Ce sujet a été résolu
Bonjour, mes chers kheyons.
J'ai toujours dit que l'argent est un peu comme un fruit, tandis que le capital est l'arbre fruitier. Cela reste vrai, mais aujourd'hui j'ai une nuance à faire.
Car l'argent donne aussi du "pouvoir d'achat". Il y a bel et bien le mot "pouvoir" ici, et à juste titre. L'argent fournit un vrai pouvoir, c'est indéniable. Celui qui a du fric peut s'asseoir dans un resto quelconque et être servi comme un roi, sans avoir à bouger son cul de la chaise. Si ce n'est pas du pouvoir ça.
Mais il faut faire attention. Certes, l'argent donne du pouvoir : mais c'est du pouvoir d'achat.
Acheter, c'est comme cueillir les fruits d'un arbre. C'est très bien, mais cela reste un pouvoir limité.
Les capitalistes ont la propriété de l'arbre : c'est-à-dire que personne ne cueille les fruits sans leur autorisation.
Conséquence : les capitalistes distribuent le pouvoir d'achat.
Alors on peut dire que l'argent, ou le pouvoir d'achat, est le capital du pauvre. C'est la part de fruits que les capitalistes veulent bien vous donner.
Ces bases étant posées, passons à la question :
Solutions possibles :
On force les capitalistes à distribuer plus de pouvoir d'achat (solution de gauche socialiste)
On prend des mesures politiques pour pousser les gens à planter leur propre petit arbre fruitier (solution libérale)
On laisse les gens se débrouiller, le marché va se réguler de lui-même (solution de droite néolibérale)
On nationalise, on fait de l'arbre une chose commune, et on répartit le pouvoir d'achat (solution communiste)
Quelles sont les bonnes solutions ? La 2) et la 4)
D'abord écartons les solutions "fausses". Déjà, la 1) est une solution très problématique. Les capitalistes ont le cheatcode argent infini, et rien à foutre de leur vie à part lutter contre l'Etat. Alors vouloir les taxer, bonjour la guerre permanente, sauf à les dépouiller de tout violemment.
Tant qu'ils resteront propriétaires de l'arbre, ils resteront en position de pouvoir. C'est ce que la gauche socialiste ne veut pas voir. Ce qu'il faut faire c'est de les casser.
En outre, la solution 3) c'est complètement débile, parce que les monopoles dominent le marché et faussent toute la concurrence. C'est comme si un agriculteur disait : "bah les parasites, les bêtes sauvages qui bouffent mes fruits, le climat, la qualité du sol... tout ça je m'en fous, je fais confiance à la nature, je vais planter mes pastèques ici en Finlande ça va marcher tu verras ça se régulera de soi-même"
Bien sûr un agriculteur s'appuie sur les forces de la nature, mais il doit aussi aménager l'espace, choisir un endroit propice, s'inquiéter du climat, des parasites, etc. En d'autres mots, il doit travailler.
Concernant les "bonnes" solutions : La 2) c'est l'idéal pour assurer un maximum d'indépendance et de liberté aux gens. Cela consiste, tout simplement, à permettre aux gens de constituer leur propre capital. Notez par exemple qu'1 seul patron peut nourrir et employer une famille entière. Mais pour que cela soit possible, il faut baisser les taxes, mettre en place un bon cours d'économie / finance dès le collège, mettre en place des lois "anti-trust" pour casser les monopoles privés, faciliter la création d'entreprises en réduisant la paperasse rébarbative et les frais, favoriser la production locale par de la commande d'utilité publique (ça va des cantines scolaires, qui auraient besoin de produits de qualité ainsi que de bons cuisiniers, à la nécessité d'avoir des logiciels informatiques nationaux pour des questions de sécurité ), etc
Mais il y a forcément des gens qui ne voudront pas s'emmerder à prendre soin d'un arbre.
D'où l'intêrêt de la solution 4) Puisque de toute façon on distribue déjà plein d'aides et mille conneries, il faudrait simplement les rassembler en une sorte de revenu national inconditionnel, stocké sur une banque nationale, etc etc.
On parle souvent d' "acheter la paix sociale" avec ça. Personnellement, je pense qu'on n'achète rien du tout. Il est juste que tout le monde reçoive une petite part des fruits du grand arbre national, notre économie commune. Mais je comprends que tout le monde ne partage pas cette vision.
Voilà mon point de vue sur la question, au plaisir.
