxquelles ils ne parvenaient quand ils concouraient hommes. Leurs revendications d'utiliser les toilettes des femmes biologiques participent aussi à un désir d'oppression manifeste. Total et absolu soutien aux féministes TERF qui expliquent parfaitement comment les hommes biologiques se revendiquant femmes trans sont un nouvel avatar de la psychopathie patriarcale, et son expression la plus misérablement clownesque.
Daniel Conversano, blanc trans, arabe biologique, déteste en réalité les blanc occidentaux, dont il ne fera jamais partie. Un extrait audio traîne où on l'entend dans un de ses directs, expliquer que les blancs du nord sont d'affreux balourds incapables de draguer les femmes, alors que lui blanc du sud est un sacré Dom Juan (pour ne pas dire Casanova, car Casasnovas indique des approches thérapeutiques qui pourraient le guérir, mais qui vont à l'encontre de sa propagande pseudo-sceptique et pro-industrie médico-pharma). Conversano n'aura jamais de gênes blancs, mais il peut récolter l'argent et l'admiration de ceux qui en possèdent, en faisant son petit numéro de turbofasciste option scientisme. Je doute qu'il soit totalement dupe, et suis quasiment sûr qu'une partie de lui jouit d'exploiter son public, dont il jalouse les phénotypes.
Bientôt en vidéo ce mois d'août
"La nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre
Daniel Conversano est atteint d'un cancer
Et pas d'un cancer bénin sympa visiblement, puisque Conversano est rentré en France se faire soigner et commence bientôt les traitements. France qu'il considère comme un trou à merde, mais France dont les contribuables vont enrichir l'industrie pharmaceutique fournissant les traitements anti-cancéreux qu'il subira, et dont l'efficacité thérapeutique douteuse n'est que secondaire, puisqu'importent plus que tout, les profits des actionnaires. Il n'est pas non plus irrationnel de supposer que les protocoles chimiothérapeutiques servent à tester à grande échelle des produits toxiques sur l'organisme, en espérant faire quelque découverte utile.
Cette vidéo est, vous vous en doutez, pleine de fiel et de sarcasmes, puisque je considère Conversano comme un sale type dangereux. Pour autant, si vous l'écoutez jusqu'à la fin, vous entendrez que j'espère l'issue du sien combat, positive pour lui et autrui.
Pourquoi Conversano a-t-il contracté un cancer apparemment sérieux – selon ses propres termes relayant ceux de la médecine officielle, “préoccupant” traduction: “vous allez crever” - ?
Conversano cultive l'acidité, la haine et la méchanceté. Il souhaite beaucoup de mal à autrui, se réjouit des avanies ou drames frappant les personnes qu' à tort ou raison il déteste, et a bâti son entreprise d'extortion de fonds du nationalisme leucoderme, sur une animosité flagrante envers le monde non-blanc. Même s'il en rajoute, sa vie intérieure est bilieuse.
Conversano a beaucoup d'ennemis parmi les arabo-maghrébins, parce qu'il les abomine et le fait abondamment savoir. Leur existence le révulse, et pour cause! Conversano est lui-même un gros bougnoule. A l'instar des pires des homophobes, homosexuels refoulés (et parfois homosexuels honteux et pratiquants), Daniel Conversano l'arabo-maghrébin refoulé éprouve une détestation viscérale pour le monde arabo-maghrébin, dont il est issu en droite lignée de par ses origines méditerranéennes. De mauvais plaisants sur d'obscurs forums s'amusent à collecter des photographies de terroristes islamistes lui ressemblant, ou à créer des “Où est Charlie?” en insérant un Daniel parmi des dizaines d'Abdelhamids. C'est évidemment hilarant car il est le portrait parfois craché des objets de son exécration. Conversano a tant et si bien verbalisé son aversion quasiment métaphysique pour ses frères en phénotype, que ces derniers en ont fini par développer une certaine rancoeur à son endroit. Conversano est un idiot matérialiste mais il ne devrait pas ignorer qu'une des activités favorites de son berceau civilisationnel, est la sorcellerie, banale et commune au sein des communautés arabo-maghrébines. On a tôt fait de supposer que de retour au bled, des fils d'immigrés vont de temps à autre visiter le sorcier de leur village, lui offrir une chèvre et lui apporter des photos de Daniel Conversano, en lui disant “wollah par la barbe du Prophète que ce chien meure dans d'atroces souffrances”. Et on a peut-être raison. Tout matérialiste qu'il soit, le poids psychique de dizaines de malédictions lourdes peut finir par percer les barrières, psychiques également, de déni et d'ignorance des réalités métaphysiques dont Conversano bénéficiait.
Enfin, il a sagement suivi son schéma vaccinal anti-covid, et pris au moins trois doses. Une dose, deux doses, thrombose. Un pfizer, deux pfizer, trois pfizer, cancer. Il s'est généreusement moqué des sceptiques de cette soi-disant vaccination, les traitant de complotistes, d'abrutis refusant de faire confiance à la Sainte Science Occidentale, dont la médecine est selon lui la meilleure du monde. Va-t-il changer d'avis?
