Ce sujet a été résolu
Donc comment peut-on se développer normalement quand on en a jamais eu? Quand on a été un Célestin toute sa vie qui n'a pas de proches? Et quel est le sens de tout ça surtout?
il y a 3 jours
Ben adopte des normes du groupe auquel tu veux t'intégrer
Bah oui mais je sais pas du tout auquel je veux m'intégrer
Et même, je le trouve où? Ça marche comment tout ça?
Et même, je le trouve où? Ça marche comment tout ça?
il y a 2 jours
Le besoin d'appartenance est aussi un piège.
Les gens prennent des idées qui leur plaisent, se réunissent autour, mais s'aperçoivent que ces idées ne les définissent pas pleinement. Alors le groupe se disperse.
Ou alors, les gens s'amputent eux-mêmes de tout ce qui diverge de ces idées.
On n'appartient qu'à ce à quoi on a besoin d'appartenir compte tenu des circonstances.
Si on appartient à une famille, c'est la sienne, si on appartient à une race, c'est la sienne, si on appartient à une secte, c'est celle dont l'action va en son sens.
Une fois qu'on a éliminé l'extérieur à soi, on se replie vers ce qui nous définit le plus, jusqu'à soi-même. Mais uniquement après avoir fait le travail avec le cercle extérieur.
Le but, la finalité étant d'aboutir à son évolution maximale, on n'appartient qu'à soi-même. Mais pas au sens qu'on appartient à rien. On appartient bien à quelque chose, mais que l'on ne choisit pas.
Il suffit de faire l'expérience d'une cour de récré ou d'une entreprise pour voir à quel point ces histoires d'appartenance sont bidon. Ca change toutes les deux minutes. Dès qu'une pression extérieure se fait sentir, tout le monde court dans tous les sens et trahit tout le monde.
Toi tu ressens le besoin de cohésion avec ceux avec qui tu travailles, ceux avec qui tu travailles te font des reproches si tu es pas assez impliqué. Et surprise, un élément parasitaire puissant arrive d'en haut : tout vole en éclats. Toutes les belles paroles, les drama, balayés en deux secondes.
Tu crois appartenir à une tribu, une grande famille étendue, liée par le sang. Toute la journée ça parle mal des autres tribus, ça se chamaille. Et finalement les têtes de la tribus seront les premières à laisser rentrer des étrangers aux grés de leurs besoins après avoir envoyé tout le monde au casse pipe contre eux.
En fait, on ne choisit pas à quoi on appartient. On appartient à ce qu'on est.
C'est un peu comme avec les croyants, le vrai croyant obéit à son dieu, pas à celui qui prétend représenter son dieu.
Tu appartiens à ce que les tiens représentent, figurent, mais pas aux tiens au sens propre, car ils peuvent trahir ce qu'ils représentent.
Donc bref, en deux mot : tant pis. C'est important mais il faut savoir se détacher de cet instinct. Il a sa justification évolutive, mais, tout comme avoir besoin de manger, cela peut causer ta perte si tu ne contrôle pas cet instinct. C'est bien souvent une faiblesse.
Les gens prennent des idées qui leur plaisent, se réunissent autour, mais s'aperçoivent que ces idées ne les définissent pas pleinement. Alors le groupe se disperse.
Ou alors, les gens s'amputent eux-mêmes de tout ce qui diverge de ces idées.
On n'appartient qu'à ce à quoi on a besoin d'appartenir compte tenu des circonstances.
Si on appartient à une famille, c'est la sienne, si on appartient à une race, c'est la sienne, si on appartient à une secte, c'est celle dont l'action va en son sens.
Une fois qu'on a éliminé l'extérieur à soi, on se replie vers ce qui nous définit le plus, jusqu'à soi-même. Mais uniquement après avoir fait le travail avec le cercle extérieur.
Le but, la finalité étant d'aboutir à son évolution maximale, on n'appartient qu'à soi-même. Mais pas au sens qu'on appartient à rien. On appartient bien à quelque chose, mais que l'on ne choisit pas.