Introduction : le capital du pauvre
J'ai toujours dit que l'argent est un peu comme un fruit, tandis que le capital est l'arbre fruitier. Cela reste vrai, mais aujourd'hui j'ai une nuance à faire.
Car l'argent donne aussi du "pouvoir d'achat". Il y a bel et bien le mot "pouvoir" ici, et à juste titre. L'argent fournit un vrai pouvoir, c'est indéniable. Celui qui a du fric peut s'asseoir dans un resto quelconque et être servi comme un roi, sans avoir à bouger son cul de la chaise. Si ce n'est pas du pouvoir ça.
Mais il faut faire attention. Certes, l'argent donne du pouvoir : mais c'est du pouvoir d'achat.
Acheter, c'est comme cueillir les fruits d'un arbre. C'est très bien, mais cela reste un pouvoir limité.
Les capitalistes ont la propriété de l'arbre : c'est-à-dire que personne ne cueille les fruits sans leur autorisation.
Conséquence : les capitalistes distribuent le pouvoir d'achat.
Alors on peut dire que l'argent, ou le pouvoir d'achat, est le capital du pauvre. C'est la part de fruits que les capitalistes veulent bien vous donner.
Ces bases étant posées, passons à la question :
Comment redonner du pouvoir d'achat aux Français ?
Solutions possibles :




Quelles sont les bonnes solutions ? La 2) et la 4)
D'abord écartons les solutions "fausses". Déjà, la 1) est une solution très problématique. Les capitalistes ont le cheatcode argent infini, et rien à foutre de leur vie à part lutter contre l'Etat. Alors vouloir les taxer, bonjour la guerre permanente, sauf à les dépouiller de tout violemment.
Tant qu'ils resteront propriétaires de l'arbre, ils resteront en position de pouvoir. C'est ce que la gauche socialiste ne veut pas voir. Ce qu'il faut faire c'est de les casser.
En outre, la solution 3) c'est complètement débile, parce que les monopoles dominent le marché et faussent toute la concurrence. C'est comme si un agriculteur disait : "bah les parasites, les bêtes sauvages qui bouffent mes fruits, le climat, la qualité du sol... tout ça je m'en fous, je fais confiance à la nature, je vais planter mes pastèques ici en Finlande ça va marcher tu verras ça se régulera de soi-même"
Bien sûr un agriculteur s'appuie sur les forces de la nature, mais il doit aussi aménager l'espace, choisir un endroit propice, s'inquiéter du climat, des parasites, etc. En d'autres mots, il doit travailler.
Concernant les "bonnes" solutions : La 2) c'est l'idéal pour assurer un maximum d'indépendance et de liberté aux gens. Cela consiste, tout simplement, à permettre aux gens de constituer leur propre capital. Notez par exemple qu'1 seul patron peut nourrir et employer une famille entière. Mais pour que cela soit possible, il faut baisser les taxes, mettre en place un bon cours d'économie / finance dès le collège, mettre en place des lois "anti-trust" pour casser les monopoles privés, faciliter la création d'entreprises en réduisant la paperasse rébarbative et les frais, favoriser la production locale par de la commande d'utilité publique (ça va des cantines scolaires, qui auraient besoin de produits de qualité ainsi que de bons cuisiniers, à la nécessité d'avoir des logiciels informatiques nationaux pour des questions de sécurité ), etc
Mais il y a forcément des gens qui ne voudront pas s'emmerder à prendre soin d'un arbre.

On parle souvent d' "acheter la paix sociale" avec ça. Personnellement, je pense qu'on n'achète rien du tout. Il est juste que tout le monde reçoive une petite part des fruits du grand arbre national, notre économie commune. Mais je comprends que tout le monde ne partage pas cette vision.
Voilà mon point de vue sur la question, au plaisir.
Au plaisir ~
il y a un an
Et la solution 4 dans tout ça ?
This land is worth more than the industries that want it.
il y a un an
Glock
1 an
Et la solution 4 dans tout ça ?
Le revenu national inconditionnel
Au plaisir ~
il y a un an
Le revenu national inconditionnel
Ha faudrait mettre un petit "solution" 4 je pense, je m'en doutais mais je n'étais pas sur
This land is worth more than the industries that want it.
il y a un an
Ha faudrait mettre un petit "solution" 4 je pense, je m'en doutais mais je n'étais pas sur
Je l'ai précisé
Au plaisir ~
il y a un an
Putaso
1 an
Bonjour, mes chers kheyons.