Conversano est un sale con et un personnage fort malsain. Quelqu'un qui partagea au début des années 2000 les mêmes bancs universitaires, quoi que dans une discipline différente si mes souvenirs sont bons, m'expliquait que cet individu rêvait alors d'une carrière artistique dans le milieu audiovisuel, faisait montre d'une irrépressible égomanie, et n'était pas vraiment de bonne compagnie.
Je répète souvent que Conversano fait un numéro d'artiste contemporain, se met en scène lui-même comme nationaliste blanc, parce qu'il a reniflé dans ce milieu nationaliste un bon filon, tant au niveau monétaire, qu'au niveau humain. Des tas de jeunes en quête de sens, d'identité et de meneurs le composent, jeunes prêts à débourser des sommes conséquentes pour se voir proposer une voie, un modèle, un idéal. L'arabe Conversano n'est certes pas scandinave mais propose un exotisme rafraîchissant, et l'idéologie de cet arabe pas-comme-les-autres, un fascisme rigolo et progressiste. Conversano n'a pourtant pas tellement d'idéologie, il aspire avant tout à proposer un spectacle vivant, une performance continue. Son histrionisme peut l'habiter jour et nuit et, savamment orienté politiquement, sa transe de cabotinage lui rapporte beaucoup, financièrement autant qu'égotiquement. Conversano est réalisateur, metteur en scène, acteur, il gère et incarne le personnage d'un leader fasciste charismatique. Conversano avait semble-t-il plus d'affinités avec le fascisme de gauche, avant de constater qu'un public bien plus important aspirait, ces deux dernières décennies, à un fascisme de droite. Vous pourriez m'opposer que son goût pour le fascisme constitue bel et bien une idéologie. Je vous répondrai qu'il s'agit plutôt d'un invariant ethnologique, puisque Conversano est arabe, que les arabes sont collectivistes et avouent eux-mêmes ne savoir être gérés que par un homme fort, voire un dictateur.
Sa passion pour le cinéma nous offre par ailleurs un autre objet d'analyse psychopathologique. Le cinéma est un sous-art, un assemblage souvent grossier et balourd de différentes catégories artistiques. Seuls de rares génies parviennent à conjuguer sans bouffonnerie des domaines comme photographie, rythme, mise en scène, musique, gestion et jeu des acteurs, écriture. Le cinéma constitue le loisir et l'objet d'analyse favori de Daniel Conversano, qui comme nous venons de l'expliquer, ouvrez les guillemets “fait son cinéma” devant un public de nationalistes blancs. Il considère donc vraisemblablement, parce qu'il s'affirme homme de goût, que, des activités élevées de l'occidental blanc, le cinéma en est sinon la plus sublime et la plus riche, du moins digne des plus grandes louanges. Nous touchons au coeur du problème: Conversano est un blanc trans. Tout comme les hommes devenus femmes trans vont singer la féminité en caricaturant ce qu'ils en croient être essentiel, Conversano singe l'expression du génie occidental en vouant une passion démesurée à un secteur d'activité effroyablement vulgaire: le cinéma. Des femmes trans, hommes biologiques, se font gonfler grotesquement les lèvres, se maquillent outrancièrement, s'habillent de façon ridicule en espérant incarner une féminité fatalement inaccessible pour eux. Daniel Conversano, blanc trans, arabe biologique, se pâme devant le loisir dégénéré qu'est le cinéma, et fait de sa vie une mise en scène audiovisuelle. Il ne sera jamais blanc pour autant.
Rappelons que les grands lieux de la cinématographie sont assez peu européens: l'Italie est méditerrannéenne, Bollywood est indien (les indiens sont classés parmi les indo-européens mais qui affirmerait qu'ils sont blancs?), et Hollywood est juif. Curieux raffinement de la civilisation occidentale, que ce cinéma auquel Conversano voue une vénération.
Les femmes trans, hommes biologiques, abhorrent en réalité les femmes, dont ils voudraient prendre la place afin de bénéficier des avantages qu'ils leur supposent. On peut par exemple le constater dans le secteur du sport, où des athlètes biologiquement mâles font mine de transitionner pour à la fois, humilier des concurrentes biologiquement femmes, et jouir d'une puissance, de victoires, qu'ils ne possédaient et auxquelles ils ne parvenaient quand ils concouraient hommes. Leurs revendications d'utiliser les toilettes des femmes biologiques participent aussi à un désir d'oppression manifeste. Total et absolu soutien aux féministes TERF qui expliquent parfaitement comment les hommes biologiques se revendiquant femmes trans sont un nouvel avatar de la psychopathie patriarcale, et son expression la plus misérablement clownesque.