Il suffit de faire l'expérience d'une cour de récré ou d'une entreprise pour voir à quel point ces histoires d'appartenance sont bidon. Ca change toutes les deux minutes. Dès qu'une pression extérieure se fait sentir, tout le monde court dans tous les sens et trahit tout le monde.
Toi tu ressens le besoin de cohésion avec ceux avec qui tu travailles, ceux avec qui tu travailles te font des reproches si tu es pas assez impliqué. Et surprise, un élément parasitaire puissant arrive d'en haut : tout vole en éclats. Toutes les belles paroles, les drama, balayés en deux secondes.
Tu crois appartenir à une tribu, une grande famille étendue, liée par le sang. Toute la journée ça parle mal des autres tribus, ça se chamaille. Et finalement les têtes de la tribus seront les premières à laisser rentrer des étrangers aux grés de leurs besoins après avoir envoyé tout le monde au casse pipe contre eux.
En fait, on ne choisit pas à quoi on appartient. On appartient à ce qu'on est.
C'est un peu comme avec les croyants, le vrai croyant obéit à son dieu, pas à celui qui prétend représenter son dieu.
Tu appartiens à ce que les tiens représentent, figurent, mais pas aux tiens au sens propre, car ils peuvent trahir ce qu'ils représentent.
Donc bref, en deux mot : tant pis. C'est important mais il faut savoir se détacher de cet instinct. Il a sa justification évolutive, mais, tout comme avoir besoin de manger, cela peut causer ta perte si tu ne contrôle pas cet instinct. C'est bien souvent une faiblesse.
Je suis Seugondaire.
il y a 2 jours
Bah oui mais je sais pas du tout auquel je veux m'intégrer
Et même, je le trouve où? Ça marche comment tout ça?
Et même, je le trouve où? Ça marche comment tout ça?
et quand bien même , tu seras toujours un paria et le groupe te le fera savoir
il y a 2 jours
Le besoin d'appartenance est aussi un piège.
Les gens prennent des idées qui leur plaisent, se réunissent autour, mais s'aperçoivent que ces idées ne les définissent pas pleinement. Alors le groupe se disperse.
Ou alors, les gens s'amputent eux-mêmes de tout ce qui diverge de ces idées.
On n'appartient qu'à ce à quoi on a besoin d'appartenir compte tenu des circonstances.
Si on appartient à une famille, c'est la sienne, si on appartient à une race, c'est la sienne, si on appartient à une secte, c'est celle dont l'action va en son sens.
Une fois qu'on a éliminé l'extérieur à soi, on se replie vers ce qui nous définit le plus, jusqu'à soi-même. Mais uniquement après avoir fait le travail avec le cercle extérieur.
Le but, la finalité étant d'aboutir à son évolution maximale, on n'appartient qu'à soi-même. Mais pas au sens qu'on appartient à rien. On appartient bien à quelque chose, mais que l'on ne choisit pas.
Il suffit de faire l'expérience d'une cour de récré ou d'une entreprise pour voir à quel point ces histoires d'appartenance sont bidon. Ca change toutes les deux minutes. Dès qu'une pression extérieure se fait sentir, tout le monde court dans tous les sens et trahit tout le monde.
Toi tu ressens le besoin de cohésion avec ceux avec qui tu travailles, ceux avec qui tu travailles te font des reproches si tu es pas assez impliqué. Et surprise, un élément parasitaire puissant arrive d'en haut : tout vole en éclats. Toutes les belles paroles, les drama, balayés en deux secondes.
Tu crois appartenir à une tribu, une grande famille étendue, liée par le sang. Toute la journée ça parle mal des autres tribus, ça se chamaille. Et finalement les têtes de la tribus seront les premières à laisser rentrer des étrangers aux grés de leurs besoins après avoir envoyé tout le monde au casse pipe contre eux.
En fait, on ne choisit pas à quoi on appartient. On appartient à ce qu'on est.
C'est un peu comme avec les croyants, le vrai croyant obéit à son dieu, pas à celui qui prétend représenter son dieu.
