Mes chers kheys, prenons quelques instants pour parler d'un des plus grands salopards intellectuels que la France ait pu connaître, un individu qui trône au sommet de la crasse philosophique, de la réflexion fallacieuse et de l'imbécilité foudroyante aux côtés de Rousseau et de Sartre.
BORIS VIAN.
Proto-étudiant d'université moderne, Boris Vian est un homme frêle à la calvitie précoce qui ne cessera durant toute sa vie à s'essayer a toutes les formes d'art existantes, sans jamais réussir à produire que quelque résultats ne serait-ce que satisfaisant, utilisant la majeure partie du temps un pseudonyme, afin de masquer la paternité de ses productions médiocre.
Son "œuvre" majeure est le tristement célèbre "J'irai cracher sur vos tombes" qui relate l'histoire d'un métis américain, qui cherche à venger la mort de son frère lynché par racisme. Le protagoniste, beau, grand et fort, passera toute l'histoire à séduire des adolescentes sans aucune difficulté, avant de tuer "deux jeunes blanches bourgeoises" afin d'assouvir sa vengeance
Et oui, nous avons là les prémices, la génèse des séries netflix et autres divertissement modernes progessiste : le métisse est attirant, séduisant, charismatique ; les femmes, blanches surtout, sont des objets dont il dispose facilement et à sa guise, il est opressé par le système, par le blanc, officieusement jaloux de ce dernier ; et par cette opression on justifie son crime, son meurtre, qui ne serait qu'un acte de rebéllion légitime
Cet immonde salopard mourra d'une crise cardiaque à 39 ans, lors de la première projection de l'adaptation de ce livre en film. Le karma existe, et ce clébard mourra en regardant la merde névrosé qu'il aura produit, mais il léguera aux générations futures cette fascination de l'exotisme, la haine de soi-même et de ses origines, comme un poison insididieux qu'il est grand temps d'expurger.
BORIS VIAN.
Proto-étudiant d'université moderne, Boris Vian est un homme frêle à la calvitie précoce qui ne cessera durant toute sa vie à s'essayer a toutes les formes d'art existantes, sans jamais réussir à produire que quelque résultats ne serait-ce que satisfaisant, utilisant la majeure partie du temps un pseudonyme, afin de masquer la paternité de ses productions médiocre.
Son "œuvre" majeure est le tristement célèbre "J'irai cracher sur vos tombes" qui relate l'histoire d'un métis américain, qui cherche à venger la mort de son frère lynché par racisme. Le protagoniste, beau, grand et fort, passera toute l'histoire à séduire des adolescentes sans aucune difficulté, avant de tuer "deux jeunes blanches bourgeoises" afin d'assouvir sa vengeance
Et oui, nous avons là les prémices, la génèse des séries netflix et autres divertissement modernes progessiste : le métisse est attirant, séduisant, charismatique ; les femmes, blanches surtout, sont des objets dont il dispose facilement et à sa guise, il est opressé par le système, par le blanc, officieusement jaloux de ce dernier ; et par cette opression on justifie son crime, son meurtre, qui ne serait qu'un acte de rebéllion légitime
Cet immonde salopard mourra d'une crise cardiaque à 39 ans, lors de la première projection de l'adaptation de ce livre en film. Le karma existe, et ce clébard mourra en regardant la merde névrosé qu'il aura produit, mais il léguera aux générations futures cette fascination de l'exotisme, la haine de soi-même et de ses origines, comme un poison insididieux qu'il est grand temps d'expurger.