Daniel Conversano, blanc trans, arabe biologique, déteste en réalité les blanc occidentaux, dont il ne fera jamais partie. Un extrait audio traîne où on l'entend dans un de ses directs, expliquer que les blancs du nord sont d'affreux balourds incapables de draguer les femmes, alors que lui blanc du sud est un sacré Dom Juan (pour ne pas dire Casanova, car Casasnovas indique des approches thérapeutiques qui pourraient le guérir, mais qui vont à l'encontre de sa propagande pseudo-sceptique et pro-industrie médico-pharma). Conversano n'aura jamais de gênes blancs, mais il peut récolter l'argent et l'admiration de ceux qui en possèdent, en faisant son petit numéro de turbofasciste option scientisme. Je doute qu'il soit totalement dupe, et suis quasiment sûr qu'une partie de lui jouit d'exploiter son public, dont il jalouse les phénotypes.
il y a un an
Je dis souvent qu'un beau jour, si sa combine est éventée et qu'on se rend compte qu'il n'est pas celui qu'il prétend être, qu'il ne travaille que pour lui-même et pas du tout pour une soi-disant cause blanche occidentale, il pourrait rencontrer un destin brutal aux mains d'un militant d'extrême-droite fou de rage d'avoir été roulé dans le boulgour. Ce jour ne risque cependant pas d'arriver, et Daniel Conversano d'être assassiné, si l'effet cocktail de sa méchanceté, de la sorcellerie nord-africaine et des injections pfizer l'envoie droit au trépas cette année 2024
Mais Conversano va-t-il mourir? Considérons les autres éventualités:
Il pourrait être sauvé par la Sainte Science Occidentale. Mais au vu de son hygiène de vie, des protocoles officiels (“Mangez des paninis et buvez du coca si vous en avez envie l'important c'est de garder le moral hein?”), de son vilain état d'esprit, de son retour instantané en France - trou à merde selon ses propres dires - à la découverte de son mal, mal jugé “préoccupant” par les autorités médicales (traduction: tu vas crever), on peut en douter.
Il pourrait être sauvé par des voies thérapeutiques dites alternatives, qui impliqueraient une refonte complète de son hygiène de vie, tant physique que mentale. Mais c'est peut-être déjà un peu tard, et Conversano est un propagandiste scientiste, pseudo-sceptique. Défendre les intérêts de l'industrie médico-pharma fait très probablement partie de son cahier des charges, il perdrait alors le soutien de certains de ses annonceurs, et se mettrait professionnellement et socialement en danger.
Mais voici l'élément le plus important et passionnant de cette vidéo, lequel vous permettra de constater qu'il n'est pas productif de souhaiter du mal à ce néfaste guignol. Lors d'un de ses directs, en 2023, Conversano a raconté la chose suivante: en 1999, la nuit de la mort de son grand-père, ce dernier lui est apparu en rêve, et lui a dit: “A dans 25 ans”. Conversano explique que ce songe, qui il lui a semblé très réel, l'a hanté, bien qu'il ne se souvienne que très rarement de ses rêves. Il semblerait que des apparitions oniriques et troublantes de proches décédés depuis peu, soient de réels contacts. L'hypothèse selon laquelle un reste psychique de l'essence métaphysique de son grand-père, passé dans une réalité où le temps n'existe plus, lui ait délivré un message important, n'est pas délirante.
Ou bien, Daniel Conversano est-il non seulement un arabe refoulé, mais aussi un ésotériste refoulé? A-t-il inconsciemment développé une maladie lourde pour se prouver la puissance de l'esprit sur la matière? Le triomphe de la volonté aryenne, dans l'auto-annihilation du bicot qu'il ne supporte plus être? Il aurait alors mis également inconsciemment en scène la visite de son grand-père en rêve, ce serait un peu tordu. Conservons l'hypothèse d'un contact réel avec l'essence métaphysique de son parent.
Ce dernier lui a dit “A dans 25 ans”, mais il ne lui a pas dit “tu vas crever dans 25 ans”. Dans l'extrait en question, Conversano dit qu'une part en lui craint de mourir en 2024, car c'est effectivement l'explication première qu'on peut tirer des propos du défunt. Mais dans des cas de guérisons miraculeuses impliquant des visions, des gens condamnés et sauvés par on ne sait quoi on ne sait comment, voient, dans des états seconds, des êtres, qui peuvent êtres des proches trépassés, venir les soigner. A leur réveil, ils se sentent mieux, et guérissent miraculeusement ensuite. Conversano va-t-il être sauvé par une intervention invisible, depuis une réalité métaphysique?
C'est ce qu'il faut souhaiter. Aussi je vous le demande, ô mes frères en bougnoulitude, cessez d'offrir des chèvres au sorcier de votre village pour qu'il envoie des djinns dans le trou de balle de Daniel Conversano. Et pourquoi faut-il le souhaiter? C'est très simple: si Conversano est sauvé miraculeusement, il ne pourra que le constater, et changera radicalement de point de vue sur la vie présente et l'existence en général. Ce bouleversement dans ses croyances s'accompagnera immanquablement d'une révolution dans son attitude et ses choix de vie. Il deviendra gentil, compatissant, et abandonnera ses folies xénophobes. Pire (pour ses annonceurs) il risque de laisser derrière lui ses positionnements scientistes, et en adopter d'autres reconnaissant les choses de l'esprit, de l'invisible. Il est évidemment possible qu'il débloque et finisse par s'enfoncer des godes en cristal dans le fion en invoquant Ashtar Command mais ce sera toujours mieux que de claboter d'un turbocancer estampillé pfizer.
