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Baudelaire est venu nous délivrer la TERRIBLE PILL en peignant le PORTRAIT le plus JUSTE de la FEMME en ce POÈME


Vous n'y réchapperez pas. Apprenez le et prémunissez vous ou vous êtes FINI


Personne ne doit plus jamais SOUFFRIR cette FOLIE, CONSCIENTISEZ ce POÈME


Ce siècle sera celui de l'EMANCIPATION de l'HOMME ou ne SERA PAS


FUYEZ PAUVRE FOU


Tu mettrais l'univers entier dans ta ruelle,
Femme impure ! L'ennui rend ton âme cruelle.
Pour exercer tes dents à ce jeu singulier,
Il te faut chaque jour un coeur au râtelier.
Tes yeux, illuminés ainsi que des boutiques
Et des ifs flamboyants dans les fêtes publiques,
Usent insolemment d'un pouvoir emprunté,
Sans connaître jamais la loi de leur beauté.

Machine aveugle et sourde, en cruautés féconde !
Salutaire instrument, buveur du sang du monde,
Comment n'as-tu pas honte et comment n'as-tu pas
Devant tous les miroirs vu pâlir tes appas ?
La grandeur de ce mal où tu te crois savante
Ne t'a donc jamais fait reculer d'épouvante,
Quand la nature, grande en ses desseins cachés,
De toi se sert, ô femme, ô reine des péchés,
- De toi, vil animal, - pour pétrir un génie ?

Ô fangeuse grandeur ! sublime ignominie !


FUYEZ
il y a 3 jours
Baudelaire c'est le cochon qui a commis la strophe 557557 dans l'invitation au voyage ergo son avis ne compte pas
il y a 3 jours
Ok l'homme malade
:onche_main:

Il ne faut pas afoir peur
:klaus_combat:
il y a 3 jours
Baudelaire est venu nous délivrer la TERRIBLE PILL en peignant le PORTRAIT le plus JUSTE de la FEMME en ce POÈME


Vous n'y réchapperez pas. Apprenez le et prémunissez vous ou vous êtes FINI


Personne ne doit plus jamais SOUFFRIR cette FOLIE, CONSCIENTISEZ ce POÈME


Ce siècle sera celui de l'EMANCIPATION de l'HOMME ou ne SERA PAS


FUYEZ PAUVRE FOU


Tu mettrais l'univers entier dans ta ruelle,
Femme impure ! L'ennui rend ton âme cruelle.
Pour exercer tes dents à ce jeu singulier,
Il te faut chaque jour un coeur au râtelier.
Tes yeux, illuminés ainsi que des boutiques
Et des ifs flamboyants dans les fêtes publiques,
Usent insolemment d'un pouvoir emprunté,
Sans connaître jamais la loi de leur beauté.

Machine aveugle et sourde, en cruautés féconde !
Salutaire instrument, buveur du sang du monde,
Comment n'as-tu pas honte et comment n'as-tu pas
Devant tous les miroirs vu pâlir tes appas ?
La grandeur de ce mal où tu te crois savante
Ne t'a donc jamais fait reculer d'épouvante,
Quand la nature, grande en ses desseins cachés,
De toi se sert, ô femme, ô reine des péchés,
- De toi, vil animal, - pour pétrir un génie ?

Ô fangeuse grandeur ! sublime ignominie !


FUYEZ
Pas mal du tout, c'est quoi le titre du poéme svp ?
il y a 3 jours