Tu appartiens à ce que les tiens représentent, figurent, mais pas aux tiens au sens propre, car ils peuvent trahir ce qu'ils représentent.
Donc bref, en deux mot : tant pis. C'est important mais il faut savoir se détacher de cet instinct. Il a sa justification évolutive, mais, tout comme avoir besoin de manger, cela peut causer ta perte si tu ne contrôle pas cet instinct. C'est bien souvent une faiblesse.
Les gens prennent des idées qui leur plaisent, se réunissent autour, mais s'aperçoivent que ces idées ne les définissent pas pleinement. Alors le groupe se disperse.
Ou alors, les gens s'amputent eux-mêmes de tout ce qui diverge de ces idées.
On n'appartient qu'à ce à quoi on a besoin d'appartenir compte tenu des circonstances.
Si on appartient à une famille, c'est la sienne, si on appartient à une race, c'est la sienne, si on appartient à une secte, c'est celle dont l'action va en son sens.
Une fois qu'on a éliminé l'extérieur à soi, on se replie vers ce qui nous définit le plus, jusqu'à soi-même. Mais uniquement après avoir fait le travail avec le cercle extérieur.
Le but, la finalité étant d'aboutir à son évolution maximale, on n'appartient qu'à soi-même. Mais pas au sens qu'on appartient à rien. On appartient bien à quelque chose, mais que l'on ne choisit pas.
Il suffit de faire l'expérience d'une cour de récré ou d'une entreprise pour voir à quel point ces histoires d'appartenance sont bidon. Ca change toutes les deux minutes. Dès qu'une pression extérieure se fait sentir, tout le monde court dans tous les sens et trahit tout le monde.
Toi tu ressens le besoin de cohésion avec ceux avec qui tu travailles, ceux avec qui tu travailles te font des reproches si tu es pas assez impliqué. Et surprise, un élément parasitaire puissant arrive d'en haut : tout vole en éclats. Toutes les belles paroles, les drama, balayés en deux secondes.
Tu crois appartenir à une tribu, une grande famille étendue, liée par le sang. Toute la journée ça parle mal des autres tribus, ça se chamaille. Et finalement les têtes de la tribus seront les premières à laisser rentrer des étrangers aux grés de leurs besoins après avoir envoyé tout le monde au casse pipe contre eux.
En fait, on ne choisit pas à quoi on appartient. On appartient à ce qu'on est.
C'est un peu comme avec les croyants, le vrai croyant obéit à son dieu, pas à celui qui prétend représenter son dieu.
Tu appartiens à ce que les tiens représentent, figurent, mais pas aux tiens au sens propre, car ils peuvent trahir ce qu'ils représentent.
Donc bref, en deux mot : tant pis. C'est important mais il faut savoir se détacher de cet instinct. Il a sa justification évolutive, mais, tout comme avoir besoin de manger, cela peut causer ta perte si tu ne contrôle pas cet instinct. C'est bien souvent une faiblesse.
C'est très Nietzschéen tout çaent
Et ça me fait penser à Thomas Shelby aussi, y'a une scène où on lui demande si il est communiste ou je sais plus quoi, il répond "je suis ce que j'ai besoin d'être"
Et ça me fait penser à Thomas Shelby aussi, y'a une scène où on lui demande si il est communiste ou je sais plus quoi, il répond "je suis ce que j'ai besoin d'être"
il y a 2 jours
C'est très Nietzschéen tout çaent
Et ça me fait penser à Thomas Shelby aussi, y'a une scène où on lui demande si il est communiste ou je sais plus quoi, il répond "je suis ce que j'ai besoin d'être"
Et ça me fait penser à Thomas Shelby aussi, y'a une scène où on lui demande si il est communiste ou je sais plus quoi, il répond "je suis ce que j'ai besoin d'être"
Nietzsche a sortir pas mal de mièvreries mais sur certains trucs il avait du bon sens je pense
Je suis Seugondaire.
il y a 2 jours