Une autre possibilité s'envisage: qu'il soit sauvé miraculeusement, qu'il sache pourquoi, mais décide de n'en rien dire pour continuer son petit business, en prétendant “Alors les blancs elle est pas belle la médecine occidentale? La meilleure médecine du monde je vous l'avais dit!”, auquel cas en perdurant dans la duplicité et la manipulation, il aggravera considérablement son cas.
Parce que toute cette histoire est fort singulière, parce que Conversano est un influenceur parfaitement toxique et dangereux pour lui-même et les autres, et parce qu'un message de l'au-delà lui a annoncé quelque chose de lourd cette année, incluez-le lui et son grand-père dans vos prières. Que ce dernier vienne le sauver, afin que Daniel Conversano cesse d'avoir un impact négatif sur notre pauvre monde"
Mais Conversano va-t-il mourir? Considérons les autres éventualités:
Il pourrait être sauvé par la Sainte Science Occidentale. Mais au vu de son hygiène de vie, des protocoles officiels (“Mangez des paninis et buvez du coca si vous en avez envie l'important c'est de garder le moral hein?”), de son vilain état d'esprit, de son retour instantané en France - trou à merde selon ses propres dires - à la découverte de son mal, mal jugé “préoccupant” par les autorités médicales (traduction: tu vas crever), on peut en douter.
Il pourrait être sauvé par des voies thérapeutiques dites alternatives, qui impliqueraient une refonte complète de son hygiène de vie, tant physique que mentale. Mais c'est peut-être déjà un peu tard, et Conversano est un propagandiste scientiste, pseudo-sceptique. Défendre les intérêts de l'industrie médico-pharma fait très probablement partie de son cahier des charges, il perdrait alors le soutien de certains de ses annonceurs, et se mettrait professionnellement et socialement en danger.
Mais voici l'élément le plus important et passionnant de cette vidéo, lequel vous permettra de constater qu'il n'est pas productif de souhaiter du mal à ce néfaste guignol. Lors d'un de ses directs, en 2023, Conversano a raconté la chose suivante: en 1999, la nuit de la mort de son grand-père, ce dernier lui est apparu en rêve, et lui a dit: “A dans 25 ans”. Conversano explique que ce songe, qui il lui a semblé très réel, l'a hanté, bien qu'il ne se souvienne que très rarement de ses rêves. Il semblerait que des apparitions oniriques et troublantes de proches décédés depuis peu, soient de réels contacts. L'hypothèse selon laquelle un reste psychique de l'essence métaphysique de son grand-père, passé dans une réalité où le temps n'existe plus, lui ait délivré un message important, n'est pas délirante.
Ou bien, Daniel Conversano est-il non seulement un arabe refoulé, mais aussi un ésotériste refoulé? A-t-il inconsciemment développé une maladie lourde pour se prouver la puissance de l'esprit sur la matière? Le triomphe de la volonté aryenne, dans l'auto-annihilation du bicot qu'il ne supporte plus être? Il aurait alors mis également inconsciemment en scène la visite de son grand-père en rêve, ce serait un peu tordu. Conservons l'hypothèse d'un contact réel avec l'essence métaphysique de son parent.
Ce dernier lui a dit “A dans 25 ans”, mais il ne lui a pas dit “tu vas crever dans 25 ans”. Dans l'extrait en question, Conversano dit qu'une part en lui craint de mourir en 2024, car c'est effectivement l'explication première qu'on peut tirer des propos du défunt. Mais dans des cas de guérisons miraculeuses impliquant des visions, des gens condamnés et sauvés par on ne sait quoi on ne sait comment, voient, dans des états seconds, des êtres, qui peuvent êtres des proches trépassés, venir les soigner. A leur réveil, ils se sentent mieux, et guérissent miraculeusement ensuite. Conversano va-t-il être sauvé par une intervention invisible, depuis une réalité métaphysique?
C'est ce qu'il faut souhaiter. Aussi je vous le demande, ô mes frères en bougnoulitude, cessez d'offrir des chèvres au sorcier de votre village pour qu'il envoie des djinns dans le trou de balle de Daniel Conversano. Et pourquoi faut-il le souhaiter? C'est très simple: si Conversano est sauvé miraculeusement, il ne pourra que le constater, et changera radicalement de point de vue sur la vie présente et l'existence en général. Ce bouleversement dans ses croyances s'accompagnera immanquablement d'une révolution dans son attitude et ses choix de vie. Il deviendra gentil, compatissant, et abandonnera ses folies xénophobes. Pire (pour ses annonceurs) il risque de laisser derrière lui ses positionnements scientistes, et en adopter d'autres reconnaissant les choses de l'esprit, de l'invisible. Il est évidemment possible qu'il débloque et finisse par s'enfoncer des godes en cristal dans le fion en invoquant Ashtar Command mais ce sera toujours mieux que de claboter d'un turbocancer estampillé pfizer.