J'ai toujours dit que l'argent est un peu comme un fruit, tandis que le capital est l'arbre fruitier. Cela reste vrai, mais aujourd'hui j'ai une nuance à faire.
Car l'argent donne aussi du "pouvoir d'achat". Il y a bel et bien le mot "pouvoir" ici, et à juste titre. L'argent fournit un vrai pouvoir, c'est indéniable. Celui qui a du fric peut s'asseoir dans un resto quelconque et être servi comme un roi, sans avoir à bouger son cul de la chaise. Si ce n'est pas du pouvoir ça.
Mais il faut faire attention. Certes, l'argent donne du pouvoir : mais c'est du pouvoir d'achat.
Acheter, c'est comme cueillir les fruits d'un arbre. C'est très bien, mais cela reste un pouvoir limité.
Les capitalistes ont la propriété de l'arbre : c'est-à-dire que personne ne cueille les fruits sans leur autorisation.
Conséquence : les capitalistes distribuent le pouvoir d'achat.
Alors on peut dire que l'argent, ou le pouvoir d'achat, est le capital du pauvre. C'est la part de fruits que les capitalistes veulent bien vous donner.
Ces bases étant posées, passons à la question :
Solutions possibles :
On force les capitalistes à distribuer plus de pouvoir d'achat (solution de gauche socialiste)
On prend des mesures politiques pour pousser les gens à planter leur propre petit arbre fruitier (solution libérale)
On laisse les gens se débrouiller, le marché va se réguler de lui-même (solution de droite néolibérale)
On nationalise, on fait de l'arbre une chose commune, et on répartit le pouvoir d'achat (solution communiste)
Quelles sont les bonnes solutions ? La 2) et la 4)
D'abord écartons les solutions "fausses". Déjà, la 1) est une solution très problématique. Les capitalistes ont le cheatcode argent infini, et rien à foutre de leur vie à part lutter contre l'Etat. Alors vouloir les taxer, bonjour la guerre permanente, sauf à les dépouiller de tout violemment.
Tant qu'ils resteront propriétaires de l'arbre, ils resteront en position de pouvoir. C'est ce que la gauche socialiste ne veut pas voir. Ce qu'il faut faire c'est de les casser.
En outre, la solution 3) c'est complètement débile, parce que les monopoles dominent le marché et faussent toute la concurrence. C'est comme si un agriculteur disait : "bah les parasites, les bêtes sauvages qui bouffent mes fruits, le climat, la qualité du sol... tout ça je m'en fous, je fais confiance à la nature, je vais planter mes pastèques ici en Finlande ça va marcher tu verras ça se régulera de soi-même"
Bien sûr un agriculteur s'appuie sur les forces de la nature, mais il doit aussi aménager l'espace, choisir un endroit propice, s'inquiéter du climat, des parasites, etc. En d'autres mots, il doit travailler.
Concernant les "bonnes" solutions : La 2) c'est l'idéal pour assurer un maximum d'indépendance et de liberté aux gens. Cela consiste, tout simplement, à permettre aux gens de constituer leur propre capital. Notez par exemple qu'1 seul patron peut nourrir et employer une famille entière. Mais pour que cela soit possible, il faut baisser les taxes, mettre en place un bon cours d'économie / finance dès le collège, mettre en place des lois "anti-trust" pour casser les monopoles privés, faciliter la création d'entreprises en réduisant la paperasse rébarbative et les frais, favoriser la production locale par de la commande d'utilité publique (ça va des cantines scolaires, qui auraient besoin de produits de qualité ainsi que de bons cuisiniers, à la nécessité d'avoir des logiciels informatiques nationaux pour des questions de sécurité ), etc
Mais il y a forcément des gens qui ne voudront pas s'emmerder à prendre soin d'un arbre.
D'où l'intêrêt de la solution 4) Puisque de toute façon on distribue déjà plein d'aides et mille conneries, il faudrait simplement les rassembler en une sorte de revenu national inconditionnel, stocké sur une banque nationale, etc etc.
On parle souvent d' "acheter la paix sociale" avec ça. Personnellement, je pense qu'on n'achète rien du tout. Il est juste que tout le monde reçoive une petite part des fruits du grand arbre national, notre économie commune. Mais je comprends que tout le monde ne partage pas cette vision.
Voilà mon point de vue sur la question, au plaisir.