Jsais pas c'est qui + pas lu mais mérité
Arbeit macht frei
Monkey see Monkey do
J'ai aussi oublié de citer le fait qu'il est responsable d'avoir instillé aux français l'idée d'être responsable de faits qui ne proviennent ni de notre génération, ni même de notre propre nation (l'action se passant aux Etats Unis)
Jsais pas c'est qui + pas lu mais mérité
Un des Saturniens qui a détruit ce beau pays de part son idéologie mortifère
On m'avait forcé à le lire au collège j'ai instinctivement détesté mais je savais pas dire pourquoi à l'époque
Sauf pour "le déserteur" j'avais déjà compris l'embrouille
Genre t'es pas sur terre pour tuer des algériens mais par contre tuer des flics français (dans la version originale) ça te pose aucun problème moral
Sauf pour "le déserteur" j'avais déjà compris l'embrouille
Genre t'es pas sur terre pour tuer des algériens mais par contre tuer des flics français (dans la version originale) ça te pose aucun problème moral
Haïr le monde, c'est encore en être prisonnier. Cherchez le royaume de Dieu
Un des Saturniens qui a détruit ce beau pays de part son idéologie mortifère
Je réitère mon mérité alors
Arbeit macht frei
Putain j'ai eu peur pendant un instant
DVX MEA LR – EST et RESTERA
Putain j'ai eu peur pendant un instant
Bien que non contemporain et hautement méprisable, il reste une figure importante du déclin de la France et de sa putréfaction idéologique
Mes chers kheys, prenons quelques instants pour parler d'un des plus grands salopards intellectuels que la France ait pu connaître, un individu qui trône au sommet de la crasse philosophique, de la réflexion fallacieuse et de l'imbécilité foudroyante aux côtés de Rousseau et de Sartre.
BORIS VIAN.
Proto-étudiant d'université moderne, Boris Vian est un homme frêle à la calvitie précoce qui ne cessera durant toute sa vie à s'essayer a toutes les formes d'art existantes, sans jamais réussir à produire que quelque résultats ne serait-ce que satisfaisant, utilisant la majeure partie du temps un pseudonyme, afin de masquer la paternité de ses productions médiocre.
Son "œuvre" majeure est le tristement célèbre "J'irai cracher sur vos tombes" qui relate l'histoire d'un métis américain, qui cherche à venger la mort de son frère lynché par racisme. Le protagoniste, beau, grand et fort, passera toute l'histoire à séduire des adolescentes sans aucune difficulté, avant de tuer "deux jeunes blanches bourgeoises" afin d'assouvir sa vengeance
Et oui, nous avons là les prémices, la génèse des séries netflix et autres divertissement modernes progessiste : le métisse est attirant, séduisant, charismatique ; les femmes, blanches surtout, sont des objets dont il dispose facilement et à sa guise, il est opressé par le système, par le blanc, officieusement jaloux de ce dernier ; et par cette opression on justifie son crime, son meurtre, qui ne serait qu'un acte de rebéllion légitime
Cet immonde salopard mourra d'une crise cardiaque à 39 ans, lors de la première projection de l'adaptation de ce livre en film. Le karma existe, et ce clébard mourra en regardant la merde névrosé qu'il aura produit, mais il léguera aux générations futures cette fascination de l'exotisme, la haine de soi-même et de ses origines, comme un poison insididieux qu'il est grand temps d'expurger.
BORIS VIAN.
Proto-étudiant d'université moderne, Boris Vian est un homme frêle à la calvitie précoce qui ne cessera durant toute sa vie à s'essayer a toutes les formes d'art existantes, sans jamais réussir à produire que quelque résultats ne serait-ce que satisfaisant, utilisant la majeure partie du temps un pseudonyme, afin de masquer la paternité de ses productions médiocre.
Son "œuvre" majeure est le tristement célèbre "J'irai cracher sur vos tombes" qui relate l'histoire d'un métis américain, qui cherche à venger la mort de son frère lynché par racisme. Le protagoniste, beau, grand et fort, passera toute l'histoire à séduire des adolescentes sans aucune difficulté, avant de tuer "deux jeunes blanches bourgeoises" afin d'assouvir sa vengeance
Et oui, nous avons là les prémices, la génèse des séries netflix et autres divertissement modernes progessiste : le métisse est attirant, séduisant, charismatique ; les femmes, blanches surtout, sont des objets dont il dispose facilement et à sa guise, il est opressé par le système, par le blanc, officieusement jaloux de ce dernier ; et par cette opression on justifie son crime, son meurtre, qui ne serait qu'un acte de rebéllion légitime
Cet immonde salopard mourra d'une crise cardiaque à 39 ans, lors de la première projection de l'adaptation de ce livre en film. Le karma existe, et ce clébard mourra en regardant la merde névrosé qu'il aura produit, mais il léguera aux générations futures cette fascination de l'exotisme, la haine de soi-même et de ses origines, comme un poison insididieux qu'il est grand temps d'expurger.
Mérité pour cet enculé
Meat-chan