Une autre possibilité s'envisage: qu'il soit sauvé miraculeusement, qu'il sache pourquoi, mais décide de n'en rien dire pour continuer son petit business, en prétendant “Alors les blancs elle est pas belle la médecine occidentale? La meilleure médecine du monde je vous l'avais dit!”, auquel cas en perdurant dans la duplicité et la manipulation, il aggravera considérablement son cas.
Parce que toute cette histoire est fort singulière, parce que Conversano est un influenceur parfaitement toxique et dangereux pour lui-même et les autres, et parce qu'un message de l'au-delà lui a annoncé quelque chose de lourd cette année, incluez-le lui et son grand-père dans vos prières. Que ce dernier vienne le sauver, afin que Daniel Conversano cesse d'avoir un impact négatif sur notre pauvre monde"
il y a un an
Mythopisse
1 an
Que diriez-vous d'un bon pavé royal?
Bientôt en vidéo ce mois d'août
"La nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre
Daniel Conversano est atteint d'un cancer
Et pas d'un cancer bénin sympa visiblement, puisque Conversano est rentré en France se faire soigner et commence bientôt les traitements. France qu'il considère comme un trou à merde, mais France dont les contribuables vont enrichir l'industrie pharmaceutique fournissant les traitements anti-cancéreux qu'il subira, et dont l'efficacité thérapeutique douteuse n'est que secondaire, puisqu'importent plus que tout, les profits des actionnaires. Il n'est pas non plus irrationnel de supposer que les protocoles chimiothérapeutiques servent à tester à grande échelle des produits toxiques sur l'organisme, en espérant faire quelque découverte utile.
Cette vidéo est, vous vous en doutez, pleine de fiel et de sarcasmes, puisque je considère Conversano comme un sale type dangereux. Pour autant, si vous l'écoutez jusqu'à la fin, vous entendrez que j'espère l'issue du sien combat, positive pour lui et autrui.
Pourquoi Conversano a-t-il contracté un cancer apparemment sérieux – selon ses propres termes relayant ceux de la médecine officielle, “préoccupant” traduction: “vous allez crever” - ?
Conversano cultive l'acidité, la haine et la méchanceté. Il souhaite beaucoup de mal à autrui, se réjouit des avanies ou drames frappant les personnes qu' à tort ou raison il déteste, et a bâti son entreprise d'extortion de fonds du nationalisme leucoderme, sur une animosité flagrante envers le monde non-blanc. Même s'il en rajoute, sa vie intérieure est bilieuse.
Conversano a beaucoup d'ennemis parmi les arabo-maghrébins, parce qu'il les abomine et le fait abondamment savoir. Leur existence le révulse, et pour cause! Conversano est lui-même un gros bougnoule. A l'instar des pires des homophobes, homosexuels refoulés (et parfois homosexuels honteux et pratiquants), Daniel Conversano l'arabo-maghrébin refoulé éprouve une détestation viscérale pour le monde arabo-maghrébin, dont il est issu en droite lignée de par ses origines méditerranéennes. De mauvais plaisants sur d'obscurs forums s'amusent à collecter des photographies de terroristes islamistes lui ressemblant, ou à créer des “Où est Charlie?” en insérant un Daniel parmi des dizaines d'Abdelhamids. C'est évidemment hilarant car il est le portrait parfois craché des objets de son exécration. Conversano a tant et si bien verbalisé son aversion quasiment métaphysique pour ses frères en phénotype, que ces derniers en ont fini par développer une certaine rancoeur à son endroit. Conversano est un idiot matérialiste mais il ne devrait pas ignorer qu'une des activités favorites de son berceau civilisationnel, est la sorcellerie, banale et commune au sein des communautés arabo-maghrébines. On a tôt fait de supposer que de retour au bled, des fils d'immigrés vont de temps à autre visiter le sorcier de leur village, lui offrir une chèvre et lui apporter des photos de Daniel Conversano, en lui disant “wollah par la barbe du Prophète que ce chien meure dans d'atroces souffrances”. Et on a peut-être raison. Tout matérialiste qu'il soit, le poids psychique de dizaines de malédictions lourdes peut finir par percer les barrières, psychiques également, de déni et d'ignorance des réalités métaphysiques dont Conversano bénéficiait.
Enfin, il a sagement suivi son schéma vaccinal anti-covid, et pris au moins trois doses. Une dose, deux doses, thrombose. Un pfizer, deux pfizer, trois pfizer, cancer. Il s'est généreusement moqué des sceptiques de cette soi-disant vaccination, les traitant de complotistes, d'abrutis refusant de faire confiance à la Sainte Science Occidentale, dont la médecine est selon lui la meilleure du monde. Va-t-il changer d'avis?
Conversano est un sale con et un personnage fort malsain. Quelqu'un qui partagea au début des années 2000 les mêmes bancs universitaires, quoi que dans une discipline différente si mes souvenirs sont bons, m'expliquait que cet individu rêvait alors d'une carrière artistique dans le milieu audiovisuel, faisait montre d'une irrépressible égomanie, et n'était pas vraiment de bonne compagnie.