Introduction : le capital du pauvre
J'ai toujours dit que l'argent est un peu comme un fruit, tandis que le capital est l'arbre fruitier. Cela reste vrai, mais aujourd'hui j'ai une nuance à faire.
Car l'argent donne aussi du "pouvoir d'achat". Il y a bel et bien le mot "pouvoir" ici, et à juste titre. L'argent fournit un vrai pouvoir, c'est indéniable. Celui qui a du fric peut s'asseoir dans un resto quelconque et être servi comme un roi, sans avoir à bouger son cul de la chaise. Si ce n'est pas du pouvoir ça.
Mais il faut faire attention. Certes, l'argent donne du pouvoir : mais c'est du pouvoir d'achat.
Acheter, c'est comme cueillir les fruits d'un arbre. C'est très bien, mais cela reste un pouvoir limité.
Les capitalistes ont la propriété de l'arbre : c'est-à-dire que personne ne cueille les fruits sans leur autorisation.
Conséquence : les capitalistes distribuent le pouvoir d'achat.
Alors on peut dire que l'argent, ou le pouvoir d'achat, est le capital du pauvre. C'est la part de fruits que les capitalistes veulent bien vous donner.
Ces bases étant posées, passons à la question :
Comment redonner du pouvoir d'achat aux Français ?
Solutions possibles :




Quelles sont les bonnes solutions ? La 2) et la 4)
D'abord écartons les solutions "fausses". Déjà, la 1) est une solution très problématique. Les capitalistes ont le cheatcode argent infini, et rien à foutre de leur vie à part lutter contre l'Etat. Alors vouloir les taxer, bonjour la guerre permanente, sauf à les dépouiller de tout violemment.
Tant qu'ils resteront propriétaires de l'arbre, ils resteront en position de pouvoir. C'est ce que la gauche socialiste ne veut pas voir. Ce qu'il faut faire c'est de les casser.
En outre, la solution 3) c'est complètement débile, parce que les monopoles dominent le marché et faussent toute la concurrence. C'est comme si un agriculteur disait : "bah les parasites, les bêtes sauvages qui bouffent mes fruits, le climat, la qualité du sol... tout ça je m'en fous, je fais confiance à la nature, je vais planter mes pastèques ici en Finlande ça va marcher tu verras ça se régulera de soi-même"
Bien sûr un agriculteur s'appuie sur les forces de la nature, mais il doit aussi aménager l'espace, choisir un endroit propice, s'inquiéter du climat, des parasites, etc. En d'autres mots, il doit travailler.
Concernant les "bonnes" solutions : La 2) c'est l'idéal pour assurer un maximum d'indépendance et de liberté aux gens. Cela consiste, tout simplement, à permettre aux gens de constituer leur propre capital. Notez par exemple qu'1 seul patron peut nourrir et employer une famille entière. Mais pour que cela soit possible, il faut baisser les taxes, mettre en place un bon cours d'économie / finance dès le collège, mettre en place des lois "anti-trust" pour casser les monopoles privés, faciliter la création d'entreprises en réduisant la paperasse rébarbative et les frais, favoriser la production locale par de la commande d'utilité publique (ça va des cantines scolaires, qui auraient besoin de produits de qualité ainsi que de bons cuisiniers, à la nécessité d'avoir des logiciels informatiques nationaux pour des questions de sécurité ), etc
Mais il y a forcément des gens qui ne voudront pas s'emmerder à prendre soin d'un arbre.

On parle souvent d' "acheter la paix sociale" avec ça. Personnellement, je pense qu'on n'achète rien du tout. Il est juste que tout le monde reçoive une petite part des fruits du grand arbre national, notre économie commune. Mais je comprends que tout le monde ne partage pas cette vision.
Voilà mon point de vue sur la question, au plaisir.
"En outre, la solution 3) c'est complètement débile, parce que les monopoles dominent le marché et faussent toute la concurrence. C'est comme si un agriculteur disait : "bah les parasites, les bêtes sauvages qui bouffent mes fruits, le climat, la qualité du sol... tout ça je m'en fous, je fais confiance à la nature, je vais planter mes pastèques ici en Finlande ça va marcher tu verras ça se régulera de soi-même"
les monopoles naturelles n'existent pas donc ---> faux (+ prends un exemple irl stp)
les monopoles naturelles n'existent pas donc ---> faux (+ prends un exemple irl stp)
Un visage sincère et plein d'empathie est le vrai visage de la " force"
il y a 10 mois