Je répète souvent que Conversano fait un numéro d'artiste contemporain, se met en scène lui-même comme nationaliste blanc, parce qu'il a reniflé dans ce milieu nationaliste un bon filon, tant au niveau monétaire, qu'au niveau humain. Des tas de jeunes en quête de sens, d'identité et de meneurs le composent, jeunes prêts à débourser des sommes conséquentes pour se voir proposer une voie, un modèle, un idéal. L'arabe Conversano n'est certes pas scandinave mais propose un exotisme rafraîchissant, et l'idéologie de cet arabe pas-comme-les-autres, un fascisme rigolo et progressiste. Conversano n'a pourtant pas tellement d'idéologie, il aspire avant tout à proposer un spectacle vivant, une performance continue. Son histrionisme peut l'habiter jour et nuit et, savamment orienté politiquement, sa transe de cabotinage lui rapporte beaucoup, financièrement autant qu'égotiquement. Conversano est réalisateur, metteur en scène, acteur, il gère et incarne le personnage d'un leader fasciste charismatique. Conversano avait semble-t-il plus d'affinités avec le fascisme de gauche, avant de constater qu'un public bien plus important aspirait, ces deux dernières décennies, à un fascisme de droite. Vous pourriez m'opposer que son goût pour le fascisme constitue bel et bien une idéologie. Je vous répondrai qu'il s'agit plutôt d'un invariant ethnologique, puisque Conversano est arabe, que les arabes sont collectivistes et avouent eux-mêmes ne savoir être gérés que par un homme fort, voire un dictateur.
Sa passion pour le cinéma nous offre par ailleurs un autre objet d'analyse psychopathologique. Le cinéma est un sous-art, un assemblage souvent grossier et balourd de différentes catégories artistiques. Seuls de rares génies parviennent à conjuguer sans bouffonnerie des domaines comme photographie, rythme, mise en scène, musique, gestion et jeu des acteurs, écriture. Le cinéma constitue le loisir et l'objet d'analyse favori de Daniel Conversano, qui comme nous venons de l'expliquer, ouvrez les guillemets “fait son cinéma” devant un public de nationalistes blancs. Il considère donc vraisemblablement, parce qu'il s'affirme homme de goût, que, des activités élevées de l'occidental blanc, le cinéma en est sinon la plus sublime et la plus riche, du moins digne des plus grandes louanges. Nous touchons au coeur du problème: Conversano est un blanc trans. Tout comme les hommes devenus femmes trans vont singer la féminité en caricaturant ce qu'ils en croient être essentiel, Conversano singe l'expression du génie occidental en vouant une passion démesurée à un secteur d'activité effroyablement vulgaire: le cinéma. Des femmes trans, hommes biologiques, se font gonfler grotesquement les lèvres, se maquillent outrancièrement, s'habillent de façon ridicule en espérant incarner une féminité fatalement inaccessible pour eux. Daniel Conversano, blanc trans, arabe biologique, se pâme devant le loisir dégénéré qu'est le cinéma, et fait de sa vie une mise en scène audiovisuelle. Il ne sera jamais blanc pour autant.
Rappelons que les grands lieux de la cinématographie sont assez peu européens: l'Italie est méditerrannéenne, Bollywood est indien (les indiens sont classés parmi les indo-européens mais qui affirmerait qu'ils sont blancs?), et Hollywood est juif. Curieux raffinement de la civilisation occidentale, que ce cinéma auquel Conversano voue une vénération.
Les femmes trans, hommes biologiques, abhorrent en réalité les femmes, dont ils voudraient prendre la place afin de bénéficier des avantages qu'ils leur supposent. On peut par exemple le constater dans le secteur du sport, où des athlètes biologiquement mâles font mine de transitionner pour à la fois, humilier des concurrentes biologiquement femmes, et jouir d'une puissance, de victoires, qu'ils ne possédaient et auxquelles ils ne parvenaient quand ils concouraient hommes. Leurs revendications d'utiliser les toilettes des femmes biologiques participent aussi à un désir d'oppression manifeste. Total et absolu soutien aux féministes TERF qui expliquent parfaitement comment les hommes biologiques se revendiquant femmes trans sont un nouvel avatar de la psychopathie patriarcale, et son expression la plus misérablement clownesque.
Daniel Conversano, blanc trans, arabe biologique, déteste en réalité les blanc occidentaux, dont il ne fera jamais partie. Un extrait audio traîne où on l'entend dans un de ses directs, expliquer que les blancs du nord sont d'affreux balourds incapables de draguer les femmes, alors que lui blanc du sud est un sacré Dom Juan (pour ne pas dire Casanova, car Casasnovas indique des approches thérapeutiques qui pourraient le guérir, mais qui vont à l'encontre de sa propagande pseudo-sceptique et pro-industrie médico-pharma). Conversano n'aura jamais de gênes blancs, mais il peut récolter l'argent et l'admiration de ceux qui en possèdent, en faisant son petit numéro de turbofasciste option scientisme. Je doute qu'il soit totalement dupe, et suis quasiment sûr qu'une partie de lui jouit d'exploiter son public, dont il jalouse les phénotypes.
Bientôt en vidéo ce mois d'août
"La nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre
Daniel Conversano est atteint d'un cancer
Et pas d'un cancer bénin sympa visiblement, puisque Conversano est rentré en France se faire soigner et commence bientôt les traitements. France qu'il considère comme un trou à merde, mais France dont les contribuables vont enrichir l'industrie pharmaceutique fournissant les traitements anti-cancéreux qu'il subira, et dont l'efficacité thérapeutique douteuse n'est que secondaire, puisqu'importent plus que tout, les profits des actionnaires. Il n'est pas non plus irrationnel de supposer que les protocoles chimiothérapeutiques servent à tester à grande échelle des produits toxiques sur l'organisme, en espérant faire quelque découverte utile.
Cette vidéo est, vous vous en doutez, pleine de fiel et de sarcasmes, puisque je considère Conversano comme un sale type dangereux. Pour autant, si vous l'écoutez jusqu'à la fin, vous entendrez que j'espère l'issue du sien combat, positive pour lui et autrui.
Pourquoi Conversano a-t-il contracté un cancer apparemment sérieux – selon ses propres termes relayant ceux de la médecine officielle, “préoccupant” traduction: “vous allez crever” - ?
Conversano cultive l'acidité, la haine et la méchanceté. Il souhaite beaucoup de mal à autrui, se réjouit des avanies ou drames frappant les personnes qu' à tort ou raison il déteste, et a bâti son entreprise d'extortion de fonds du nationalisme leucoderme, sur une animosité flagrante envers le monde non-blanc. Même s'il en rajoute, sa vie intérieure est bilieuse.
Conversano a beaucoup d'ennemis parmi les arabo-maghrébins, parce qu'il les abomine et le fait abondamment savoir. Leur existence le révulse, et pour cause! Conversano est lui-même un gros bougnoule. A l'instar des pires des homophobes, homosexuels refoulés (et parfois homosexuels honteux et pratiquants), Daniel Conversano l'arabo-maghrébin refoulé éprouve une détestation viscérale pour le monde arabo-maghrébin, dont il est issu en droite lignée de par ses origines méditerranéennes. De mauvais plaisants sur d'obscurs forums s'amusent à collecter des photographies de terroristes islamistes lui ressemblant, ou à créer des “Où est Charlie?” en insérant un Daniel parmi des dizaines d'Abdelhamids. C'est évidemment hilarant car il est le portrait parfois craché des objets de son exécration. Conversano a tant et si bien verbalisé son aversion quasiment métaphysique pour ses frères en phénotype, que ces derniers en ont fini par développer une certaine rancoeur à son endroit. Conversano est un idiot matérialiste mais il ne devrait pas ignorer qu'une des activités favorites de son berceau civilisationnel, est la sorcellerie, banale et commune au sein des communautés arabo-maghrébines. On a tôt fait de supposer que de retour au bled, des fils d'immigrés vont de temps à autre visiter le sorcier de leur village, lui offrir une chèvre et lui apporter des photos de Daniel Conversano, en lui disant “wollah par la barbe du Prophète que ce chien meure dans d'atroces souffrances”. Et on a peut-être raison. Tout matérialiste qu'il soit, le poids psychique de dizaines de malédictions lourdes peut finir par percer les barrières, psychiques également, de déni et d'ignorance des réalités métaphysiques dont Conversano bénéficiait.
Enfin, il a sagement suivi son schéma vaccinal anti-covid, et pris au moins trois doses. Une dose, deux doses, thrombose. Un pfizer, deux pfizer, trois pfizer, cancer. Il s'est généreusement moqué des sceptiques de cette soi-disant vaccination, les traitant de complotistes, d'abrutis refusant de faire confiance à la Sainte Science Occidentale, dont la médecine est selon lui la meilleure du monde. Va-t-il changer d'avis?
Conversano est un sale con et un personnage fort malsain. Quelqu'un qui partagea au début des années 2000 les mêmes bancs universitaires, quoi que dans une discipline différente si mes souvenirs sont bons, m'expliquait que cet individu rêvait alors d'une carrière artistique dans le milieu audiovisuel, faisait montre d'une irrépressible égomanie, et n'était pas vraiment de bonne compagnie.
Je répète souvent que Conversano fait un numéro d'artiste contemporain, se met en scène lui-même comme nationaliste blanc, parce qu'il a reniflé dans ce milieu nationaliste un bon filon, tant au niveau monétaire, qu'au niveau humain. Des tas de jeunes en quête de sens, d'identité et de meneurs le composent, jeunes prêts à débourser des sommes conséquentes pour se voir proposer une voie, un modèle, un idéal. L'arabe Conversano n'est certes pas scandinave mais propose un exotisme rafraîchissant, et l'idéologie de cet arabe pas-comme-les-autres, un fascisme rigolo et progressiste. Conversano n'a pourtant pas tellement d'idéologie, il aspire avant tout à proposer un spectacle vivant, une performance continue. Son histrionisme peut l'habiter jour et nuit et, savamment orienté politiquement, sa transe de cabotinage lui rapporte beaucoup, financièrement autant qu'égotiquement. Conversano est réalisateur, metteur en scène, acteur, il gère et incarne le personnage d'un leader fasciste charismatique. Conversano avait semble-t-il plus d'affinités avec le fascisme de gauche, avant de constater qu'un public bien plus important aspirait, ces deux dernières décennies, à un fascisme de droite. Vous pourriez m'opposer que son goût pour le fascisme constitue bel et bien une idéologie. Je vous répondrai qu'il s'agit plutôt d'un invariant ethnologique, puisque Conversano est arabe, que les arabes sont collectivistes et avouent eux-mêmes ne savoir être gérés que par un homme fort, voire un dictateur.
Sa passion pour le cinéma nous offre par ailleurs un autre objet d'analyse psychopathologique. Le cinéma est un sous-art, un assemblage souvent grossier et balourd de différentes catégories artistiques. Seuls de rares génies parviennent à conjuguer sans bouffonnerie des domaines comme photographie, rythme, mise en scène, musique, gestion et jeu des acteurs, écriture. Le cinéma constitue le loisir et l'objet d'analyse favori de Daniel Conversano, qui comme nous venons de l'expliquer, ouvrez les guillemets “fait son cinéma” devant un public de nationalistes blancs. Il considère donc vraisemblablement, parce qu'il s'affirme homme de goût, que, des activités élevées de l'occidental blanc, le cinéma en est sinon la plus sublime et la plus riche, du moins digne des plus grandes louanges. Nous touchons au coeur du problème: Conversano est un blanc trans. Tout comme les hommes devenus femmes trans vont singer la féminité en caricaturant ce qu'ils en croient être essentiel, Conversano singe l'expression du génie occidental en vouant une passion démesurée à un secteur d'activité effroyablement vulgaire: le cinéma. Des femmes trans, hommes biologiques, se font gonfler grotesquement les lèvres, se maquillent outrancièrement, s'habillent de façon ridicule en espérant incarner une féminité fatalement inaccessible pour eux. Daniel Conversano, blanc trans, arabe biologique, se pâme devant le loisir dégénéré qu'est le cinéma, et fait de sa vie une mise en scène audiovisuelle. Il ne sera jamais blanc pour autant.
Rappelons que les grands lieux de la cinématographie sont assez peu européens: l'Italie est méditerrannéenne, Bollywood est indien (les indiens sont classés parmi les indo-européens mais qui affirmerait qu'ils sont blancs?), et Hollywood est juif. Curieux raffinement de la civilisation occidentale, que ce cinéma auquel Conversano voue une vénération.
Les femmes trans, hommes biologiques, abhorrent en réalité les femmes, dont ils voudraient prendre la place afin de bénéficier des avantages qu'ils leur supposent. On peut par exemple le constater dans le secteur du sport, où des athlètes biologiquement mâles font mine de transitionner pour à la fois, humilier des concurrentes biologiquement femmes, et jouir d'une puissance, de victoires, qu'ils ne possédaient et auxquelles ils ne parvenaient quand ils concouraient hommes. Leurs revendications d'utiliser les toilettes des femmes biologiques participent aussi à un désir d'oppression manifeste. Total et absolu soutien aux féministes TERF qui expliquent parfaitement comment les hommes biologiques se revendiquant femmes trans sont un nouvel avatar de la psychopathie patriarcale, et son expression la plus misérablement clownesque.
Daniel Conversano, blanc trans, arabe biologique, déteste en réalité les blanc occidentaux, dont il ne fera jamais partie. Un extrait audio traîne où on l'entend dans un de ses directs, expliquer que les blancs du nord sont d'affreux balourds incapables de draguer les femmes, alors que lui blanc du sud est un sacré Dom Juan (pour ne pas dire Casanova, car Casasnovas indique des approches thérapeutiques qui pourraient le guérir, mais qui vont à l'encontre de sa propagande pseudo-sceptique et pro-industrie médico-pharma). Conversano n'aura jamais de gênes blancs, mais il peut récolter l'argent et l'admiration de ceux qui en possèdent, en faisant son petit numéro de turbofasciste option scientisme. Je doute qu'il soit totalement dupe, et suis quasiment sûr qu'une partie de lui jouit d'exploiter son public, dont il jalouse les phénotypes.
"puisque Conversano est rentré en France se faire soigner et commence bientôt les traitements. France qu'il considère comme un trou à merde, mais France dont les contribuables vont enrichir l'industrie pharmaceutique fournissant les traitements anti-cancéreux qu'il subira, et dont l'efficacité thérapeutique douteuse n'est que secondaire, puisqu'importent plus que tout, les profits des actionnaires"
Fils de pute racialistins anti-communistes lambda

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il y a un an
Big big CHOENT
¡Esta serpiente marina MATÓ a un Celestino! https://streamable.com/fmjgjb 

il y a un an